Anne Hidalgo s'est dite favorable, à la participation des athlètes russes aux Jeux Olympiques 2024.
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Re: Anne Hidalgo s'est dite favorable, à la participation des athlètes russes aux Jeux Olympiques 2024.
Pourquoi ne pas exclure les tricheurs, en effet !N'Magicfly a écrit:Je ne vois pas où est le besoin de polémiquer; il me semblait que la Russie était exclue après les jeux de Sotchi suite à des tricheries organisées par l'Etat russe: Donc pas JO pour eux!
Toutefois, ce sont les athlètes tricheurs qui sont exclus généralement et déchus de leur médaille ; ce n'est pas le pays entier qui est privé de JO.
Ex : en 2000 le lanceur de poids américain C.J. Hunter est banni des Jeux de Sydney après avoir été contrôlé positif à la nandrolone.
Romane- Messages : 1669
Date d'inscription : 12/03/2021
Re: Anne Hidalgo s'est dite favorable, à la participation des athlètes russes aux Jeux Olympiques 2024.
Comme au bon vieux temps de l'URSS les Russes ont institutionnalisé la tricherie: Je ne comprends pas que tu puisses défendre cet Etat de merde malgré les preuves flagrantes qu'on t'apporte; t'es payée par l'Etat russe Romanova?Romane a écrit:Pourquoi ne pas exclure les tricheurs, en effet !N'Magicfly a écrit:Je ne vois pas où est le besoin de polémiquer; il me semblait que la Russie était exclue après les jeux de Sotchi suite à des tricheries organisées par l'Etat russe: Donc pas JO pour eux!
Toutefois, ce sont les athlètes tricheurs qui sont exclus généralement et déchus de leur médaille ; ce n'est pas le pays entier qui est privé de JO.
Ex : en 2000 le lanceur de poids américain C.J. Hunter est banni des Jeux de Sydney après avoir été contrôlé positif à la nandrolone.
Dopage : la Russie, de scandales en scandales
La dernière décennie a également été marquée par les vastes affaires de dopage d'Etat qui secouent la Russie depuis 2014. Des Jeux de Sotchi à ceux de Tokyo, retour sur un immense scandale international.
2014 : un scandale de dopage institutionnel aux JO de Sotchi
Le scandale démarre le 3 décembre 2014, dix mois après les Jeux olympiques de Sotchi, quand un documentaire de la chaîne allemande ARD révèle un dopage à grande échelle dans l’athlétisme russe, couvert par les autorités du pays. Une première commission de l’AMA rend des conclusions accablantes en novembre 2015, provoquant la suspension de l’agence antidopage russe (Rusada) et celle de la fédération russe d’athlétisme.Les plus fortes répliques du séisme sont encore à venir : le 12 mai 2016, dans le New York Times, l’ancien directeur du labo antidopage de Moscou, Grigory Rodchenkov, en fuite aux États-Unis, révèle que les JO de Sotchi ont été le théâtre d’une triche systématique en faveur des Russes, arrivés en tête au tableau des médailles.
Le médecin devient le témoin clé d’une nouvelle commission de l’AMA, dirigée par l’avocat canadien Richard McLaren, qui dévoile un système de dopage institutionnel ayant pu bénéficier à plus d’un millier de sportifs entre 2011 et 2015. Des échantillons ont été truqués aux JO de 2014, sur les bords de la mer Noire. Quant au labo de Moscou, le ministère des Sports y intervenait pour "blanchir" des contrôles positifs.
2016-2018 : l’heure des sanctions
Sur la foi du rapport McLaren, l’AMA recommande de bannir la Russie des Jeux de Rio 2016, mais le Comité international olympique (CIO) s’y refuse et 276 sportifs sont autorisés à concourir dans tous les sports, sauf dans l’athlétisme, qui a déjà exclu le pays.À de rares exceptions, les fédérations internationales n’ont pas ouvert de procédures disciplinaires contre des sportifs russes, en l’absence des échantillons d’urine, restés au laboratoire de Moscou ou détruits.
