L'Afrique avec ses "différences" ...

Investir du temps et des forces françaises pour se préoccuper encore une fois de l'Algérie de Tebboune.

Une Algérie qui se présente une nouvelle fois de façon "souveraine" avec pourtant de nombreuses zones peu claires voire pire.

La France mérite-t-elle un autre pays d'Afrique, avant cette Algérie qui doit progresser d'abord chez elle avant d'exiger des décisions de la part de la France ?
L'Algérie qui aime se rendre importante en fréquentant "les brics" ou la France, mais qui n'a pas forcément de très bonnes relations avec ses "camarades" d'abord africaines et africains. Les liens qui unissent l'Algérie aux autres pays africains parfois directement voisins sont-ils les premiers à examiner avant ceux qui existent entre Alger et Paris ?

Freiner des échanges franco-africains au départ d'Alger de façon à freiner aussi des changements à l'intérieur de l'Algérie, pour recouvrir encore et toujours des vieilles histoires nationales uniquement algériennes. L'importance que se donne Tebboune est-elle favorable à la France et aux autres pays par exemple africains ?

Etre à l'écoute de la population algérienne depuis sa présidence à Alger, mais aussi écouter le peuple algérien depuis ailleurs et donc depuis la France. Mais d'abord encore et toujours le président Teboune et son bruit avant la nation algérienne.

Un retrait africain pour un nouveau "panafricanisme" passant par Lampedusa et donc l'Italie.

Ces nouveaux mouvements africains sur sol aussi africain doivent-ils permettre à la France de se tourner vers des pays moins troublés que ceux qui se trouvent de l'autre côté de la Méditerranée ? Un passé français en Afrique qui ne contient pas que des exactions et des agressions contre celles et ceux qui ont aussi pu bénéficier d'une monnaie CFA utilisable et utilisée longtemps.

L'Italie actuelle de Giorgia Meloni, aussi associée à l'UE dans laquelle se trouve la France, doit-elle éviter de se lier à des nations africaines parfois virulentes avec la France ? Des paroles ou des actes africains agressifs en direction de la France doivent-ils être pris en considération de façon prioritaire par Rome et Giorgia Meloni qui a aussi un passé "colonial" italien en Afrique ?

Quelle Afrique capable d'exister d'abord chez elle sans "la France" ?

L'Afrique hostile quasi viscéralement à "l'impérialisme" français encore "post-colonisateur" est-elle d'abord une Afrique bourgeoise assez égoïste avec celle qui travaille à ras le sol ?
La "haine antifrançaise panafricaine" permet-elle d'éloigner le premier peuple africain des caciques pseudo-intellectuels qui se profilent depuis trop longtemps en haut d'une société qui a peut-être besoin d'autres leaders "nationaux" pour croitre ? Cette espèce de nomenklatura éclairée africaine craint-elle également une partie de la France qui ne mord plus à l'hameçon stupide et simplificateur de "la guerre d'Algérie" et de "la repentance esclavagiste" servi par la grande parisienne Christiane Taubira par exemple ?

Les Africaines et Africains qui se montrent très agressifs à l'encontre de la France desservent-ils d'abord leurs propres populations coupées ainsi de perspectives nouvelles ... "à cause de la France" ...?

Les autres nations africaines sont-elles également dans cette rupture sénégalaise ou alors que de belles relations fraternelles panafricaines entre toutes et tous de l'autre côté de la Méditerranée ?

La France d'aujourd'hui qui peut se joindre à quelle Afrique nationale au clair avec un passé qui contient aussi une France encore utile à son économie ?

L’Afrique avec une situation contemporaine qui suit une réalité historique. Bien sûr, la France et ses présences en Afrique pour des échanges et des difficultés, mais aussi les nations africaines actuelles issues de ce passé parfois aussi anglais ou autre. Des éléments strictement africains dans ce passé qui fut également français ou anglais parfois.

Le panafricanisme anticolonial et anti impérialiste comme élément uniquement africain. Donc, la possibilité aujourd’hui de se positionner en Afrique de façon nationale et fraternelle entre toutes et tous.

