Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
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Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
Personne ne l’a obligé à accepter l’héritage. Il avait le choixjeanpil a écrit:Si, Macron hérite. Mais c'est un héritier pas plus capable que les autres.
dugenou- Messages : 4957
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Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
Zerbinette a écrit:Hollande a géré le pays en "pépère",s'occupant plus des ses maitresses que des difficultés qui s'ajoutaient!
Macron est comme ces fils qui héritent d'une affaire en faillite,et qui ne savent plus comment faire,parce qu'on leur avait bien caché l'état ds lequel ils avaient repris la succession!
On ne peut pas le rendre responsable de tous ce qui l'a précédé!
Bien sur et vous avez raison de confirmer que Macron n'est pas responsable de la France en faillite , -- oui bien sur !!
Sauf que Hollande à commencé à réduire la dette alors que Macron l'augmente ---
Quand on lance un vaste chantier de réformes de la France comme veut faire Macron faut des capacités intellectuelle et surtout savoir s'imposer et expliquer aux Français que c'est bon pour le pays --- il faut que ce soit chiffré --
En 2017 nous avons eu 1.000 milliards de prélèvements obligatoires supplémentaires qui n'ont servi à rien ---
Je n'étais pas contre de payer si c'était pour baisser la dette , - parce qu'e c'est vrai que c'est un besoin réel ---
Là -- actuellement il parle de baisser impôts et taxes sur des augmentations --- tout ça n'a servi à rien sinon a dépenser sans compter par le pouvoir public --
Il me semble que ça n'à aucun sens et n'importe quoi , et que nous avons besoin de stabilité --
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
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Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
ledevois a écrit:Zerbinette a écrit:Hollande a géré le pays en "pépère",s'occupant plus des ses maitresses que des difficultés qui s'ajoutaient!
Macron est comme ces fils qui héritent d'une affaire en faillite,et qui ne savent plus comment faire,parce qu'on leur avait bien caché l'état ds lequel ils avaient repris la succession!
On ne peut pas le rendre responsable de tous ce qui l'a précédé!
Bien sur et vous avez raison de confirmer que Macron n'est pas responsable de la France en faillite , -- oui bien sur !!
Sauf que Hollande à commencé à réduire la dette alors que Macron l'augmente --- Il l'augmente parce des irresponsable comme toi lui mettent les bâton dans les roues!
Quand on lance un vaste chantier de réformes de la France comme veut faire Macron faut des capacités intellectuelle et surtout savoir s'imposer et expliquer aux Français que c'est bon pour le pays --- il faut que ce soit chiffré --
En 2017 nous avons eu 1.000 milliards de prélèvements obligatoires supplémentaires qui n'ont servi à rien --- Voilà encore une connerie dont tu as "l'art" de nous inonder! NON CE N'EST PAS 1000 milliards Supplémentaires, mais le dépassement du seuil des 1000 mds! Pour ta gouverne lit l'article des ECHOS: https://www.lesechos.fr/economie-france/budget-fiscalite/les-prelevements-obligatoires-ont-franchi-la-barre-des-1000-milliards-en-france-141724 Fait toi aider si tu ne comprends pas bien! Voilà comment se diffusent de fausses informations. Cela dit, c'est vrai que ce niveau de prélèvement est insupportable; mais à qui la faute sinon à tous ces français quémandeurs ,pleurnicheurs, ces assistés qui n'en ont jamais assez!
Je n'étais pas contre de payer si c'était pour baisser la dette , - parce qu'e c'est vrai que c'est un besoin réel ---
Là -- actuellement il parle de baisser impôts et taxes sur des augmentations --- tout ça n'a servi à rien sinon a dépenser sans compter par le pouvoir public --
Il me semble que ça n'à aucun sens et n'importe quoi , et que nous avons besoin de stabilité -- Si tu n'avais pas participé à cette fronde avec tes amis jaunis, nous n'en serions pas là!
Invité- Invité
Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
Décidément vous êtes très con.magicfly a écrit:ledevois a écrit:
Bien sur et vous avez raison de confirmer que Macron n'est pas responsable de la France en faillite , -- oui bien sur !!
Sauf que Hollande à commencé à réduire la dette alors que Macron l'augmente --- Il l'augmente parce des irresponsable comme toi lui mettent les bâton dans les roues!
Quand on lance un vaste chantier de réformes de la France comme veut faire Macron faut des capacités intellectuelle et surtout savoir s'imposer et expliquer aux Français que c'est bon pour le pays --- il faut que ce soit chiffré --
En 2017 nous avons eu 1.000 milliards de prélèvements obligatoires supplémentaires qui n'ont servi à rien --- Voilà encore une connerie dont tu as "l'art" de nous inonder! NON CE N'EST PAS 1000 milliards Supplémentaires, mais le dépassement du seuil des 1000 mds! Pour ta gouverne lit l'article des ECHOS: https://www.lesechos.fr/economie-france/budget-fiscalite/les-prelevements-obligatoires-ont-franchi-la-barre-des-1000-milliards-en-france-141724 Fait toi aider si tu ne comprends pas bien! Voilà comment se diffusent de fausses informations. Cela dit, c'est vrai que ce niveau de prélèvement est insupportable; mais à qui la faute sinon à tous ces français quémandeurs ,pleurnicheurs, ces assistés qui n'en ont jamais assez!Je n'étais pas contre de payer si c'était pour baisser la dette , - parce qu'e c'est vrai que c'est un besoin réel ---
Là -- actuellement il parle de baisser impôts et taxes sur des augmentations --- tout ça n'a servi à rien sinon a dépenser sans compter par le pouvoir public --
Il me semble que ça n'à aucun sens et n'importe quoi , et que nous avons besoin de stabilité -- Si tu n'avais pas participé à cette fronde avec tes amis jaunis, nous n'en serions pas là!
Traiter Ledevois (retraité aisé) Diviciac (retraité aisé) et moi-même (salarié aisé) de jaunis est une connerie magistrale mais vous n’en êtes pas à votre ballon d’essai.
Ça n’est pas parce que nous comprenons, contrairement à vous le bourricot, les difficultés financières et sociétales de ce mouvement que nous allons les accuser d’être la source de la dette en France.
On peut partager leurs souffrances. Vous, non.
Tous les GJ avec qui j’ai pris le temps de discuter réclament avant tout de pouvoir vivre décemment de leur travail. Votre petit esprit étriqué de retraité, non et votre adoration de Jupiter est de plus en plus flagrante.
Il serait bon, qu’un jour, quelqu’un vous ôte les œillères que vous aimez porter pour ne pas nuire à votre petit confort personnel.
"Ce qui est certain c'est que ce Macron, personnage mineur de l'histoire romaine, mettra fin à ses jours et à ceux de sa femme sous la pression de Caligula"
dugenou- Messages : 4957
Date d'inscription : 02/07/2017
Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
magicfly a écrit:ledevois a écrit:
Bien sur et vous avez raison de confirmer que Macron n'est pas responsable de la France en faillite , -- oui bien sur !!
Sauf que Hollande à commencé à réduire la dette alors que Macron l'augmente --- Il l'augmente parce des irresponsable comme toi lui mettent les bâton dans les roues!
Quand on lance un vaste chantier de réformes de la France comme veut faire Macron faut des capacités intellectuelle et surtout savoir s'imposer et expliquer aux Français que c'est bon pour le pays --- il faut que ce soit chiffré --
En 2017 nous avons eu 1.000 milliards de prélèvements obligatoires supplémentaires qui n'ont servi à rien --- Voilà encore une connerie dont tu as "l'art" de nous inonder! NON CE N'EST PAS 1000 milliards Supplémentaires, mais le dépassement du seuil des 1000 mds! Pour ta gouverne lit l'article des ECHOS: https://www.lesechos.fr/economie-france/budget-fiscalite/les-prelevements-obligatoires-ont-franchi-la-barre-des-1000-milliards-en-france-141724 Fait toi aider si tu ne comprends pas bien! Voilà comment se diffusent de fausses informations. Cela dit, c'est vrai que ce niveau de prélèvement est insupportable; mais à qui la faute sinon à tous ces français quémandeurs ,pleurnicheurs, ces assistés qui n'en ont jamais assez!Je n'étais pas contre de payer si c'était pour baisser la dette , - parce qu'e c'est vrai que c'est un besoin réel ---
Là -- actuellement il parle de baisser impôts et taxes sur des augmentations --- tout ça n'a servi à rien sinon a dépenser sans compter par le pouvoir public --
Il me semble que ça n'à aucun sens et n'importe quoi , et que nous avons besoin de stabilité -- Si tu n'avais pas participé à cette fronde avec tes amis jaunis, nous n'en serions pas là!
