toujours et encore l'extrême droite

Diviciac a écrit:

Nadou a écrit:


Et Omar Sy, que penses-tu de cet exemple ?

Rien, je suis assez peu intéressé par le show biz et le box office . 

Française a écrit:Oui et si on abolissait la loi Pompidou ?

Française a écrit:

Française a écrit:Oui et si on abolissait la loi Pompidou ?

Tiens il ne faut pas parler de ce qui fâche ?
Il me semble que c'est depuis, Nonobstant  le choc pétrolier ,que la dette a commencé .

Française a écrit:Oui et si on abolissait la loi Pompidou ?

sporthos a écrit:

Lili-Rose a écrit:


T'as lu le titre de l'article?
[size=49]Pourquoi les effets de la suppression de l’ISF sont-ils si difficiles à évaluer ?[/size]

J'ai lu l'article , je reconnais que je m'avance un peu en affirmant que l'ISF porte déjà ses fruits , même si certains politiques le croient , mais il est indéniable que les investisseurs étrangers ont plus confiance en la France depuis 1 an et investissent davantage en France . Nous verrons bien avec la nouvelle commission chargée d'évaluer les effets de la suppression de l'ISF si celle celle-ci est efficace dans la relance de l'économie . Qui ne tente rien n'a rien . Si les vieilles ficelles fonctionnaient si bien , on peut se demander pour quelle raison nous en sommes à 2 000 milliards de dette .

Lili-Rose a écrit:

sporthos a écrit:


J'ai lu l'article , je reconnais que je m'avance un peu en affirmant que l'ISF porte déjà ses fruits , même si certains politiques le croient , mais il est indéniable que les investisseurs étrangers ont plus confiance en la France depuis 1 an et investissent davantage en France . Nous verrons bien avec la nouvelle commission chargée d'évaluer les effets de la suppression de l'ISF si celle celle-ci est efficace dans la relance de l'économie . Qui ne tente rien n'a rien . Si les vieilles ficelles fonctionnaient si bien , on peut se demander pour quelle raison nous en sommes à 2 000 milliards de dette .

L'économie est une science "molle".
Personne, ne peut affirmer que la suppression de l'ISF à l'instant T, engendrera de l'investissement à T+1.
Les investisseurs se basent sur un ensemble de facteurs.
A priori quand même en observant l'évasion fiscale, on peut quand même se poser la question sur le bien fondé de l'ISF.
Pour moi sa suppression devrait être irrévocable, inscrite dans le marbre, et peut être qu'à ce moment là, un climat de confiance pourrait redémarrer.

magicfly a écrit:

Lili-Rose a écrit:


L'économie est une science "molle".
Personne, ne peut affirmer que la suppression de l'ISF à l'instant T, engendrera de l'investissement à T+1.
Les investisseurs se basent sur un ensemble de facteurs.
A priori quand même en observant l'évasion fiscale, on peut quand même se poser la question sur le bien fondé de l'ISF.
Pour moi sa suppression devrait être irrévocable, inscrite dans le marbre, et peut être qu'à ce moment là, un climat de confiance pourrait redémarrer.

C'est que je ne cesse de répéter! Tant que les règles du jeu changeront à chaque élection, la confiance ne reviendra pas!

Lili-Rose a écrit:

magicfly a écrit:
C'est que je ne cesse de répéter! Tant que les règles du jeu changeront à chaque élection, la confiance ne reviendra pas!

Tu deviens enfin raisonnable, c'est bien, tu te mets à penser comme moi
Connerie à part, tu remarqueras que personne ne parle de ce problème, celui de l'instabilité du pays.
C'est un des critères pour un investisseur.
Prenons un exemple extrême, qui irait à ce jour investir en Syrie? 
La tendance naturelle serait plutôt d'avoir envie d'aller investir en Suisse qu'en Syrie, non? On est tous pareil, et l'investisseur de déroge pas à la règle, faudrait que ceux qui réclame la remise en place de l'ISF arrive à se mettre ça dans le crâne.

