Harcèlement dans la rue ..

Plume a écrit:On harcèle pas les dames ! on sent pas le boule Didier !!! 

Diviciac a écrit:

Plume a écrit:On harcèle pas les dames ! on sent pas le boule Didier !!! 

 
Les dames, il faut leur dire qu'elles sont douces comme la promesse d'un matin de printemps, belles comme la mélancolie d'un soir d'automne,  mystérieuses  comme le reflet de la lune   sur un lac de montagne dans le parfum enivrant des fleurs sauvages de l'été etc. . C'est seulement après qu'on peut les fourrer. 

Forcheville a écrit:Moi je trouve ces lois sexistes et discriminatoires car elles n’envisagent le harcèlement que dans le sens homme-femme et jamais l’inverse. J’alerte de ce pas la Halde , les mouvements homministes. Parce-qu’il y a des nanas qui ont la drague lourdingue.

Diviciac a écrit:Vous pensez à Horiel avec Manu ?

elaine a écrit:

Diviciac a écrit:Vous pensez à Horiel avec Manu ?

Non seulement vous êtes vulgaire mais en plus provocateur et chiant.

Nestor a écrit:T'as raison elaine .. quel goujat ! 
Il a pas dû beaucoup pêcho dans sa jeunesse 

Diviciac a écrit:Ne vous en faites pas , Elaine, Horiel ne va pas retourner bouder : elle a plus d'humour que vous ... ce  qui n'est pas très difficile. 

Diviciac a écrit:C'est seulement après qu'on peut les fourrer.

elaine a écrit:Si c´est ça avoir de l´humour, alors je préfère ne pas en avoir

Diviciac a écrit: 
Les dames, il faut leur dire qu'elles sont douces comme la promesse d'un matin de printemps, belles comme la mélancolie d'un soir d'automne,  mystérieuses  comme le reflet de la lune   sur un lac de montagne dans le parfum enivrant des fleurs sauvages de l'été etc. . C'est seulement après qu'on peut les fourrer. 

Diviciac a écrit:

Plume a écrit:On harcèle pas les dames ! on sent pas le boule Didier !!! 

 
Les dames, il faut leur dire qu'elles sont douces comme la promesse d'un matin de printemps, belles comme la mélancolie d'un soir d'automne,  mystérieuses  comme le reflet de la lune   sur un lac de montagne dans le parfum enivrant des fleurs sauvages de l'été etc. . C'est seulement après qu'on peut les fourrer. 

Plume a écrit:

Diviciac a écrit:
 
Les dames, il faut leur dire qu'elles sont douces comme la promesse d'un matin de printemps, belles comme la mélancolie d'un soir d'automne,  mystérieuses  comme le reflet de la lune   sur un lac de montagne dans le parfum enivrant des fleurs sauvages de l'été etc. . C'est seulement après qu'on peut les fourrer. 

Ca sent l'arnaque ! 

elaine a écrit:

Diviciac a écrit:Ne vous en faites pas , Elaine, Horiel ne va pas retourner bouder : elle a plus d'humour que vous ... ce  qui n'est pas très difficile. 

Diviciac a écrit:C'est seulement après qu'on peut les fourrer.

Si c´est ça avoir de l´humour, alors je préfère ne pas en avoir

Plume a écrit:

Diviciac a écrit:
 
Les dames, il faut leur dire qu'elles sont douces comme la promesse d'un matin de printemps, belles comme la mélancolie d'un soir d'automne,  mystérieuses  comme le reflet de la lune   sur un lac de montagne dans le parfum enivrant des fleurs sauvages de l'été etc. . C'est seulement après qu'on peut les fourrer. séduire 

Ca sent l'arnaque ! 

Horiel a écrit:

Diviciac a écrit: 
Les dames, il faut leur dire qu'elles sont douces comme la promesse d'un matin de printemps, belles comme la mélancolie d'un soir d'automne,  mystérieuses  comme le reflet de la lune   sur un lac de montagne dans le parfum enivrant des fleurs sauvages de l'été etc. . C'est seulement après qu'on peut les fourrer. 

Loin de moi l'envie de froisser vos souvenirs, mais si une dame a décroisé les guibolles en entendant ceci, elle était déjà grand-mère à l'époque des Saintes Chéries, non ?

Je veux dire, il y a un moment qu'on n'élève plus les filles ainsi. Tenez, même moi, je n'ai pas entendu ça depuis la fin du Moyen-Age...
(Ah non, ne pleurez pas, je ne sais jamais quoi faire avec un homme qui pleure...)

Diviciac a écrit:
C'est pas vous qui racontiez vos histoires de chattes ? Si..  ben,  votre insensibilité au romantisme et aux images poétiques ne me surprend pas . 

Horiel a écrit:

Diviciac a écrit: 
Les dames, il faut leur dire qu'elles sont douces comme la promesse d'un matin de printemps, belles comme la mélancolie d'un soir d'automne,  mystérieuses  comme le reflet de la lune   sur un lac de montagne dans le parfum enivrant des fleurs sauvages de l'été etc. . C'est seulement après qu'on peut les fourrer. 

Loin de moi l'envie de froisser vos souvenirs, mais si une dame a décroisé les guibolles en entendant ceci, elle était déjà grand-mère à l'époque des Saintes Chéries, non ?

Je veux dire, il y a un moment qu'on n'élève plus les filles ainsi. Tenez, même moi, je n'ai pas entendu ça depuis la fin du Moyen-Age...
(Ah non, ne pleurez pas, je ne sais jamais quoi faire avec un homme qui pleure...)

" fourrer une femme "     Je ne sais pas si j'ai déjà entendu cette expression dans la vraie vie ! Que Diviciac imagine son épouse ou ses filles entendre ça dans la rue, puisqu'il en est état sur ce fil ...