Il y a une raison à la fronde puisque Macron reconnait ses erreurs --
Il serait temps que vous conveniez de passer à autre chose qu'un incompétent --
se maintenir au pouvoir pourquoi faire --?
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
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Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
con - connerie - bourricot - esprit étriqué -
Vous en avez d´autres......
Vous en avez d´autres......
Invité- Invité
Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
je ne fais que reprendre les gentillesses autorisée sur ce forum.elaine a écrit:con - connerie - bourricot - esprit étriqué -
Vous en avez d´autres......
"Ce qui est certain c'est que ce Macron, personnage mineur de l'histoire romaine, mettra fin à ses jours et à ceux de sa femme sous la pression de Caligula"
dugenou- Messages : 4957
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Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
J'essaie de me mettre à ton niveau, mais j'ai conscience d'être encore très loin pour dépasser le maîtredugenou a écrit:Décidément vous êtes très con.magicfly a écrit:
Traiter Ledevois (retraité aisé) Diviciac (retraité aisé) et moi-même (salarié aisé) de jaunis est une connerie magistrale mais vous n’en êtes pas à votre ballon d’essai.
Ça n’est pas parce que nous comprenons, contrairement à vous le bourricot, les difficultés financières et sociétales de ce mouvement que nous allons les accuser d’être la source de la dette en France.
On peut partager leurs ; je suis heureux. Vous, non.
Tous les GJ avec qui j’ai pris le temps de discuter réclament avant tout de pouvoir vivre décemment de leur travail. Votre petit esprit étriqué de retraité, non et votre adoration de Jupiter est de plus en plus flagrante.
Il serait bon, qu’un jour, quelqu’un vous ôte les œillères que vous aimez porter pour ne pas nuire à votre petit confort personnel.
Invité- Invité
Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
G
Au passage, je dénonce votre malhonnêteté à modifier les posts sans prendre la peine de prendre votre couleur de police
Ok, j’entends votre argument : « c’est celui qui dit qui y est ». C’est puissantmagicfly a écrit:J'essaie de me mettre à ton niveau, mais j'ai conscience d'être encore très loin pour dépasser le maîtredugenou a écrit:
Décidément vous êtes très con.
Traiter Ledevois (retraité aisé) Diviciac (retraité aisé) et moi-même (salarié aisé) de jaunis est une connerie magistrale mais vous n’en êtes pas à votre ballon d’essai.
Ça n’est pas parce que nous comprenons, contrairement à vous le bourricot, les difficultés financières et sociétales de ce mouvement que nous allons les accuser d’être la source de la dette en France.
On peut partager leur souffrance, Vous, non.
Tous les GJ avec qui j’ai pris le temps de discuter réclament avant tout de pouvoir vivre décemment de leur travail. Votre petit esprit étriqué de retraité, non et votre adoration de Jupiter est de plus en plus flagrante.
Il serait bon, qu’un jour, quelqu’un vous ôte les œillères que vous aimez porter pour ne pas nuire à votre petit confort personnel.
Au passage, je dénonce votre malhonnêteté à modifier les posts sans prendre la peine de prendre votre couleur de police
"Ce qui est certain c'est que ce Macron, personnage mineur de l'histoire romaine, mettra fin à ses jours et à ceux de sa femme sous la pression de Caligula"
dugenou- Messages : 4957
Date d'inscription : 02/07/2017
Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
dugenou a écrit:GOk, j’entends votre argument : « c’est celui qui dit qui y est ». C’est puissantmagicfly a écrit:
J'essaie de me mettre à ton niveau, mais j'ai conscience d'être encore très loin pour dépasser le maître
Au passage, je dénonce votre malhonnêteté à modifier les posts sans prendre la peine de prendre votre couleur de police
Boff -- !
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
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Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
elaine a écrit: con - connerie - bourricot - esprit étriqué -
Vous en avez d´autres......
Ce monsieur a décidément bien choisi son pseudo ...
Invité- Invité
Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
dugenou a écrit:Décidément vous êtes très con.magicfly a écrit:ledevois a écrit:
Bien sur et vous avez raison de confirmer que Macron n'est pas responsable de la France en faillite , -- oui bien sur !!
Sauf que Hollande à commencé à réduire la dette alors que Macron l'augmente --- Il l'augmente parce des irresponsable comme toi lui mettent les bâton dans les roues!
Quand on lance un vaste chantier de réformes de la France comme veut faire Macron faut des capacités intellectuelle et surtout savoir s'imposer et expliquer aux Français que c'est bon pour le pays --- il faut que ce soit chiffré --
En 2017 nous avons eu 1.000 milliards de prélèvements obligatoires supplémentaires qui n'ont servi à rien --- Voilà encore une connerie dont tu as "l'art" de nous inonder! NON CE N'EST PAS 1000 milliards Supplémentaires, mais le dépassement du seuil des 1000 mds! Pour ta gouverne lit l'article des ECHOS: https://www.lesechos.fr/economie-france/budget-fiscalite/les-prelevements-obligatoires-ont-franchi-la-barre-des-1000-milliards-en-france-141724 Fait toi aider si tu ne comprends pas bien! Voilà comment se diffusent de fausses informations. Cela dit, c'est vrai que ce niveau de prélèvement est insupportable; mais à qui la faute sinon à tous ces français quémandeurs ,pleurnicheurs, ces assistés qui n'en ont jamais assez!Je n'étais pas contre de payer si c'était pour baisser la dette , - parce qu'e c'est vrai que c'est un besoin réel ---
Là -- actuellement il parle de baisser impôts et taxes sur des augmentations --- tout ça n'a servi à rien sinon a dépenser sans compter par le pouvoir public --
Il me semble que ça n'à aucun sens et n'importe quoi , et que nous avons besoin de stabilité -- Si tu n'avais pas participé à cette fronde avec tes amis jaunis, nous n'en serions pas là!
Traiter Ledevois (retraité aisé) Diviciac (retraité aisé) et moi-même (salarié aisé) de jaunis est une connerie magistrale mais vous n’en êtes pas à votre ballon d’essai.
Ça n’est pas parce que nous comprenons, contrairement à vous le bourricot, les difficultés financières et sociétales de ce mouvement que nous allons les accuser d’être la source de la dette en France.
On peut partager leurs souffrances. Vous, non.
Tous les GJ avec qui j’ai pris le temps de discuter réclament avant tout de pouvoir vivre décemment de leur travail. Votre petit esprit étriqué de retraité, non et votre adoration de Jupiter est de plus en plus flagrante.
Il serait bon, qu’un jour, quelqu’un vous ôte les œillères que vous aimez porter pour ne pas nuire à votre petit confort personnel.
Ces retraités "aisés" se plaignent pour eux aussi ! Ils craignent de ne pas voir disparaître leur TH à la fin du mandat.
Qu'est- ce que vous êtes méprisant et hautain, c'est dingue comme ça se perçoit dans vos messages.
Magic, Font, moi, expliquons depuis le début que nous sommes prêts à faire des sacrifices pour que l"emploi redémarre, nous sommes le contraire de ceux qui cherchent à accroître leur confort personnel.
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
C'est ce qu'on n'a cessé de répété! J'ai personnellement dit que je n'approuvais pas la suppression de la TH, mais qu'elle devait être réformée pour être plus juste, parce que l'on doit participé par cet impôt à la vie locale. Mais que veux-tu un casque à boulon ça ne peut pas comprendre!Nadou a écrit:dugenou a écrit:
Décidément vous êtes très con.
Traiter Ledevois (retraité aisé) Diviciac (retraité aisé) et moi-même (salarié aisé) de jaunis est une connerie magistrale mais vous n’en êtes pas à votre ballon d’essai.
