la vraie affaire d’Etat
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la vraie affaire d’Etat
Ralentissement de la croissance, baisse du pouvoir d’achat, consommation des ménages en berne, hausse du chômage … Les récents indicateurs économiques français ont de quoi donner des sueurs froides à l’Elysée. L’objectif de 2% de croissance en 2018 ressemble de plus en plus à une chimère.
On ne peut pas tout avoir -- l'argent du contribuable et la croissance ---
La vraie « affaire d’Etat » au cœur de cet été caniculaire, ce n’est pas celle du malheureux Benalla, pris dans une tourmente de haine, qui l’a emportée très au-delà de ses fautes présumées. D’autant plus et fort heureusement que l’on ne guillotine plus personne au nom de la « vertu publique » chère au Président de La France insoumise.
Toutefois, s’il faut absolument trouver une « affaire d’Etat » pour distraire l’opinion de ses préoccupations quotidiennes et donner « du grain à moudre » à une opposition subclaquante, il suffit de porter un regard attentif sur l’état réel économique de la France : le voile s’est en effet une nouvelle fois levé dans la torpeur estivale à travers la diffusion de publications diverses (le Trésor pour nos comptes extérieurs, les douanes, l’Insee, etc.) et des rapports de recherches économiques (cabinet Coe-Rexecode entre autres).
Révélé, dans un silence politique troublant, par les statistiques semestrielles des douanes (mais qui s’y intéresse ?), c’est la confirmation de quinze années successives de déficit commercial qui s’ajoute au constat de l’érosion régulière de nos parts de marché soulignant la perte de la compétitivité de «l’entreprise » France.
Par bonheur, la parution, au début de cet été, d’un précieux opuscule (1) à l’initiative du professeur Jean-Pierre Estival est venue fort opportunément rappeler « l’épreuve pour notre pays que constituent nos médiocres performances économiques. » Certes, souligne-t-il, que peuvent comprendre et donc retenir les Français de ces communiqués laconiques ? D’autant plus que communiquer sur les faiblesses du pays n’est pas très porteur, on préfère le faire sur les succès (trop souvent éphémères d’ailleurs).
Douloureuses vérités. Ainsi, s’alignent au fil des pages, trois grandes et douloureuses vérités sur le « non dit » de l’état économique de la France et des enjeux qui en découlent.
La première consiste à rappeler une nouvelle fois, le peu d’intérêt que portent nos concitoyens à l’économie, « sauf quand il s’agit du calcul de leurs impôts, ou de l’évolution de leur salaire et accessoirement du taux de chômage, mais on ne leur a rien appris d’autre, compte tenu de l’indigence de l’enseignement économique ».
C’est un domaine, la culture économique (comparativement à la situation bien plus favorable de nos voisins, allemands ou européens), où un rattrapage massif doit s’opérer, mais on n’en prend pas le chemin : la connaissance sur les concepts et les lois économiques reste peu répandue en France, ce qui laisse voie ouverte aux thèses les plus farfelues qui peuvent crédibiliser les plus grandes utopies et éloignent nos concitoyens des faits et de la réalité (têtue) de l’économie.
Ainsi l’égalitarisme doctrinaire, l’addiction à la dépense publique, la fabrique d’une dette sociale sont devenues les marqueurs d’une préférence nationale pour l’impôt et le sous-emploi.
Qui ose parler de ce problème ? La détérioration du « terme de l’échange » (c’est-à-dire de devoir exporter plus pour financer un même volume d’importations) entraîne en réalité une perte de substance pour l’économie nationale immédiate ou à terme via le recours à l’endettement. Bref, une extrême gravité : en temps normal d’ailleurs et en conséquence, un tel pays, devrait voir la confiance qu’on lui porte se détériorer et sa devise-monnaie s’affaisser. Or, il n’en est rien pour l’instant ce qui ne fait que conforter l’absence de vigilance des acteurs politiques ou médiatiques.
Euro-parapluie. Aussi, apparaît cette troisième grande vérité : ce n’est que grâce à l’euro « fort » et aux performances des « pays européens vertueux » que nous disposons « d’un parapluie » qui nous protège grâce à l’excédent commercial phénoménal de 400 milliards d’euros de la zone euro.
Or, un jour « l’économie, oubliée et méprisée » se vengera.
La position extérieure de nos flux, hautement déficitaire dans la balance des paiements (à hauteur de 461 milliards d’euros en 2017 !) nous oblige à emprunter sans cesse et à alimenter cette « bombe à retardement » que sont les dettes publiques. Nos dettes publiques sont « à la dérive » (2), nos administrations publiques sont déficitaires depuis 1981 et la dette qui en découle est passée de 20 % en 1980 à 100 % aujourd’hui.
