Destruction de la presse par la CGT
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Destruction de la presse par la CGT
[size=32]Presse absente, déni de démocratie[/size]
La distribution de la presse quotidienne nationale à Marseille et dans sa région n’a toujours pas repris depuis la mi-mai : bientôt 4 mois d’un long calvaire où mes confrères et les clients- lecteurs sont les victimes d’un conflit social qui s’éternise. Par ses blocages, la CGT et les salariés ex-SAD empêchent la reprise de la distribution sur la zone.
A l’occasion du déplacement que j’ai effectué il y a 4 jours dans les Bouches-du-Rhône à la rencontre de mes confrères, je peux témoigner du désarroi et de l’exaspération de ceux-ci comme des clients. Ce conflit n’est pas le nôtre mais nous touche directement et durement : chiffres d’affaires qui décrochent, fréquentation en baisse, habitudes de consommation qui changent, saison estivale définitivement perdue... La sortie de crise ne relève pas de Culture Presse, mais nous appelons les acteurs de la filière à se parler et à trouver une issue à une situation qui n’a que trop duré...
J’ai alerté et me suis entretenu tout récemment avec des parlementaires des Bouches-du- Rhône (Assemblée nationale et Sénat). Je suis également en relation avec les messageries, tout comme l’ont été depuis le début les élus et délégués de Culture Presse, afin d’alléger les contraintes techniques pesant sur les marchands concernés (reprise des invendus, etc.).
Nous poursuivrons inlassablement nos efforts jusqu’à ce que des améliorations concrètes et perceptibles se fassent jour.
Par ailleurs, Culture Presse a obtenu que le montant de l’aide exceptionnelle attribuée par les pouvoirs publics soit portée à 3 000 € (un doublement) pour les marchands servis par l’ex- SAD de Marseille (et de Lyon).
Les élus de Culture Presse, dans le sud mais aussi dans toute la France, sont attentifs à la situation et solidaires de leurs confrères : car la presse qu’on maltraite dans les Bouches-du- Rhône, c’est la presse qu’on maltraite tout court.
Daniel PANETTO,
Président de Culture Presse
UNION PRESSE - 16 place de la République - 75010 Paris - Tél. : 01 42 40 27 15 - Contact - Mentions légales
La distribution de la presse quotidienne nationale à Marseille et dans sa région n’a toujours pas repris depuis la mi-mai : bientôt 4 mois d’un long calvaire où mes confrères et les clients- lecteurs sont les victimes d’un conflit social qui s’éternise. Par ses blocages, la CGT et les salariés ex-SAD empêchent la reprise de la distribution sur la zone.
A l’occasion du déplacement que j’ai effectué il y a 4 jours dans les Bouches-du-Rhône à la rencontre de mes confrères, je peux témoigner du désarroi et de l’exaspération de ceux-ci comme des clients. Ce conflit n’est pas le nôtre mais nous touche directement et durement : chiffres d’affaires qui décrochent, fréquentation en baisse, habitudes de consommation qui changent, saison estivale définitivement perdue... La sortie de crise ne relève pas de Culture Presse, mais nous appelons les acteurs de la filière à se parler et à trouver une issue à une situation qui n’a que trop duré...
J’ai alerté et me suis entretenu tout récemment avec des parlementaires des Bouches-du- Rhône (Assemblée nationale et Sénat). Je suis également en relation avec les messageries, tout comme l’ont été depuis le début les élus et délégués de Culture Presse, afin d’alléger les contraintes techniques pesant sur les marchands concernés (reprise des invendus, etc.).
Nous poursuivrons inlassablement nos efforts jusqu’à ce que des améliorations concrètes et perceptibles se fassent jour.
Par ailleurs, Culture Presse a obtenu que le montant de l’aide exceptionnelle attribuée par les pouvoirs publics soit portée à 3 000 € (un doublement) pour les marchands servis par l’ex- SAD de Marseille (et de Lyon).
