L'Afrique avec ses "différences" ...

Encore et toujours le bloc continental africain avant les états africains pris les uns après les autres avec leurs qualités ... mais aussi leurs problèmes.

L'excuse d'une sorte de pauvreté continentale en une sorte de joker à ressortir au bon moment pour telle ou telle nation africaine.
Quel continent avec autant peu de différence entre les visibilités nationales respectives ?
L'attente du leader charismatique africain pour oser enfin passer la Méditerranée "en toute sécurité" et pas seulement fréquenter les "conférences onusiennes" ou "internationales" qui comportent assez peu de risques dans le fond.

Bien sûr "le numérique" ou "les nouvelles technologies" pour tout un continent ... avec sa souveraineté ..., mais d'abord la souveraineté de chaque nation africaine prises une à une.
Où signer le contrat d'achat de services informatiques en Afrique ? Et avec qui ? Et pour combien de temps ...?

Donc "une proposition" et pas beaucoup plus de possible pour ce président algérien puisque la France et l'Algérie ne sont pas les mêmes face à la Russie dans ce présent. Une Russie qui traite la France ou l'Occident de "nazi" mais qui ne traite pas Alger de la même façon. Néanmoins l'urgence du présent avant le reste.

L'Afrique également pour cette Algérie qui engage aussi peut-être dans cette manoeuvre son propre passé national en lien avec d'autres pays comme par exemple ce Mali voisin.
L'Algérie est-elle sans aucune tache par rapport à ses "camarades nationaux" africains ou alors déjà pour commencer un bilan africain pour l'Algérie et ses dignitaires avant une proposition pour plus à la France ?

L'Afrique d'abord avant autre chose peut-être.
Quelles structures étatiques nationales et donc africaines d'abord avant d'aborder autre chose par exemple en Europe ?
Quelle stabilité nationale par exemple tunisienne ou algérienne avant de voir plus grand en direction de la France ?

Une visibilité économique qui passe bien souvent par "le politique" ou "les politiques" en place que ce soit par exemple en Algérie ou en Tunisie. Un secteur privé africain assez peu perceptible depuis l'UE car bien souvent "l'état d'abord". Mais des états africains qui aiment se présenter groupés avec ensuite une sorte de force collective. Sauf que l'entreprise économique performante doit être prouvée par une marque indépendante des variations étatiques et de leurs personnalités.

Où se trouve la véritable valeur de la Tunisie ou de l'Algérie actuellement ?
Et qui pour la garantir de façon incontestable ? Tout en étant capable de garantir également le passé national.

L'Afrique avec ses différences et ses oppositions internes ; avec la France et l'UE au loin de l'autre côté de la Méditerranée. 
Néanmoins des pays qui ne sont pas dans un même état pour que la France puisse parler de relations uniformes avec l'Afrique.
Quel pays africain le plus facilement joignable pour la France actuellement ?
Quelle nation africaine la plus pertinente pour développer des relations porteuses d'avenir aussi pour la France et dans des délais intéressants pour tout le monde ?

Bien sûr l'histoire de la France avec - par exemple - le Maroc et l'Algérie, mais aussi et d'abord peut-être l'histoire entre l'Algérie et le Maroc ou entre le Maroc et l'Algérie. Lequel de ces deux derniers pays en premier pour la France pour avoir une logique internationale aussi ?

Le Mali non loin.

L'Afrique avec ses nations indépendantes mais encore liées par des anciennes histoire d'abord strictement africaines. Des progrès entre pays différents mais toujours "africains". Des "progrès" car pas que du facile, de l'immédiat ou du clair entre tous ces pays africains qui souhaitent aussi peut-être autre chose de la part de l'extérieur comme l'UE.

Quelles nations africaines d'abord totalement libérées ou libres des autres force africaines ? Ou mieux, quel pays africain en tête pour avoir une priorité en Europe et espérer mieux et plus ensuite ?
Quels risques pour des forces non africaines à venir s'engager en Afrique si l'indépendance nationale d'un pays africain n'existe d'abord pas face aux autres nations africaines ?

Certains pays africains, très craintifs dans le fond vis-à-vis de l'extérieur, ont-ils toujours et encore besoin de se présenter en groupe en ressassant de vieilles histoires plutôt que de tenter une aventure indépendante et autonome ?

La France et son colonialisme pour recouvrir le tout algérien une fois de plus.

Un ancien mouvement dans l'histoire qui part de cette France fautive vers une Algérie au-dessus de tout soupçon comme aujourd'hui d'ailleurs.
Une redite algérienne que cette affirmation gouvernementale et présidentielle en direction de la France et donc de son passé colonial qui est aussi un passé algérien.

