Collomb cafte......en pleine crise d'ado!

par Invité Jeu 4 Oct - 19:45

https://www.lepoint.fr/politique/gerard-collomb-en-pleine-crise-d-adolescence-04-10-2018-2260377_20.php#xtor=CS2-238

par Diviciac Jeu 4 Oct - 20:05

Zerbinette a écrit:https://www.lepoint.fr/politique/gerard-collomb-en-pleine-crise-d-adolescence-04-10-2018-2260377_20.php#xtor=CS2-238

Il n'est pas fou, Gégé, si il veut une chance de garder sa mairie de Lyon il a intérêt à quitter le navire en perdition tant qu'il est encore temps.
Il avait dit "après les européennes" mais vu la vitesse avec laquelle le petit accumule les conneries, dans six mois il sera trop tard pour se démarquer, il sera associé au fiasco .
Surtout si LREM paume face au RN et si le ministre de l'Intérieur doit faire face à des émeutes.

par Invité Jeu 4 Oct - 20:10

Diviciac a écrit:
Zerbinette a écrit:https://www.lepoint.fr/politique/gerard-collomb-en-pleine-crise-d-adolescence-04-10-2018-2260377_20.php#xtor=CS2-238

Il n'est pas fou, Gégé, si il veut une chance de garder sa mairie de Lyon il a intérêt à quitter le navire en perdition tant qu'il est encore temps.
Il avait dit "après les européennes" mais vu la vitesse avec laquelle le petit accumule les conneries, dans six mois il sera trop tard pour se démarquer, il sera associé au fiasco .
Surtout si LREM paume face au RN et si le ministre de l'Intérieur doit faire face à des émeutes.

...Et je vous fiche mon billet que d'autres ambitieux carriéristes...tel Bruno Le Maire...quitteront la galère en perdition bien avant la fin du quinquennat...- Nous en reparlerons..!

par frenchy35F Jeu 4 Oct - 22:28

Les Européennes réveillent les ambitieux/carriéristes qui se repositionnent...
Bruxelles: bonne place, planqué, bonne rémunération pour les pointeurs qui en plus pointent très peu, ...

L' EUROPE est bien à remodeler

par dugenou Jeu 4 Oct - 22:29

frenchy35F a écrit:Les Européennes réveillent les ambitieux/carriéristes qui se repositionnent...
Bruxelles: bonne place, planqué, bonne rémunération pour les pointeurs qui en plus pointent très peu, ...

L' EUROPE est bien à remodeler

A remodeler ? mais elle n'a jamais été modelée

par **Nadou** Ven 5 Oct - 14:51

On en sait un peu plus ... ça craignait du côté de Lyon, la droite se réorganisait et sa femme, engagée en politique, lui aurait dit qu'il y avait le feu et qu'il fallait qu'il rentre au plus vite pour sauver sa place.

par Diviciac Ven 5 Oct - 15:09

Nadou a écrit:On en sait un peu plus ... ça craignait du côté de Lyon, la droite se réorganisait et sa femme, engagée en politique, lui aurait dit qu'il y avait le feu et qu'il fallait qu'il rentre au plus vite pour sauver sa place.

Pauvre Gégé ! Il aurait été obligé de quitter ce merveilleux gouvernement à l'insu de son plein gré !

par **Nadou** Ven 5 Oct - 15:14

Diviciac a écrit:
Nadou a écrit:On en sait un peu plus ... ça craignait du côté de Lyon, la droite se réorganisait et sa femme, engagée en politique, lui aurait dit qu'il y avait le feu et qu'il fallait qu'il rentre au plus vite pour sauver sa place.

Pauvre Gégé ! Il aurait été obligé de quitter ce merveilleux gouvernement à l'insu de son plein gré !

Non, c'est très clair, il préfère Lyon à son ministère.

par **Nadou** Ven 5 Oct - 15:15

Vrai, faux ? il dit même que Macron a dû insister pour le faire entrer au ministère de l'Intérieur, qu'il savait qu'il retournerait à Lyon.

par Diviciac Ven 5 Oct - 15:26

,

Nadou a écrit:
Diviciac a écrit:

Pauvre Gégé ! Il aurait été obligé de quitter ce merveilleux gouvernement à l'insu de son plein gré !

Non, c'est très clair, il préfère Lyon à son ministère.

Ouais, enfin, quand Hulot est parti et que je t'ai demandé quel serait le prochain , tu n'avais pas mis un kopeck sur Gégé .
Tu aurais dû puisque c'était tellement prévisible que le gouvernement de branquignoles lui a immédiatement trouvé un remplaçant .... Non?

A moins d'un putsch militaire à Lyon, sa place, à Gégé, elle sera en danger aux prochaines municipales, en mars 2020.

par **Nadou** Ven 5 Oct - 15:36

Diviciac a écrit:,
Nadou a écrit:
Diviciac a écrit:

Pauvre Gégé ! Il aurait été obligé de quitter ce merveilleux gouvernement à l'insu de son plein gré !

Non, c'est très clair, il préfère Lyon à son ministère.