Les élus de Culture Presse, dans le sud mais aussi dans toute la France, sont attentifs à la situation et solidaires de leurs confrères : car la presse qu’on maltraite dans les Bouches-du- Rhône, c’est la presse qu’on maltraite tout court.
Daniel PANETTO,
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Le K Keltys- Messages : 3335
Date d'inscription : 23/08/2020
Re: Destruction de la presse par la CGT
Le K Keltys a écrit:[size=32]Presse absente, déni de démocratie[/size]
La distribution de la presse quotidienne nationale à Marseille et dans sa région n’a toujours pas repris depuis la mi-mai : bientôt 4 mois d’un long calvaire où mes confrères et les clients- lecteurs sont les victimes d’un conflit social qui s’éternise. Par ses blocages, la CGT et les salariés ex-SAD empêchent la reprise de la distribution sur la zone.
A l’occasion du déplacement que j’ai effectué il y a 4 jours dans les Bouches-du-Rhône à la rencontre de mes confrères, je peux témoigner du désarroi et de l’exaspération de ceux-ci comme des clients. Ce conflit n’est pas le nôtre mais nous touche directement et durement : chiffres d’affaires qui décrochent, fréquentation en baisse, habitudes de consommation qui changent, saison estivale définitivement perdue... La sortie de crise ne relève pas de Culture Presse, mais nous appelons les acteurs de la filière à se parler et à trouver une issue à une situation qui n’a que trop duré...
J’ai alerté et me suis entretenu tout récemment avec des parlementaires des Bouches-du- Rhône (Assemblée nationale et Sénat). Je suis également en relation avec les messageries, tout comme l’ont été depuis le début les élus et délégués de Culture Presse, afin d’alléger les contraintes techniques pesant sur les marchands concernés (reprise des invendus, etc.).
Nous poursuivrons inlassablement nos efforts jusqu’à ce que des améliorations concrètes et perceptibles se fassent jour.
Par ailleurs, Culture Presse a obtenu que le montant de l’aide exceptionnelle attribuée par les pouvoirs publics soit portée à 3 000 € (un doublement) pour les marchands servis par l’ex- SAD de Marseille (et de Lyon).
Les élus de Culture Presse, dans le sud mais aussi dans toute la France, sont attentifs à la situation et solidaires de leurs confrères : car la presse qu’on maltraite dans les Bouches-du- Rhône, c’est la presse qu’on maltraite tout court.
Daniel PANETTO,
Président de Culture Presse
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Ils finiront par entrainer la faillite totale de la France et payeront pour ça -- tous les Français payeront de ne rien dire et de laisser faire -
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
Age : 84
Localisation : Cévennes France--Tarragone catalogne
Re: Destruction de la presse par la CGT
ça n'a pas l'air de gêner grand monde dans le public apparemment.
Liberté d'entreprendre, liberté d'expression par la liberté de diffusion de la presse, ça fait des mois que ces libertés sont bafouées allègrement sans que les politiques et le gouvernement en particulier le premier concerné ne s'en émeuvent.
La dictature du Syndicat du Livre CGT qui est en situation de monopole total dans la distribution de la presse, s'exerce à plein depuis des années, un système communiste archaïque digne de la Biélorussie de Loukachenko, persiste en France en 2020 aussi incroyable que cela puisse paraître.
Les différentes sociétés NMPP, Prestalys qui se sont succédées au cours des années dans ce domaine n'ont pas fait disparaître ce monopole, ni leur dépendance à l'égard de ce syndicat CGT qui y fait la pluie et le beau temps .
Aujourd'hui dans les rayons,ne reste à profusion que des exemplaires de La Marseillaise le seul journal au monde qui survit sans aucun lecteur, obligé d'être distribué gratuitement dans les CE et au siège social des syndicats, pour ne pas finir accroché à un clou dans les lieux d'aisance.
Curieusement, on ne voit pratiquement pas d'articles sur ce sujet dans les quelques journaux et magazines qui ont pu échapper à la censure de la CGT.