Actuellement, aussi un mouvement algérien en direction de la France. Des installations d'Algériennes et d'Algériens en France pour avoir aussi une politique algérienne présidentielle contemporaine.

Beaucoup plus d'énergie gouvernementale et présidentielle algérienne investie "dans le passé" franco-algérien que dans la modernité directement algérienne peut-être.

Une Algérie plus statique et africaine qui reste sur place, jalouse des Algériennes et des Algériens plus dynamiques de France et plus exposés aussi en France ? Un réel soutien pour elles et eux que cette Algérie un peu frileuse de l'autre côté de la Méditerranée ?
Sur la balance des interventions gouvernementales et présidentielles algériennes, le côté des jalousies anti- émigration pèse-t-il plus lourd que le côté du soutien aux Algériennes et Algériens modernes de France ?

La colonisation ou le colonialisme français en Algérie mais quel poids de l'état algérien en France ?
Un poids français en Algérie mais pourquoi aussi peu de soutien clair et efficace aux Algériennes et Algériens de France de la part d'Alger ?
Le président Tebboune peut-il s'adresser à la France en laissant de côté au moins une fois son joker "de la colonisation française" ?

Quel Gabon indépendant et démocratique pour pouvoir parler "d'ambitions" ?

Des "ambitions" avec d'autres Africains et dans des ensembles que africains ou alors autre chose éventuellement ?

Quelle stabilité politique et sociale pour la Gabon pour que l'UE puisse se sentir en confiance avec cet état ?

Le Gabon peut-il parler de tous les autres états africains en les prenant un à un ?

Le pouvoir algérien est directement lié à la guerre d’indépendance. 

Les Algériens parlent eux-mêmes du "système", sans savoir exactement ce qu’il contient et qui il concerne. 

Une sorte de "boîte noire", opaque et indéchiffrable, où se mêlent des responsables de l’armée, des services de renseignement, du FLN, des acteurs économiques, la présidence, etc.

Propos de Xavier Driencourt ( Diplomate Français )

Un retour à la raison. Mais avec deux états et donc deux volumes différents quand même.

La "raison" française et la "raison" en Algérie.
Donc des faits en lien avec la France et des autres faits aussi en lien avec l'Algérie.

L'Algérie donc aussi face à sa faculté de distinguer le vrai du faux et de régler sa conduite. Une conduite algérienne actuelle mais aussi une conduite algérienne passée puisque l'histoire, et aussi celle de l'Algérie toute seule.

Pour une collaboration sans tache entre la France et l'Algérie d'aujourd'hui, la raison doit également s'appliquer à l'ensemble algérien indépendamment de la France.

La France et l'Algérie sont-elles raisonnables ensemble ?
La France est-elle raisonnable toute seule ?
L'Algérie est-elle raisonnable toute seule aujourd'hui ?

Puis l'histoire.

Avec l'Occident et l'UE qui ont besoin de bonnes informations et d'un espace critique aussi en Algérie et donc en Afrique pour avoir envie d'investir dans ces situations.
Néanmoins un blocage de plus en Algérie qui représente peut-être encore et toujours une forme africaine de liberté qui ne peut pas être porteuse d'avenir.
Une forme d'agressivité assez stupide dans un pays qui réclame des espèces d'enquêtes suite à des malversations françaises anciennes sans jamais être capable de présenter un premier pays local serein avec lui-même.
Une sorte de gel quasi automatique des relations franco-algériennes avec ce genre d'épisode. Un épisode bien pénible pour les Algériennes et Algériens de France qui se retrouvent une fois de plus associés à du pas bien encourageant.

Quelle nation africaine pour être complétement coupée de cette Algérie ?

Une hégémonie occidentale et donc française aussi qui est dérangeante pour Alger.

Autour de l'Algérie africaine, d'autres nations qui n'ont peut-être pas ce même avis et qui sont donc prioritaires pour la France et l'Occident. BRICS d'un côté et Algérie de l'autre pour un renforcement commun grâce à une nouvelle association. Pourtant une Algérie pas si clairement démocratique chez elle pour commencer et du russe en guerre contre des démocraties occidentales. Algérie et BRICS ensemble car des doutes quant à leurs réelles valeurs républicaines.

BRICS et Algérie pour un "avenir" en croissance pendant une guerre en Ukraine qui n'est pas encore terminée et dans laquelle la Russie n'est pas forcément si glorieuse.
Une histoire algérienne pour ce présent lié au BRICS. L'Algérie peut-elle parler de la "guerre d'Algérie" dans ces conditions ?

Des bulles de richesses en Afrique.

