Exister grâce aux "Américains" ...

La puissance chez soi grâce à celle qui "existe" depuis toujours aux Etats-Unis ...!

Tout un volume international greffé sur ces USA de Joe Biden, après ceux de "Barack" qui ont tellement permis à "Nicolas" d'avoir une carrure en Normandie et donc à l'Elysée.

Une Russie poutinienne mâle et virile grâce à "Joe" et à ses prédécesseurs si prompts à dégainer. Aussi en Afghanistan par exemple. Toute une population un peu rétrograde encore et toujours coincée dans ce cinéma hollywoodien bien pratique pour ne pas perdre une première situation. Une sorte de conglomérat un peu démodé et dépassé que ce regroupement autour et surtout grâce à des USA pas si dangereux que cela et surtout pas si solides.

Vladimir Poutine et son "armée" comme véritable "terreur mondiale" aussi pour un soldat français moins hollywoodien que ceux qui sont morts en Ukraine sous les ordres du Kremlin ?

Attaque en Israël : les États-Unis ne veulent pas d’une « escalade » ni d’une « guerre » avec l’Iran - Le Parisien

Et exister encore et toujours à la "maison blanche" américaine et washingtonienne grâce aux autres et en l'occurrence grâce à Israël et quelques autres.

La réalité isolationniste américaine.

Joe Biden et Kamala Harris pour un regroupement homo-bourgeois étasunien qui ne pense qu’à ses « propres » intérêts bien défendus depuis longtemps par une maison blanche qui fait mine de « connaitre le monde » et de s’y intéresser « pour le bien » de toutes et de tous. La Bible non loin. Jérusalem et le « conflit israélo-palestinien » aussi.

Des espèces de sorties de zone portées par des hauts fonctionnaires américains pour essayer de sauver les meubles washingtoniens et les apparences d’une puissance quand même seulement hollywoodienne la plupart du temps.

Joe Biden et son lobby isolationniste et surtout protecteur d’intérêts partisans et particuliers américains, pour avoir ensuite une « politique » étrangère étasunienne. Une « politique étrangère » américaine de coup par coup même sans être forcément capable d’en tirer déjà at home pour améliorer l’état de « l’union ». Kamala Harris déjà menacée à titre personnel par l’Amérique centrale et sa population « qui ne doit pas venir » aux USA en passant par le Mexique. Une présidence américaine exclusivement attachée à la conservation de sa richesse accumulée de façon peu claire depuis fort longtemps. La décontraction crispée présidentielle et les sourires niaiseux affichés à son pourtour avec les renforts de Michelle, Barack, Bill et Hillary par exemple, pour une gentry « high tech » incapable pourtant de faire progresser ce pays américain verrouillé dans un fonctionnement peu compétitif bien que « réputé ». La nécessité d’avoir aussi « du gros » en face comme cette Chine dilatée ou cette Russie encore et toujours « atomique ». Joe Biden comme gros président car de « grosses menaces » encore et toujours « ailleurs » dans le monde.

L’impérialisme américain car d’abord l’isolationnisme de sa présidence clientéliste washingtonienne qui fait bien pire contre les USA que les Talibans afghans ou autres. Exporter les Etats-Unis grâce à des intermédiaires américains qui s’escriment tant bien que mal et pas grâce à sa présidence.