Police et médias pour une France « informée » …

La France et ses affaires.

Et ses manifestations.

Et ses grèves.

Avec celles et ceux qui les entourent. Une sorte de couche entre … la vie sociale française et le « grand public ». Une alliance police « nationale » et « journalistes » pour ensuite informer le reste de l’univers, parfois aussi français.

L’Elysée tenu par Macron Emmanuel, qui a confié sa parole à l’homosexuel G. Attal, qui dirige sa police et qui est diffusé par les médias franco-parisiens. Des espèces de « combats républicains » contre le FN puis le RN grâce – aussi – à cette alliance journalistico-policière française qui justifie bien des décisions gouvernementales. Bien sûr, les grandes marques médiatiques françaises qui appartiennent à des « grands groupes » qui se connaissent à la bourse de Paris, mais aussi les réalités économiques françaises qui permettent à LVMH ou soudainement à nouveau à Air France d’afficher des milliards au profit de leurs « patrons ». Tout une frange grasse qui se trouve entre la vie réelle française et l’Elysée. La police et les médias dans cette frange.
Le pouvoir français bien planqué à Paris toujours proche de cette pâte journalistico-policière. Une façon douteuse d’assurer la vérité républicaine que cette pâte policière et médiatique, faussement efficace et faussement au service des lois censées empêcher les dérives antinationales.

L’état souvent pénible des relations sociales en France est-il dû aussi à cette fusion si parisienne la plupart du temps entre la police et les journalistes ? Une OPA de la police française sur les médias français ? Ou une OPA des journalistes français sur les policiers français tellement ces deux mondes sont semblables et favorisent également le pouvoir en place ?

"Pascal Prout ..... ... !"     

 ..."SCaNDALE! ..insulte!    .. j'appelle la police !!!!!"""!



...
"mais non; on rigole ...!".