La France de Macron - , un risque pour l'avenir de nos enfants --
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La France de Macron - , un risque pour l'avenir de nos enfants --
Dépenses publiques en % du PIB :
USA 37 %
Europe 47 %
France 57 %
Voilà tout est dit.
l endettement par an augmente encore plus avec MACRON que HOLLANDE c est dire ---
Ce qui est extraordinaire c'est que, dans notre pays, personne (LREM, gilets jaunes, RN, LFI, etc...) ne s'en préoccupe.
La Commission européenne s‘inquiète de l'endettement français
Les experts de la Commission estiment que le ralentissement devrait se poursuivre cette année en France, avec une croissance attendue à 1,3% en 2019.
Par Anne de Guigné
Publié le 27 février 2019 à 18:21, mis à jour le 27 février 2019 à 19:56
Le quartier général de la Commission européenne, à Bruxelles. Francois Lenoir/REUTERS
Comme ses voisines, l'économie française a été passée ces dernières semaines au peigne fin des experts de la Commission européenne. Sans surprise, leurs conclusions et recommandations ressemblent à celles de l'année dernière. Mais l'euphorie de la reprise retombée, elles revêtent pour cette édition une tonalité plus grave. Après 2,3% en 2017, l'activité n'a en effet progressé que de 1,5% en 2018 en France. Selon les prévisions de la Commission, le ralentissement devrait se poursuivre cette année, avec une croissance attendue à 1,3% en 2019.
La Commission soutient toujours les grandes réformes du gouvernement Macron - fiscalité, travail, formation… - et estime qu'à moyen terme elles permettront d'améliorer le potentiel de croissance du pays. Comme lors de l'édition 2018, elle s'interroge et attend d'en savoir plus sur les volets retraites et réforme de l'État. Les experts pointent enfin de grands chantiers d'amélioration à lancer.
Bruxelles s'inquiète encore de la faiblesse de la compétitivité française, qui s'incarne par une progression de la productivité très réduite, elle-même produit de la faible intensité de l'innovation. «Il est essentiel d'approfondir le volet innovation, a ainsi recommandé Carlos Martinez-Mongay, directeur général adjoint de la Direction générale des affaires économiques et financières. La France a des dépenses significatives dans le secteur public mais les résultats ne suivent pas, car l'action n'est pas assez coordonnée avec le privé», juge le haut fonctionnaire européen.
À lire aussi : Selon une étude allemande, l'euro aurait particulièrement nui aux Français
La politique d'innovation française pourrait aussi s'améliorer, notent les experts, si tous les obstacles à la concurrence étaient levés dans les secteurs des services. Ce sujet des professions réglementées (notaires, huissiers, pharmaciens…) est un irritant de longue date entre Bruxelles et Paris. Quand Bercy estime avoir réalisé l'essentiel de l'effort, notamment via la loi Macron de 2015, la Commission reste persuadée que ces réglementations entravent le développement d'une saine concurrence dans l'Hexagone. Toujours sur le volet compétitivité, Bruxelles rejoint les industriels français pour conseiller de réduire les impôts de production, qui frappent les entreprises avant qu'elles ne réalisent des bénéfices.
Enfin, la Commission souligne que, malgré la lente décrue du chômage, le marché du travail français reste particulièrement fragmenté. Des poches entières de la population - jeunes, personnes sans diplômes, famille monoparentale… - semblent bloquées dans leur situation de chômage.
USA 37 %
Europe 47 %
France 57 %
Voilà tout est dit.
l endettement par an augmente encore plus avec MACRON que HOLLANDE c est dire ---
Ce qui est extraordinaire c'est que, dans notre pays, personne (LREM, gilets jaunes, RN, LFI, etc...) ne s'en préoccupe.
La Commission européenne s‘inquiète de l'endettement français
Les experts de la Commission estiment que le ralentissement devrait se poursuivre cette année en France, avec une croissance attendue à 1,3% en 2019.
Par Anne de Guigné
Publié le 27 février 2019 à 18:21, mis à jour le 27 février 2019 à 19:56
Le quartier général de la Commission européenne, à Bruxelles. Francois Lenoir/REUTERS
Comme ses voisines, l'économie française a été passée ces dernières semaines au peigne fin des experts de la Commission européenne. Sans surprise, leurs conclusions et recommandations ressemblent à celles de l'année dernière. Mais l'euphorie de la reprise retombée, elles revêtent pour cette édition une tonalité plus grave. Après 2,3% en 2017, l'activité n'a en effet progressé que de 1,5% en 2018 en France. Selon les prévisions de la Commission, le ralentissement devrait se poursuivre cette année, avec une croissance attendue à 1,3% en 2019.