Ça n’est pas parce que nous comprenons, contrairement à vous le bourricot, les difficultés financières et sociétales de ce mouvement que nous allons les accuser d’être la source de la dette en France.
On peut partager leurs souffrances. Vous, non.
Tous les GJ avec qui j’ai pris le temps de discuter réclament avant tout de pouvoir vivre décemment de leur travail. Votre petit esprit étriqué de retraité, non et votre adoration de Jupiter est de plus en plus flagrante.
Il serait bon, qu’un jour, quelqu’un vous ôte les œillères que vous aimez porter pour ne pas nuire à votre petit confort personnel.
Ces retraités "aisés" se plaignent pour eux aussi ! Ils craignent de ne pas voir disparaître leur TH à la fin du mandat.
Qu'est- ce que vous êtes méprisant et hautain, c'est dingue comme ça se perçoit dans vos messages.
Magic, Font, moi, expliquons depuis le début que nous sommes prêts à faire des sacrifices pour que l"emploi redémarre, nous sommes le contraire de ceux qui cherchent à accroître leur confort personnel.
Invité- Invité
Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
Je ne comprends pas nadou. Quels sacrifices veux-tu faire pour que l´emploi redémarre ??Nadou a écrit:Ces retraités "aisés" se plaignent pour eux aussi ! Ils craignent de ne pas voir disparaître leur TH à la fin du mandat.
Qu'est- ce que vous êtes méprisant et hautain, c'est dingue comme ça se perçoit dans vos messages.
Magic, Font, moi, expliquons depuis le début que nous sommes prêts à faire des sacrifices pour que l"emploi redémarre, nous sommes le contraire de ceux qui cherchent à accroître leur confort personnel.
N´as-tu pas suffisamment cotisé pendant ta vie active pour avoir mérité ta retraite maintenant ?
Ce sont les jeunes qui doivent faire un effort pour cela.
Moi personnellement je n´ai pas du tout l´intention d´en faire des sacrifices.
Invité- Invité
Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
Les jeunes ont bon dos.elaine a écrit:Je ne comprends pas nadou. Quels sacrifices veux-tu faire pour que l´emploi redémarre ??Nadou a écrit:Ces retraités "aisés" se plaignent pour eux aussi ! Ils craignent de ne pas voir disparaître leur TH à la fin du mandat.
Qu'est- ce que vous êtes méprisant et hautain, c'est dingue comme ça se perçoit dans vos messages.
Magic, Font, moi, expliquons depuis le début que nous sommes prêts à faire des sacrifices pour que l"emploi redémarre, nous sommes le contraire de ceux qui cherchent à accroître leur confort personnel.
N´as-tu pas suffisamment cotisé pendant ta vie active pour avoir mérité ta retraite maintenant ?
Ce sont les jeunes qui doivent faire un effort pour cela.
Moi personnellement je n´ai pas du tout l´intention d´en faire des sacrifices.
Afin que les "jeunes" puissent faire des efforts, il faudrait pour commencer qu'il y ait du travail, or ce n'est pas le cas.
Dans mon lycée, je me retrouve avec des tas de jeunes, ingénieurs à doctorat qui se retrouvent avec des petits salaires et dans des emplois précaires.
Est-ce que ca valait la peine de bosser autant pour un résultat aussi pitoyable?
Lili-Rose- Messages : 14775
Date d'inscription : 21/01/2018
Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
Lili-Rose a écrit:Les jeunes ont bon dos.elaine a écrit:Je ne comprends pas nadou. Quels sacrifices veux-tu faire pour que l´emploi redémarre ??Nadou a écrit:Ces retraités "aisés" se plaignent pour eux aussi ! Ils craignent de ne pas voir disparaître leur TH à la fin du mandat.
Qu'est- ce que vous êtes méprisant et hautain, c'est dingue comme ça se perçoit dans vos messages.
Magic, Font, moi, expliquons depuis le début que nous sommes prêts à faire des sacrifices pour que l"emploi redémarre, nous sommes le contraire de ceux qui cherchent à accroître leur confort personnel.
N´as-tu pas suffisamment cotisé pendant ta vie active pour avoir mérité ta retraite maintenant ?
Ce sont les jeunes qui doivent faire un effort pour cela.
Moi personnellement je n´ai pas du tout l´intention d´en faire des sacrifices.
Afin que les "jeunes" puissent faire des efforts, il faudrait pour commencer qu'il y ait du travail, or ce n'est pas le cas.
Dans mon lycée, je me retrouve avec des tas de jeunes, ingénieurs à doctorat qui se retrouvent avec des petits salaires et dans des emplois précaires.
Est-ce que ca valait la peine de bosser autant pour un résultat aussi pitoyable?
Ce n'est pas parce qu'on est ingénieur qu'on est employable par des entreprises.
Il faut accepter de déménager et de commencer avec un petit salaire. Mon mari l'était et mon fils l'est. On ne t'attends pas forcément avec un bouquet de fleurs.
Emploi des jeunes diplômés bac+5 : un marché à deux vitesses ?
Étienne Gless
Publié le 16.04.2019
INFOGRAPHIE. Globalement, si l'insertion professionnelle des jeunes diplômés à bac+5 s'améliore, celle-ci est plus ou moins rapide selon le sexe et les domaines de formation. Et les diplômés doivent faire des concessions... Décryptage.
La quête du premier emploi n'a jamais été un long fleuve tranquille. Néanmoins, pour les diplômés à bac+5, la situation est devenue nettement très favorable depuis trois ans, à en croire le baromètre 2019 de l'insertion des jeunes diplômés publié par l'APEC (Association pour l'emploi des cadres) en avril 2019.
85 % des diplômés de l'année 2017 occupaient un emploi 12 mois plus tard, contre 82 % pour leurs camarades de la promotion précédente, diplômés en 2016.
Un record qui n'avait pas été atteint depuis le début des années 2000 ! Mais des disparités subsistent selon les disciplines.
En 2018, le taux moyen d'insertion professionnelle des diplômés bac+5 atteint 85 % 12 mois après l'obtention du diplôme. Mais les écarts sont importants selon le domaine de formation : les diplômés de lettres, de langues et d'arts ne sont ainsi que 72 % à être en emploi un an après la fin de leurs études.
https://www.letudiant.fr/jobsstages/emploi-des-jeunes-diplomes-bac-5-un-marche-a-deux-vitesses.html
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
elaine a écrit:Je ne comprends pas nadou. Quels sacrifices veux-tu faire pour que l´emploi redémarre ??Nadou a écrit:Ces retraités "aisés" se plaignent pour eux aussi ! Ils craignent de ne pas voir disparaître leur TH à la fin du mandat.
Qu'est- ce que vous êtes méprisant et hautain, c'est dingue comme ça se perçoit dans vos messages.
Magic, Font, moi, expliquons depuis le début que nous sommes prêts à faire des sacrifices pour que l"emploi redémarre, nous sommes le contraire de ceux qui cherchent à accroître leur confort personnel.
N´as-tu pas suffisamment cotisé pendant ta vie active pour avoir mérité ta retraite maintenant ?
Ce sont les jeunes qui doivent faire un effort pour cela.
Moi personnellement je n´ai pas du tout l´intention d´en faire des sacrifices.
Les efforts ont déjà commencé pour les retraités à plus de 2000 €. Et je constate que l'emploi se porte mieux.
Si des jeunes refusent certains postes, c'est une question d'éducation et de bobards racontés dans les écoles. Ils doivent prendre leur destin en main.
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
L’Association pour l'emploi des cadres (Apec) publie, ce jeudi 11 avril, sa nouvelle édition du “baromètre de l’insertion des jeunes diplômé.e.s”. Qui confirme la bonne santé du marché de l’emploi cadre pour les néo-diplômés.
C’est un secret de Polichinelle. L’emploi des cadres est au beau fixe.
Cette population de travailleurs hautement qualifiés connaît même une situation de plein-emploi, avec un taux de chômage de 3,4%, d’après les derniers chiffres publiés par l’Insee en mars. Conséquence logique : l’accès à l’emploi pour les jeunes diplômés cadres s’est encore amélioré en 2018. C’est ce qui ressort de la nouvelle édition du “baromètre de l’insertion des jeunes diplômé.e.s”, publié ce jeudi 11 avril par l’Association pour l'emploi des cadres (Apec).