Près d'une personne sur trois a été concernée au moins une fois dans l'année par le chômage ou le sous-emploi, selon l'Insee. C'est près de 6 points de plus en dix ans.

ledevois a écrit:

Lili-Rose a écrit:
Tu deviens enfin raisonnable, c'est bien, tu te mets à penser comme moi
Connerie à part, tu remarqueras que personne ne parle de ce problème, celui de l'instabilité du pays.
C'est un des critères pour un investisseur.
Prenons un exemple extrême, qui irait à ce jour investir en Syrie? 
La tendance naturelle serait plutôt d'avoir envie d'aller investir en Suisse qu'en Syrie, non? On est tous pareil, et l'investisseur de déroge pas à la règle, faudrait que ceux qui réclame la remise en place de l'ISF arrive à se mettre ça dans le crâne.

Faut remettre les gens au travail en France et pour l'instant depuis quelques décennies rien ne prouve que les 35 heures sont un bienfait pour l'économie et le chômage -- 
 
Que l'Etat fasse bosser les gens avec un vrai salaire pour 39 heures et tout rentrera dans l'ordre --Cette mentalité des aides sociales dans notre pays a été inculqué par les politiques qui ne savent faire que de la démagogie , alors que la population veut travailler et gagner sa vie honnêtement dans la dignité -- 
 
Il y a tellement des charges patronale et sociale que les contrats de travail sont des contrats précaire avec lequel tu ne peux pas vivre -- 
 
Et la encore avec Macron ils vont donner des chèques essence aux plus démunis alors que ce n'est pas ce que veulent  les gilets jaunes -- 
 
Des vrais salaires avec un vrai emploi -qui permet de payer impôts et taxes -

[size=54]
Emploi : la précarité gagne du terrain[/size]

ALAIN RUELLO - ALAIN RUELLO | LE 03/07/18 À 16H36

Près d'une personne sur trois a été concernée au moins une fois dans l'année par le chômage ou le sous-emploi, selon l'Insee. C'est près de 6 points de plus en dix ans.

Des créations d'emploi toujours en hausse malgré le coup de frein à la croissance, un taux de chômage qui diminue, lentement mais sûrement, ou encore des salaires moyens qui accélèrent dans le privé comme dans le public : le millésime 2018 de l'édition « emploi chômage et revenu du travail » de l'Insee, publié ce mardi, confirme que le marché de l'emploi a tourné la page de la crise de 2008. Mais ce constat positif en cache un autre, plus inquiétant, marqué par une précarité professionnelle grandissante.
Cette précarité se mesure avant tout par la part des emplois à durée limitée dans l'emploi total : à 15,4 % environ, elle a atteint en 2017 son niveau le plus haut depuis 1982, année durant laquelle l'institut statistique a commencé à la mesurer (6,4 %). Près de 85 % des salariés restent en CDI ou fonctionnaires, mais ce stock est grignoté mois après mois, sous l'effet d'un flux d'embauches en intérim ou en CDD de plus en plus important.
https://www.lesechos.fr/03/07/2018/lesechos.fr/0301916111216_emploi---la-precarite-gagne-du-terrain.htm

Lili-Rose a écrit:

ledevois a écrit:

Faut remettre les gens au travail en France et pour l'instant depuis quelques décennies rien ne prouve que les 35 heures sont un bienfait pour l'économie et le chômage -- 
 
Que l'Etat fasse bosser les gens avec un vrai salaire pour 39 heures et tout rentrera dans l'ordre --Cette mentalité des aides sociales dans notre pays a été inculqué par les politiques qui ne savent faire que de la démagogie , alors que la population veut travailler et gagner sa vie honnêtement dans la dignité -- 
 
Il y a tellement des charges patronale et sociale que les contrats de travail sont des contrats précaire avec lequel tu ne peux pas vivre -- 
 
Et la encore avec Macron ils vont donner des chèques essence aux plus démunis alors que ce n'est pas ce que veulent  les gilets jaunes -- 
 
Des vrais salaires avec un vrai emploi -qui permet de payer impôts et taxes -

[size=54]
Emploi : la précarité gagne du terrain[/size]

ALAIN RUELLO - ALAIN RUELLO | LE 03/07/18 À 16H36

Près d'une personne sur trois a été concernée au moins une fois dans l'année par le chômage ou le sous-emploi, selon l'Insee. C'est près de 6 points de plus en dix ans.

