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Message par Invité Ven 5 Fév - 10:26

https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/la-gauche-et-la-pedophilie-une-histoire-monstrueuse-114813


Après Mai 68, une partie de l'intelligentsia libertaire a défendu les pires dérives de la révolution sexuelle. En théorie et en pratique. Retour en enfer avec l'affaire Matzneff.
La bombe à retardement aura mis 30 ans pour éclater enfin. Au grand jour. Dans le bruit et la fureur. Vanessa Springora témoigne dans son livre Le Consentement (Grasset), paru le 2 janvier, des abus pédocriminels présumés de l’écrivain Gabriel Matzneff. L'image de l'écrivain dandy et libertin part en fumée. En 1990, Denise Bombardier avait pourtant allumé la mèche dans l’émission Apostrophes, diffusée sur Antenne 2. « Je me croyais sur une autre planète, parce que dans mon pays, il serait en prison, confie sa consoeur canadienne. J’étais la pièce pyrotechnique qui faisait sauter le plateau. » Puis, plus rien. Un pétard mouillé. Tombé dans l’oubli. « Une clique tenait le haut du pavé. Ils avaient le pouvoir de publier, de critiquer, de donner des prix, ajoute-t-elle. D’où le silence jusqu’à aujourd’hui. » Pire, il fut même une époque, pas si lointaine, où « l’amour des enfants » était non seulement débattu mais défendu. « Il est patent que le discours pro-pédophilie a des racines dans la Révolution culturelle que fut Mai-68 qui en appelait à la libération des corps et des sexualités », explique l’historienne Anne-Claude Ambroise-Rendu. Il est « temps de décriminaliser l’amour », proclame alors une partie de l’intelligentsia de gauche. Dans les années 70 et 80, le romancier Tony Duvert l’assure : « Les gamins aiment faire l’amour comme on se mouche. » Le philosophe René Schérer le jure : « Le pédophile traite l’enfant qu’il désire ou qu’il aime comme un véritable partenaire sexuel. » Et le journaliste Guy Hocquenghem l’espère : « L’avenir est à la partouze généralisée » car « nous sommes des machines à jouir ». A jouir sans entraves, dit le slogan.
Malgré la marginalité de leur combat, les défenseurs de la pédophilie bénéficient alors de la complicité de la presse progressiste. En janvier 1977, Le Monde et Libération relaient complaisamment une tribune retentissante alors que s’ouvre à Versailles le procès de trois hommes, jugés pour « attentats à la pudeur sans violence sur mineurs » et placés en détention préventive depuis trois ans. « Trois ans de prison pour des caresses et des baisers, cela suffit », dénonce le texte, rédigé par Gabriel Matzneff, qui évoque « une simple affaire de ‘mœurs’ ». Parmi les 69 signataires figurent Louis Aragon, Francis Ponge, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Patrice Chéreau, Gilles Deleuze, André Glucksmann, Guy Hocquenghem, Bernard Kouchner, Jack Lang, Catherine Millet, Jean-Paul Sartre, René Schérer et Philippe Sollers. « Aujourd'hui, je ne la signerais pas et je pèserais mes mots », se reniera en 2001 ce dernier, prétendant même n’avoir « jamais défendu la pédophilie ». Sa revue L’Infini continuera pourtant à promouvoir la pédophilie jusqu’en... 1997. Contacté par nos soins, Jack Lang, lui, n’a pas souhaité s’expliquer. Quant aux prévenus,  ils ont été finalement condamnés à cinq ans de prison avec sursis (et donc libérés) pour leur crime, fait de masturbations et fellations réciproques, d'orgies et de sodomies sur des enfants de 12 et 13 ans.
Deux ans plus tard, Libération récidive et publie, en mars 1979, une autre pétition de soutien à Gérard Roussel, un pédophile qui attend depuis dix-huit mois son procès, « enfermé pour crime d'amour » pour avoir abusé de fillettes de 6 à 12 ans. La lettre, qui le présente comme « la véritable victime dans cette affaire » et souligne que « le désir et les jeux sexuels librement consentis ont leur place dans les rapports entre enfants et adultes », est notamment signée par Gabriel Matzneff, Tony Duvert, Georges Moustaki, Luc Rosenzweig, Guy Hocquenghem, René Schérer, Catherine Millet et… Pascal Bruckner. « J'assume, mais je n'ai jamais rien écrit en faveur de la pédophilie, bien au contraire, réagit le philosophe aujourd'hui. Il y avait à l'époque une ambiance de laxisme et de tolérance, il fallait en finir avec tous les tabous. Ce mouvement s'inscrivait aussi dans une tradition littéraire avec Gide et Montherlant, qui ont fait de l'amour des enfants un motif de création et de récréation. Nous sommes là dans la conséquence extrême de la révolution sexuelle et de Mai 68, dans la vision totalement libertaire de la permissivité, où rien ne doit échapper au désir. » Une dérive qui vaut alors à Libération une avalanche de poursuites judiciaires.
Le même mois, le quotidien titre d’ailleurs fièrement sur « Les outrages de Libération » et revendique neuf inculpations en 19 mois, raillant le « prurit du Parquet » et « l’immanquable protection de l’enfance » qui menacent la liberté de la presse ! Ou comme le résume son journaliste Jean-Luc Hennig : « On n’a pas eu Libération par la politique, on l’aura par le cul. » Les pages sont pourtant accablantes. Une image y représente une fillette en train de faire une fellation à un adulte. Son titre ? « Apprenons l’amour à nos enfants. » Commis par le collectif Bazooka, qui a officié à Libération, le dessin (tiré visiblement d’une photo) est accompagné d’un texte odieux décrivant le viol d’une gamine. Trente ans plus tard, son auteur Christian Chapiron alias Kiki Picasso renchérira : « Sans les lois super dures qui font qu’en deux secondes et demie, je me retrouverai emmerdé, je ferais des images pédophiles. 
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Message par ledevois Ven 5 Fév - 10:31