Depuis 2017, l’Apec effectue un suivi de la situation professionnelle des jeunes diplômés de l’enseignement supérieur 12 mois après l’obtention de leur diplôme. Pour ce faire, 500 jeunes diplômés de niveau Bac+3 / 4 et Bac+5, ainsi que 1.000 jeunes diplômés de niveau Bac+5 ou plus, âgés de 20 à 30 ans au moment de l’enquête, ayant obtenu leur diplôme en 2017 et résidant en France métropolitaine ont été interrogés. Capital a sélectionné pour vous 7 chiffres issus de cette étude qui démontrent que les jeunes diplômés cadres n’ont pas de soucis à se faire, même si des disparités existent évidemment (sexe, formation, etc.).
1. 76% des jeunes diplômés ont un emploi six mois après la fin de leurs études
Alors que l’on comptait, en 2017, 70% de jeunes diplômés cadres en emploi six mois après l’obtention de leur diplôme, ils sont désormais 76%, soit une hausse de six points ! L’Apec note aussi, et on peut s’en réjouir, que “l’amélioration sensible du taux d’emploi à 6 mois est générale parmi les titulaires d’un Bac+5, qui en bénéficient quels que soient leur sexe, leur discipline de formation ou encore leur lieu d’habitation”.2. 85% de diplômés en emploi un an après l’obtention de leur diplôme
Si le pourcentage de jeunes diplômés cadres en emploi six mois après l’obtention de leur précieux sésame augmente, on peut se douter que les chiffres au bout d’un an doivent aussi être meilleurs. Et c’est effectivement le cas : on comptait 83% de diplômés en emploi un an après en 2017, contre 85% en 2018, soit une hausse de deux points.3. 68% de jeunes diplômés en CDI un an après la fin de leurs études
Après avoir remarqué cette hausse du taux d’emploi au bout de 6 mois ou un an, on pourrait se dire, d’accord, il y a un loup : ces bons résultats cachent une précarisation de l’emploi. Mais il n’en est rien. Au contraire, entre 2016 et 2018, le nombre de jeunes diplômés en CDD un an après l’obtention de leur diplôme est passé de 38 à 28%, soit une baisse de 10 points ! Dans le même temps, sur la même période, la proportion de CDI est passée de 55 à 68%, soit une hausse de 13 points.4. 84% des jeunes diplômés ont un emploi qui correspond à leur discipline de formation
Au-delà de l’augmentation significative des embauches en CDI, les jeunes diplômés cadres sont de moins en moins obligés d’accepter des postes qui ne correspondent pas à leur formation. Ainsi, entre 2016 et 2018, le nombre de jeunes diplômés dont l’emploi correspond à la discipline de formation est passé de 77% à 84%, gagnant donc sept points. Dans le même temps, sur la même période, le nombre de jeunes cadres dont l’emploi correspond au niveau de qualification est passé de 74% à 78%, soit une hausse de quatre points. À noter, néanmoins : 24% qualifient leur emploi de “job alimentaire”, un chiffre qui stagne depuis deux ans.5. 62% des jeunes diplômés travaillent toujours pour leur premier employeur un an après l’obtention de leur diplôme
Certains jeunes diplômés ont la chance de toujours occuper leur premier emploi 12 mois après la fin de leurs études : l’Apec les réunit sous le vocable d’”insertion dans l’emploi stable”. Bonne nouvelle, leur nombre augmente cette année ! Alors qu’ils étaient 60% en 2017, ils sont désormais 62%, soit une hausse de deux points. Par ailleurs, la parité est totalement respectée dans ce groupe de jeunes diplômés cadres à l’insertion stable, puisque l’on y compte autant d’hommes que de femmes.6. La moitié des jeunes diplômés cadres, détenteurs d’un master, gagne plus de 30.000 euros brut par an
C’est une donnée qui est stable depuis la précédente édition de ce baromètre “Jeunes diplômés” de l’Apec. En 2017 comme en 2018, le salaire brut annuel médian des jeunes diplômés cadres titulaire d’un Bac+5, un an après la fin de leurs études, s’établit à 30.000 euros. En clair, cela veut dire que 50% d’entre eux gagnent plus, et les 50% restants gagnent moins. Notons que le salaire médian des Bac+4 augmente légèrement entre 2017 et 2018, passant de 22.000 à 22.800 euros brut par an.7. Le taux d’emploi des jeunes diplômés issus de la filière lettres langues et arts
C’est une nouvelle qui devrait rassurer l’ensemble des étudiants et jeunes titulaires d’un diplôme de niveau cadre : l’ensemble des disciplines de formation connaît une hausse du taux d’emploi de leurs anciens étudiants 6 mois après l’obtention de leur diplôme ! La plus forte hausse provient de la filière lettres langues et arts, dont le taux d’emploi est passé de 57% en 2017 à 66% en 2018, soit une hausse de 9 points. Juste derrière arrivent les sciences humaines et sociales (+7 points) à 70%, et les filières droit économie gestion et sciences technologie santé à égalité, avec chacune une progression de quatre points (76% pour l’une, 80% pour l’autre).https://www.capital.fr/votre-carriere/cadres-7-chiffres-qui-demontrent-que-les-jeunes-diplomes-nont-pas-de-soucis-a-se-faire-1334775
C’est un secret de Polichinelle. L’emploi des cadres est au beau fixe.
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
Voilà qui prouve que Lili raconte des bobards! Au mieux, il croit que son petit environnement, ses potes, son lycée, est valable pour tout le pays. D'abord faudrait-il savoir en quoi sont-ils super diplômés; parce qu'un docteur en Histoire de l'art en dehors d'un grand musée ou de devenir prof en fac, c'est plutôt limité; il faut attendre qu'un titulaire claque.Nadou a écrit:L’Association pour l'emploi des cadres (Apec) publie, ce jeudi 11 avril, sa nouvelle édition du “baromètre de l’insertion des jeunes diplômé.e.s”. Qui confirme la bonne santé du marché de l’emploi cadre pour les néo-diplômés.
C’est un secret de Polichinelle. L’emploi des cadres est au beau fixe.
Cette population de travailleurs hautement qualifiés connaît même une situation de plein-emploi, avec un taux de chômage de 3,4%, d’après les derniers chiffres publiés par l’Insee en mars. Conséquence logique : l’accès à l’emploi pour les jeunes diplômés cadres s’est encore amélioré en 2018. C’est ce qui ressort de la nouvelle édition du “baromètre de l’insertion des jeunes diplômé.e.s”, publié ce jeudi 11 avril par l’Association pour l'emploi des cadres (Apec).