Des titres vont disparaître, c'est sûr, avec leur personnel.
Liberté d'entreprendre, liberté d'expression par la liberté de diffusion de la presse, ça fait des mois que ces libertés sont bafouées allègrement sans que les politiques et le gouvernement en particulier le premier concerné ne s'en émeuvent.
La dictature du Syndicat du Livre CGT qui est en situation de monopole total dans la distribution de la presse, s'exerce à plein depuis des années, un système communiste archaïque digne de la Biélorussie de Loukachenko, persiste en France en 2020 aussi incroyable que cela puisse paraître.
Les différentes sociétés NMPP, Prestalys qui se sont succédées au cours des années dans ce domaine n'ont pas fait disparaître ce monopole, ni leur dépendance à l'égard de ce syndicat CGT qui y fait la pluie et le beau temps .
Aujourd'hui dans les rayons,ne reste à profusion que des exemplaires de La Marseillaise le seul journal au monde qui survit sans aucun lecteur, obligé d'être distribué gratuitement dans les CE et au siège social des syndicats, pour ne pas finir accroché à un clou dans les lieux d'aisance.
Curieusement, on ne voit pratiquement pas d'articles sur ce sujet dans les quelques journaux et magazines qui ont pu échapper à la censure de la CGT.
Des titres vont disparaître, c'est sûr, avec leur personnel.
Forcheville- Messages : 2727
Date d'inscription : 16/03/2020
Localisation : Marseille
Re: Destruction de la presse par la CGT
Forcheville a écrit:ça n'a pas l'air de gêner grand monde dans le public apparemment.
Liberté d'entreprendre, liberté d'expression par la liberté de diffusion de la presse, ça fait des mois que ces libertés sont bafouées allègrement sans que les politiques et le gouvernement en particulier le premier concerné ne s'en émeuvent.
La dictature du Syndicat du Livre CGT qui est en situation de monopole total dans la distribution de la presse, s'exerce à plein depuis des années, un système communiste archaïque digne de la Biélorussie de Loukachenko, persiste en France en 2020 aussi incroyable que cela puisse paraître.
Les différentes sociétés NMPP, Prestalys qui se sont succédées au cours des années dans ce domaine n'ont pas fait disparaître ce monopole, ni leur dépendance à l'égard de ce syndicat CGT qui y fait la pluie et le beau temps .
Aujourd'hui dans les rayons,ne reste à profusion que des exemplaires de La Marseillaise le seul journal au monde qui survit sans aucun lecteur, obligé d'être distribué gratuitement dans les CE et au siège social des syndicats, pour ne pas finir accroché à un clou dans les lieux d'aisance.
Curieusement, on ne voit pratiquement pas d'articles sur ce sujet dans les quelques journaux et magazines qui ont pu échapper à la censure de la CGT.
Des titres vont disparaître, c'est sûr, avec leur personnel.
Depuis des décennies la C G T est une catastrophe pour la France -- ce n'est pas défendre les Français cette façon de faire -- l'Etat devrait être moins conciliant -
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
Age : 84
Localisation : Cévennes France--Tarragone catalogne
Re: Destruction de la presse par la CGT
Le K Keltys a écrit:[size=32]Presse absente, déni de démocratie[/size]
La distribution de la presse quotidienne nationale à Marseille et dans sa région n’a toujours pas repris depuis la mi-mai : bientôt 4 mois d’un long calvaire où mes confrères et les clients- lecteurs sont les victimes d’un conflit social qui s’éternise. Par ses blocages, la CGT et les salariés ex-SAD empêchent la reprise de la distribution sur la zone.