Plume a écrit:https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/la-gauche-et-la-pedophilie-une-histoire-monstrueuse-114813


Après Mai 68, une partie de l'intelligentsia libertaire a défendu les pires dérives de la révolution sexuelle. En théorie et en pratique. Retour en enfer avec l'affaire Matzneff.
La bombe à retardement aura mis 30 ans pour éclater enfin. Au grand jour. Dans le bruit et la fureur. Vanessa Springora témoigne dans son livre Le Consentement (Grasset), paru le 2 janvier, des abus pédocriminels présumés de l’écrivain Gabriel Matzneff. L'image de l'écrivain dandy et libertin part en fumée. En 1990, Denise Bombardier avait pourtant allumé la mèche dans l’émission Apostrophes, diffusée sur Antenne 2. « Je me croyais sur une autre planète, parce que dans mon pays, il serait en prison, confie sa consoeur canadienne. J’étais la pièce pyrotechnique qui faisait sauter le plateau. » Puis, plus rien. Un pétard mouillé. Tombé dans l’oubli. « Une clique tenait le haut du pavé. Ils avaient le pouvoir de publier, de critiquer, de donner des prix, ajoute-t-elle. D’où le silence jusqu’à aujourd’hui. » Pire, il fut même une époque, pas si lointaine, où « l’amour des enfants » était non seulement débattu mais défendu. « Il est patent que le discours pro-pédophilie a des racines dans la Révolution culturelle que fut Mai-68 qui en appelait à la libération des corps et des sexualités », explique l’historienne Anne-Claude Ambroise-Rendu. Il est « temps de décriminaliser l’amour », proclame alors une partie de l’intelligentsia de gauche. Dans les années 70 et 80, le romancier Tony Duvert l’assure : « Les gamins aiment faire l’amour comme on se mouche. » Le philosophe René Schérer le jure : « Le pédophile traite l’enfant qu’il désire ou qu’il aime comme un véritable partenaire sexuel. » Et le journaliste Guy Hocquenghem l’espère : « L’avenir est à la partouze généralisée » car « nous sommes des machines à jouir ». A jouir sans entraves, dit le slogan.
Malgré la marginalité de leur combat, les défenseurs de la pédophilie bénéficient alors de la complicité de la presse progressiste. En janvier 1977, Le Monde et Libération relaient complaisamment une tribune retentissante alors que s’ouvre à Versailles le procès de trois hommes, jugés pour « attentats à la pudeur sans violence sur mineurs » et placés en détention préventive depuis trois ans. « Trois ans de prison pour des caresses et des baisers, cela suffit », dénonce le texte, rédigé par Gabriel Matzneff, qui évoque « une simple affaire de ‘mœurs’ ». Parmi les 69 signataires figurent Louis Aragon, Francis Ponge, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Patrice Chéreau, Gilles Deleuze, André Glucksmann, Guy Hocquenghem, Bernard Kouchner, Jack Lang, Catherine Millet, Jean-Paul Sartre, René Schérer et Philippe Sollers. « Aujourd'hui, je ne la signerais pas et je pèserais mes mots », se reniera en 2001 ce dernier, prétendant même n’avoir « jamais défendu la pédophilie ». Sa revue L’Infini continuera pourtant à promouvoir la pédophilie jusqu’en... 1997. Contacté par nos soins, Jack Lang, lui, n’a pas souhaité s’expliquer. Quant aux prévenus,  ils ont été finalement condamnés à cinq ans de prison avec sursis (et donc libérés) pour leur crime, fait de masturbations et fellations réciproques, d'orgies et de sodomies sur des enfants de 12 et 13 ans.