Depuis 2017, l’Apec effectue un suivi de la situation professionnelle des jeunes diplômés de l’enseignement supérieur 12 mois après l’obtention de leur diplôme. Pour ce faire, 500 jeunes diplômés de niveau Bac+3 / 4 et Bac+5, ainsi que 1.000 jeunes diplômés de niveau Bac+5 ou plus, âgés de 20 à 30 ans au moment de l’enquête, ayant obtenu leur diplôme en 2017 et résidant en France métropolitaine ont été interrogés. Capital a sélectionné pour vous 7 chiffres issus de cette étude qui démontrent que les jeunes diplômés cadres n’ont pas de soucis à se faire, même si des disparités existent évidemment (sexe, formation, etc.).1. 76% des jeunes diplômés ont un emploi six mois après la fin de leurs études
Alors que l’on comptait, en 2017, 70% de jeunes diplômés cadres en emploi six mois après l’obtention de leur diplôme, ils sont désormais 76%, soit une hausse de six points ! L’Apec note aussi, et on peut s’en réjouir, que “l’amélioration sensible du taux d’emploi à 6 mois est générale parmi les titulaires d’un Bac+5, qui en bénéficient quels que soient leur sexe, leur discipline de formation ou encore leur lieu d’habitation”.2. 85% de diplômés en emploi un an après l’obtention de leur diplôme
Si le pourcentage de jeunes diplômés cadres en emploi six mois après l’obtention de leur précieux sésame augmente, on peut se douter que les chiffres au bout d’un an doivent aussi être meilleurs. Et c’est effectivement le cas : on comptait 83% de diplômés en emploi un an après en 2017, contre 85% en 2018, soit une hausse de deux points.3. 68% de jeunes diplômés en CDI un an après la fin de leurs études
Après avoir remarqué cette hausse du taux d’emploi au bout de 6 mois ou un an, on pourrait se dire, d’accord, il y a un loup : ces bons résultats cachent une précarisation de l’emploi. Mais il n’en est rien. Au contraire, entre 2016 et 2018, le nombre de jeunes diplômés en CDD un an après l’obtention de leur diplôme est passé de 38 à 28%, soit une baisse de 10 points ! Dans le même temps, sur la même période, la proportion de CDI est passée de 55 à 68%, soit une hausse de 13 points.4. 84% des jeunes diplômés ont un emploi qui correspond à leur discipline de formation
Au-delà de l’augmentation significative des embauches en CDI, les jeunes diplômés cadres sont de moins en moins obligés d’accepter des postes qui ne correspondent pas à leur formation. Ainsi, entre 2016 et 2018, le nombre de jeunes diplômés dont l’emploi correspond à la discipline de formation est passé de 77% à 84%, gagnant donc sept points. Dans le même temps, sur la même période, le nombre de jeunes cadres dont l’emploi correspond au niveau de qualification est passé de 74% à 78%, soit une hausse de quatre points. À noter, néanmoins : 24% qualifient leur emploi de “job alimentaire”, un chiffre qui stagne depuis deux ans.5. 62% des jeunes diplômés travaillent toujours pour leur premier employeur un an après l’obtention de leur diplôme
Certains jeunes diplômés ont la chance de toujours occuper leur premier emploi 12 mois après la fin de leurs études : l’Apec les réunit sous le vocable d’”insertion dans l’emploi stable”. Bonne nouvelle, leur nombre augmente cette année ! Alors qu’ils étaient 60% en 2017, ils sont désormais 62%, soit une hausse de deux points. Par ailleurs, la parité est totalement respectée dans ce groupe de jeunes diplômés cadres à l’insertion stable, puisque l’on y compte autant d’hommes que de femmes.6. La moitié des jeunes diplômés cadres, détenteurs d’un master, gagne plus de 30.000 euros brut par an
C’est une donnée qui est stable depuis la précédente édition de ce baromètre “Jeunes diplômés” de l’Apec. En 2017 comme en 2018, le salaire brut annuel médian des jeunes diplômés cadres titulaire d’un Bac+5, un an après la fin de leurs études, s’établit à 30.000 euros. En clair, cela veut dire que 50% d’entre eux gagnent plus, et les 50% restants gagnent moins. Notons que le salaire médian des Bac+4 augmente légèrement entre 2017 et 2018, passant de 22.000 à 22.800 euros brut par an.7. Le taux d’emploi des jeunes diplômés issus de la filière lettres langues et arts
C’est une nouvelle qui devrait rassurer l’ensemble des étudiants et jeunes titulaires d’un diplôme de niveau cadre : l’ensemble des disciplines de formation connaît une hausse du taux d’emploi de leurs anciens étudiants 6 mois après l’obtention de leur diplôme ! La plus forte hausse provient de la filière lettres langues et arts, dont le taux d’emploi est passé de 57% en 2017 à 66% en 2018, soit une hausse de 9 points. Juste derrière arrivent les sciences humaines et sociales (+7 points) à 70%, et les filières droit économie gestion et sciences technologie santé à égalité, avec chacune une progression de quatre points (76% pour l’une, 80% pour l’autre).
https://www.capital.fr/votre-carriere/cadres-7-chiffres-qui-demontrent-que-les-jeunes-diplomes-nont-pas-de-soucis-a-se-faire-1334775
C’est un secret de Polichinelle. L’emploi des cadres est au beau fixe.
Invité- Invité
Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
Nadou a écrit:L’Association pour l'emploi des cadres (Apec) publie, ce jeudi 11 avril, sa nouvelle édition du “baromètre de l’insertion des jeunes diplômé.e.s”. Qui confirme la bonne santé du marché de l’emploi cadre pour les néo-diplômés.
C’est un secret de Polichinelle. L’emploi des cadres est au beau fixe.
Cette population de travailleurs hautement qualifiés connaît même une situation de plein-emploi, avec un taux de chômage de 3,4%, d’après les derniers chiffres publiés par l’Insee en mars. Conséquence logique : l’accès à l’emploi pour les jeunes diplômés cadres s’est encore amélioré en 2018. C’est ce qui ressort de la nouvelle édition du “baromètre de l’insertion des jeunes diplômé.e.s”, publié ce jeudi 11 avril par l’Association pour l'emploi des cadres (Apec).
Depuis 2017, l’Apec effectue un suivi de la situation professionnelle des jeunes diplômés de l’enseignement supérieur 12 mois après l’obtention de leur diplôme. Pour ce faire, 500 jeunes diplômés de niveau Bac+3 / 4 et Bac+5, ainsi que 1.000 jeunes diplômés de niveau Bac+5 ou plus, âgés de 20 à 30 ans au moment de l’enquête, ayant obtenu leur diplôme en 2017 et résidant en France métropolitaine ont été interrogés. Capital a sélectionné pour vous 7 chiffres issus de cette étude qui démontrent que les jeunes diplômés cadres n’ont pas de soucis à se faire, même si des disparités existent évidemment (sexe, formation, etc.).1. 76% des jeunes diplômés ont un emploi six mois après la fin de leurs études
Alors que l’on comptait, en 2017, 70% de jeunes diplômés cadres en emploi six mois après l’obtention de leur diplôme, ils sont désormais 76%, soit une hausse de six points ! L’Apec note aussi, et on peut s’en réjouir, que “l’amélioration sensible du taux d’emploi à 6 mois est générale parmi les titulaires d’un Bac+5, qui en bénéficient quels que soient leur sexe, leur discipline de formation ou encore leur lieu d’habitation”.2. 85% de diplômés en emploi un an après l’obtention de leur diplôme
Si le pourcentage de jeunes diplômés cadres en emploi six mois après l’obtention de leur précieux sésame augmente, on peut se douter que les chiffres au bout d’un an doivent aussi être meilleurs. Et c’est effectivement le cas : on comptait 83% de diplômés en emploi un an après en 2017, contre 85% en 2018, soit une hausse de deux points.3. 68% de jeunes diplômés en CDI un an après la fin de leurs études
Après avoir remarqué cette hausse du taux d’emploi au bout de 6 mois ou un an, on pourrait se dire, d’accord, il y a un loup : ces bons résultats cachent une précarisation de l’emploi. Mais il n’en est rien. Au contraire, entre 2016 et 2018, le nombre de jeunes diplômés en CDD un an après l’obtention de leur diplôme est passé de 38 à 28%, soit une baisse de 10 points ! Dans le même temps, sur la même période, la proportion de CDI est passée de 55 à 68%, soit une hausse de 13 points.4. 84% des jeunes diplômés ont un emploi qui correspond à leur discipline de formation
Au-delà de l’augmentation significative des embauches en CDI, les jeunes diplômés cadres sont de moins en moins obligés d’accepter des postes qui ne correspondent pas à leur formation. Ainsi, entre 2016 et 2018, le nombre de jeunes diplômés dont l’emploi correspond à la discipline de formation est passé de 77% à 84%, gagnant donc sept points. Dans le même temps, sur la même période, le nombre de jeunes cadres dont l’emploi correspond au niveau de qualification est passé de 74% à 78%, soit une hausse de quatre points. À noter, néanmoins : 24% qualifient leur emploi de “job alimentaire”, un chiffre qui stagne depuis deux ans.5. 62% des jeunes diplômés travaillent toujours pour leur premier employeur un an après l’obtention de leur diplôme
Certains jeunes diplômés ont la chance de toujours occuper leur premier emploi 12 mois après la fin de leurs études : l’Apec les réunit sous le vocable d’”insertion dans l’emploi stable”. Bonne nouvelle, leur nombre augmente cette année ! Alors qu’ils étaient 60% en 2017, ils sont désormais 62%, soit une hausse de deux points. Par ailleurs, la parité est totalement respectée dans ce groupe de jeunes diplômés cadres à l’insertion stable, puisque l’on y compte autant d’hommes que de femmes.6. La moitié des jeunes diplômés cadres, détenteurs d’un master, gagne plus de 30.000 euros brut par an
C’est une donnée qui est stable depuis la précédente édition de ce baromètre “Jeunes diplômés” de l’Apec. En 2017 comme en 2018, le salaire brut annuel médian des jeunes diplômés cadres titulaire d’un Bac+5, un an après la fin de leurs études, s’établit à 30.000 euros. En clair, cela veut dire que 50% d’entre eux gagnent plus, et les 50% restants gagnent moins. Notons que le salaire médian des Bac+4 augmente légèrement entre 2017 et 2018, passant de 22.000 à 22.800 euros brut par an.7. Le taux d’emploi des jeunes diplômés issus de la filière lettres langues et arts
C’est une nouvelle qui devrait rassurer l’ensemble des étudiants et jeunes titulaires d’un diplôme de niveau cadre : l’ensemble des disciplines de formation connaît une hausse du taux d’emploi de leurs anciens étudiants 6 mois après l’obtention de leur diplôme ! La plus forte hausse provient de la filière lettres langues et arts, dont le taux d’emploi est passé de 57% en 2017 à 66% en 2018, soit une hausse de 9 points. Juste derrière arrivent les sciences humaines et sociales (+7 points) à 70%, et les filières droit économie gestion et sciences technologie santé à égalité, avec chacune une progression de quatre points (76% pour l’une, 80% pour l’autre).