Ouais, enfin, quand Hulot est parti et que je t'ai demandé quel serait le prochain , tu n'avais pas mis un kopeck sur Gégé .
Tu aurais dû puisque c'était tellement prévisible que le gouvernement de branquignoles lui a immédiatement trouvé un remplaçant .... Non?

A moins d'un putsch militaire à Lyon, sa place, à Gégé, elle sera en danger aux prochaines municipales, en mars 2020.

Mais je ne sais pas comment ça sera remanié. Et dans tous les gouvernements, ça s'est pratiqué. On croirait que tu découvres le fonctionnement de la Ve.

par ledevois Ven 5 Oct - 16:13

Nadou a écrit:
Diviciac a écrit:,

Ouais, enfin, quand Hulot est parti et que je t'ai demandé quel serait le prochain , tu n'avais pas mis un kopeck sur Gégé .
Tu aurais dû puisque c'était tellement prévisible que le gouvernement de branquignoles lui a immédiatement trouvé un remplaçant .... Non?

A moins d'un putsch militaire à Lyon, sa place, à Gégé, elle sera en danger aux prochaines municipales, en mars 2020.

Mais je ne sais pas comment ça sera remanié. Et dans tous les gouvernements, ça s'est pratiqué. On croirait que tu découvres le fonctionnement de la Ve.

Bruno LEMAIRE ne devrait pas tarder --

par **Nadou** Ven 5 Oct - 18:42

LE SCAN POLITIQUE - L'épouse de l'ex-ministre de l'Intérieur, référente de LaREM dans le Rhône, aurait joué un rôle décisif dans sa démission.

Depuis trois jours, on lui prête un rôle décisif dans la démission de son mari. Caroline Collomb, référente départementale de LaREM dans le Rhône a-t-elle senti qu'il y avait urgence à ce que celui-ci revienne sur ses terres s'il voulait avoir des chances de reconquérir la ville? A-t-elle précipité son départ, lui qui voulait attendre les européennes pour prendre du champ avec la place Beauvau? Tout partirait de la réunion de rentrée de LaREM le samedi 29 septembre aux côtés de Marlène Schiappa, secrétaire d'État en charge de l'égalité femmes hommes dont Le Figarorévélait la teneur ce mercredi. Ce jour-là, devant 300 militants moins nombreux et plus apathiques que prévu, l'ex-ministre de l'Intérieur prend conscience que le moral des troupes est au plus bas. Des proches le sentent agacé, nerveux, bougon. Le ministre note aussi, comme nous l'écrivions, «une certaine défiance à l'égard de sa femme».

http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2018/10/05/25001-20181005ARTFIG00124-qui-est-caroline-collomb-l-influente-epouse-du-baron-lyonnais.php

Selon Europe 1, Caroline Collomb, justement serait intervenue auprès de son mari pour le convaincre de démissionner. Lundi dans la soirée, Gérard Collomb va donc trouver Emmanuel Macron pour lui dire qu'il veut partir. Le Figaro révèle son souhait. Mais le président le retourne une dernière fois. À son retour place Beauvau, Caroline Collomb l'aurait rappelé à l'ordre et lui aurait intimé de partir, toujours selon Europe 1. Le lendemain, l'ancien ministre de l'Intérieur annonce dans le Figaro qu'il souhaite toujours démissionner. Il quitte Beauvau le lendemain matin.

par **Nadou** Ven 5 Oct - 18:43

ledevois a écrit:
Nadou a écrit:
Diviciac a écrit:,

Ouais, enfin, quand Hulot est parti et que je t'ai demandé quel serait le prochain , tu n'avais pas mis un kopeck sur Gégé .
Tu aurais dû puisque c'était tellement prévisible que le gouvernement de branquignoles lui a immédiatement trouvé un remplaçant .... Non?

A moins d'un putsch militaire à Lyon, sa place, à Gégé, elle sera en danger aux prochaines municipales, en mars 2020.

Mais je ne sais pas comment ça sera remanié. Et dans tous les gouvernements, ça s'est pratiqué. On croirait que tu découvres le fonctionnement de la Ve.

Bruno LEMAIRE ne devrait pas tarder --

Quand ?

par ledevois Ven 5 Oct - 18:47

Nadou a écrit:
ledevois a écrit:

Bruno LEMAIRE ne devrait pas tarder --

Quand ?

C'est a lui qu'il faut lui demander -- , cependant sans résultat m'étonnerait qu'il continue --

par **Nadou** Ven 5 Oct - 18:51

ledevois a écrit:
Nadou a écrit:
ledevois a écrit:

Bruno LEMAIRE ne devrait pas tarder --

Quand ?

C'est a lui qu'il faut lui demander -- , cependant sans résultat m'étonnerait qu'il continue --

Les prévisions économiques pour le 2e semestre sont bonnes. Il doit être au courant.

par ledevois Ven 5 Oct - 19:17

Nadou a écrit:
ledevois a écrit:

C'est a lui qu'il faut lui demander -- , cependant sans résultat m'étonnerait qu'il continue --

Les prévisions économiques pour le 2e semestre sont bonnes. Il doit être au courant.