Pour les JO 2014, le CIO a pu compter sur les flacons qu’il a conservé. Sauf que certains ont pu être truqués et ne sont plus des preuves tangibles. Résultat : sur 43 sportifs sanctionnés par des retraits de médailles et disqualifications à vie, le Tribunal arbitral du sport (TAS), l’organe disciplinaire suprême, a annulé 28 décisions pour manque de preuves.
Accusé d’indulgence à Rio, le CIO se montre plus ferme pour les JO 2018 de Pyeongchang, en excluant drapeau et hymne russes. Mais une délégation de 169 sportifs d’une équipe d’ "athlètes olympiques de Russie" est quand même acceptée en Corée du Sud.
2019 : le scandale des données
Depuis les rapports McLaren, les enquêteurs de l’AMA avaient récupéré, grâce à un lanceur d’alerte, une autre pièce du puzzle, le Système de gestion de l’information des laboratoires (le LIMS), la base de données recensant les contrôles du labo de Moscou entre 2012 et 2015. Pour disposer de preuves encore plus solides et ouvrir des dossiers disciplinaires contre des sportifs, l’agence a exigé d’avoir accès au laboratoire de Moscou et de copier ses serveurs informatiques. Elle les a obtenus début 2019.Début juillet, l’AMA a annoncé qu’après une première analyse, près de 300 sportifs russes soupçonnés de dopage avaient été identifiés et que les dossiers de 43 d’entre eux avaient déjà été transmis aux fédérations internationales. L’agence a réaffirmé à plusieurs reprises que ces 43 dossiers demeuraient valables, malgré la falsification de données remises par les Russes à l’AMA.
Depuis le tout début de l’affaire, une poignée de biathlètes, au moins douze athlètes et douze haltérophiles russes ont été suspendus sur la base des enquêtes ou des éléments récupérés par l’AMA. Mais la prescription, de huit ou dix ans selon les cas, commence à guetter les futurs dossiers.
2019-2023 : mise au ban pour quatre ans
Depuis le camouflet que lui a infligé le CIO pour les JO 2016, et pour restaurer sa crédibilité après le scandale russe, l’AMA s’est doté d’un véritable arsenal de sanctions. Désormais, son comité exécutif peut prendre des mesures sportives en guise de punition, en suivant ou non les recommandations de son comité de révision de la conformité (CRC).Ce CRC, dirigé par un avocat britannique, Jonathan Taylor, a recommandé une exclusion pendant quatre ans du drapeau russe des Jeux olympiques, ainsi que des Championnats du monde, en laissant la possibilité ouverte à des sélections de sportifs neutres.
L’AMA a décidé, le 9 décembre, d’interdire à la Russie de participer pour quatre ans aux principaux événements internationaux, notamment les Jeux olympiques 2020 et 2022 et la Coupe du monde de foot 2022. Les sanctions prévoient que seuls des sportifs russes triés sur le volet pourront participer aux compétitions, mais sous drapeau neutre et sans que l’hymne national ne soit joué.
N'Magicfly- Messages : 5947
Date d'inscription : 11/02/2021
Re: Anne Hidalgo s'est dite favorable, à la participation des athlètes russes aux Jeux Olympiques 2024.
Et vous la presse occidentale subventionnée vous paie pour distiller sa propagande qui ne vaut pas mieux que la propagande adverse ?N'Magicfly a écrit:Comme au bon vieux temps de l'URSS les Russes ont institutionnalisé la tricherie: Je ne comprends pas que tu puisses défendre cet Etat de merde malgré les preuves flagrantes qu'on t'apporte; t'es payée par l'Etat russe Romanova?Romane a écrit:
Pourquoi ne pas exclure les tricheurs, en effet !
Toutefois, ce sont les athlètes tricheurs qui sont exclus généralement et déchus de leur médaille ; ce n'est pas le pays entier qui est privé de JO.
Ex : en 2000 le lanceur de poids américain C.J. Hunter est banni des Jeux de Sydney après avoir été contrôlé positif à la nandrolone.