Des créations d'emploi toujours en hausse malgré le coup de frein à la croissance, un taux de chômage qui diminue, lentement mais sûrement, ou encore des salaires moyens qui accélèrent dans le privé comme dans le public : le millésime 2018 de l'édition « emploi chômage et revenu du travail » de l'Insee, publié ce mardi, confirme que le marché de l'emploi a tourné la page de la crise de 2008. Mais ce constat positif en cache un autre, plus inquiétant, marqué par une précarité professionnelle grandissante.
Cette précarité se mesure avant tout par la part des emplois à durée limitée dans l'emploi total : à 15,4 % environ, elle a atteint en 2017 son niveau le plus haut depuis 1982, année durant laquelle l'institut statistique a commencé à la mesurer (6,4 %). Près de 85 % des salariés restent en CDI ou fonctionnaires, mais ce stock est grignoté mois après mois, sous l'effet d'un flux d'embauches en intérim ou en CDD de plus en plus important.
https://www.lesechos.fr/03/07/2018/lesechos.fr/0301916111216_emploi---la-precarite-gagne-du-terrain.htm

Mon bon D'jo
Tu oublies simplement un détail, c'est qu'il n'y a plus de boulot en France.
Et ce n'est très certainement pas en chassant ceux qui ont du blé, qu'on va créer de l'emploi.

Notre gros souci, et c'est en cela que je suis sympathisant GJ: l'état ne sait pas s'adapter, et conserve tous ses privilèges. par contre il met en pâture toutes les entreprises.
Question un peu philosophique, pourquoi l'état n'accepterait pas ce qu'il impose, à savoir une concurrence sur ses taxes et impôts, le choix d'un président venant d'un autre pays européen et surtout au coût de ce pays ( on nous impose bien la concurrence des pays de l'est), la liberté de payer son foncier à tel ou tel pays etc.....tout cela doit sembler bien farfelu, mais prouve cette incapacité ou cette non volonté d'adaptation. On en est encore à l'heure où un laquais amène un pot à manu pour qu'il puisse chier depuis son trône.

ledevois a écrit:

Lili-Rose a écrit:


Mon bon D'jo
Tu oublies simplement un détail, c'est qu'il n'y a plus de boulot en France.
Et ce n'est très certainement pas en chassant ceux qui ont du blé, qu'on va créer de l'emploi.

Notre gros souci, et c'est en cela que je suis sympathisant GJ: l'état ne sait pas s'adapter, et conserve tous ses privilèges. par contre il met en pâture toutes les entreprises.
Question un peu philosophique, pourquoi l'état n'accepterait pas ce qu'il impose, à savoir une concurrence sur ses taxes et impôts, le choix d'un président venant d'un autre pays européen et surtout au coût de ce pays ( on nous impose bien la concurrence des pays de l'est), la liberté de payer son foncier à tel ou tel pays etc.....tout cela doit sembler bien farfelu, mais prouve cette incapacité ou cette non volonté d'adaptation. On en est encore à l'heure où un laquais amène un pot à manu pour qu'il puisse chier depuis son trône.

 Pour revenir dans une économie saine non polluante en France ; faut se retirer de l'U E , et privilégier nos productions --- 
 Chais pas si parfois tu te dirige vers l'Espagne , -- mais tu le devrais pour comprendre que la pollution ne vient pas des automobilistes -  

Lili-Rose a écrit:

magicfly a écrit:
C'est que je ne cesse de répéter! Tant que les règles du jeu changeront à chaque élection, la confiance ne reviendra pas!

Tu deviens enfin raisonnable, c'est bien, tu te mets à penser comme moi

Tu te fiches de ma goule, j'ai tjrs dit ça ...ET JE NE SUIS PAS UN JAUNIS MOI!

Connerie à part, tu remarqueras que personne ne parle de ce problème, celui de l'instabilité du pays.
C'est un des critères pour un investisseur.
Prenons un exemple extrême, qui irait à ce jour investir en Syrie? 
La tendance naturelle serait plutôt d'avoir envie d'aller investir en Suisse qu'en Syrie, non? On est tous pareil, et l'investisseur de déroge pas à la règle, faudrait que ceux qui réclame la remise en place de l'ISF arrive à se mettre ça dans le crâne.

