Harcèlement dans la rue ..

Horiel a écrit:

Diviciac a écrit: 
Les dames, il faut leur dire qu'elles sont douces comme la promesse d'un matin de printemps, belles comme la mélancolie d'un soir d'automne,  mystérieuses  comme le reflet de la lune   sur un lac de montagne dans le parfum enivrant des fleurs sauvages de l'été etc. . C'est seulement après qu'on peut les fourrer. 

Loin de moi l'envie de froisser vos souvenirs, mais si une dame a décroisé les guibolles en entendant ceci, elle était déjà grand-mère à l'époque des Saintes Chéries, non ?

Je veux dire, il y a un moment qu'on n'élève plus les filles ainsi. Tenez, même moi, je n'ai pas entendu ça depuis la fin du Moyen-Age...
(Ah non, ne pleurez pas, je ne sais jamais quoi faire avec un homme qui pleure...)

" fourrer une femme "     Je ne sais pas si j'ai déjà entendu cette expression dans la vraie vie ! Que Diviciac imagine son épouse ou ses filles entendre ça dans la rue, puisqu'il en est état sur ce fil ...

Horiel a écrit:

Diviciac a écrit:
C'est pas vous qui racontiez vos histoires de chattes ? Si..  ben,  votre insensibilité au romantisme et aux images poétiques ne me surprend pas . 

Phallocrate.
Vous avez quelque chose contre les greffières ? *
Si, je suis très sensible à certain romantisme; Anne Hathaway crevant sur sa paillasse et chantant "I dream a dream" est la Fantine la plus romantique du monde, et j'apprécie*.


* On est en plein dans la glauquitude de la dame qui a trop écouté les blablas du genre "promesse de printemps" toussa toussa. J'ai bon ?

Diviciac a écrit:

Horiel a écrit:

Diviciac a écrit:
C'est pas vous qui racontiez vos histoires de chattes ? Si..  ben,  votre insensibilité au romantisme et aux images poétiques ne me surprend pas . 

Phallocrate.
Vous avez quelque chose contre les greffières ? *
Si, je suis très sensible à certain romantisme; Anne Hathaway crevant sur sa paillasse et chantant "I dream a dream" est la Fantine la plus romantique du monde, et j'apprécie*.


* On est en plein dans la glauquitude de la dame qui a trop écouté les blablas du genre "promesse de printemps" toussa toussa. J'ai bon ?

C'est risqué  de féminiser les expressions ainsi l'innocent et infantile vocable "je donne ma langue au chat" pourrait,  même sans avoir l'esprit particulièrement mal tourné, devenir une allusion quelque peu graveleuse aux fantasmes de madame Schiappa.   

Nadou a écrit:

Horiel a écrit:


Loin de moi l'envie de froisser vos souvenirs, mais si une dame a décroisé les guibolles en entendant ceci, elle était déjà grand-mère à l'époque des Saintes Chéries, non ?

Je veux dire, il y a un moment qu'on n'élève plus les filles ainsi. Tenez, même moi, je n'ai pas entendu ça depuis la fin du Moyen-Age...
(Ah non, ne pleurez pas, je ne sais jamais quoi faire avec un homme qui pleure...)

" fourrer une femme "     Je ne sais pas si j'ai déjà entendu cette expression dans la vraie vie ! Que Diviciac imagine son épouse ou ses filles entendre ça dans la rue, puisqu'il en est état sur ce fil ...

Diviciac a écrit:

Nadou a écrit:

Horiel a écrit:


Loin de moi l'envie de froisser vos souvenirs, mais si une dame a décroisé les guibolles en entendant ceci, elle était déjà grand-mère à l'époque des Saintes Chéries, non ?

Je veux dire, il y a un moment qu'on n'élève plus les filles ainsi. Tenez, même moi, je n'ai pas entendu ça depuis la fin du Moyen-Age...
(Ah non, ne pleurez pas, je ne sais jamais quoi faire avec un homme qui pleure...)

" fourrer une femme "     Je ne sais pas si j'ai déjà entendu cette expression dans la vraie vie ! Que Diviciac imagine son épouse ou ses filles entendre ça dans la rue, puisqu'il en est état sur ce fil ...

