Les journalistes ne s'intéressent pas qu'à Benalla
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Les journalistes ne s'intéressent pas qu'à Benalla
Les révélations de "l'Obs" sur les affaires Mélenchon
Perquisition, défense des parlementaires, liasse de billets... retour sur l'affaire des assistants parlementaires européens, quatre mois après les perquisitions.
https://www.nouvelobs.com/justice/20190207.OBS9823/les-revelations-de-l-obs-sur-les-affaires-melenchon.htmlJe suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Les journalistes ne s'intéressent pas qu'à Benalla
"Combien de fachos sont dans la pièce ?" : la perquisition chez Mélenchon vue par les enquêteurs
INFO OBS. Les enquêteurs ont consigné, dans un procès-verbal, les invectives proférées par Jean-Luc Mélenchon à leur encontre tout au long des perquisitions du 16 octobre.
https://www.nouvelobs.com/justice/20190206.OBS9747/combien-de-fachos-sont-dans-la-piece-la-perquisition-chez-melenchon-vue-par-les-enqueteurs.htmlJe suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Les journalistes ne s'intéressent pas qu'à Benalla
Ce que révèlent les auditions des assistants parlementaires de Mélenchon
"Mes assistants avaient une interdiction formelle de se mêler des débats du parti ou de toute activité du parti."
Le leader de La France insoumise explique même avoir mis en place un système de badge, au siège du parti à Paris, pour leur permettre d'accéder à des bureaux dévolus aux missions européennes. Son seul petit mouvement d'humeur viendra au moment de signer le procès-verbal mentionnant ses droits et rappelant les raisons de sa présence dans les locaux de l'OCLCIFF (Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières).
"Détournement de fonds publics, recel de détournement de fonds publics, blanchiment du produit du détournement de fonds publics."
Jean-Luc Mélenchon a rayé toutes ces mentions avant de signer, déclarant aux enquêteurs qu'il n'était pas "concerné par ces infractions."
Quelques jours plus tard, le 9 novembre, une information judiciaire pour ces mêmes délits est ouverte. "Il ressort ainsi de la procédure des raisons plausibles de soupçonner que les assistants parlementaires du député européen ont été affectés à des tâches non conformes aux emplois prévus, ce qui implique le détournement de leur rémunération", ont conclu les enquêteurs anti-corruption au terme de près d'un an et
https://www.nouvelobs.com/politique/20190206.OBS9763/ce-que-revelent-les-auditions-des-assistants-parlementaires-de-melenchon.html
INFO OBS. L'enquête montre que les assistants parlementaires de Jean-Luc Mélenchon ne se rendaient quasiment jamais à Bruxelles. Parfois cadres du parti, ils sont soupçonnés d’avoir servi uniquement l'activité politique française de leader de La France insoumise.
Convoqué le 18 octobre par les enquêteurs pour s'expliquer sur ses assistants parlementaires, Jean-Luc Mélenchon est resté très calme. Il ne s'est pas énervé, a expliqué que ses assistants avaient tous, sans exception, travaillé pour le Parlement européen :"Mes assistants avaient une interdiction formelle de se mêler des débats du parti ou de toute activité du parti."
Le leader de La France insoumise explique même avoir mis en place un système de badge, au siège du parti à Paris, pour leur permettre d'accéder à des bureaux dévolus aux missions européennes. Son seul petit mouvement d'humeur viendra au moment de signer le procès-verbal mentionnant ses droits et rappelant les raisons de sa présence dans les locaux de l'OCLCIFF (Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières).
"Détournement de fonds publics, recel de détournement de fonds publics, blanchiment du produit du détournement de fonds publics."
Jean-Luc Mélenchon a rayé toutes ces mentions avant de signer, déclarant aux enquêteurs qu'il n'était pas "concerné par ces infractions."
Quelques jours plus tard, le 9 novembre, une information judiciaire pour ces mêmes délits est ouverte. "Il ressort ainsi de la procédure des raisons plausibles de soupçonner que les assistants parlementaires du député européen ont été affectés à des tâches non conformes aux emplois prévus, ce qui implique le détournement de leur rémunération", ont conclu les enquêteurs anti-corruption au terme de près d'un an et
https://www.nouvelobs.com/politique/20190206.OBS9763/ce-que-revelent-les-auditions-des-assistants-parlementaires-de-melenchon.html
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Re: Les journalistes ne s'intéressent pas qu'à Benalla
Le passage éclair de Sophia Chikirou à Bruxelles qui intrigue les enquêteurs
Quand Sophia Chikirou pénètre dans le bureaux des enquêteurs de l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières (OCLCIFF) à Nanterre ce lundi 22 octobre 2018, c'est la deuxième fois en trois jours que la communicante est entendue par la justice.