Dopage : la Russie, de scandales en scandales
La dernière décennie a également été marquée par les vastes affaires de dopage d'Etat qui secouent la Russie depuis 2014. Des Jeux de Sotchi à ceux de Tokyo, retour sur un immense scandale international.2014 : un scandale de dopage institutionnel aux JO de Sotchi
Le scandale démarre le 3 décembre 2014, dix mois après les Jeux olympiques de Sotchi, quand un documentaire de la chaîne allemande ARD révèle un dopage à grande échelle dans l’athlétisme russe, couvert par les autorités du pays. Une première commission de l’AMA rend des conclusions accablantes en novembre 2015, provoquant la suspension de l’agence antidopage russe (Rusada) et celle de la fédération russe d’athlétisme.
Les plus fortes répliques du séisme sont encore à venir : le 12 mai 2016, dans le New York Times, l’ancien directeur du labo antidopage de Moscou, Grigory Rodchenkov, en fuite aux États-Unis, révèle que les JO de Sotchi ont été le théâtre d’une triche systématique en faveur des Russes, arrivés en tête au tableau des médailles.
Le médecin devient le témoin clé d’une nouvelle commission de l’AMA, dirigée par l’avocat canadien Richard McLaren, qui dévoile un système de dopage institutionnel ayant pu bénéficier à plus d’un millier de sportifs entre 2011 et 2015. Des échantillons ont été truqués aux JO de 2014, sur les bords de la mer Noire. Quant au labo de Moscou, le ministère des Sports y intervenait pour "blanchir" des contrôles positifs.2016-2018 : l’heure des sanctions
Sur la foi du rapport McLaren, l’AMA recommande de bannir la Russie des Jeux de Rio 2016, mais le Comité international olympique (CIO) s’y refuse et 276 sportifs sont autorisés à concourir dans tous les sports, sauf dans l’athlétisme, qui a déjà exclu le pays.
À de rares exceptions, les fédérations internationales n’ont pas ouvert de procédures disciplinaires contre des sportifs russes, en l’absence des échantillons d’urine, restés au laboratoire de Moscou ou détruits.
Pour les JO 2014, le CIO a pu compter sur les flacons qu’il a conservé. Sauf que certains ont pu être truqués et ne sont plus des preuves tangibles. Résultat : sur 43 sportifs sanctionnés par des retraits de médailles et disqualifications à vie, le Tribunal arbitral du sport (TAS), l’organe disciplinaire suprême, a annulé 28 décisions pour manque de preuves.
Accusé d’indulgence à Rio, le CIO se montre plus ferme pour les JO 2018 de Pyeongchang, en excluant drapeau et hymne russes. Mais une délégation de 169 sportifs d’une équipe d’ "athlètes olympiques de Russie" est quand même acceptée en Corée du Sud.2019 : le scandale des données
Depuis les rapports McLaren, les enquêteurs de l’AMA avaient récupéré, grâce à un lanceur d’alerte, une autre pièce du puzzle, le Système de gestion de l’information des laboratoires (le LIMS), la base de données recensant les contrôles du labo de Moscou entre 2012 et 2015. Pour disposer de preuves encore plus solides et ouvrir des dossiers disciplinaires contre des sportifs, l’agence a exigé d’avoir accès au laboratoire de Moscou et de copier ses serveurs informatiques. Elle les a obtenus début 2019.
Début juillet, l’AMA a annoncé qu’après une première analyse, près de 300 sportifs russes soupçonnés de dopage avaient été identifiés et que les dossiers de 43 d’entre eux avaient déjà été transmis aux fédérations internationales. L’agence a réaffirmé à plusieurs reprises que ces 43 dossiers demeuraient valables, malgré la falsification de données remises par les Russes à l’AMA.
Depuis le tout début de l’affaire, une poignée de biathlètes, au moins douze athlètes et douze haltérophiles russes ont été suspendus sur la base des enquêtes ou des éléments récupérés par l’AMA. Mais la prescription, de huit ou dix ans selon les cas, commence à guetter les futurs dossiers.2019-2023 : mise au ban pour quatre ans
Depuis le camouflet que lui a infligé le CIO pour les JO 2016, et pour restaurer sa crédibilité après le scandale russe, l’AMA s’est doté d’un véritable arsenal de sanctions. Désormais, son comité exécutif peut prendre des mesures sportives en guise de punition, en suivant ou non les recommandations de son comité de révision de la conformité (CRC).