 
Manque de culture cinématographique probablement: souviens-toi des Galettes de Pontaven: Fresson et Marielle  sont en train de philosopher au salon quand, légère et court vêtue, la jolie compagne de Fresson  gravit l'échelle  de meunier qui mène à la chambre, laissant admirer ses charmes. Fresson se lève pour la suivre et dit à Marielle  "Excuse-moi de te laisser mais moi quand j'la vois comme ça, faut que j'la fourre"  
 Un grand moment de cinéma.

Vu la teneur du fil, avant ta tirade, les intervenants n'étaient pas du tout sur le registre de l'humour cinématographique. Ne les encourage pas. 

Horiel a écrit:

Diviciac a écrit: 
Les dames, il faut leur dire qu'elles sont douces comme la promesse d'un matin de printemps, belles comme la mélancolie d'un soir d'automne,  mystérieuses  comme le reflet de la lune   sur un lac de montagne dans le parfum enivrant des fleurs sauvages de l'été etc. . C'est seulement après qu'on peut les fourrer. 

Loin de moi l'envie de froisser vos souvenirs, mais si une dame a décroisé les guibolles en entendant ceci, elle était déjà grand-mère à l'époque des Saintes Chéries, non ?

Je veux dire, il y a un moment qu'on n'élève plus les filles ainsi. Tenez, même moi, je n'ai pas entendu ça depuis la fin du Moyen-Age...
(Ah non, ne pleurez pas, je ne sais jamais quoi faire avec un homme qui pleure...)

Sapeur Lipopète a écrit:Comme le dit la comptine :


Il court, il court le fourré
Le fourré des bois, mesdames
...

Diviciac a écrit:

Sapeur Lipopète a écrit:Comme le dit la comptine :


Il court, il court le fourré
Le fourré des bois, mesdames
...

Pour suivre l'actualité:  
"Il fourre,  il fourre,  le curé"  

Diviciac a écrit:

Plume a écrit:On harcèle pas les dames ! on sent pas le boule Didier !!! 

 
Les dames, il faut leur dire qu'elles sont douces comme la promesse d'un matin de printemps, belles comme la mélancolie d'un soir d'automne,  mystérieuses  comme le reflet de la lune   sur un lac de montagne dans le parfum enivrant des fleurs sauvages de l'été etc. . C'est seulement après qu'on peut les fourrer. 

Pour anticiper le "faut s'la farcir" 10ans après 

CriCri a écrit:

Diviciac a écrit:
 
Les dames, il faut leur dire qu'elles sont douces comme la promesse d'un matin de printemps, belles comme la mélancolie d'un soir d'automne,  mystérieuses  comme le reflet de la lune   sur un lac de montagne dans le parfum enivrant des fleurs sauvages de l'été etc. . C'est seulement après qu'on peut les fourrer. 

Pour anticiper le "faut s'la farcir" 10ans après 

Sapeur Lipopète a écrit:

Diviciac a écrit:



Pour suivre l'actualité:  
"Il fourre,  il fourre,  le curé"  

Ça, c'était du bois dont on fait les pipes... .

Nadou a écrit:

Diviciac a écrit:
 
Manque de culture cinématographique probablement: souviens-toi des Galettes de Pontaven: Fresson et Marielle  sont en train de philosopher au salon quand, légère et court vêtue, la jolie compagne de Fresson  gravit l'échelle  de meunier qui mène à la chambre, laissant admirer ses charmes. Fresson se lève pour la suivre et dit à Marielle  "Excuse-moi de te laisser mais moi quand j'la vois comme ça, faut que j'la fourre"  
 Un grand moment de cinéma.

Vu la teneur du fil, avant ta tirade, les intervenants n'étaient pas du tout sur le registre de l'humour cinématographique. Ne les encourage pas. 

Diviciac a écrit: 
Et ça,  c'est pas cinématographique ? 

"Si, je suis très sensible à certain romantisme; Anne Hathaway crevant sur sa paillasse et chantant "I dream a dream" est la Fantine la plus romantique du monde, et j'apprécie*.


Y a vraiment deux poids et deux mesures sur ce forum !

Horiel a écrit:

Diviciac a écrit: 
Et ça,  c'est pas cinématographique ? 