Le vendredi précédent, les policiers l'ont déjà interrogée au sujet des soupçons de surfacturations qui pèsent sur sa société Médiascop, largement mise à contribution par Jean-Luc Mélenchon lors de sa campagne présidentielle. Cette fois, Sophia Chikirou est entendue dans le cadre de la seconde enquête qui vise la France insoumise et qui concerne les assistants parlementaires du mouvement à Bruxelles.
Car avant de devenir la communicante de Jean-Luc Mélenchon, Sophie Chikirou a été son assistante parlementaire, une casquette qu'elle évoque rarement au moment de retracer son parcours - déjà long - au côté de l'ancien candidat à la présidentielle. Aucune trace non plus de cette expérience sur son profil LinkedIn. A cet égard, les policiers ont même dû lui rafraîchir la mémoire sur les dates précises de cet épisode : "Nous vous informons que vous avez signé deux contrats d'assistante parlementaire" entre début juillet et la mi-septembre 2010 puis de la mi-octobre jusqu'à la fin décembre 2010, lui indique l'OCLCIF, qui cherche à préciser la nature de ces missions. "Je peux vous expliquer",
INFO OBS. Depuis plus de dix ans, Sophia Chikirou évolue aux côtés de Jean-Luc Mélenchon. Y compris en tant qu'assistante parlementaire.
Quand Sophia Chikirou pénètre dans le bureaux des enquêteurs de l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières (OCLCIFF) à Nanterre ce lundi 22 octobre 2018, c'est la deuxième fois en trois jours que la communicante est entendue par la justice.
Le vendredi précédent, les policiers l'ont déjà interrogée au sujet des soupçons de surfacturations qui pèsent sur sa société Médiascop, largement mise à contribution par Jean-Luc Mélenchon lors de sa campagne présidentielle. Cette fois, Sophia Chikirou est entendue dans le cadre de la seconde enquête qui vise la France insoumise et qui concerne les assistants parlementaires du mouvement à Bruxelles.
Deux contrats en 2010
Car avant de devenir la communicante de Jean-Luc Mélenchon, Sophie Chikirou a été son assistante parlementaire, une casquette qu'elle évoque rarement au moment de retracer son parcours - déjà long - au côté de l'ancien candidat à la présidentielle. Aucune trace non plus de cette expérience sur son profil LinkedIn. A cet égard, les policiers ont même dû lui rafraîchir la mémoire sur les dates précises de cet épisode : "Nous vous informons que vous avez signé deux contrats d'assistante parlementaire" entre début juillet et la mi-septembre 2010 puis de la mi-octobre jusqu'à la fin décembre 2010, lui indique l'OCLCIF, qui cherche à préciser la nature de ces missions. "Je peux vous expliquer",
https://www.nouvelobs.com/justice/20190206.OBS9773/le-passage-eclair-de-sophia-chikirou-a-bruxelles-qui-intrigue-les-enqueteurs.html
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Re: Les journalistes ne s'intéressent pas qu'à Benalla
Les mystérieux 13.000 euros retrouvés chez un proche de Mélenchon : l'enquête élargie
INFO OBS. Dans l'enquête sur la vingtaine d'assistants parlementaires rattachés à Jean-Luc Mélenchon depuis 2009, date de son premier mandat au Parlement européen, les enquêteurs ont fait une des découvertes les plus surprenantes du dossier au domicile de Pierre Moro, un de ses vieux copains de lycée : près de 13.000 euros en liquide, que Marie-Pierre Oprandi, la trésorière historique de Mélenchon, lui aurait demandé de conserver discrètement. Selon nos informations, cette découverte a été suffisante pour élargir l'information judiciaire ouverte le 9 novembre à des faits de "blanchiment de crime ou délit". L'enquête initiale vise les délits de "détournements de fonds publics, recel et blanchiment".
Pierre Moro, alias "Pelou", a été de toutes les batailles de l'actuel chef de file de La France insoumise (LFI). Campagnes pour le Parti socialiste en Essonne, Sénat, ministère de l'Enseignement professionnel au sein du gouvernement Jospin... Un temps chauffeur de Jean-Luc Mélenchon, il a aussi été son assistant parlementaire au Parlement européen pendant plus de deux ans, jusqu'à fin décembre 2011. Une casquette qui lui vaut d'être dans le collimateur de la justice dans le cadre de l'enquête qui vise La France insoumise.