Lili-Rose a écrit:

ledevois a écrit:

Faut remettre les gens au travail en France et pour l'instant depuis quelques décennies rien ne prouve que les 35 heures sont un bienfait pour l'économie et le chômage -- 
 
Que l'Etat fasse bosser les gens avec un vrai salaire pour 39 heures et tout rentrera dans l'ordre --Cette mentalité des aides sociales dans notre pays a été inculqué par les politiques qui ne savent faire que de la démagogie , alors que la population veut travailler et gagner sa vie honnêtement dans la dignité -- 
 
Il y a tellement des charges patronale et sociale que les contrats de travail sont des contrats précaire avec lequel tu ne peux pas vivre -- 
 
Et la encore avec Macron ils vont donner des chèques essence aux plus démunis alors que ce n'est pas ce que veulent  les gilets jaunes -- 
 
Des vrais salaires avec un vrai emploi -qui permet de payer impôts et taxes -

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Emploi : la précarité gagne du terrain[/size]

ALAIN RUELLO - ALAIN RUELLO | LE 03/07/18 À 16H36

Près d'une personne sur trois a été concernée au moins une fois dans l'année par le chômage ou le sous-emploi, selon l'Insee. C'est près de 6 points de plus en dix ans.

Des créations d'emploi toujours en hausse malgré le coup de frein à la croissance, un taux de chômage qui diminue, lentement mais sûrement, ou encore des salaires moyens qui accélèrent dans le privé comme dans le public : le millésime 2018 de l'édition « emploi chômage et revenu du travail » de l'Insee, publié ce mardi, confirme que le marché de l'emploi a tourné la page de la crise de 2008. Mais ce constat positif en cache un autre, plus inquiétant, marqué par une précarité professionnelle grandissante.
Cette précarité se mesure avant tout par la part des emplois à durée limitée dans l'emploi total : à 15,4 % environ, elle a atteint en 2017 son niveau le plus haut depuis 1982, année durant laquelle l'institut statistique a commencé à la mesurer (6,4 %). Près de 85 % des salariés restent en CDI ou fonctionnaires, mais ce stock est grignoté mois après mois, sous l'effet d'un flux d'embauches en intérim ou en CDD de plus en plus important.
https://www.lesechos.fr/03/07/2018/lesechos.fr/0301916111216_emploi---la-precarite-gagne-du-terrain.htm

Mon bon D'jo
Tu oublies simplement un détail, c'est qu'il n'y a plus de boulot en France.
Et ce n'est très certainement pas en chassant ceux qui ont du blé, qu'on va créer de l'emploi.

Notre gros souci, et c'est en cela que je suis sympathisant GJ: l'état ne sait pas s'adapter, et conserve tous ses privilèges. par contre il met en pâture toutes les entreprises.
Question un peu philosophique, pourquoi l'état n'accepterait pas ce qu'il impose, à savoir une concurrence sur ses taxes et impôts, le choix d'un président venant d'un autre pays européen et surtout au coût de ce pays ( on nous impose bien la concurrence des pays de l'est), la liberté de payer son foncier à tel ou tel pays etc.....tout cela doit sembler bien farfelu, mais prouve cette incapacité ou cette non volonté d'adaptation. On en est encore à l'heure où un laquais amène un pot à manu pour qu'il puisse chier depuis son trône.

Putaing de bordel de merde   vous êtes gonflés; vous êtes des jaunis et vous préconisez le contraire de ce que ces crétins réclament! Je vous rappelle, qu'ils veulent payer moins et gagner plus! c'est la quadrature du cercle!

magicfly a écrit:

Lili-Rose a écrit:

ledevois a écrit:

Faut remettre les gens au travail en France et pour l'instant depuis quelques décennies rien ne prouve que les 35 heures sont un bienfait pour l'économie et le chômage -- 
 
Que l'Etat fasse bosser les gens avec un vrai salaire pour 39 heures et tout rentrera dans l'ordre --Cette mentalité des aides sociales dans notre pays a été inculqué par les politiques qui ne savent faire que de la démagogie , alors que la population veut travailler et gagner sa vie honnêtement dans la dignité -- 
 
Il y a tellement des charges patronale et sociale que les contrats de travail sont des contrats précaire avec lequel tu ne peux pas vivre -- 
 
Et la encore avec Macron ils vont donner des chèques essence aux plus démunis alors que ce n'est pas ce que veulent  les gilets jaunes -- 
 
Des vrais salaires avec un vrai emploi -qui permet de payer impôts et taxes -

[size=54]
Emploi : la précarité gagne du terrain[/size]

ALAIN RUELLO - ALAIN RUELLO | LE 03/07/18 À 16H36

Près d'une personne sur trois a été concernée au moins une fois dans l'année par le chômage ou le sous-emploi, selon l'Insee. C'est près de 6 points de plus en dix ans.