Sans sursaut inédit, l’avenir économique et financier de notre pays paraît bien sombre : nous n’avons pas voulu ou pas su, alors que « l’alignement des planètes » l’aurait permis en 2015-2017 (baisse du cours du pétrole, taux d’intérêt bas, et euro accommodant) améliorer nos comptes extérieurs. Peut-on imaginer le faire maintenant alors que le cycle paraît se retourner et que les menaces de guerre commerciale se multiplient ? Espérons que cette magistrale et décapante leçon que nous délivre l’auteur, additionnant un grand talent pour la pédagogie et le bon sens de l’expérience, puisse nous aider dans cette « ardente obligation ». Il y va du déclassement inéluctable (?) de la France.
Jean-Louis Chambon est président-fondateur du cercle Turgot.
(1) : La malédiction des comptes extérieurs de la France, par Jean pierre Estival, L’Harmattan.
(2) : Les dettes publiques à la dérive – Cercle Turgot, Eyrolles, 2018.
https://www.lopinion.fr/edition/economie/l-etat-economique-france-vraie-affaire-d-etat-tribune-jean-louis-159384
On ne peut pas tout avoir -- l'argent du contribuable et la croissance ---
[size=50]L’état économique de la France, la vraie affaire d’Etat». La tribune de Jean-Louis Chambon (Cercle Turgot)[/size]
La détérioration du « terme de l’échange » entraîne en réalité une perte de substance pour l’économie nationale immédiate ou à terme via le recours à l’endettement. »
Toutefois, s’il faut absolument trouver une « affaire d’Etat » pour distraire l’opinion de ses préoccupations quotidiennes et donner « du grain à moudre » à une opposition subclaquante, il suffit de porter un regard attentif sur l’état réel économique de la France : le voile s’est en effet une nouvelle fois levé dans la torpeur estivale à travers la diffusion de publications diverses (le Trésor pour nos comptes extérieurs, les douanes, l’Insee, etc.) et des rapports de recherches économiques (cabinet Coe-Rexecode entre autres).
Révélé, dans un silence politique troublant, par les statistiques semestrielles des douanes (mais qui s’y intéresse ?), c’est la confirmation de quinze années successives de déficit commercial qui s’ajoute au constat de l’érosion régulière de nos parts de marché soulignant la perte de la compétitivité de «l’entreprise » France.
Par bonheur, la parution, au début de cet été, d’un précieux opuscule (1) à l’initiative du professeur Jean-Pierre Estival est venue fort opportunément rappeler « l’épreuve pour notre pays que constituent nos médiocres performances économiques. » Certes, souligne-t-il, que peuvent comprendre et donc retenir les Français de ces communiqués laconiques ? D’autant plus que communiquer sur les faiblesses du pays n’est pas très porteur, on préfère le faire sur les succès (trop souvent éphémères d’ailleurs).
Douloureuses vérités. Ainsi, s’alignent au fil des pages, trois grandes et douloureuses vérités sur le « non dit » de l’état économique de la France et des enjeux qui en découlent.
La première consiste à rappeler une nouvelle fois, le peu d’intérêt que portent nos concitoyens à l’économie, « sauf quand il s’agit du calcul de leurs impôts, ou de l’évolution de leur salaire et accessoirement du taux de chômage, mais on ne leur a rien appris d’autre, compte tenu de l’indigence de l’enseignement économique ».
C’est un domaine, la culture économique (comparativement à la situation bien plus favorable de nos voisins, allemands ou européens), où un rattrapage massif doit s’opérer, mais on n’en prend pas le chemin : la connaissance sur les concepts et les lois économiques reste peu répandue en France, ce qui laisse voie ouverte aux thèses les plus farfelues qui peuvent crédibiliser les plus grandes utopies et éloignent nos concitoyens des faits et de la réalité (têtue) de l’économie.
Ainsi l’égalitarisme doctrinaire, l’addiction à la dépense publique, la fabrique d’une dette sociale sont devenues les marqueurs d’une préférence nationale pour l’impôt et le sous-emploi.