Mais des bulles qui passent d'abord par l'Occident et aussi la France pour pouvoir se former et aussi grossir. Un système financier par exemple européen pour faire croitre un volume qui est surtout fixé sur les marchés occidentaux. Donc plutôt des bonnes compétences pour se profiler "au nom de l'Afrique" en Occident que des forces personnelles réellement liées d'abord à l'Afrique. Assez peu de concurrence chez elle en Afrique pour une intelligentsia bourgeoise africaine qui peut ainsi "représenter l'Afrique" grâce à une position avantageuse et pas très égalitaire au départ ... en Afrique. Peut-être l'existence de talents africains en Afrique d'abord, mais pas forcément très aidés déjà pour commencer dans ces pays africains qui ont tout de même de la peine à faire régner une harmonie entre eux.
Toute l'Afrique à l'unisson pour se réjouir d'une victoire du Maroc à la coupe du monde au Qatar après avoir éventuellement battu la France ?

Les grosses richesses africaines sont-elles les meilleures pour investir en Afrique ?
Les grosses fortunes africaines dans des mains même non africaines pourraient-elles avoir de meilleurs rendements et de meilleurs résultats pour commencer directement sur le sol africain ?
Un panafricanisme pour ces grosses fortunes africaines bien gardées également en Occident, mais des nations africaines aussi en concurrence en direction de l'UE pour ce qui est de leur attrait et de leur développement futur.

La France choisie par quelques Africaines et Africains pour s'exprimer ensuite. Systématiquement peut-être le choix d'une "France" partielle bien pratique sur laquelle l'on peut s'appuyer de façon à tenir un discours rigide et tout de même assez passéiste. 

Les Africaines et les Africains qui comptent d'abord chez eux en Afrique sont-ils forcément toujours compétents et lucides pour expliquer "la France" à leurs compatriotes car depuis justement ... la France, ces sempiternelles rengaines et ritournelles pleines de reproches ne prennent pas en compte les premières difficultés nationales hexagonales. La "souffrance africaine" d'abord et avant tout, sans tenir compte des efforts importants fournis par des Françaises et des Français associés aux étrangères et étrangers parfois aussi africains et africaines qui essaient d'avoir une République vivable autour et dans Paris ...!
Des discours de spécialistes africaines ou africains à propos de "la France" assez décevants puisque la réalité actuelle n'inclut plus ces espèces de vieilles antiennes basées sur des niches anciennes pas forcément si glorieuses pour l'Afrique. Une sorte d'existence africaine uniquement grâce à une France moche et injuste alors qu'aujourd'hui pour exister aussi en UE, les partenaires hors hexagone doivent être capables de montrer des connaissances personnelles objectives liées aux engagements quotidiens fournis par tout un groupe français qui mérite mieux que des reproches.

Parler "au nom de l'Afrique" en direction de la France qui est pourtant un état tout seul en lui faisant des reproches ... est une tactique insuffisante dorénavant pour espérer être reçue en grandes pompes "à l'Elysée". Ce d'autant plus que le personnel politique français futur ne sera pas forcément celui d'aujourd'hui.
L'Afrique "unie" et ensemble "contre les injustices françaises" voire pire alors que les pays qui vont pouvoir collaborer avec la France dans le futur seront capables de se positionner tout seuls. Le volume africain avec des personnages "emblématiques" et qui bloquent de nombreuses situations en consommant bien des énergies françaises fait de l'ombre à d'autres entités nationales pas forcément africaines et pas forcément riches non plus qu'il est difficile d'appréhender avec tout ce brouhaha africain pas si utile à la jeunesse qui vit de l'autre côté de la Méditerranée.

L'Afrique mais aussi des nations comme par exemple l'Algérie.
D'autres pays africains avec une autre attitude que celle de cette Algérie gouvernementale assez vite inquiète lorsque quelques informations pourtant simples et directes circulent sur son territoire ? 
Un format algérien pour la superficialité des BRICS mais pas pour l'économie française et donc union-européenne. Une sorte de modernité affichée par le gouvernement algérien lors d'occasions sécurisées qui valorisent la nomenklatura en place mais pour des regards extérieurs assez goguenards en direction d'Alger ensuite. Une volonté de développement et de donneur de leçon mais avec des moyens intellectuels gouvernementaux nettement insuffisants pour cela. Toute une Afrique dépassée sur ce modèle autoritaire algérien qui va devoir présenter autre chose pour ne pas devoir vivre définitivement en vase clos.

Quelle structure intéressante pour la France et l'UE en Algérie pour y avoir ce qu'elle connait déjà chez elle ?

Radio M ?
Pourquoi tant de haine ou du moins de problèmes ...?     

