Et ils veulent gouverner la France

Comment ne pas voir ce qui ce passerait si par malheur la bande méchanconiste arrivait au pouvoir!



CHRONIQUE. Quatennens présidentiable, Bouhafs lynché puis innocenté, l’abaya tenue légitime des musulmanes : avec LFI, le féminisme n’a pas besoin d’ennemis !
Par Sophie Coignard


C'était en mai 2022. La campagne pour les législatives battait son plein et l'un des chouchous de LFI, Taha Bouhafs, était contraint de retirer sa candidature. En cause : son comportement supposé avec les femmes. La députée LFI Clémentine Autain montait en première ligne pour justifier cette mise à l'écart. La cellule du mouvement chargée du suivi des violences sexuelles et sexistes avait été saisie de deux signalements.
Des faits présumés « d'une gravité que nous n'avons jamais rencontrée », disait l'élue de Seine-Saint-Denis. Certes, elle n'appartenait pas à cette cellule, mais les règles internes du mouvement mélenchoniste sont impénétrables. On apprenait toutefois, à cette occasion, que ladite cellule doit ensuite rapporter à une autre structure dont la seule dénomination est en soi tout un programme : comité de respect des principes (CRP). Quels principes ? Quel respect ? Cela n'est écrit nulle part.


Le 5 juin 2023, le CRP décide qu'il n'y a pas lieu de prendre la moindre mesure à l'encontre de Taha Bouhafs : « En vertu de nos règles internes et du respect d'une procédure normale, le CRP lève la mesure conservatoire et ne prend pas de nouvelles mesures », affirme un communiqué. L' « exceptionnelle gravité » dénoncée un an auparavant s'est donc évanouie. Le mis en cause n'a jamais pu connaître ce qui lui était reproché puisque l'une des accusatrices s'est retirée de la procédure tandis que l'autre ne voulait ni porter plainte ni être confrontée à celui qu'elle accablait.
Taha Bouhafs a pris acte de cette décision, mais a refusé de réintégrer le mouvement. C'est bien le moins. Ses avocats, dans un communiqué, souhaitent que « toute cette histoire nous fasse réfléchir collectivement sur les dangers d'une justice parallèle ». Nul besoin de se poser mille questions : ce type de méthode, sans plainte, sans contradictoire, sans droit de la défense, s'apparente à une forme de lynchage médiatique ou de procès stalinien, à moins que ce ne soit les deux à la fois. Bien loin de défendre la parole des femmes, il la discrédite.

Une piètre image des femmes !

Mais, cette semaine, LFI a commis deux autres exploits qui interrogent sur sa fibre féministe. Lundi 5 janvier, Jean-Luc Mélenchon déclare dans une interview à 20 Minutes qu'Adrien Quatennens, récemment condamné pour violences conjugales, a toutes les qualités d'un présidentiable. « Il reviendra dans la course », dit-il. Une promotion inopportune, et pour le moins prématurée.
À LIRE AUSSIViolences faites aux femmes : la ligne impossible des InsoumisDeux jours passent avant que Mathilde Panot, présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale, n'éructe contre Le Parisien qui consacre sa couverture à l'école face au défi posé par l'abaya. Un vrai sujet pour quiconque connaît la vie quotidienne de certains chefs d'établissement. Mais la disciple zélée de Jean-Luc Mélenchon accuse le quotidien d'islamophobie parce qu'il s'attaquerait à la tenue des femmes musulmanes.
Comment une élue de la République peut-elle considérer que l'abaya est la tenue des femmes musulmanes, alors que, surtout portée par une collégienne, elle relève de l'assignation identitaire ? Comment peut-elle prétendre défendre la cause des femmes en les réduisant à un code vestimentaire obligatoire, dicté par une revendication religieuse ?
Les féministes de la Nupes sont restées étrangement silencieuses face à ces trois déclarations, de nature différente mais de signification identique : l'indifférence à la défense des femmes comme citoyennes libres et responsables

LFI n'apporte rien , elle éructe, vitupère, condamne et se ridiculise par des postures, des rodomontades et des jacasseries en n'en plus finir. Quelle piteuse image de la gauche que ce rassemblement de forts en gueule tout juste bons à faire du bruit.

lfi 

un gifleur de femmes 

un brayad nommé louis ( loin des 14 ) 

un vrai plat de cassoulet ( rassemblement de fayot autour d'une petite saucisse )

totau a écrit:lfi 

un gifleur de femmes 

un brayad nommé louis ( loin des 14 ) 

un vrai plat de cassoulet ( rassemblement de fayot autour d'une petite saucisse )

Le couscous serait un plat plus approprié pour qualifier les Insoumis puisque leur chef se revendique depuis peu comme maghrébin. 

Pour des gens qui passent leur temps à faire des boulettes et à pédaler dans la semoule, vraiment LFI est un véritable couscoussier.

Il y a une gauche qui essaie de se reconstituer en dehors de la Nupes, autour de Delga et de Delafosse maire de Montpellier. C'est tout à son honneur.

Quoique Delga a commis une belle bourde en rappelant les origines immigrés de Mbappé et de Noah alors qu'ils sont  respectivement nés à Paris et à Sedan

marcaurele a écrit:Quoique Delga a commis une belle bourde en rappelant les origines immigrés de Mbappé et de Noah alors qu'ils sont  respectivement nés à Paris et à Sedan

Elle m'a fait un peu de peine, elle rappelait ces gens qui se flattent de n'être point racistes, la preuve, ils ont des amis noirs.


Bon, blague à part, Delga est soupçonnable de classifier les gens en fonction de leur couleur, pas de xénophobie.
Bah pour moi ce sont les faces d'une même monnaie à ne pas toucher avec un bâton, mais ce sera vite oublié.

marcaurele a écrit:Quoique Delga a commis une belle bourde en rappelant les origines immigrés de Mbappé et de Noah alors qu'ils sont  respectivement nés à Paris et à Sedan

A mon avis ce n'est pas forcément négatif, elle pu vouloir dire que des français issus de l'immigration sont devenus de brillants représentants de la France. On pourrait en ajouter bien d'autres de Kopa à Riner en passant par  Boon, Balasko, Sarkozy, Brassens, Bérégovoy, Zola.....

Fontsestian a écrit:

marcaurele a écrit:Quoique Delga a commis une belle bourde en rappelant les origines immigrés de Mbappé et de Noah alors qu'ils sont  respectivement nés à Paris et à Sedan

A mon avis ce n'est pas forcément négatif, elle pu vouloir dire que des français issus de l'immigration sont devenus de brillants représentants de la France. On pourrait en ajouter bien d'autres de Kopa à Riner en passant par  Boon, Balasko, Sarkozy, Brassens, Bérégovoy, Zola.....

C'est ainsi que j'avais compris son intervention. 
Il n'y a vraiment pas de quoi foueter un chat.

sporthos a écrit:

Fontsestian a écrit:
A mon avis ce n'est pas forcément négatif, elle pu vouloir dire que des français issus de l'immigration sont devenus de brillants représentants de la France. On pourrait en ajouter bien d'autres de Kopa à Riner en passant par  Boon, Balasko, Sarkozy, Brassens, Bérégovoy, Zola.....

C'est ainsi que j'avais compris son intervention. 
Il n'y a vraiment pas de quoi foueter un chat.

Non mais les fadas gauchistes fouettent et pas que de la bouche.