Sélection festival de Cannes 2021
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Re: Sélection festival de Cannes 2021
Je suis déçu, il n'y a pas mon chouchou :
Les films proposés ... ne m'emballent pas cette année même si l'histoire de entre les deux bonnes sœurs lesbiennes éveille fort mon intérêt
Les films proposés ... ne m'emballent pas cette année même si l'histoire de entre les deux bonnes sœurs lesbiennes éveille fort mon intérêt
Invité- Invité
Re: Sélection festival de Cannes 2021
bonsoir plume.Plume a écrit:Les Olympiades !
pour y avoir vecu dans les tours à mon arrivée sur Paris
et en plus film en N&B........................................................
Antichrist- Messages : 4012
Date d'inscription : 28/05/2019
Re: Sélection festival de Cannes 2021
OSS 117 c'est culte !
Nicolas Bedos présente après la cérémonie de clôture du Festival de Cannes ce samedi 17 juillet, OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire, de quoi faire frémir d'impatience les fans de l'espion le plus bête de France. Il s'agit de la suite des deux films réalisés en 2006 et 2009 par Michel Hazanavicius avec Jean Dujardin dans le rôle principal.
On oublie souvent, cependant, qu'avant d'être le personnage hilarant de Dujardin, OSS 117 avait déjà été populaire auprès des Français dans les années 1950 à 1970, connu comme le héros brillant de la saga de romans d'espionnage qui portent son nom.
À l'origine, Hubert Bonisseur de la Bath est donc un espion américain (son nom à connotations francophones étant lié à des ancêtres qui auraient fui la France pour la Louisiane) inspiré par cette brève rencontre de l'auteur avec le véritable OSS 177. Jean Bruce le dépeint comme l’espion parfait : assuré, séducteur, intelligent et triomphant.
Les films d’Hazanavicius ne sont pas les premières adaptations au cinéma du héros de Jean Bruce. Huit films et téléfilms ont été réalisés avant, mettant en scène les aventures de cet espion exceptionnel. Parmi eux notamment, les cinq longs-métrages d’André Hunebelle réalisés entre 1963 et 1968, dans lesquels OSS a été interprêté par les acteurs américains Kerwin Mathews et John Gavin et l'acteur autrichien Frederick Stafford.
En effet, ces films ont tous les éléments d’un James Bond : des retournements de vestes, de belles femmes, des scènes de combat… La seule différence ? La bêtise du personnage, subtilement tourné en parodie par le scénariste Jean-François Halin, avec un humour à prendre au 26e degré. Ce dernier a également participé à l’écriture du dernier film, contrairement à Michel Hazanavicius qui avait des doutes quant à la réalisation de cette suite. Estimant que ce genre d'humour ne passerait plus en 2021, il a ainsi laissé sa place à Nicolas Bedos.
Nicolas Bedos présente après la cérémonie de clôture du Festival de Cannes ce samedi 17 juillet, OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire, de quoi faire frémir d'impatience les fans de l'espion le plus bête de France. Il s'agit de la suite des deux films réalisés en 2006 et 2009 par Michel Hazanavicius avec Jean Dujardin dans le rôle principal.
On oublie souvent, cependant, qu'avant d'être le personnage hilarant de Dujardin, OSS 117 avait déjà été populaire auprès des Français dans les années 1950 à 1970, connu comme le héros brillant de la saga de romans d'espionnage qui portent son nom.
[size=42]Un héros qui précède James Bond[/size]
Le personnage d'Hubert Bonisseur de la Bath, alias OSS 117 est né sous la plume de Jean Bruce en 1949. Cet homme aux mille vies (il fût, entre autres, employé pour Interpol, acteur dans une troupe ambulante, joallier et secrétaire d'un maharadjah) était un ancien résistant qui rencontra lors la libération de la ville de Lyon, un agent américain de l'Organization of Secret Services (OSS) qui portait le matricule 117...À l'origine, Hubert Bonisseur de la Bath est donc un espion américain (son nom à connotations francophones étant lié à des ancêtres qui auraient fui la France pour la Louisiane) inspiré par cette brève rencontre de l'auteur avec le véritable OSS 177. Jean Bruce le dépeint comme l’espion parfait : assuré, séducteur, intelligent et triomphant.
[size=42]Un roman de gare adapté au cinéma[/size]
Ces romans d'espionnage sont parmi les premiers du genre à paraître en France, voire en Europe, car Ian Flemming n’inventera James bond qu’en 1963. Dans le contexte de la Guerre Froide, la grande appétence du public pour ce genre de récits fait d'OSS 117 le parfait roman de gare. Très vite, la série connait un véritable succès, si bien qu'à la mort de Bruce, sa femme, puis sa fille et son beau-fils reprendront successivement son œuvre. Au total, 265 tomes des aventures d’OSS 117 ont été publiés entre 1949 et 1992 avec des traductions dans 17 langues et 75 millions d'exemplaires vendus à travers le monde.Les films d’Hazanavicius ne sont pas les premières adaptations au cinéma du héros de Jean Bruce. Huit films et téléfilms ont été réalisés avant, mettant en scène les aventures de cet espion exceptionnel. Parmi eux notamment, les cinq longs-métrages d’André Hunebelle réalisés entre 1963 et 1968, dans lesquels OSS a été interprêté par les acteurs américains Kerwin Mathews et John Gavin et l'acteur autrichien Frederick Stafford.
[size=42]"Un peu de Sean et beaucoup de conneries", selon Dujardin[/size]
Les films de Hazanavicius rompent avec l'image du héros sans faille, s'inspirant très librement de l'œuvre de Jean Bruce. On rentre dans de la comédie culte avec ce personnage grotesque porté par les mimiques et le rire iconique de Dujardin. Raciste, misogyne, ignare, cet OSS 117 incarne toutes les dérives franchouillardes, trouvant tout de même le moyen d'être attendrissant. Lors d’une interview pour le JT de France 2, durant le tournage du premier film, OSS 117 : Le Caire nid d’espions, Jean Dujardin confiait sa recette : "un peu de Sean, et beaucoup de conneries".En effet, ces films ont tous les éléments d’un James Bond : des retournements de vestes, de belles femmes, des scènes de combat… La seule différence ? La bêtise du personnage, subtilement tourné en parodie par le scénariste Jean-François Halin, avec un humour à prendre au 26e degré. Ce dernier a également participé à l’écriture du dernier film, contrairement à Michel Hazanavicius qui avait des doutes quant à la réalisation de cette suite. Estimant que ce genre d'humour ne passerait plus en 2021, il a ainsi laissé sa place à Nicolas Bedos.
Invité- Invité
Re: Sélection festival de Cannes 2021
Film gagnant Titane !
Franchement j'irais pas le voir !
Franchement j'irais pas le voir !
Invité- Invité
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