La Commission soutient toujours les grandes réformes du gouvernement Macron - fiscalité, travail, formation… - et estime qu'à moyen terme elles permettront d'améliorer le potentiel de croissance du pays. Comme lors de l'édition 2018, elle s'interroge et attend d'en savoir plus sur les volets retraites et réforme de l'État. Les experts pointent enfin de grands chantiers d'amélioration à lancer.
Le premier est connu: le désendettement. La France est l'un des seuls États de la zone euro qui n'ait pas réussi à contenir sa dette publique depuis la sortie de la dernière crise financière. Elle devrait tout juste se stabiliser en 2019, pour commencer à régresser à partir de 2020. Le succès du gouvernement sur ce volet dépendra de sa capacité à atteindre «ses objectifs de dépenses définis pour l'administration centrale, les collectivités locales et la Sécurité sociale», souligne le rapport de la Commission sur la France.La Commission européenne a écrit:
L'efficacité du soutien public à l'innovation pourrait être encore améliorée
Bruxelles s'inquiète encore de la faiblesse de la compétitivité française, qui s'incarne par une progression de la productivité très réduite, elle-même produit de la faible intensité de l'innovation. «Il est essentiel d'approfondir le volet innovation, a ainsi recommandé Carlos Martinez-Mongay, directeur général adjoint de la Direction générale des affaires économiques et financières. La France a des dépenses significatives dans le secteur public mais les résultats ne suivent pas, car l'action n'est pas assez coordonnée avec le privé», juge le haut fonctionnaire européen.
À lire aussi : Selon une étude allemande, l'euro aurait particulièrement nui aux Français
La politique d'innovation française pourrait aussi s'améliorer, notent les experts, si tous les obstacles à la concurrence étaient levés dans les secteurs des services. Ce sujet des professions réglementées (notaires, huissiers, pharmaciens…) est un irritant de longue date entre Bruxelles et Paris. Quand Bercy estime avoir réalisé l'essentiel de l'effort, notamment via la loi Macron de 2015, la Commission reste persuadée que ces réglementations entravent le développement d'une saine concurrence dans l'Hexagone. Toujours sur le volet compétitivité, Bruxelles rejoint les industriels français pour conseiller de réduire les impôts de production, qui frappent les entreprises avant qu'elles ne réalisent des bénéfices.
Enfin, la Commission souligne que, malgré la lente décrue du chômage, le marché du travail français reste particulièrement fragmenté. Des poches entières de la population - jeunes, personnes sans diplômes, famille monoparentale… - semblent bloquées dans leur situation de chômage.
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
Age : 84
Localisation : Cévennes France--Tarragone catalogne
Re: La France de Macron - , un risque pour l'avenir de nos enfants --
La croissance en France en 2019 a été de 1,3 %donc en dessous des prévisions.
On a du souci à se faire pour 2020
https://www.20minutes.fr/economie/2683259-20191227-ralentissement-economie-mondiale-2020-va-avoir-effet-porte-
Suis-je sot (hein Papy Tiote), le gouvernement est confiant, donc aucun souci à se faire
On a du souci à se faire pour 2020
https://www.20minutes.fr/economie/2683259-20191227-ralentissement-economie-mondiale-2020-va-avoir-effet-porte-
Suis-je sot (hein Papy Tiote), le gouvernement est confiant, donc aucun souci à se faire
"Ce qui est certain c'est que ce Macron, personnage mineur de l'histoire romaine, mettra fin à ses jours et à ceux de sa femme sous la pression de Caligula"
dugenou- Messages : 4957
Date d'inscription : 02/07/2017
Re: La France de Macron - , un risque pour l'avenir de nos enfants --
dugenou a écrit:La croissance en France en 2019 a été de 1,3 %donc en dessous des prévisions.
