Merci la SNCF !

Nadou a écrit:https://www.capital.fr/economie-politique/dette-publique-en-hausse-a-99-0-du-pib-au-2e-trimestre-1308918



PARIS (Reuters) - La dette publique de la France au sens de Maastricht a augmenté de 5,2 milliards d'euros au deuxième trimestre pour s'inscrire à 2.299,8 milliards d'euros, selon les données publiées vendredi par l'Insee.
Elle représente l'équivalent de 99,0% du produit intérieur brut (PIB), un ratio en baisse de 0,3 point par rapport à fin mars.
Le montant publié initialement pour le premier trimestre, 2.255,3 milliards d'euros, soit l'équivalent alors de 97,6% du PIB, a été corrigé pour tenir compte de la décision de l'Insee d'intégrer à la dette publique celle de SNCF Réseau, pour 39,4 milliards d'euros.
La dette de l'Etat a, à elle seule, progressé de 19,5 milliards d'euros sur le deuxième trimestre pour s'élever à 1.828,4 milliards au 30 juin, précise l'Insee.
Outre la dette de l'Etat, la dette publique au sens de Maastricht inclut celles des administrations de sécurité sociale (211,9 milliards fin juin, soit une baisse de 11,7 milliards sur le trimestre), des administrations publiques locales (199,4 milliards, en retrait de 0,7 milliard) et des organismes divers d'administration centrale (60,1 milliards, en baisse de 2,0 milliards).
La dette nette des administrations publiques s'élevait à 2.085,0 milliards d'euros fin juin, soit 89,7% du PIB contre 80,6% au trimestre précédent, en hausse de 14,4 milliards d'euros sur trois mois, indique encore l'Insee.

Diviciac a écrit:

Nadou a écrit:https://www.capital.fr/economie-politique/dette-publique-en-hausse-a-99-0-du-pib-au-2e-trimestre-1308918



PARIS (Reuters) - La dette publique de la France au sens de Maastricht a augmenté de 5,2 milliards d'euros au deuxième trimestre pour s'inscrire à 2.299,8 milliards d'euros, selon les données publiées vendredi par l'Insee.
Elle représente l'équivalent de 99,0% du produit intérieur brut (PIB), un ratio en baisse de 0,3 point par rapport à fin mars.
Le montant publié initialement pour le premier trimestre, 2.255,3 milliards d'euros, soit l'équivalent alors de 97,6% du PIB, a été corrigé pour tenir compte de la décision de l'Insee d'intégrer à la dette publique celle de SNCF Réseau, pour 39,4 milliards d'euros.
La dette de l'Etat a, à elle seule, progressé de 19,5 milliards d'euros sur le deuxième trimestre pour s'élever à 1.828,4 milliards au 30 juin, précise l'Insee.
Outre la dette de l'Etat, la dette publique au sens de Maastricht inclut celles des administrations de sécurité sociale (211,9 milliards fin juin, soit une baisse de 11,7 milliards sur le trimestre), des administrations publiques locales (199,4 milliards, en retrait de 0,7 milliard) et des organismes divers d'administration centrale (60,1 milliards, en baisse de 2,0 milliards).
La dette nette des administrations publiques s'élevait à 2.085,0 milliards d'euros fin juin, soit 89,7% du PIB contre 80,6% au trimestre précédent, en hausse de 14,4 milliards d'euros sur trois mois, indique encore l'Insee.

C'est un peu pour ce genre de raisons qu'il est d'une consternante naïveté de croire encore que Manu va réduire la dette.
Il fallait s'appeler Manu pour s'imaginer que les cheminots allaient se laisser enfiler sans vaseline et sans protester.  

Nadou a écrit:

Diviciac a écrit:

C'est un peu pour ce genre de raisons qu'il est d'une consternante naïveté de croire encore que Manu va réduire la dette.
Il fallait s'appeler Manu pour s'imaginer que les cheminots allaient se laisser enfiler sans vaseline et sans protester.  

Il a réussi à la faire baisser en pourcentage du PIB sur le trimestre.
Mais résorber la dette de la SNCF va nous coûter un pognon de dingue ! Et ce n'est pas Macron qui en est à l'origine. D'ailleurs cette dette de la SNCF, elle a commencé à déraper quand ?

Elle reste sous le seuil symbolique des 100%, à 2.299,8 milliards d'euros, et même après l'intégration par l'Insee de la dette de la SNCF.

Un nouveau mode de calcul

magicfly a écrit:Je l'ai déjà dit, c'est tout de même normal que le propriétaire de la SNCF qui a ordonné la construction des LGV assume ce qu'il a décidé. Les gouvernements successifs sont responsables de ces tromperies.