Deux ans plus tard, Libération récidive et publie, en mars 1979, une autre pétition de soutien à Gérard Roussel, un pédophile qui attend depuis dix-huit mois son procès, « enfermé pour crime d'amour » pour avoir abusé de fillettes de 6 à 12 ans. La lettre, qui le présente comme « la véritable victime dans cette affaire » et souligne que « le désir et les jeux sexuels librement consentis ont leur place dans les rapports entre enfants et adultes », est notamment signée par Gabriel Matzneff, Tony Duvert, Georges Moustaki, Luc Rosenzweig, Guy Hocquenghem, René Schérer, Catherine Millet et… Pascal Bruckner. « J'assume, mais je n'ai jamais rien écrit en faveur de la pédophilie, bien au contraire, réagit le philosophe aujourd'hui. Il y avait à l'époque une ambiance de laxisme et de tolérance, il fallait en finir avec tous les tabous. Ce mouvement s'inscrivait aussi dans une tradition littéraire avec Gide et Montherlant, qui ont fait de l'amour des enfants un motif de création et de récréation. Nous sommes là dans la conséquence extrême de la révolution sexuelle et de Mai 68, dans la vision totalement libertaire de la permissivité, où rien ne doit échapper au désir. » Une dérive qui vaut alors à Libération une avalanche de poursuites judiciaires.
Le même mois, le quotidien titre d’ailleurs fièrement sur « Les outrages de Libération » et revendique neuf inculpations en 19 mois, raillant le « prurit du Parquet » et « l’immanquable protection de l’enfance » qui menacent la liberté de la presse ! Ou comme le résume son journaliste Jean-Luc Hennig : « On n’a pas eu Libération par la politique, on l’aura par le cul. » Les pages sont pourtant accablantes. Une image y représente une fillette en train de faire une fellation à un adulte. Son titre ? « Apprenons l’amour à nos enfants. » Commis par le collectif Bazooka, qui a officié à Libération, le dessin (tiré visiblement d’une photo) est accompagné d’un texte odieux décrivant le viol d’une gamine. Trente ans plus tard, son auteur Christian Chapiron alias Kiki Picasso renchérira : « Sans les lois super dures qui font qu’en deux secondes et demie, je me retrouverai emmerdé, je ferais des images pédophiles. 
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 Depuis que l'on en parle de la pédophilie , de l'inceste dans ce pays il serait temps que la justice fasse quelque chose pour la protection de l'enfance -- 
 Comment voulez vous qu'un pays comme la France fonctionne avec le laxisme qui règne -


Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare. 
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