Une excitation algérienne sur le football. Celle du président de l'Algérie d'abord.

Une pression sur la France qui n'est peut-être pas dans le même état que M. Tebboune. Une sorte de must que ce football actuel qui a permis à la Tunisie voisine de l'Algérie de battre la France au Qatar récemment. Et si l'Algérie un peu jalouse ne voulait pas rester "en arrière" ?
La modernité vue depuis la présidence algérienne qui passe donc par un match et en l'occurrence "de football". Comme ces "BRICS" qu'Alger peut se permettre de convoiter. Des espèces de niches et d'occasions très cotées du point de vue algérien, alors que pour une partie de la France, l'absolu ou le suprême n'est pas forcément dans une alliance avec Moscou ou autour d'un ballon rond. La pression qualitative de toutes les façons sur la France qui devient une sorte de "force à battre" pour ensuite avoir une nouvelle réputation. Une prétention algérienne renforcée par ce "futur match contre la France" et encore plus hautaine si la "victoire est au rendez-vous". Une vision algérienne un peu inquiétante car simpliste. 
L'occasion d'écraser des "frères" et des "soeurs" africaines et africains en obtenant un "match contre la France" ...?

Une histoire franco-algérienne aussi dans le football, avec un match précédent interrompu sur sol français. Un conflit de plus avec son histoire.

L'Algérie peut-elle présenter une histoire nationale indépendante totalement honnête avant de défier la France au travers de sa présidence pour un "match de football" tout de même un peu inquiétant au vu des approximations politiques algériennes ?
L'Algérie du sport et du football qui est donc présentée comme absolument incontestable par le président Tebboune doit-elle tout de même prendre en compte des événements peu engageants avant de vouloir "un match" ?
L'Algérie actuelle a-t-elle les reins suffisamment solides pour gérer des incidents ou une éventuelle interruption de match international sur son territoire ?
L'Algérie actuelle qui a tellement envie "d'un match" contre la France regrette-t-elle la belle et ancienne colonisation française ?
Les Algériennes et Algériens de France sont-ils satisfaits de la présidence algérienne actuelle et passée pour que M. Tebboune puisse insister à ce point ?
Cet alleingang algérien correspond-t-il au panafricanisme si important en premier discours de l'autre côté de la Méditerranée ?

L'Afrique qui s'occupe d'elle-même.

Avec un panafricanisme peu réussi dans le secteur footballistique continental.

Lorsque la pression en provenance de l'Europe et donc aussi de la France n'est plus présente, l'Afrique et "ses puissances" devient-elle beaucoup plus fractionnée ?
Bien sûr un match "contre la France" voulu récemment par la présidence algérienne, mais aussi la possibilité de froisser d'autres nations africaines si l'on joue subitement contre l'Algérie.
Où se trouve l'Afrique incontestable pour la France ? Et qui pour le dire depuis cette Afrique qui évoque encore un passé douloureux colonial ?

Le volume africain dans le mode au travers du football made in FIFA en Suisse ...!

Une sorte de choucroute peu engageante avec du "politique" purement africain dans une fraternité des peuples pas très discernable. Bien sûr ce Maroc avec un "Sahara" pas correct mais aussi bien des situations algériennes en suspens lorsque une certaine liberté citoyenne apparait; plus le reste dans toute l'Afrique.

Des "matchs" internationaux un peu comme en Europe ou au Qatar grâce aux grandes "organisations" spoliatrices et iniques mais pourtant bien peu critiquées par des états africains très suiveurs en l'occurrence. 1-0 quand même. Puis donc la suite des compétitions sportives footballistiques avec de l'africain en leur sein. 
Une difficulté à comprendre les futurs rencontres internationales si une équipe africaine s'aligne ?

CHAN, CAF, FIFA ...?
Des interventions inattaquables pour ces groupements ou alors de l'eau dans le gaz ... parfois aussi russe lorsque Vladimir Poutine plait à l'Algérie pour un nouvel élan au sein du BRICS ?

Quel avenir pour des investissements sans risque et rentables quelque part ... en Afrique ?

Les Africaines et Africains correctement engagé(e)s aussi professionnellement en France et en UE peuvent-ils se satisfaire de ce qu'il se passe actuellement de l'autre côté de la Méditerranée ?

Dorénavant, une France qui a donc une place à l'extérieur de l'Afrique pour lui dire si certaines choses ne lui plaisent pas.

L'Afrique sans la France comme une sorte de vide à remplir quand même par quelque chose pour certains dignitaires subméditerranéens qui devront tout de même présenter un bilan acceptable pour espérer garder un lien en direction de l'hexagone pour y défendre leurs ressortissantes et ressortissants.