On a du souci à se faire pour 2020
https://www.20minutes.fr/economie/2683259-20191227-ralentissement-economie-mondiale-2020-va-avoir-effet-porte-
Suis-je sot (hein Papy Tiote), le gouvernement est confiant, donc aucun souci à se faire
Aucun souci à se faire: d'après l'expert Nestor, la croissance française est en hausse
Diviciac- Messages : 43162
Date d'inscription : 02/07/2017
Localisation : IdF et Morvan
Re: La France de Macron - , un risque pour l'avenir de nos enfants --
Maintenant que chacun va pouvoir avoir des enfants,au prix d'une PMA,la natalité va repartir!
Invité- Invité
Re: La France de Macron - , un risque pour l'avenir de nos enfants --
Zerbinette a écrit:Maintenant que chacun va pouvoir avoir des enfants,au prix d'une PMA,la natalité va repartir!
Pas besoin des Français pour ça -- les orientales s'en occupent -
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
Age : 84
Localisation : Cévennes France--Tarragone catalogne
Re: La France de Macron - , un risque pour l'avenir de nos enfants --
ledevois a écrit:Dépenses publiques en % du PIB :
USA 37 %
Europe 47 %
France 57 %
Voilà tout est dit.
l endettement par an augmente encore plus avec MACRON que HOLLANDE c est dire ---
Ce qui est extraordinaire c'est que, dans notre pays, personne (LREM, gilets jaunes, RN, LFI, etc...) ne s'en préoccupe.
La Commission européenne s‘inquiète de l'endettement français
Les experts de la Commission estiment que le ralentissement devrait se poursuivre cette année en France, avec une croissance attendue à 1,3% en 2019.
Par Anne de Guigné
Publié le 27 février 2019 à 18:21, mis à jour le 27 février 2019 à 19:56
Le quartier général de la Commission européenne, à Bruxelles. Francois Lenoir/REUTERS
Comme ses voisines, l'économie française a été passée ces dernières semaines au peigne fin des experts de la Commission européenne. Sans surprise, leurs conclusions et recommandations ressemblent à celles de l'année dernière. Mais l'euphorie de la reprise retombée, elles revêtent pour cette édition une tonalité plus grave. Après 2,3% en 2017, l'activité n'a en effet progressé que de 1,5% en 2018 en France. Selon les prévisions de la Commission, le ralentissement devrait se poursuivre cette année, avec une croissance attendue à 1,3% en 2019.
La Commission soutient toujours les grandes réformes du gouvernement Macron - fiscalité, travail, formation… - et estime qu'à moyen terme elles permettront d'améliorer le potentiel de croissance du pays. Comme lors de l'édition 2018, elle s'interroge et attend d'en savoir plus sur les volets retraites et réforme de l'État. Les experts pointent enfin de grands chantiers d'amélioration à lancer.Le premier est connu: le désendettement. La France est l'un des seuls États de la zone euro qui n'ait pas réussi à contenir sa dette publique depuis la sortie de la dernière crise financière. Elle devrait tout juste se stabiliser en 2019, pour commencer à régresser à partir de 2020. Le succès du gouvernement sur ce volet dépendra de sa capacité à atteindre «ses objectifs de dépenses définis pour l'administration centrale, les collectivités locales et la Sécurité sociale», souligne le rapport de la Commission sur la France.La Commission européenne a écrit:
L'efficacité du soutien public à l'innovation pourrait être encore améliorée
Bruxelles s'inquiète encore de la faiblesse de la compétitivité française, qui s'incarne par une progression de la productivité très réduite, elle-même produit de la faible intensité de l'innovation. «Il est essentiel d'approfondir le volet innovation, a ainsi recommandé Carlos Martinez-Mongay, directeur général adjoint de la Direction générale des affaires économiques et financières. La France a des dépenses significatives dans le secteur public mais les résultats ne suivent pas, car l'action n'est pas assez coordonnée avec le privé», juge le haut fonctionnaire européen.
À lire aussi : Selon une étude allemande, l'euro aurait particulièrement nui aux Français
La politique d'innovation française pourrait aussi s'améliorer, notent les experts, si tous les obstacles à la concurrence étaient levés dans les secteurs des services. Ce sujet des professions réglementées (notaires, huissiers, pharmaciens…) est un irritant de longue date entre Bruxelles et Paris. Quand Bercy estime avoir réalisé l'essentiel de l'effort, notamment via la loi Macron de 2015, la Commission reste persuadée que ces réglementations entravent le développement d'une saine concurrence dans l'Hexagone. Toujours sur le volet compétitivité, Bruxelles rejoint les industriels français pour conseiller de réduire les impôts de production, qui frappent les entreprises avant qu'elles ne réalisent des bénéfices.