Ce sont tout simplement, la notoriété, l’avenir et l’honneur de la France qui sont en cause et sa capacité à tenir son rang face à la compétition mondiale
La deuxième qui découle très largement de la première, souligne la totale incompréhension et l’indifférence portées par l’opinion aux comptes extérieurs du pays « à la dérive » structurellement depuis quinze ans, le solde commercial se creuse comme celui des biens et des services la balance courante et la « position externe » de la France sont hautement déficitaires, et ses parts de marché régressent régulièrement. Pourtant, ce sont tout simplement, la notoriété, l’avenir et l’honneur de la France qui sont en cause et sa capacité à tenir son rang face à la compétition mondiale.Qui ose parler de ce problème ? La détérioration du « terme de l’échange » (c’est-à-dire de devoir exporter plus pour financer un même volume d’importations) entraîne en réalité une perte de substance pour l’économie nationale immédiate ou à terme via le recours à l’endettement. Bref, une extrême gravité : en temps normal d’ailleurs et en conséquence, un tel pays, devrait voir la confiance qu’on lui porte se détériorer et sa devise-monnaie s’affaisser. Or, il n’en est rien pour l’instant ce qui ne fait que conforter l’absence de vigilance des acteurs politiques ou médiatiques.
Euro-parapluie. Aussi, apparaît cette troisième grande vérité : ce n’est que grâce à l’euro « fort » et aux performances des « pays européens vertueux » que nous disposons « d’un parapluie » qui nous protège grâce à l’excédent commercial phénoménal de 400 milliards d’euros de la zone euro.
Or, un jour « l’économie, oubliée et méprisée » se vengera.
La position extérieure de nos flux, hautement déficitaire dans la balance des paiements (à hauteur de 461 milliards d’euros en 2017 !) nous oblige à emprunter sans cesse et à alimenter cette « bombe à retardement » que sont les dettes publiques. Nos dettes publiques sont « à la dérive » (2), nos administrations publiques sont déficitaires depuis 1981 et la dette qui en découle est passée de 20 % en 1980 à 100 % aujourd’hui.
Sans sursaut inédit, l’avenir économique et financier de notre pays paraît bien sombre : nous n’avons pas voulu ou pas su, alors que « l’alignement des planètes » l’aurait permis en 2015-2017 (baisse du cours du pétrole, taux d’intérêt bas, et euro accommodant) améliorer nos comptes extérieurs. Peut-on imaginer le faire maintenant alors que le cycle paraît se retourner et que les menaces de guerre commerciale se multiplient ? Espérons que cette magistrale et décapante leçon que nous délivre l’auteur, additionnant un grand talent pour la pédagogie et le bon sens de l’expérience, puisse nous aider dans cette « ardente obligation ». Il y va du déclassement inéluctable (?) de la France.
Jean-Louis Chambon est président-fondateur du cercle Turgot.
(1) : La malédiction des comptes extérieurs de la France, par Jean pierre Estival, L’Harmattan.
(2) : Les dettes publiques à la dérive – Cercle Turgot, Eyrolles, 2018.
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Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
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Re: la vraie affaire d’Etat
La vraie « affaire d’Etat » au cœur de cet été caniculaire, ce n’est pas celle du malheureux Benalla, pris dans une tourmente de haine, qui l’a emportée très au-delà de ses fautes présumées. D’autant plus et fort heureusement que l’on ne guillotine plus personne au nom de la « vertu publique » chère au Président de La France insoumise.
Toutefois, s’il faut absolument trouver une « affaire d’Etat » pour distraire l’opinion de ses préoccupations quotidiennes et donner « du grain à moudre » à une opposition subclaquante.
Ce n'est pas Macron qui a choisi de mettre Benalla en première ligne mais il est tout à fait exact que ça a bien distrait Ledevois et ses amis.
Toutefois, s’il faut absolument trouver une « affaire d’Etat » pour distraire l’opinion de ses préoccupations quotidiennes et donner « du grain à moudre » à une opposition subclaquante.
Ce n'est pas Macron qui a choisi de mettre Benalla en première ligne mais il est tout à fait exact que ça a bien distrait Ledevois et ses amis.
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: la vraie affaire d’Etat
Nadou a écrit:La vraie « affaire d’Etat » au cœur de cet été caniculaire, ce n’est pas celle du malheureux Benalla, pris dans une tourmente de haine, qui l’a emportée très au-delà de ses fautes présumées. D’autant plus et fort heureusement que l’on ne guillotine plus personne au nom de la « vertu publique » chère au Président de La France insoumise.
Toutefois, s’il faut absolument trouver une « affaire d’Etat » pour distraire l’opinion de ses préoccupations quotidiennes et donner « du grain à moudre » à une opposition subclaquante.
Ce n'est pas Macron qui a choisi de mettre Benalla en première ligne mais il est tout à fait exact que ça a bien distrait Ledevois et ses amis.
