L'Afrique avec ses "différences" ...

La situation nationale algérienne comme priorité aussi internationale avant de considérer Alger comme une force susceptible de "faire avancer les choses". L'état national algérien actuel et donc l'état de ses libertés est-il exportable à Niamey même seulement "pour une médiation" ? Le Niger actuel est-il plus fort pour une médiation en Algérie que l'inverse ?

Restaurer "l'ordre constitutionnel".
Y a-t-il une constitution africaine nationale meilleure que les autres ? Les pays africains qui veulent restaurer "l'ordre constitutionnel" au Niger ont-ils une constitution nationale de bonne qualité et au moins au niveau de celle du Niger ?

"Intervenir" au Niger mais avec quel passé pour la Cédéao ?

"Intervenir" car tout fut fait correctement avant.
La Cédéao a-t-elle raté certaines interventions pourtant nécessaires précédemment ?
Le Niger ou d'autres peuvent-ils critiquer la Cédéao pour son manque d'interventionnisme prouvé précédent ?

Bien des acteurs africains subitement au Niger pour obtenir un chemin, la paix et un approvisionnement en Afrique.

L'Afrique toute seule soudainement pour un futur.

Néanmoins, toujours en provenance d'Afrique, des espèces de liens avec la France qui ne souhaite peut-être pas plus avec l'Afrique voire beaucoup moins car le monde qui est potentiellement intéressant pour l'hexagone ne se limite pas seulement au continent situé de l'autre côté de la Méditerranée. 
Bien sûr un passé français en Afrique, mais aussi de vieilles relations interafricaines pas si recommandables peut-être. Des problèmes en direction de la France encore et toujours depuis aussi Alger pour avoir un autre horizon difficilement atteignable pour l'hexagone.
"A bas la France", mais peut-être aussi "à bas les relations françaises avec d'autres pays que ceux qui se partagent l'Afrique" ...! Des appuis pro-français au départ de pays qui ne sont pas africains pour avoir une autre situation économique internationale ? Combien de pays étrangers à la France bien plus intéressants pour l'hexagone que cette Afrique en pleine crise ?

Moins de France et plus de conflits en Afrique ?
Moins de France en Afrique et plus de quoi en Afrique aussi ?

Des réputations africaines peu méritées quand même pour un développement commercial déjà sur un premier court terme ?

L'Algérie au-dessus de l'Afrique pour se permettre un rôle de médiatrice dans le monde.

Une telle qualité algérienne actuelle que sa force internationale va bien évidemment de soi.

Quels pays afrcains deviennent les larbins d'Alger et éventuellement aussi de Moscou en acceptant Tebboune au-dessus d'eux pour une "médiation" ? Alger pourrait-elle se permettre une "médiation" en France au vu de sa qualité actuelle, y compris pour ses propres ressortissantes et ressortissants ?

Puis donc l'avenir.
Alger pour avoir la tête pensante algérienne.

Cet échec international algérien pour avoir autre chose enfin en Algérie aussi en ce qui concerne les avis sur les dattes et en ce qui concerne aussi la pluralité des radios FM par exemple.
Mais quand même "de l'international" au départ d'Alger avec un "match". De "football" ... 

Le Franc CFA au départ de Paris aussi, mais bientôt sans la France au Niger et ailleurs aussi peut-être en Afrique.

Donc une monnaie africaine mais pas seulement puisque la France encore liée au CFA. Mais la France "pas bien" quand même à cause d'un passé qualifiable de "colonial" parfois.
Bien des engagements, des frais et des efforts français aussi au Niger pour avoir une monnaie défendable et donc utilisable à Niamey.

A quand une force nigérienne crédible avec une capacité monétaire nationale indépendante ? Et aussi dans les autres pays de cet espace africain CFA ?

La "crise" ailleurs qu'en Algérie. Donc, pas d'état de crise en Algérie.
Alger a-t-elle les moyens d'abord nationaux pour s'imposer déjà pour commencer dans l'international africain ?


Quelle nation africaine suffisamment structurée et donc solide pour avoir des relations prometteuses avec la France et donc aussi l'UE ?

La Chine plutôt avec Johannesburg avant de pouvoir être totalement présente par exemple au Gabon.

L'histoire personnelle de Tebboune permet-elle à l'Algérie de parler de l'histoire de France ?

Pour écrire l'histoire d'un passé, le présent compte-t-il tout de même aussi ?
L'état actuel de l'Algérie et donc de son gouvernement "démocratique" est-il suffisamment correct pour que la France ne perde pas une fois de plus du temps en se penchant sur un passé colonial ?

Les pays africains doivent-ils continuellement se coller à celui qui est le plus hostile à la France ?

Se retirer ne signifie pas forcément "être rejeté".

Un magma africain face à la France qui observe ces espèces de progrès gouvernementaux dans bien des situations africaines. Non pas forcément ou automatiquement un échec français, mais plutôt un nouveau départ après un retrait. La possibilité de considérer de manière nouvelle l'Afrique grâce à une position républicaine uniquement tenue au départ de l'hexagone. En France, une obligation de soutenir ce mouvement de rénovation des relations internationales voulues par la république aussi française. Tout en affirmant également les soutiens aux Africaines et Africains installés correctement en France.

Avec une situation républicaine française nouvelle, la possibilité d'établir une sorte de classement ou de ranking des pays africains quant à leur réel état démocratique intéressant aussi pour un développement économique porteur de perspectives positives.
Les déroulements actuels en Afrique pour un futur franco-africain.
Investir en Afrique depuis la France car d'abord une égalité et des réconciliations entre Africaines et Africains ?