Quand la macronie ment effrontément à l'ONU

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/usage-excessif-de-la-force-sur-les-«-gilets-jaunes-»-la-france-répond-à-lonu/ar-BBWeUJd?ocid=spartanntp


"La France justifie ainsi le recours aux « armes de force intermédiaire » (grenades lacrymogènes, de désencerclement, LBD) par le fait que le cadre légal applicable n’est plus celui de la « manifestation » mais de « l’attroupement » – « une manifestation qui a dégénéré dans la violence » :
« A aucun moment le LBD n’est utilisé à l’encontre de manifestants, même véhéments, si ces derniers ne commettent pas de violences physiques, notamment dirigées contre les forces de l’ordre ou de graves dégradations. "


Mensonge éhonté ! Des journalistes , des passants , des femmes ont été victimes de tirs de LBD tous ces gens n'avaient en rien commis des violences physiques contre les forces de l'ordre ou de graves dégradations .

On commence même à se demander si nous n'avons pas le gouvernement le plus pourri du monde, voilà ce qu'il raconte :


"Confrontés aux cas documentés de violences policières, notamment rapportés par des journalistes, la réponse du gouvernement reste la même : il faut attendre que les enquêtes judiciaires apportent leurs réponses. Tant qu’elles «n’auront pas abouti, il n’est pas possible de déterminer, à ce jour, si les personnes blessées par des tirs de LBD l’ont été dans une situation justifiant le recours à cette arme, avec les conséquences malheureuses qui s’y attachent, ou dans une situation d’usage abusif, critiquable. »

23 éborgnés ...  Ca fait cinq mois que des flics canardent au LBD des journalistes , des femmes,  des passants et des manifestants pacifiques , des dizaines de vidéos le prouvent et le gouvernement se demande encore si il a pu exister une usage "abusif et critiquable"

Diviciac a écrit:On commence même à se demander si nous n'avons pas le gouvernement le plus pourri du monde,  voilà ce qu'il raconte :


"Confrontés aux cas documentés de violences policières, notamment rapportés par des journalistes, la réponse du gouvernement reste la même : il faut attendre que les enquêtes judiciaires apportent leurs réponses. Tant qu’elles «n’auront pas abouti, il n’est pas possible de déterminer, à ce jour, si les personnes blessées par des tirs de LBD l’ont été dans une situation justifiant le recours à cette arme, avec les conséquences malheureuses qui s’y attachent, ou dans une situation d’usage abusif, critiquable. »

23 éborgnés ...  Ca fait cinq mois que des flics canardent au LBD des journalistes , des femmes,  des passants et des manifestants pacifiques , des dizaines de vidéos le prouvent et le gouvernement se demande encore si il a pu exister une usage "abusif et critiquable"

Et vous ne parlez pas de la requête du ministère de l’intérieur auprès des urgentistes sur l’identité des blessés et la nature de leur blessure afin de mieux les ficher. 
 Je dis ça mais je ne dis rien.

dugenou a écrit:

Diviciac a écrit:On commence même à se demander si nous n'avons pas le gouvernement le plus pourri du monde,  voilà ce qu'il raconte :


"Confrontés aux cas documentés de violences policières, notamment rapportés par des journalistes, la réponse du gouvernement reste la même : il faut attendre que les enquêtes judiciaires apportent leurs réponses. Tant qu’elles «n’auront pas abouti, il n’est pas possible de déterminer, à ce jour, si les personnes blessées par des tirs de LBD l’ont été dans une situation justifiant le recours à cette arme, avec les conséquences malheureuses qui s’y attachent, ou dans une situation d’usage abusif, critiquable. »

23 éborgnés ...  Ca fait cinq mois que des flics canardent au LBD des journalistes , des femmes,  des passants et des manifestants pacifiques , des dizaines de vidéos le prouvent et le gouvernement se demande encore si il a pu exister une usage "abusif et critiquable"

Et vous ne parlez pas de la requête du ministère de l’intérieur auprès des urgentistes sur l’identité des blessés et la nature de leur blessure afin de mieux les ficher. 
 Je dis ça mais je ne dis rien.

Pratiques qui avaient cours sous l'occupation: la Gestapo demandait aux médecins de dénoncer les juifs qu'ils soignaient.
La macronie revient vraiment aux "heures les plus sombres de notre histoire".