Toujours la presse, cette fois-ci le PARISIEN
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Toujours la presse, cette fois-ci le PARISIEN
La rédaction du « Parisien » se désolidarise de son directeur après un édito sur Nicolas Sarkozy
La rédaction accuse le directeur du journal de minimiser les faits pour lesquels Nicolas Sarkozy a été condamné. Selon les organisations syndicales, ce texte ne reflète pas les valeurs portées par le quotidien.
La rédaction du Parisien a annoncé ce mardi soir se « désolidariser » de l’édito écrit par son directeur, qualifiant les récentes condamnations d’hommes politiques, dont celle de Nicolas Sarkozy, de « dégagisme judiciaire ».
« Les organisations syndicales (SNJ, SNJ-CGT, SGJ-FO, SNPEP-FO, SGLCE-CGT), la SDJ et le collectif des femmes se désolidarisent de ce texte dont la teneur ne correspond pas aux valeurs portées depuis 77 ans par Le Parisien », écrivent les organisations dans le communiqué.
L’édito en question a été écrit par Jean-Michel Salvator, à la tête du journal depuis septembre, et publié dans l’édition datée de mardi 2 mars. Ce texte fustige « des décisions de justice », concernant les politiques, qui deviennent « d’une sévérité accrue ou d’une intransigeance implacable ».
Citant le cas de l’ex-chef de l’État Nicolas Sarkozy, condamné lundi à un an de prison ferme pour corruption et trafic d’influence dans l’affaire dite des « écoutes », M. Salvator écrit : « Nicolas Sarkozy se voit reprocher d’avoir envisagé d’appuyer une promotion en faveur d’un magistrat (qui ne s’est pas faite). Comme si les juges estimaient qu’un élu doit être plus durement traité parce qu’il est censé montrer l’exemple ».
Une « minimisation » des faits selon les trois organisations pour qui « en matière de droit, il n’est pas nécessaire que l’avantage ait été accordé pour que le délit de corruption soit caractérisé ».
Ils dénoncent également le fait qu’en ne mentionnant pas la condamnation pour viol de l’ex-secrétaire d’État Georges Tron, condamné en appel le 18 février à cinq ans de prison, dont trois ferme, et en se contentant de parler de « d’agressions sexuelles », M. Salvator « omet une partie de la réalité ».
« Il n’appartient pas à notre journal de donner une opinion sur une décision de justice. Éclairer sur ses conséquences, oui. Le reste relève du commentaire », martèlent-ils.
Nicolas Sarkozy peut-il encore revenir en politique ?
« En arrivant au Parisien, Jean-Michel Salvator a assuré aux organisations syndicales qu’il n’était pas question de faire de notre quotidien un journal d’opinion. Cet engagement doit être respecté. À la lecture de ce texte, cette promesse n’est pas tenue », poursuivent les signataires, qui demandent à être reçus par le directeur de la rédaction.
La rédaction accuse le directeur du journal de minimiser les faits pour lesquels Nicolas Sarkozy a été condamné. Selon les organisations syndicales, ce texte ne reflète pas les valeurs portées par le quotidien.
La rédaction du Parisien a annoncé ce mardi soir se « désolidariser » de l’édito écrit par son directeur, qualifiant les récentes condamnations d’hommes politiques, dont celle de Nicolas Sarkozy, de « dégagisme judiciaire ».
« Les organisations syndicales (SNJ, SNJ-CGT, SGJ-FO, SNPEP-FO, SGLCE-CGT), la SDJ et le collectif des femmes se désolidarisent de ce texte dont la teneur ne correspond pas aux valeurs portées depuis 77 ans par Le Parisien », écrivent les organisations dans le communiqué.
L’édito en question a été écrit par Jean-Michel Salvator, à la tête du journal depuis septembre, et publié dans l’édition datée de mardi 2 mars. Ce texte fustige « des décisions de justice », concernant les politiques, qui deviennent « d’une sévérité accrue ou d’une intransigeance implacable ».
« Minimisation » des faits
Citant le cas de l’ex-chef de l’État Nicolas Sarkozy, condamné lundi à un an de prison ferme pour corruption et trafic d’influence dans l’affaire dite des « écoutes », M. Salvator écrit : « Nicolas Sarkozy se voit reprocher d’avoir envisagé d’appuyer une promotion en faveur d’un magistrat (qui ne s’est pas faite). Comme si les juges estimaient qu’un élu doit être plus durement traité parce qu’il est censé montrer l’exemple ».
Une « minimisation » des faits selon les trois organisations pour qui « en matière de droit, il n’est pas nécessaire que l’avantage ait été accordé pour que le délit de corruption soit caractérisé ».
