«Macron a poussé le bouchon trop loin, il va le payer très fort»
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«Macron a poussé le bouchon trop loin, il va le payer très fort»
«Macron a poussé le bouchon trop loin, il va le payer très fort»
Le porte-parole du NPA s’est félicité au micro de France Inter de l’ampleur de la mobilisation, qui a dépassé le cadre de la SNCF (étudiants, Air France, éboueurs, Carrefour). « On a quelque chose qui dépasse le cadre de la SNCF, ce n’est pas anecdotique, c’est dans l’air du temps, quand on a des mobilisations sur des questions de salaire, on passe d’une phase défensive à une phase offensive. »
Sans parler de convergence des luttes, Oliver Besancenot a estimé qu’Emmanuel « Macron paie son arrogance, quand on a des responsables politiques qui nous prennent de haut avec des expressions jamais vues, pour nous dire qu’on n’a rien compris, ça heurte, et ça c’est un point commun entre les salariés du public et du privé, les retraités, les étudiants… ».
« Emmanuel Macron est déterminé, ça tombe bien nous aussi. Je crois qu’il a poussé le bouchon un peu trop loin. Et à un moment donné il va le payer, et je crois qu’il va le payer très fort », a prévenu Olivier Besancenot.
« Quelques jours de galère, c’est parfois mieux qu’un grand retour en arrière de 100 ans sur un grand service public auquel on tient », a-t-il enfin estimé.
La direction de la SNCF « manipule les chiffres », a affirmé ce mercredi matin sur France Inter le porte-parole de SUD-Rail, Erik Meyer, faisant état de son côté d’un « taux de grévistes qui dépasse 60 % ».
Le porte-parole du NPA s’est félicité au micro de France Inter de l’ampleur de la mobilisation, qui a dépassé le cadre de la SNCF (étudiants, Air France, éboueurs, Carrefour). « On a quelque chose qui dépasse le cadre de la SNCF, ce n’est pas anecdotique, c’est dans l’air du temps, quand on a des mobilisations sur des questions de salaire, on passe d’une phase défensive à une phase offensive. »
Sans parler de convergence des luttes, Oliver Besancenot a estimé qu’Emmanuel « Macron paie son arrogance, quand on a des responsables politiques qui nous prennent de haut avec des expressions jamais vues, pour nous dire qu’on n’a rien compris, ça heurte, et ça c’est un point commun entre les salariés du public et du privé, les retraités, les étudiants… ».
« Emmanuel Macron est déterminé, ça tombe bien nous aussi. Je crois qu’il a poussé le bouchon un peu trop loin. Et à un moment donné il va le payer, et je crois qu’il va le payer très fort », a prévenu Olivier Besancenot.
« Quelques jours de galère, c’est parfois mieux qu’un grand retour en arrière de 100 ans sur un grand service public auquel on tient », a-t-il enfin estimé.
La direction de la SNCF « manipule les chiffres », a affirmé ce mercredi matin sur France Inter le porte-parole de SUD-Rail, Erik Meyer, faisant état de son côté d’un « taux de grévistes qui dépasse 60 % ».
Invité- Invité
Re: «Macron a poussé le bouchon trop loin, il va le payer très fort»
Kristobal a écrit:«Macron a poussé le bouchon trop loin, il va le payer très fort»
Le porte-parole du NPA s’est félicité au micro de France Inter de l’ampleur de la mobilisation, qui a dépassé le cadre de la SNCF (étudiants, Air France, éboueurs, Carrefour). « On a quelque chose qui dépasse le cadre de la SNCF, ce n’est pas anecdotique, c’est dans l’air du temps, quand on a des mobilisations sur des questions de salaire, on passe d’une phase défensive à une phase offensive. »
Sans parler de convergence des luttes, Oliver Besancenot a estimé qu’Emmanuel « Macron paie son arrogance, quand on a des responsables politiques qui nous prennent de haut avec des expressions jamais vues, pour nous dire qu’on n’a rien compris, ça heurte, et ça c’est un point commun entre les salariés du public et du privé, les retraités, les étudiants… ».
« Emmanuel Macron est déterminé, ça tombe bien nous aussi. Je crois qu’il a poussé le bouchon un peu trop loin. Et à un moment donné il va le payer, et je crois qu’il va le payer très fort », a prévenu Olivier Besancenot.
« Quelques jours de galère, c’est parfois mieux qu’un grand retour en arrière de 100 ans sur un grand service public auquel on tient », a-t-il enfin estimé.
La direction de la SNCF « manipule les chiffres », a affirmé ce mercredi matin sur France Inter le porte-parole de SUD-Rail, Erik Meyer, faisant état de son côté d’un « taux de grévistes qui dépasse 60 % ».
C'est pas fini la galère pour les grévistes -
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
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