"Si, je suis très sensible à certain romantisme; Anne Hathaway crevant sur sa paillasse et chantant "I dream a dream" est la Fantine la plus romantique du monde, et j'apprécie*.


Y a vraiment deux poids et deux mesures sur ce forum !

Phallocrate ET jaloux 
(Non, je ne saurais pas retrouver, je n'ai pas lu).

Menteuse ! 

Diviciac a écrit:

Horiel a écrit:


Phallocrate ET jaloux 
(Non, je ne saurais pas retrouver, je n'ai pas lu).

  
Menteuse ! 
Vous commentez donc un écrit sans l'avoir lu ... c'est très macroniste comme attitude . 

Horiel a écrit:

Diviciac a écrit:

  
Menteuse ! 
Vous commentez donc un écrit sans l'avoir lu ... c'est très macroniste comme attitude . 

Ah ? Donnez-moi le titre ? (parce que rien ne m'a titillé dans votre énumération, franchement...)

C'est enfin la consécration littéraire pour moi.

Horiel a écrit:... Traduction de la chanson "I dreamed a dream" (où on ne fourre ni ne farcit grand'chose, je le crains, désolée pour les puristes).

"Il fut un temps où les hommes étaient bons
Lorsque leurs voix étaient douces
Et leurs paroles agréables
Il fut un temps où l’amour était aveugle
Et le monde était une chanson
Et la chanson était envoutante
Il fut un temps...
Puis tout alla mal

J’ai fait un rêve il y a un longtemps
Quand l’espoir était permis
Et que la vie valait la peine d’être vécue
J’ai rêvé que l’amour ne mourrait jamais
J’ai rêvé que Dieu serait clément
Alors j’étais jeune et sans peur
Et les rêves furent réalisés, usés et bafoués
Il n’y avait aucun compte à rendre
Aucune chanson non chantée
Aucun vin non goûté

Mais les tigres viennent la nuit
Avec leur voix aussi douce que la tonnerre
Alors ils déchirent votre espoir

Et ils transforment vos rêves en honte…

Il a dormi un été à mes côtés
Il a rempli mes jours d’un émerveillement infini
Il a pris mon enfance dans la foulée
Mais il est parti une fois l’automne arrivé

Et je rêve encore qu’il viendra à moi
Que nous passeront notre vie ensemble
Mais il y a des rêves qui ne peuvent être
Et il y a des tempêtes auxquelles nous ne pouvons résister

J’ai fait un rêve, ma vie serait
Si différente de l'enfer que je vis
Si différente aujourd'hui de ce que qu'il semblait

Maintenant la vie a tué le rêve que j’ai fait…"

Diviciac a écrit:
Ben voilà ! : c'est la preuve qu'il est impossible de distinguer ce qui est le tout de mon cru et l'image poétique d'un prix Goncourt (La Plus Secrète Mémoire des hommes.) 
C'est enfin la consécration littéraire pour moi.

Diviciac a écrit:Eh ben : elle n'a pas la partie de jambes en l'air joyeuse , la dame . 
Ne serait-elle pas de ces nombreuses femmes qui tombent amoureuses de l'image qu'elles se font d'un homme plus que de l'homme lui même ?
N'y voyez rien de sexiste,  ça arrive aussi fréquemment à des hommes.  

Forcheville a écrit:Le vulgaire est débilitant quand il est l’argument principal et unique.Dans le cas qui nous occupe il est amené par une longue préparation « poétique » et en constitue le point d’orgue. Et c’est le contraste brutal des deux qui est la source de « l’humour »du moins celui que peuvent apprécier certains en lisant  par ex Charlie et que d’autres réprouvent . Les dessins de Wolinski étaient très misogynes en les prenant au premier degré.

Horiel a écrit:

Diviciac a écrit:Eh ben : elle n'a pas la partie de jambes en l'air joyeuse , la dame . 
Ne serait-elle pas de ces nombreuses femmes qui tombent amoureuses de l'image qu'elles se font d'un homme plus que de l'homme lui même ?
N'y voyez rien de sexiste,  ça arrive aussi fréquemment à des hommes.  

Vous parlez de Fantine, hérétique !