Promesse non tenue
Ils dénoncent également le fait qu’en ne mentionnant pas la condamnation pour viol de l’ex-secrétaire d’État Georges Tron, condamné en appel le 18 février à cinq ans de prison, dont trois ferme, et en se contentant de parler de « d’agressions sexuelles », M. Salvator « omet une partie de la réalité ».
« Il n’appartient pas à notre journal de donner une opinion sur une décision de justice. Éclairer sur ses conséquences, oui. Le reste relève du commentaire », martèlent-ils.
Nicolas Sarkozy peut-il encore revenir en politique ?
« En arrivant au Parisien, Jean-Michel Salvator a assuré aux organisations syndicales qu’il n’était pas question de faire de notre quotidien un journal d’opinion. Cet engagement doit être respecté. À la lecture de ce texte, cette promesse n’est pas tenue », poursuivent les signataires, qui demandent à être reçus par le directeur de la rédaction.
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Toujours la presse, cette fois-ci le PARISIEN
https://www.ouest-france.fr/politique/nicolas-sarkozy/la-redaction-du-parisien-se-desolidarise-de-son-directeur-apres-un-edito-sur-nicolas-sarkozy-7173081
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Toujours la presse, cette fois-ci le PARISIEN
Sarko possède un réseau d'amis puissants.
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Toujours la presse, cette fois-ci le PARISIEN
Un peu comme Hollande dans la magistrature:
-Jean-Louis Nadal soutien fervent de Ségolène et qui a choisi Eliane Houlette pour diriger le PNF
- Ariane Amson du même PNF qui a été conseillère justice du même François Hollande
-son compagnon Pierre Heilbronn directeur de cabinet de Michel Sapin
Jean-Michel Hayat ancien directeur de cabinet de Ségolène Royal, c'est lui qui nommera le juge Tournaire pour s'occuper de l'affaire Fillon
En dehors du PNF , Robert Gelli directeur des Affaires Criminelles et des Grâces sous François Hollande soupçonné d'avoir fait remonter des informations du PNF à ce dernier.
Ce qui permettra à François Hollande d'affirmer en public: "Sarkozy, je le surveille"
Petit détail: ce Robert Gelli était un ancien copain de régiment du bouffi.
Voilà "l'équipe" de juges impartiaux.
Et je n'évoque même pas ceux du Syndicat de la Magistrature créé sur les fonds baptismaux de la fameuse "harangue Baudot"
-Jean-Louis Nadal soutien fervent de Ségolène et qui a choisi Eliane Houlette pour diriger le PNF
- Ariane Amson du même PNF qui a été conseillère justice du même François Hollande
-son compagnon Pierre Heilbronn directeur de cabinet de Michel Sapin
Jean-Michel Hayat ancien directeur de cabinet de Ségolène Royal, c'est lui qui nommera le juge Tournaire pour s'occuper de l'affaire Fillon
En dehors du PNF , Robert Gelli directeur des Affaires Criminelles et des Grâces sous François Hollande soupçonné d'avoir fait remonter des informations du PNF à ce dernier.
Ce qui permettra à François Hollande d'affirmer en public: "Sarkozy, je le surveille"
Petit détail: ce Robert Gelli était un ancien copain de régiment du bouffi.
Voilà "l'équipe" de juges impartiaux.
Et je n'évoque même pas ceux du Syndicat de la Magistrature créé sur les fonds baptismaux de la fameuse "harangue Baudot"
Forcheville- Messages : 2727
Date d'inscription : 16/03/2020
Localisation : Marseille
Re: Toujours la presse, cette fois-ci le PARISIEN
Vu sur LCI ..
" François Hollande n'accepte pas les attaques répétées contre la justice après la condamnation de Nicolas Sarkosy "
On lui a d'mandé son avis à gros pépère ?
" François Hollande n'accepte pas les attaques répétées contre la justice après la condamnation de Nicolas Sarkosy "
On lui a d'mandé son avis à gros pépère ?
Invité- Invité
Re: Toujours la presse, cette fois-ci le PARISIEN
Contre la Justice ou contre les juges ?
On peut comprendre qu'une mère poule puisse ne pas aimer qu'on s'attaque à ses poussins.
C'est un sentiment humain, pardon, volailler.
Et là je fais un effort remarquable pour passer d'une comparaison légumière-les petits pois- à une comparaison animale.
Les juges du Hollande-Circus, y seraient, je pense, particulièrement sensibles
On peut comprendre qu'une mère poule puisse ne pas aimer qu'on s'attaque à ses poussins.
C'est un sentiment humain, pardon, volailler.
Et là je fais un effort remarquable pour passer d'une comparaison légumière-les petits pois- à une comparaison animale.
Les juges du Hollande-Circus, y seraient, je pense, particulièrement sensibles
Forcheville- Messages : 2727
Date d'inscription : 16/03/2020
Localisation : Marseille
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