Le « Brésil » ?

Donc, encore une fois une situation brésilienne en solo.

Un solo car Lula avec son passé.

Toute une espèce d’organisation quasi savante et chargée de relever le défi de la modernité grâce à Lula. Fréquenter un pays brésilien en ne prenant jamais en compte autre chose que la première visibilité imposée par Lula. Le Brésil comme exemple de nation extrêmement volontaire en apparence mais avec une superficialité qui n’annonce rien de véritablement porteur de progrès.

Lula avec sa fausse bonhommie et sa fausse capacité politique pour avoir une sorte de grand champion obligatoire comme interlocuteur unique au Brésil.

BRICS et MERCOSUR … grâce à « Lula ».
MERCOSUR et BRICS pour une sorte de force brésilienne menaçante aussi pour le futur de la France. La Russie de Vladimir Poutine au loin mais quand même toujours « proche » de Lula. Plusieurs cartes à jouer pour « Lula » tellement « il est fort » et tellement son pays a de la « réserve ». Le Brésil comme puissance future déjà « maintenant ». La superficialité d’un pays qui impose une sur-visibilité avec une épaisseur exportable réelle assez peu développée. MESBRICORSUCR comme label pas si différent que ceux imposés prétentieusement par Lula. L’ONU pour avoir en plus une importance dilatée et donc aussi brésilienne. Des espèces de grandes « déclarations » présidentielles brésiliennes sur un modèle chinois ou russe pour avoir une sorte de position en vue dans ce grand « nouveau » monde qui devra compter avec « Lula » et sa soif de « justice » anti-américaine et donc anti-dollar par exemple. Lula et donc ce « Brésil » comme pièce majeure de cette Amérique du Sud sauvée d’un état arriéré grâce au moderne « Lula ». La qualité brésilienne archi superficielle censée concurrencer la France dans un futur « proche ». Epuiser aussi une nation depuis sa présidence qui va vers des espèces de nouveautés permettant des voyages à l’étranger et si possible à Paris. Le Brésil de Lula incapable de s’imposer avec une force clairement porteuse de silence lorsque cela est nécessaire et surtout utile. Un Brésil très superficiel et qui fait beaucoup de bruit avec Lula. Lula sur un même mode que Recep Erdogan qui intervient systématiquement dans les affaires d’abord nationales suite à des espèces de grandes « manoeuvres » internationales. Faire croire à une force individuelle tout en haut de l’état grâce à des occasions internationales surcotées et surmédiatisées.

Javier Milei plus proche des nécessités argentines pour détenir une honnêteté opposable à l’esbroufe de Lula par exemple. Le gros gratin étasunien présidentiel bien plus à l’aise avec Lula qui veut « dédollariser » qu’avec des personnes sudaméricaines qui gardent une politique liée immédiatement à la population. Lula avec son passé malhonnête et donc avec un Brésil qui n’a pas une dynamique collective permettant une vision claire du futur d’abord national. Des contrats un peu à la « chinoise » avec Lula ? Xi Jinping et Lula ? Des hauts et grands personnages pour des confiances peu existantes tout de même ? Recep Erdogan et sa politique grandiloquente pour un futur lié à l’UE au départ d’Ankara, mais avec bien d’autres « possibilités » puisque le monde « a autre chose que la France » ou Bruxelles.

Lula avec quel Brésil pour avoir une situation qui permet une réaction de ce pays lorsque la Russie poutinienne dérape une fois de plus ?