Ce 16 octobre, contrairement à Jean-Luc Mélenchon, Pierre Moro n’oppose aucune résistance aux policiers qui se présentent à son domicile de l'Essonne pour une perquisition. C'est même lui qui les guide à l'intérieur et
INFO OBS. Dans l'enquête sur les assistants parlementaires de Jean-Luc Mélenchon, de grosses liasses de billets ont été découvertes chez l'un d'entre eux. Les enquêteurs ont élargi l'enquête aux faits de "blanchiment de crime ou délit".
INFO OBS. Dans l'enquête sur la vingtaine d'assistants parlementaires rattachés à Jean-Luc Mélenchon depuis 2009, date de son premier mandat au Parlement européen, les enquêteurs ont fait une des découvertes les plus surprenantes du dossier au domicile de Pierre Moro, un de ses vieux copains de lycée : près de 13.000 euros en liquide, que Marie-Pierre Oprandi, la trésorière historique de Mélenchon, lui aurait demandé de conserver discrètement. Selon nos informations, cette découverte a été suffisante pour élargir l'information judiciaire ouverte le 9 novembre à des faits de "blanchiment de crime ou délit". L'enquête initiale vise les délits de "détournements de fonds publics, recel et blanchiment".
Pierre Moro, alias "Pelou", a été de toutes les batailles de l'actuel chef de file de La France insoumise (LFI). Campagnes pour le Parti socialiste en Essonne, Sénat, ministère de l'Enseignement professionnel au sein du gouvernement Jospin... Un temps chauffeur de Jean-Luc Mélenchon, il a aussi été son assistant parlementaire au Parlement européen pendant plus de deux ans, jusqu'à fin décembre 2011. Une casquette qui lui vaut d'être dans le collimateur de la justice dans le cadre de l'enquête qui vise La France insoumise.
Deux enveloppes et un emballage carton
Ce 16 octobre, contrairement à Jean-Luc Mélenchon, Pierre Moro n’oppose aucune résistance aux policiers qui se présentent à son domicile de l'Essonne pour une perquisition. C'est même lui qui les guide à l'intérieur et
https://www.nouvelobs.com/justice/20190205.OBS9730/les-mysterieux-13-000-euros-retrouves-chez-un-proche-de-melenchon-l-enquete-elargie.html
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Les journalistes ne s'intéressent pas qu'à Benalla
Nadou a écrit:Ce que révèlent les auditions des assistants parlementaires de MélenchonINFO OBS. L'enquête montre que les assistants parlementaires de Jean-Luc Mélenchon ne se rendaient quasiment jamais à Bruxelles. Parfois cadres du parti, ils sont soupçonnés d’avoir servi uniquement l'activité politique française de leader de La France insoumise.
Convoqué le 18 octobre par les enquêteurs pour s'expliquer sur ses assistants parlementaires, Jean-Luc Mélenchon est resté très calme. Il ne s'est pas énervé, a expliqué que ses assistants avaient tous, sans exception, travaillé pour le Parlement européen :
"Mes assistants avaient une interdiction formelle de se mêler des débats du parti ou de toute activité du parti."
Le leader de La France insoumise explique même avoir mis en place un système de badge, au siège du parti à Paris, pour leur permettre d'accéder à des bureaux dévolus aux missions européennes. Son seul petit mouvement d'humeur viendra au moment de signer le procès-verbal mentionnant ses droits et rappelant les raisons de sa présence dans les locaux de l'OCLCIFF (Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières).
"Détournement de fonds publics, recel de détournement de fonds publics, blanchiment du produit du détournement de fonds publics."
Jean-Luc Mélenchon a rayé toutes ces mentions avant de signer, déclarant aux enquêteurs qu'il n'était pas "concerné par ces infractions."
Quelques jours plus tard, le 9 novembre, une information judiciaire pour ces mêmes délits est ouverte. "Il ressort ainsi de la procédure des raisons plausibles de soupçonner que les assistants parlementaires du député européen ont été affectés à des tâches non conformes aux emplois prévus, ce qui implique le détournement de leur rémunération", ont conclu les enquêteurs anti-corruption au terme de près d'un an et
https://www.nouvelobs.com/politique/20190206.OBS9763/ce-que-revelent-les-auditions-des-assistants-parlementaires-de-melenchon.html
On est dans un système de pourriture extrême --
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
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