SI VOUS SAVIEZ COMME Bellana m’indiffère et comme notre économie me préoccupe vous comprendriez à quel point j'ai du souci pour notre avenir --
je vais vous expliquer -- mais je sais déjà que vous en tiendrez pas compte --
Je n'ai pas de boule de cristal et je ne sais même pas ou on va notre économie tellement elle est dans un piteux état __
Cela me semble très compromis que Macron s'en sorte .
Avec un gouvernement qui mène une politique économique expansionniste ,je serai rassurer comme l'Espagne ou le Portugal --
Or, c'est tout l'inverse que fait Macron ---
Aucun effort n'est fait en matière de pouvoir d'achat pour les classes défavorisées et les classes moyennes qui sont majoritaires dans ce pays -- on va au mur et espérons qu'il n'y aura d'insurrection dans les 3 années à venir --
Les réformes sur le travail je vous explique ma pensée ----
Macron qui visent à flexibiliser le marché du travail va rendre le taux de chômage plus volatile que jamais.
Plus vous faciliter les licenciements, plus le chômage baisse quand ça va bien; et augmente quand la conjoncture se dégrade comme en ce moment ------
L'économie Macron --
La raison de la chienlit économique est à chercher du côté du gouvernement qui fait tout pour que la croissance ralentisse ---- notamment à cause de sa politique extrêmement favorable aux ménages les plus aisées -- Macron le président des riches ne vous interpelle pas --?-
Quand vous faites des cadeaux fiscaux aux plus riches, ils ne vont pas contribuer à la croissance mais épargner comme je l'avais expliqué auparavant ---moi ça me va bien -- , mais pour le reste des Français c'est une épargne qui est une fuite du circuit économique , donc de l'emploi et de la croissance ------
Aujourd'hui, en proportion,-------------- plus vous êtes riches moins vous payez d'impôts et plus vous êtes pauvre plus vous en payer ----
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
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Re: la vraie affaire d’Etat
comme l'Espagne ou le Portugal --
Le smic au Portugal est de 677€ ( brut ) et le carburant est au même prix qu'ici.
Le smic en Espagne est de 858€ ( brut ) et le carburant y est entre 1,30 et 1,50€
Leur sort est-il plus enviable ?
Le smic au Portugal est de 677€ ( brut ) et le carburant est au même prix qu'ici.
Le smic en Espagne est de 858€ ( brut ) et le carburant y est entre 1,30 et 1,50€
Leur sort est-il plus enviable ?
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Tiote valisse- Messages : 4825
Date d'inscription : 20/02/2018
Age : 88
Localisation : Hauts de France
Re: la vraie affaire d’Etat
ledevois a écrit:Nadou a écrit:La vraie « affaire d’Etat » au cœur de cet été caniculaire, ce n’est pas celle du malheureux Benalla, pris dans une tourmente de haine, qui l’a emportée très au-delà de ses fautes présumées. D’autant plus et fort heureusement que l’on ne guillotine plus personne au nom de la « vertu publique » chère au Président de La France insoumise.
Toutefois, s’il faut absolument trouver une « affaire d’Etat » pour distraire l’opinion de ses préoccupations quotidiennes et donner « du grain à moudre » à une opposition subclaquante.
Ce n'est pas Macron qui a choisi de mettre Benalla en première ligne mais il est tout à fait exact que ça a bien distrait Ledevois et ses amis.
SI VOUS SAVIEZ COMME Bellana m’indiffère
Alors pourquoi ouvrir sans cesse des fils sur lui ?
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: la vraie affaire d’Etat
Foutons lui la paix à cet homme...
Occupons nous de nos affaires car ATTENTION ...les fraudeurs vont se retrouver dans une très grosse affaire...A SUIVRE
Occupons nous de nos affaires car ATTENTION ...les fraudeurs vont se retrouver dans une très grosse affaire...A SUIVRE
Ne faites pas attention à la critique. Elle vient généralement de personnes qui n' ont jamais rien fait d' autre et qui se réjouissent des problèmes de l' Autre...pas d' efforts positifs = arriérés négatifs
frenchy35F- Messages : 4485
Date d'inscription : 25/11/2017
Re: la vraie affaire d’Etat
frenchy35F a écrit:Foutons lui la paix à cet homme...
Occupons nous de nos affaires car ATTENTION ...les fraudeurs vont se retrouver dans une très grosse affaire...A SUIVRE
La France n'est que 15 % au-dessus de l'Italie -- pas de quoi pavoiser quand on sait que l’Espagne est en pleine remontada -il y a un mirage Espagnol c'est sur -
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
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