A l’occasion du déplacement que j’ai effectué il y a 4 jours dans les Bouches-du-Rhône à la rencontre de mes confrères, je peux témoigner du désarroi et de l’exaspération de ceux-ci comme des clients. Ce conflit n’est pas le nôtre mais nous touche directement et durement : chiffres d’affaires qui décrochent, fréquentation en baisse, habitudes de consommation qui changent, saison estivale définitivement perdue... La sortie de crise ne relève pas de Culture Presse, mais nous appelons les acteurs de la filière à se parler et à trouver une issue à une situation qui n’a que trop duré...
J’ai alerté et me suis entretenu tout récemment avec des parlementaires des Bouches-du- Rhône (Assemblée nationale et Sénat). Je suis également en relation avec les messageries, tout comme l’ont été depuis le début les élus et délégués de Culture Presse, afin d’alléger les contraintes techniques pesant sur les marchands concernés (reprise des invendus, etc.).
Nous poursuivrons inlassablement nos efforts jusqu’à ce que des améliorations concrètes et perceptibles se fassent jour.
Par ailleurs, Culture Presse a obtenu que le montant de l’aide exceptionnelle attribuée par les pouvoirs publics soit portée à 3 000 € (un doublement) pour les marchands servis par l’ex- SAD de Marseille (et de Lyon).
Les élus de Culture Presse, dans le sud mais aussi dans toute la France, sont attentifs à la situation et solidaires de leurs confrères : car la presse qu’on maltraite dans les Bouches-du- Rhône, c’est la presse qu’on maltraite tout court.
Daniel PANETTO,
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4 mois ???? Je connaissais la force de ce syndicat mais là, vraiment ...
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Destruction de la presse par la CGT
Nadou a écrit:Le K Keltys a écrit:[size=32]Presse absente, déni de démocratie[/size]
La distribution de la presse quotidienne nationale à Marseille et dans sa région n’a toujours pas repris depuis la mi-mai : bientôt 4 mois d’un long calvaire où mes confrères et les clients- lecteurs sont les victimes d’un conflit social qui s’éternise. Par ses blocages, la CGT et les salariés ex-SAD empêchent la reprise de la distribution sur la zone.
A l’occasion du déplacement que j’ai effectué il y a 4 jours dans les Bouches-du-Rhône à la rencontre de mes confrères, je peux témoigner du désarroi et de l’exaspération de ceux-ci comme des clients. Ce conflit n’est pas le nôtre mais nous touche directement et durement : chiffres d’affaires qui décrochent, fréquentation en baisse, habitudes de consommation qui changent, saison estivale définitivement perdue... La sortie de crise ne relève pas de Culture Presse, mais nous appelons les acteurs de la filière à se parler et à trouver une issue à une situation qui n’a que trop duré...
J’ai alerté et me suis entretenu tout récemment avec des parlementaires des Bouches-du- Rhône (Assemblée nationale et Sénat). Je suis également en relation avec les messageries, tout comme l’ont été depuis le début les élus et délégués de Culture Presse, afin d’alléger les contraintes techniques pesant sur les marchands concernés (reprise des invendus, etc.).
Nous poursuivrons inlassablement nos efforts jusqu’à ce que des améliorations concrètes et perceptibles se fassent jour.
Par ailleurs, Culture Presse a obtenu que le montant de l’aide exceptionnelle attribuée par les pouvoirs publics soit portée à 3 000 € (un doublement) pour les marchands servis par l’ex- SAD de Marseille (et de Lyon).
Les élus de Culture Presse, dans le sud mais aussi dans toute la France, sont attentifs à la situation et solidaires de leurs confrères : car la presse qu’on maltraite dans les Bouches-du- Rhône, c’est la presse qu’on maltraite tout court.
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4 mois ???? Je connaissais la force de ce syndicat mais là, vraiment ...
L'argent trop facile dans toutes les corporations aidés par l'Etat , du papier qui ne sert même pas l'économie en papier cul la presse écrite --tellement c'est sale --
Quand aux syndicats il serait temps qu'ils gèrent leur budget de cotisations des travailleurs syndicalisés -- il est anormal que l'Etat aide , c'est à dire nous cette bande de malfaisants --
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
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