Enfin, la Commission souligne que, malgré la lente décrue du chômage, le marché du travail français reste particulièrement fragmenté. Des poches entières de la population - jeunes, personnes sans diplômes, famille monoparentale… - semblent bloquées dans leur situation de chômage.
27 février ...
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: La France de Macron - , un risque pour l'avenir de nos enfants --
Nadou a écrit:ledevois a écrit:Dépenses publiques en % du PIB :
USA 37 %
Europe 47 %
France 57 %
Voilà tout est dit.
l endettement par an augmente encore plus avec MACRON que HOLLANDE c est dire ---
Ce qui est extraordinaire c'est que, dans notre pays, personne (LREM, gilets jaunes, RN, LFI, etc...) ne s'en préoccupe.
La Commission européenne s‘inquiète de l'endettement français
Les experts de la Commission estiment que le ralentissement devrait se poursuivre cette année en France, avec une croissance attendue à 1,3% en 2019.
Par Anne de Guigné
Publié le 27 février 2019 à 18:21, mis à jour le 27 février 2019 à 19:56
Le quartier général de la Commission européenne, à Bruxelles. Francois Lenoir/REUTERS
Comme ses voisines, l'économie française a été passée ces dernières semaines au peigne fin des experts de la Commission européenne. Sans surprise, leurs conclusions et recommandations ressemblent à celles de l'année dernière. Mais l'euphorie de la reprise retombée, elles revêtent pour cette édition une tonalité plus grave. Après 2,3% en 2017, l'activité n'a en effet progressé que de 1,5% en 2018 en France. Selon les prévisions de la Commission, le ralentissement devrait se poursuivre cette année, avec une croissance attendue à 1,3% en 2019.
La Commission soutient toujours les grandes réformes du gouvernement Macron - fiscalité, travail, formation… - et estime qu'à moyen terme elles permettront d'améliorer le potentiel de croissance du pays. Comme lors de l'édition 2018, elle s'interroge et attend d'en savoir plus sur les volets retraites et réforme de l'État. Les experts pointent enfin de grands chantiers d'amélioration à lancer.
Le premier est connu: le désendettement. La France est l'un des seuls États de la zone euro qui n'ait pas réussi à contenir sa dette publique depuis la sortie de la dernière crise financière. Elle devrait tout juste se stabiliser en 2019, pour commencer à régresser à partir de 2020. Le succès du gouvernement sur ce volet dépendra de sa capacité à atteindre «ses objectifs de dépenses définis pour l'administration centrale, les collectivités locales et la Sécurité sociale», souligne le rapport de la Commission sur la France.
Bruxelles s'inquiète encore de la faiblesse de la compétitivité française, qui s'incarne par une progression de la productivité très réduite, elle-même produit de la faible intensité de l'innovation. «Il est essentiel d'approfondir le volet innovation, a ainsi recommandé Carlos Martinez-Mongay, directeur général adjoint de la Direction générale des affaires économiques et financières. La France a des dépenses significatives dans le secteur public mais les résultats ne suivent pas, car l'action n'est pas assez coordonnée avec le privé», juge le haut fonctionnaire européen.
À lire aussi : Selon une étude allemande, l'euro aurait particulièrement nui aux Français
La politique d'innovation française pourrait aussi s'améliorer, notent les experts, si tous les obstacles à la concurrence étaient levés dans les secteurs des services. Ce sujet des professions réglementées (notaires, huissiers, pharmaciens…) est un irritant de longue date entre Bruxelles et Paris. Quand Bercy estime avoir réalisé l'essentiel de l'effort, notamment via la loi Macron de 2015, la Commission reste persuadée que ces réglementations entravent le développement d'une saine concurrence dans l'Hexagone. Toujours sur le volet compétitivité, Bruxelles rejoint les industriels français pour conseiller de réduire les impôts de production, qui frappent les entreprises avant qu'elles ne réalisent des bénéfices.
Enfin, la Commission souligne que, malgré la lente décrue du chômage, le marché du travail français reste particulièrement fragmenté. Des poches entières de la population - jeunes, personnes sans diplômes, famille monoparentale… - semblent bloquées dans leur situation de chômage.
27 février ...
Vous ne suivez certainement pas , ---ce n'est pas pour vous inquiéter mais ça affreusement augmenté --c'est déplorable -
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
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