Ce CRC, dirigé par un avocat britannique, Jonathan Taylor, a recommandé une exclusion pendant quatre ans du drapeau russe des Jeux olympiques, ainsi que des Championnats du monde, en laissant la possibilité ouverte à des sélections de sportifs neutres.
L’AMA a décidé, le 9 décembre, d’interdire à la Russie de participer pour quatre ans aux principaux événements internationaux, notamment les Jeux olympiques 2020 et 2022 et la Coupe du monde de foot 2022. Les sanctions prévoient que seuls des sportifs russes triés sur le volet pourront participer aux compétitions, mais sous drapeau neutre et sans que l’hymne national ne soit joué.
Manipulé que vous êtes, lamentablement inconscient.
Romane- Messages : 1669
Date d'inscription : 12/03/2021
Localisation : Sud-est
Re: Anne Hidalgo s'est dite favorable, à la participation des athlètes russes aux Jeux Olympiques 2024.
N'Magicfly a écrit:
Dopage : la Russie, de scandales en scandales
La dernière décennie a également été marquée par les vastes affaires de dopage d'Etat qui secouent la Russie depuis 2014. Des Jeux de Sotchi à ceux de Tokyo, retour sur un immense scandale international.2014 : un scandale de dopage institutionnel aux JO de Sotchi
Le scandale démarre le 3 décembre 2014, dix mois après les Jeux olympiques de Sotchi, (...)
Non, Magic, le scandale date de bien plus tôt.
Par exemple, Alina Kabaeva, l'actuelle poupée de Poutine le Botoxé, a perdu ses médailles et été suspendue 1 an de compétition par la fédération de gymnastique pour dopage. Au début des années 2000.
A l'attention de Lili-Rose : tiens, Alina est très mignonne, elle ! Pourrie jusqu'à la moelle mais elle était jolie comme un coeur (encore qu'elle ne vieillisse pas très bien).
Tu peux bien dérouler un joli prêchi-prêcha sur la beauté intérieur et blablabla, il n'empêche que les premiers juges de nos attirance sont les deux petites caméras que nous avons de chaque côté du nez

Horiel- Messages : 4995
Date d'inscription : 06/04/2021
Re: Anne Hidalgo s'est dite favorable, à la participation des athlètes russes aux Jeux Olympiques 2024.
J'ai écris: "Comme au bon vieux temps de l'URSS les Russes ont institutionnalisé la tricherie"Horiel a écrit:N'Magicfly a écrit:
Dopage : la Russie, de scandales en scandales
La dernière décennie a également été marquée par les vastes affaires de dopage d'Etat qui secouent la Russie depuis 2014. Des Jeux de Sotchi à ceux de Tokyo, retour sur un immense scandale international.2014 : un scandale de dopage institutionnel aux JO de Sotchi
Le scandale démarre le 3 décembre 2014, dix mois après les Jeux olympiques de Sotchi, (...)
Non, Magic, le scandale date de bien plus tôt.
Par exemple, Alina Kabaeva, l'actuelle poupée de Poutine le Botoxé, a perdu ses médailles et été suspendue 1 an de compétition par la fédération de gymnastique pour dopage. Au début des années 2000.
A l'attention de Lili-Rose : tiens, Alina est très mignonne, elle ! Pourrie jusqu'à la moelle mais elle était jolie comme un coeur (encore qu'elle ne vieillisse pas très bien).
Tu peux bien dérouler un joli prêchi-prêcha sur la beauté intérieur et blablabla, il n'empêche que les premiers juges de nos attirance sont les deux petites caméras que nous avons de chaque côté du nez
N'Magicfly- Messages : 5947
Date d'inscription : 11/02/2021
Re: Anne Hidalgo s'est dite favorable, à la participation des athlètes russes aux Jeux Olympiques 2024.
N'Magicfly a écrit:
J'ai écris: "Comme au bon vieux temps de l'URSS les Russes ont institutionnalisé la tricherie"
Ouiche, j'avais bien lu

Je parlais de l'époque après l'URSS, les scandales (scandaux ?) ont éclaté au début des années 2000, et dataient, en grande ampleur, de la fin des années 90.
Horiel- Messages : 4995
Date d'inscription : 06/04/2021
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