Intéressante analyse de quelqu'un qui l'a pratiqué

La puissance cachée dans le bunker kremlinesque, et l'extérieur de cette Russie de plus en plus confinée dans ses frontières.

Une espèce d'exhibitionnisme gouvernemental russe et donc moscovite pour continuer à diriger le pays. Un rétrécissement du gras post-soviétique avec des espèces de territoires anciennement sous la domination de Poutine qui se retrouvent de plus en plus isolés et coupés du grand "cerveau atomique" inamovible toujours bien planqué dans sa capitale. La Russie toute seule et qui doit donc recréer des espèces "d'occasions" presque occidentales pour continuer à faire rêver sa bourgeoisie larguée "enthousiasmée" par ces "brics" ou par un machin nouveau avec "toute l'Afrique".

"Les Occidentaux" et "l'ONU" pour du fumeux russe encore une fois.

Avoir "une politique depuis le Kremlin" grâce à des espèces de "certitudes" exprimées continuellement depuis une position archi-sécurisée. Pas beaucoup plus pour aller plus loin depuis ce Kremlin si "docte" et "connaisseur" du monde entier.

La Russie poutinienne uniquement symétrique à l'Occident pour avoir un discours à partir du Kremlin.

L'Occident d'abord, puis "les jeux olympiques", la "coupe du monde" et encore et toujours "l'Onu" par exemple. Plus difficile d'être "symétrique" à Danone ou Carlsberg au départ de Moscou. Une sorte de sélection des machins ronflants occidentaux de la part du Kremlin poutinien pour avoir ensuite une présence "incontestable" en Russie.

Quoi ou qui en Occident pour plaire à "vladimir" et lui permettre de garder sa position en Russie ?

Quel projet autre que "la guerre" par exemple en Ukraine pour Vladimir Poutine et sa clique gouvernementale ?

Exister grâce à un ou des conflits !

Vladimir Poutine de moins en moins décontracté et facile sur le monde entier, avec des actes passés pas forcément si glorieux et honnêtes que cela. Une pression intérieure russe sur une clique qui devra rendre des comptes. Le Kremlin occupé abusivement depuis fort longtemps, pour des enrichissements personnels peu en accord avec la morale soviétique. Détourner les regards et les questions vers ailleurs, et donc fabriquer des zones dans lesquelles l'ennemi antirusse permet à Moscou de garder ses prérogatives. Subitement une sorte de rejet de cet "étranger" ou de cet "Occident" qui attire pourtant encore et toujours "vladimir" et ses protégé(e)s. Une obligation de se séparer aussi d'une zone extérieure à la Russie qui ne va pas avaler les mêmes explications et les mêmes bilans acceptés encore par le peuple russe. Donc ... un conflit contre ... l'Ukraine ou la Tchétchénie ou ... quand même assez loin géographiquement de Moscou et de sa gouvernance. Les entreprises occidentales autrefois installées en Russie comme espèce d'apparition à ne plus répéter. Puis l'avenir de la Russie ... sans conflit ... mais avec Vladimir Poutine ou un de ses protégés au pouvoir à Moscou ...!        

Donc, subitement l’anathème sur « l’occident » de la part de Vladimir Poutine et de son « staff » moscovite.

Néanmoins, encore et toujours un regard en direction de cet Ouest européen et donc aussi français. Un regard poutinien qui n’est pas complétement tourné sur sa Russie puisque des interventions présidentielles et des commentaires en provenance du Kremlin à propos de la zone occidentale.

Une espèce de coupure assez soudaine de la part de ce « modèle » russe qui a une sorte de besoin continuel personnel de juger l’ennemi. En l’occurrence, la critique de l’homosexualité LGBT depuis cette position anti-ukrainienne en attendant une destruction de « Berlin ». Une sorte de mur infranchissable construit dorénavant par Vladimir Poutine et ses sbires car un état russe à protéger. La frustration présidentielle moscovite comme élément imposé au monde entier par Vladimir Poutine qui se comporte comme un « amoureux » transi, jaloux et trompé. Etre désiré à nouveau par cet « occident » si parisien parfois car des « rencontres » là-bas autrefois. Vladimir Poutine de plus en plus enfermé dans son attente d’un geste en provenance de Paris ou d’ailleurs en « occident ». Comment se faire remarquer à nouveau depuis Moscou, en oubliant le reste de cette Russie de plus en plus déconnectée d’un discours tenable dans l’honneur ? Prendre donc des sujets « modernes » et « occidentaux » pour les présenter en tant que spécialiste au peuple russe.

Quel état pour le président russe qui prend donc du temps à commenter l’homosexualité LGBT malgré la situation populaire russe peu favorable au mieux ? Qui à l’Ouest et donc aussi à Paris en France pour « débattre » avec lui ? Qui à Paris pour entrer dans ce jeu attendu par Vladimir Poutine et qui consiste en une sorte de rabibochage toujours possible ?

L’Occident pour Vladimir Poutine car une sorte de réservoir personnel pour des plaisirs à évoquer de façon biaisée en attendant leur satisfaction. Qui pour entrer dans ce futur débat russo-parisien ou occidental à propos des LGBT … si « importants » pour Vladivostok, mais d’abord avec « vladimir » comme « spécialiste » … aussi au milieu d’une « opération spéciale » ailleurs ?
Une femme importante et occidentale ? Avec d’autres autour ou avec ?

Le CIO lausannois à nouveau à Moscou pour une occasion occidentale qui servira aussi la « problématique LGBT » en amies avec ce goût parisien 2024 ?