https://www.capital.fr/votre-carriere/cadres-7-chiffres-qui-demontrent-que-les-jeunes-diplomes-nont-pas-de-soucis-a-se-faire-1334775
C’est un secret de Polichinelle. L’emploi des cadres est au beau fixe.
Franchement?
Je me méfie beaucoup de ce style de chiffres.
Je veux bien qu'on parle de salaire médian, mais vont rentrer les ing grandes écoles, tout comme des M2, et des M2, même à la caisse d'un hyper, ça se trouve.
Au fait j'ai eu une proposition de salaire, suite aux termes de l'inspection je suis allé voir ailleurs, c'est pour un poste d'encadrement, mais sans le statut. Sans être extra, le salaire est correct pour un vieux coucou sur le marché du travail qui approche les 50. Ma maison étant payé, ça me convient.
J'ai un seconde inspection ce vendredi, savoir s'ils me gardent ou non . Je vais rester correct quand même et jouer le jeu.
Pour mon nouveau job, j'ai négocié le fait de pouvoir terminer l'année scolaire, afin que les gamins n'en patissent pas. Je ne me sens pas indispensable, mais ils m'aiment bien. Je souhaite partir proprement, même si la hierarchie n'en a rien à foutre.
En principe j'arrête également "à mon compte", usé par le système qui tue les petites boites.
Lili-Rose- Messages : 14775
Date d'inscription : 21/01/2018
Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
magicfly a écrit:Voilà qui prouve que Lili raconte des bobards! Au mieux, il croit que son petit environnement, ses potes, son lycée, est valable pour tout le pays. D'abord faudrait-il savoir en quoi sont-ils super diplômés; parce qu'un docteur en Histoire de l'art en dehors d'un grand musée ou de devenir prof en fac, c'est plutôt limité; il faut attendre qu'un titulaire claque.Nadou a écrit:L’Association pour l'emploi des cadres (Apec) publie, ce jeudi 11 avril, sa nouvelle édition du “baromètre de l’insertion des jeunes diplômé.e.s”. Qui confirme la bonne santé du marché de l’emploi cadre pour les néo-diplômés.
C’est un secret de Polichinelle. L’emploi des cadres est au beau fixe.
Cette population de travailleurs hautement qualifiés connaît même une situation de plein-emploi, avec un taux de chômage de 3,4%, d’après les derniers chiffres publiés par l’Insee en mars. Conséquence logique : l’accès à l’emploi pour les jeunes diplômés cadres s’est encore amélioré en 2018. C’est ce qui ressort de la nouvelle édition du “baromètre de l’insertion des jeunes diplômé.e.s”, publié ce jeudi 11 avril par l’Association pour l'emploi des cadres (Apec).
Depuis 2017, l’Apec effectue un suivi de la situation professionnelle des jeunes diplômés de l’enseignement supérieur 12 mois après l’obtention de leur diplôme. Pour ce faire, 500 jeunes diplômés de niveau Bac+3 / 4 et Bac+5, ainsi que 1.000 jeunes diplômés de niveau Bac+5 ou plus, âgés de 20 à 30 ans au moment de l’enquête, ayant obtenu leur diplôme en 2017 et résidant en France métropolitaine ont été interrogés. Capital a sélectionné pour vous 7 chiffres issus de cette étude qui démontrent que les jeunes diplômés cadres n’ont pas de soucis à se faire, même si des disparités existent évidemment (sexe, formation, etc.).1. 76% des jeunes diplômés ont un emploi six mois après la fin de leurs études
Alors que l’on comptait, en 2017, 70% de jeunes diplômés cadres en emploi six mois après l’obtention de leur diplôme, ils sont désormais 76%, soit une hausse de six points ! L’Apec note aussi, et on peut s’en réjouir, que “l’amélioration sensible du taux d’emploi à 6 mois est générale parmi les titulaires d’un Bac+5, qui en bénéficient quels que soient leur sexe, leur discipline de formation ou encore leur lieu d’habitation”.2. 85% de diplômés en emploi un an après l’obtention de leur diplôme
Si le pourcentage de jeunes diplômés cadres en emploi six mois après l’obtention de leur précieux sésame augmente, on peut se douter que les chiffres au bout d’un an doivent aussi être meilleurs. Et c’est effectivement le cas : on comptait 83% de diplômés en emploi un an après en 2017, contre 85% en 2018, soit une hausse de deux points.3. 68% de jeunes diplômés en CDI un an après la fin de leurs études
Après avoir remarqué cette hausse du taux d’emploi au bout de 6 mois ou un an, on pourrait se dire, d’accord, il y a un loup : ces bons résultats cachent une précarisation de l’emploi. Mais il n’en est rien. Au contraire, entre 2016 et 2018, le nombre de jeunes diplômés en CDD un an après l’obtention de leur diplôme est passé de 38 à 28%, soit une baisse de 10 points ! Dans le même temps, sur la même période, la proportion de CDI est passée de 55 à 68%, soit une hausse de 13 points.4. 84% des jeunes diplômés ont un emploi qui correspond à leur discipline de formation
Au-delà de l’augmentation significative des embauches en CDI, les jeunes diplômés cadres sont de moins en moins obligés d’accepter des postes qui ne correspondent pas à leur formation. Ainsi, entre 2016 et 2018, le nombre de jeunes diplômés dont l’emploi correspond à la discipline de formation est passé de 77% à 84%, gagnant donc sept points. Dans le même temps, sur la même période, le nombre de jeunes cadres dont l’emploi correspond au niveau de qualification est passé de 74% à 78%, soit une hausse de quatre points. À noter, néanmoins : 24% qualifient leur emploi de “job alimentaire”, un chiffre qui stagne depuis deux ans.5. 62% des jeunes diplômés travaillent toujours pour leur premier employeur un an après l’obtention de leur diplôme
Certains jeunes diplômés ont la chance de toujours occuper leur premier emploi 12 mois après la fin de leurs études : l’Apec les réunit sous le vocable d’”insertion dans l’emploi stable”. Bonne nouvelle, leur nombre augmente cette année ! Alors qu’ils étaient 60% en 2017, ils sont désormais 62%, soit une hausse de deux points. Par ailleurs, la parité est totalement respectée dans ce groupe de jeunes diplômés cadres à l’insertion stable, puisque l’on y compte autant d’hommes que de femmes.6. La moitié des jeunes diplômés cadres, détenteurs d’un master, gagne plus de 30.000 euros brut par an
C’est une donnée qui est stable depuis la précédente édition de ce baromètre “Jeunes diplômés” de l’Apec. En 2017 comme en 2018, le salaire brut annuel médian des jeunes diplômés cadres titulaire d’un Bac+5, un an après la fin de leurs études, s’établit à 30.000 euros. En clair, cela veut dire que 50% d’entre eux gagnent plus, et les 50% restants gagnent moins. Notons que le salaire médian des Bac+4 augmente légèrement entre 2017 et 2018, passant de 22.000 à 22.800 euros brut par an.7. Le taux d’emploi des jeunes diplômés issus de la filière lettres langues et arts
C’est une nouvelle qui devrait rassurer l’ensemble des étudiants et jeunes titulaires d’un diplôme de niveau cadre : l’ensemble des disciplines de formation connaît une hausse du taux d’emploi de leurs anciens étudiants 6 mois après l’obtention de leur diplôme ! La plus forte hausse provient de la filière lettres langues et arts, dont le taux d’emploi est passé de 57% en 2017 à 66% en 2018, soit une hausse de 9 points. Juste derrière arrivent les sciences humaines et sociales (+7 points) à 70%, et les filières droit économie gestion et sciences technologie santé à égalité, avec chacune une progression de quatre points (76% pour l’une, 80% pour l’autre).