Des débats et des évolutions africaines comme au Sénégal ou au Mali par exemple. Le Niger enfin débarrassé de la France si pénible encore aujourd’hui semble-t-il au départ de Niamey. Des conflits entre Africaines et Africains de souche comme au Rwanda par exemple. L’Afrique avec une situation moderne de plus en plus dans ses propres mains uniquement. L’occasion d’avoir enfin une visibilité internationale strictement africaine. La modernité nationale et internationale africaine pour un continent éventuellement intéressant à investir depuis ailleurs. La qualité politique et économique de cette Afrique newlook permet-elle une comparaison avec la république française actuelle ?

L’Afrique ?

Un socle nouveau plein de promesses pour un nouveau développement strictement national et africain ? La France d’aujourd’hui ? Le meilleur partenaire pour quelque chose de nouveau ou plutôt la Russie poutinienne ?

"Relancer" car quelque chose avant entre la France et la Centrafrique.

Le passé entre la France et la Centrafrique peut-il être totalement débarrassé de tout sujet en suspens ?
Se fatiguer à imaginer le futur en ayant toujours et encore des espèces de zones "à discuter" ou "à revoir".

La Centrafrique comme nation africaine sans aucun lien avec un reproche à la France ? Des détails ou des babioles encore en suspens entre la France et la Centrafrique avant de pouvoir démarrer une relation qui n'est pas une "relance" mais une réalité positive ?

Le Sénégal nouveau est-il perméable aux critiques françaises ?

Le RN ex-FN de Marine Le Pen vraiment protecteur de la liberté d'expression en Algérie ?
La présidence algérienne d'aujourd'hui bien plus à l'aise avec "marine" qu'avec une France moderne et aussi internationale ?

L’Afrique et la France.

Partir d’Afrique pour y revenir. La France avec une nouvelle relation africaine et l’Afrique avec une nouvelle relation française. En l’occurrence la Centrafrique.

Une situation franco-centrafricaine qui porte peut-être un premier terrain neutre. Enfin une plateforme sans vieille(s) histoire(s) déplaisante(s) encore en suspens. Donc, la possibilité nouvelle pour un développement nouveau aussi. La France qui peut peut-être se manifester honnêtement en Centrafrique grâce à cette nouvelle plateforme.

D’autres pays que cette Centrafrique en Afrique pour une même première situation de départ peut-être.

Depuis la France républicaine, la possibilité d’un investissement étatique et gouvernemental français mais aussi la possibilité d’un investissement privé. Et si la force entrepreneuriale non gouvernementale française pouvait s’installer durablement en Centrafrique ? Ou ailleurs que dans ce pays ?

Donc la modernité algérienne avec une intervention militaire de Tebboune à Gaza ou en Israël en compagnie de quelle autre "armée" manipulée par des gens peu intéressants pour autre chose depuis la France ?
L'Algérie de Tebboune comme espèce de championne exemplaire face aux autres pays arabes comme le Maroc et la Tunisie grâce à cette position israélo-palestinienne ? Tebboune plus dépendant de Netanyahou et de son rôle permettant Gaza que de ses soutiens algériens pour cette prochaine redite présidentielle ? Encore une visite en Russie poutinienne pour Tebboune et donc cette Algérie qui joue "spécialiste" au proche-orient mais pas forcément pour les Algériennes et les Algériens de France ?

L'Algérie "moderne" a-t-elle besoin d'une force extérieure à son territoire pour pouvoir exister déjà "politiquement" à la maison et donc à Alger ? L'Algérie "moderne" est-elle sur une sorte de copie de ce qui se passe à Moscou depuis fort longtemps, c'est-à-dire un système clientéliste fermé qui empêche un développement d'abord indigène ? L'Algérie de cette élection présidentielle est-elle poutinienne ?

La France d'aujourd'hui moins preneuse de polémiques stériles avec Alger est-elle remplacée par le Maroc ou d'autres "ennemis de l'Algérie" pour qu'une haute bourgeoisie aussi algérienne peu connue poursuive ses manoeuvres enrichissantes de façon exclusive ?

La suite algérienne grâce uniquement à son "président" qui n'a pas forcément que des bonnes relations avec le reste de l'Afrique parfois immédiatement voisine tout en affirmant une espèce de "force économique" continentale juste derrière l'Afrique du Sud. Et si une source d'argent peu connue quasiment poutinienne motivait particulièrement Tebboune et sa bourgeoisie rapprochée pour continuer ce film présidentiel digne des plus grands rôles parisiens ?