Des créations d'emploi toujours en hausse malgré le coup de frein à la croissance, un taux de chômage qui diminue, lentement mais sûrement, ou encore des salaires moyens qui accélèrent dans le privé comme dans le public : le millésime 2018 de l'édition « emploi chômage et revenu du travail » de l'Insee, publié ce mardi, confirme que le marché de l'emploi a tourné la page de la crise de 2008. Mais ce constat positif en cache un autre, plus inquiétant, marqué par une précarité professionnelle grandissante.
Cette précarité se mesure avant tout par la part des emplois à durée limitée dans l'emploi total : à 15,4 % environ, elle a atteint en 2017 son niveau le plus haut depuis 1982, année durant laquelle l'institut statistique a commencé à la mesurer (6,4 %). Près de 85 % des salariés restent en CDI ou fonctionnaires, mais ce stock est grignoté mois après mois, sous l'effet d'un flux d'embauches en intérim ou en CDD de plus en plus important.
https://www.lesechos.fr/03/07/2018/lesechos.fr/0301916111216_emploi---la-precarite-gagne-du-terrain.htm

Mon bon D'jo
Tu oublies simplement un détail, c'est qu'il n'y a plus de boulot en France.
Et ce n'est très certainement pas en chassant ceux qui ont du blé, qu'on va créer de l'emploi.

Notre gros souci, et c'est en cela que je suis sympathisant GJ: l'état ne sait pas s'adapter, et conserve tous ses privilèges. par contre il met en pâture toutes les entreprises.
Question un peu philosophique, pourquoi l'état n'accepterait pas ce qu'il impose, à savoir une concurrence sur ses taxes et impôts, le choix d'un président venant d'un autre pays européen et surtout au coût de ce pays ( on nous impose bien la concurrence des pays de l'est), la liberté de payer son foncier à tel ou tel pays etc.....tout cela doit sembler bien farfelu, mais prouve cette incapacité ou cette non volonté d'adaptation. On en est encore à l'heure où un laquais amène un pot à manu pour qu'il puisse chier depuis son trône.

Putaing de bordel de merde   vous êtes gonflés; vous êtes des jaunis et vous préconisez le contraire de ce que ces crétins réclament! Je vous rappelle, qu'ils veulent payer moins et gagner plus! c'est la quadrature du cercle!

Quel est le rapport entre l'ordre à l'ancienne de Julescesar,  la ZAD française espérée par Diviciac, les 39h de Ledevois, le retour d'un roi de Philosophe ... etc ... ?   

Nadou a écrit:

magicfly a écrit:
Putaing de bordel de merde   vous êtes gonflés; vous êtes des jaunis et vous préconisez le contraire de ce que ces crétins réclament! Je vous rappelle, qu'ils veulent payer moins et gagner plus! c'est la quadrature du cercle!

C'est bien le problème ! y en a pas un qui veut la même chose d'où les voix aux européennes qui se diluent dans tous les sens.
Quel est le rapport entre l'ordre à l'ancienne de Julescesar,  la ZAD française espérée par Diviciac, les 39h de Ledevois, le retour d'un roi de Philosophe ... etc ... ?   

Nadou a écrit:

magicfly a écrit:
Putaing de bordel de merde   vous êtes gonflés; vous êtes des jaunis et vous préconisez le contraire de ce que ces crétins réclament! Je vous rappelle, qu'ils veulent payer moins et gagner plus! c'est la quadrature du cercle!

C'est bien le problème ! y en a pas un qui veut la même chose d'où les voix aux européennes qui se diluent dans tous les sens.
Quel est le rapport entre l'ordre à l'ancienne de Julescesar,  la ZAD française espérée par Diviciac, les 39h de Ledevois, le retour d'un roi de Philosophe ... etc ... ?