https://www.capital.fr/votre-carriere/cadres-7-chiffres-qui-demontrent-que-les-jeunes-diplomes-nont-pas-de-soucis-a-se-faire-1334775
C’est un secret de Polichinelle. L’emploi des cadres est au beau fixe.
T'es pénible!
Tu devrais savoir que la statistique est juste par nature, mais que tout dépend de ce qu'on y met dedans.
Alors je veux bien que des bac+5 palpent 30 KE à la défense après 6 mois, mais ça m'étonnerait beaucoup que ce soit le cas dans le centre de la France.
Note que je comprends tout à fait ce que médian veut dire.
Lili-Rose- Messages : 14775
Date d'inscription : 21/01/2018
Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
Je voulais dire que tu prends trop souvent ton environnement immédiat pour être applicable en tout et partout. Souvent, mais il y a des exceptions, les jeunes flashent sur des études dans un domaine qui leur plait sans se préoccuper si ça les mènera à un job. Par ex, on sait qu'il y a trop d'étudiants en sciences sociales et environnementales parce que c'est la mode en se moment; à la fin des études, ils seront confrontés à une forte concurrence et bon nbre resteront sur le carreau. Les plus réalistes et dynamiques se reconvertiront, les autres, le chômdu, ou un poste contractuel dans l'EN. ...et là je suis d'accord avec toi, quand tu ne fais pas parti du sérail, t'es un mouton noir.Lili-Rose a écrit:Voilà qui prouve que Lili raconte des bobards! Au mieux, il croit que son petit environnement, ses potes, son lycée, est valable pour tout le pays. D'abord faudrait-il savoir en quoi sont-ils super diplômés; parce qu'un docteur en Histoire de l'art en dehors d'un grand musée ou de devenir prof en fac, c'est plutôt limité; il faut attendre qu'un titulaire claque.
T'es pénible!
Tu devrais savoir que la statistique est juste par nature, mais que tout dépend de ce qu'on y met dedans.
Alors je veux bien que des bac+5 palpent 30 KE à la défense après 6 mois, mais ça m'étonnerait beaucoup que ce soit le cas dans le centre de la France.
Note que je comprends tout à fait ce que médian veut dire.
Invité- Invité
Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
Lili-Rose a écrit:magicfly a écrit:Voilà qui prouve que Lili raconte des bobards! Au mieux, il croit que son petit environnement, ses potes, son lycée, est valable pour tout le pays. D'abord faudrait-il savoir en quoi sont-ils super diplômés; parce qu'un docteur en Histoire de l'art en dehors d'un grand musée ou de devenir prof en fac, c'est plutôt limité; il faut attendre qu'un titulaire claque.Nadou a écrit:L’Association pour l'emploi des cadres (Apec) publie, ce jeudi 11 avril, sa nouvelle édition du “baromètre de l’insertion des jeunes diplômé.e.s”. Qui confirme la bonne santé du marché de l’emploi cadre pour les néo-diplômés.
C’est un secret de Polichinelle. L’emploi des cadres est au beau fixe.
Cette population de travailleurs hautement qualifiés connaît même une situation de plein-emploi, avec un taux de chômage de 3,4%, d’après les derniers chiffres publiés par l’Insee en mars. Conséquence logique : l’accès à l’emploi pour les jeunes diplômés cadres s’est encore amélioré en 2018. C’est ce qui ressort de la nouvelle édition du “baromètre de l’insertion des jeunes diplômé.e.s”, publié ce jeudi 11 avril par l’Association pour l'emploi des cadres (Apec).
Depuis 2017, l’Apec effectue un suivi de la situation professionnelle des jeunes diplômés de l’enseignement supérieur 12 mois après l’obtention de leur diplôme. Pour ce faire, 500 jeunes diplômés de niveau Bac+3 / 4 et Bac+5, ainsi que 1.000 jeunes diplômés de niveau Bac+5 ou plus, âgés de 20 à 30 ans au moment de l’enquête, ayant obtenu leur diplôme en 2017 et résidant en France métropolitaine ont été interrogés. Capital a sélectionné pour vous 7 chiffres issus de cette étude qui démontrent que les jeunes diplômés cadres n’ont pas de soucis à se faire, même si des disparités existent évidemment (sexe, formation, etc.).1. 76% des jeunes diplômés ont un emploi six mois après la fin de leurs études
Alors que l’on comptait, en 2017, 70% de jeunes diplômés cadres en emploi six mois après l’obtention de leur diplôme, ils sont désormais 76%, soit une hausse de six points ! L’Apec note aussi, et on peut s’en réjouir, que “l’amélioration sensible du taux d’emploi à 6 mois est générale parmi les titulaires d’un Bac+5, qui en bénéficient quels que soient leur sexe, leur discipline de formation ou encore leur lieu d’habitation”.2. 85% de diplômés en emploi un an après l’obtention de leur diplôme
Si le pourcentage de jeunes diplômés cadres en emploi six mois après l’obtention de leur précieux sésame augmente, on peut se douter que les chiffres au bout d’un an doivent aussi être meilleurs. Et c’est effectivement le cas : on comptait 83% de diplômés en emploi un an après en 2017, contre 85% en 2018, soit une hausse de deux points.3. 68% de jeunes diplômés en CDI un an après la fin de leurs études
Après avoir remarqué cette hausse du taux d’emploi au bout de 6 mois ou un an, on pourrait se dire, d’accord, il y a un loup : ces bons résultats cachent une précarisation de l’emploi. Mais il n’en est rien. Au contraire, entre 2016 et 2018, le nombre de jeunes diplômés en CDD un an après l’obtention de leur diplôme est passé de 38 à 28%, soit une baisse de 10 points ! Dans le même temps, sur la même période, la proportion de CDI est passée de 55 à 68%, soit une hausse de 13 points.4. 84% des jeunes diplômés ont un emploi qui correspond à leur discipline de formation
Au-delà de l’augmentation significative des embauches en CDI, les jeunes diplômés cadres sont de moins en moins obligés d’accepter des postes qui ne correspondent pas à leur formation. Ainsi, entre 2016 et 2018, le nombre de jeunes diplômés dont l’emploi correspond à la discipline de formation est passé de 77% à 84%, gagnant donc sept points. Dans le même temps, sur la même période, le nombre de jeunes cadres dont l’emploi correspond au niveau de qualification est passé de 74% à 78%, soit une hausse de quatre points. À noter, néanmoins : 24% qualifient leur emploi de “job alimentaire”, un chiffre qui stagne depuis deux ans.5. 62% des jeunes diplômés travaillent toujours pour leur premier employeur un an après l’obtention de leur diplôme
Certains jeunes diplômés ont la chance de toujours occuper leur premier emploi 12 mois après la fin de leurs études : l’Apec les réunit sous le vocable d’”insertion dans l’emploi stable”. Bonne nouvelle, leur nombre augmente cette année ! Alors qu’ils étaient 60% en 2017, ils sont désormais 62%, soit une hausse de deux points. Par ailleurs, la parité est totalement respectée dans ce groupe de jeunes diplômés cadres à l’insertion stable, puisque l’on y compte autant d’hommes que de femmes.6. La moitié des jeunes diplômés cadres, détenteurs d’un master, gagne plus de 30.000 euros brut par an
C’est une donnée qui est stable depuis la précédente édition de ce baromètre “Jeunes diplômés” de l’Apec. En 2017 comme en 2018, le salaire brut annuel médian des jeunes diplômés cadres titulaire d’un Bac+5, un an après la fin de leurs études, s’établit à 30.000 euros. En clair, cela veut dire que 50% d’entre eux gagnent plus, et les 50% restants gagnent moins. Notons que le salaire médian des Bac+4 augmente légèrement entre 2017 et 2018, passant de 22.000 à 22.800 euros brut par an.7. Le taux d’emploi des jeunes diplômés issus de la filière lettres langues et arts
C’est une nouvelle qui devrait rassurer l’ensemble des étudiants et jeunes titulaires d’un diplôme de niveau cadre : l’ensemble des disciplines de formation connaît une hausse du taux d’emploi de leurs anciens étudiants 6 mois après l’obtention de leur diplôme ! La plus forte hausse provient de la filière lettres langues et arts, dont le taux d’emploi est passé de 57% en 2017 à 66% en 2018, soit une hausse de 9 points. Juste derrière arrivent les sciences humaines et sociales (+7 points) à 70%, et les filières droit économie gestion et sciences technologie santé à égalité, avec chacune une progression de quatre points (76% pour l’une, 80% pour l’autre).