L'Algérie authentiquement politique : quand ? Et sans le joker "colonial" français ?

crachetonvenin4 a écrit:

Algérie : Les citoyens appelés aux urnes ce samedi, le président Tebboune grand favori

Algérie : Les citoyens appelés aux urnes ce samedi, le président Tebboune grand favori (msn.com)

Un vrai match électoral présidentiel algérien avant d'en réclamer un autre contre la France du football depuis Alger ?

La France ou l'Algérie d'aujourd'hui la plus éloignée de cette ancienne "guerre d'algérie" volontiers resservie lorsque le contenu politique et le niveau gouvernemental ne permet plus qu'une association lucrative clientéliste avec la Chine de Xi Jinping et ses BRICS ?

La suite algérienne grâce uniquement à son "président" qui n'a pas forcément que des bonnes relations avec le reste de l'Afrique parfois immédiatement voisine tout en affirmant une espèce de "force économique" continentale juste derrière l'Afrique du Sud. Et si une source d'argent peu connue quasiment poutinienne motivait particulièrement Tebboune et sa bourgeoisie rapprochée pour continuer ce film présidentiel digne des plus grands rôles parisiens ?

L'Algérie authentiquement politique : quand ? Et sans le joker "colonial" français ?

   Comme toutes les anciennes colonies ils chialent pour le retour des Français -- et comme ce n'est pas le cas ils viennent en France pour nous casser les couilles -

Le développement de relations plus importantes avec cette Algérie uniquement présidentielle a-t-il un sens et mérite-t-il également des dépenses depuis la France ?
 
Le Président Tebboune peut-il se présenter en France en tant que personnalité algérienne crédible et capable de décrire son propre pays ?

crachetonvenin4 a écrit:

En Algérie, contre toute attente, le président réélu Tebboune et ses deux adversaires dénoncent des « incohérences majeures » dans les résultats annoncés

En Algérie, contre toute attente, le président réélu Tebboune et ses deux adversaires dénoncent des « incohérences majeures » dans les résultats annoncés (lemonde.fr)

Abdelmadjid Tebboune a officiellement remporté l’élection présidentielle anticipée du 7 septembre 2024 en Algérie avec 94,65 % des voix, mais les Algériens ont si massivement rejeté le scrutin que l’Autorité nationale indépendante des élections s’est refusée, jusqu’au bout, à livrer le taux de participation au scrutin.

Le développement de relations plus importantes avec cette Algérie uniquement présidentielle a-t-il un sens et mérite-t-il également des dépenses depuis la France ?
 
Le Président Tebboune peut-il se présenter en France en tant que personnalité algérienne crédible et capable de décrire son propre pays ?

   La France c'est le plus beau pays du monde , et évidemment ça serait mieux géré par des gens qui ont la capacité de défendre nos valeurs --- quand je vois des élus Français fêtées par des drapeaux étranger ça m'horripile  --  les algériens qu'ils se démerdent -!

L'Algérie actuelle est-elle en état aussi présidentiel de demander un nouveau match contre la France ?

Le panafricanisme a-t-il encore un sens, même pour commencer uniquement en Afrique ? La CAN avec quelle première base sereine et donc sportive en Afrique ?

Y a-t-il un noyau richement garni algérien bien installé à Alger qui devient assez vite agressif lorsque le volume de ses richesses pourrait être mieux connu même depuis le Maroc voisin ? Une sorte de parisianisme très anciennement installé à Alger, pour une "famille" algérienne qui a peut-être de plus en plus de peine à argumenter de façon crédible pour faire croire à des capacités aussi "internationales". La faute ailleurs et à cause des autres.

Un volume d'argent articulé depuis ailleurs, avec des espèces de contrefeux de plus en plus outranciers depuis la présidence "familiale" algéroise, en attendant peut-être une "bonne guerre" puisque "l'armée est prête", mais cette fois-ci pour autre chose qu'un conflit violent avec la France. Donc "le Hamas" et "le Polisario".

L'histoire algérienne doit-elle aussi s'intéresser à la part "familiale" exclusive algéroise qui semble détenir des espèces de forces basées sur des moyens autres et encore peu connus ?
Les sommes d'argent en Algérie via Alger, avec qui pour les garantir et les associer ensuite à des comptabilités présentables aussi en France devant les Algériennes et les Algériens qui y vivent ?