https://www.capital.fr/votre-carriere/cadres-7-chiffres-qui-demontrent-que-les-jeunes-diplomes-nont-pas-de-soucis-a-se-faire-1334775
C’est un secret de Polichinelle. L’emploi des cadres est au beau fixe.
T'es pénible!
Tu devrais savoir que la statistique est juste par nature, mais que tout dépend de ce qu'on y met dedans.
Alors je veux bien que des bac+5 palpent 30 KE à la défense après 6 mois, mais ça m'étonnerait beaucoup que ce soit le cas dans le centre de la France.
Note que je comprends tout à fait ce que médian veut dire.
Il n'y a pas que la défense Lili. L'industrie emploie des cadres dans toute la France en qualité, en logistique, en informatique ... etc ...
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
magicfly a écrit:Je voulais dire que tu prends trop souvent ton environnement immédiat pour être applicable en tout et partout. Souvent, mais il y a des exceptions, les jeunes flashent sur des études dans un domaine qui leur plait sans se préoccuper si ça les mènera à un job. Par ex, on sait qu'il y a trop d'étudiants en sciences sociales et environnementales parce que c'est la mode en se moment; à la fin des études, ils seront confrontés à une forte concurrence et bon nbre resteront sur le carreau. Les plus réalistes et dynamiques se reconvertiront, les autres, le chômdu, ou un poste contractuel dans l'EN. ...et là je suis d'accord avec toi, quand tu ne fais pas parti du sérail, t'es un mouton noir.Lili-Rose a écrit:
T'es pénible!
Tu devrais savoir que la statistique est juste par nature, mais que tout dépend de ce qu'on y met dedans.
Alors je veux bien que des bac+5 palpent 30 KE à la défense après 6 mois, mais ça m'étonnerait beaucoup que ce soit le cas dans le centre de la France.
Note que je comprends tout à fait ce que médian veut dire.
Même pas et je le prouve
Ici il y a une spécificité qui d'ailleurs nous sauve pas mal la mise.
Il y a l'emploi frontalier et spécialement avec la Suisse.
Un gars qui n'a même pas un bac peut se faire un salaire de 5000 euros par mois, juste en passant la frontière.
Lili-Rose- Messages : 14775
Date d'inscription : 21/01/2018
Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
Lili-Rose a écrit:magicfly a écrit:Je voulais dire que tu prends trop souvent ton environnement immédiat pour être applicable en tout et partout. Souvent, mais il y a des exceptions, les jeunes flashent sur des études dans un domaine qui leur plait sans se préoccuper si ça les mènera à un job. Par ex, on sait qu'il y a trop d'étudiants en sciences sociales et environnementales parce que c'est la mode en se moment; à la fin des études, ils seront confrontés à une forte concurrence et bon nbre resteront sur le carreau. Les plus réalistes et dynamiques se reconvertiront, les autres, le chômdu, ou un poste contractuel dans l'EN. ...et là je suis d'accord avec toi, quand tu ne fais pas parti du sérail, t'es un mouton noir.Lili-Rose a écrit:
T'es pénible!
Tu devrais savoir que la statistique est juste par nature, mais que tout dépend de ce qu'on y met dedans.
Alors je veux bien que des bac+5 palpent 30 KE à la défense après 6 mois, mais ça m'étonnerait beaucoup que ce soit le cas dans le centre de la France.
Note que je comprends tout à fait ce que médian veut dire.
Même pas et je le prouve
Ici il y a une spécificité qui d'ailleurs nous sauve pas mal la mise.
Il y a l'emploi frontalier et spécialement avec la Suisse.
Un gars qui n'a même pas un bac peut se faire un salaire de 5000 euros par mois, juste en passant la frontière.
Attention : la Suisse compte aussi beaucoup de travailleurs pauvres
Il ne faut donc pas se laisser griser par les chiffres qui fuitent dans la presse, et prendre en compte toutes les données avant de penser à s’expatrier pour gagner plus ailleurs. Ainsi, le temps de travail est de 42 heures par semaine : fini les RTT et le départ du boulot à 16h pour aller chercher les enfants.Le confort de vie à la française ne rapporte pas d’argent, mais fait quand même le bonheur de ceux qui en profitent au quotidien. Par contre, pour ceux qui veulent se retrousser les manches et qui n’ont pas peur des heures supplémentaires, c’est le bon plan.
La Suisse, c'est un bon plan pour les Français qui n'ont pas peur de bosser et de faire des km. Il y a peu, ils étaient pris en charge par la France quand ils étaient au chômage, je crois que ça devait changer.
L'âge de la retraite c'est 65 ans.
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Qui soutient le 1er mai, jour d'émeutes à Paris ?
Nadou a écrit:Lili-Rose a écrit:
Même pas et je le prouve
Ici il y a une spécificité qui d'ailleurs nous sauve pas mal la mise.
Il y a l'emploi frontalier et spécialement avec la Suisse.
Un gars qui n'a même pas un bac peut se faire un salaire de 5000 euros par mois, juste en passant la frontière.Attention : la Suisse compte aussi beaucoup de travailleurs pauvres
Il ne faut donc pas se laisser griser par les chiffres qui fuitent dans la presse, et prendre en compte toutes les données avant de penser à s’expatrier pour gagner plus ailleurs. Ainsi, le temps de travail est de 42 heures par semaine : fini les RTT et le départ du boulot à 16h pour aller chercher les enfants.
Le confort de vie à la française ne rapporte pas d’argent, mais fait quand même le bonheur de ceux qui en profitent au quotidien. Par contre, pour ceux qui veulent se retrousser les manches et qui n’ont pas peur des heures supplémentaires, c’est le bon plan.
La Suisse, c'est un bon plan pour les Français qui n'ont pas peur de bosser et de faire des km. Il y a peu, ils étaient pris en charge par la France quand ils étaient au chômage, je crois que ça devait changer.
L'âge de la retraite c'est 65 ans.
Exact.
C'est intéressant pour un frontalier, mais le Suisse moyen n'est pas "riche" chez lui.
Je suis à 40 bornes de la frontière, mais n'ai pas spécialement envie d'aller bosser en Suisse.
Ok pour la salaire, mais le frontalier n'est pas vraiment considéré en Suisse (pour être poli), et surtout il faut se taper 2 fois par jour le passage de la frontière et ça peut être des bouchons interminables.
Le profil type ( attention il n'y a pas que ça) du frontalier est un QI de 2.5 dans une grosse voiture Allemande.
Lili-Rose- Messages : 14775
Date d'inscription : 21/01/2018
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