C'est quoi les prévisions bonne --?- la France emprunte toujours il semble; et sans taux de croissance d'au moins 3 % la dette ne sera jamais remboursée --
On parle d'un taux de dette publique de 2,9 % pour un 3 % réclamé par l'U E , --pour tout vous dire la gestion Française est sous sa responsabilité et ce n'est pas brillant -

par **Nadou** Ven 5 Oct - 19:25

ledevois a écrit:
Nadou a écrit:
ledevois a écrit:

C'est a lui qu'il faut lui demander -- , cependant sans résultat m'étonnerait qu'il continue --

Les prévisions économiques pour le 2e semestre sont bonnes. Il doit être au courant.

C'est quoi les prévisions bonne --?- la France emprunte toujours il semble; et sans taux de croissance d'au moins 3 % la dette ne sera jamais remboursée --
On parle d'un taux de dette publique de 2,9 % pour un 3 % réclamé par l'U E , --pour tout vous dire la gestion Française est sous sa responsabilité et ce n'est pas brillant -

Vers un rebond de la croissance et du pouvoir d'achat

L'Insee prévoit une accélération de l'activité au second semestre après le creux du premier, ce qui devrait porter la croissance à 1,6 % en 2018.

Pour l'Insee, le creux du début d'année était seulement un passage à vide. Au second semestre, la croissance devrait à nouveau accélérer pour rattraper le rythme moyen de la zone de 0,4 % par trimestre, voire le dépasser légèrement au troisième trimestre, avec + 0,5 %. D'abord grâce à un environnement international jugé un peu plus clément, même s'il reste incertain. « Le taux de change de l'euro face au dollar s'est stabilisé pendant l'été, tout comme le prix du pétrole », remarque l'Insee. La croissance française de juillet à décembre devrait aussi profiter de l'effet classique de sursaut après le creux du début d'année, notamment dans les transports.

Vers un rebond de la consommation des ménages

Après avoir freiné l'activité, la politique fiscale du gouvernement devrait jouer un rôle favorable. Même si les enquêtes d'opinion montrent que les ménages ne l'anticipent pas encore, ils devraient profiter de « gains significatifs » sur leur pouvoir d'achat, grâce au ralentissement de la hausse des prix, mais aussi grâce à la seconde tranche de baisse des cotisations pour les salariés et les indépendants ou à la diminution d'un tiers de la taxe d'habitation. Le pouvoir d'achat des ménages devrait ainsi accélérer de 1,7 % au quatrième semestre, après + 0,5 % au troisième. Vont-ils en profiter pour consommer ou vont-ils épargner ?

« Notre scénario repose en particulier sur le rebond de la consommation des ménages », souligne Julien Pouget, chef du département de la conjoncture de l'Insee. L'Institut table sur son augmentation de 0,7 % au troisième trimestre et 0,5 % sur les trois derniers mois de l'année. En août, les immatriculations de véhicules s'étaient en effet envolées de 40 %, un effet ponctuel lié à l'entrée d'une nouvelle norme européenne pour contrôler leurs émissions à partir du 1er septembre, relève l'Insee. Le niveau de consommation reste un des principaux aléas de sa prévision de croissance : celle-ci pourrait être plus importante ou plus basse en fonction de l'attitude des ménages.

La bonne nouvelle vient de la bonne tenue anticipée de l'investissement des entreprises, qui était déjà reparti au second trimestre, après un repli au premier. Il devrait progresser de 3,6 % en moyenne cette année, prévoit l'Insee, et atteindre un niveau « historiquement élevé ».

Le taux de chômage devrait baisser

Dans ce contexte, les créations d'emploi dans le secteur marchand devraient être divisées par plus de 2 par rapport à 2017, une année exceptionnelle en la matière. Elles passeraient de 335 000 à 136 000. Avec la baisse du nombre de contrats aidés, les créations nettes d'emplois totales tomberaient à 129 000 contre 342 000 l'année dernière. Compte tenu de l'évolution de la population active, cela serait suffisant pour faire reculer encore le taux de chômage, lequel devrait passer de 9,1 % au deuxième trimestre à 8,9 % à la fin de l'année. Ce qui voudrait dire que le taux de chômage aura reculé de plus d'un point en deux ans, de 10 % à 8,9 %.

Le gouvernement, qui a tablé sur 1,7 % de croissance pour tenir ses engagements budgétaires, peut-il encore espérer atteindre ce niveau de croissance ? « Ça ne paraît pas hors de portée », répond Julien Pouget. Mais la croissance pourrait aussi être moins élevée, à cause de la montée du protectionnisme, d'une augmentation des prix du pétrole (qui sont repartis à la hausse en septembre) ou encore de la dégradation de la situation dans les pays émergents. Un tel scénario compliquerait encore un peu plus l'équation budgétaire de 2019 en pesant sur le déficit.

par ledevois Ven 5 Oct - 20:15

Nadou a écrit:
ledevois a écrit:

C'est quoi les prévisions bonne --?- la France emprunte toujours il semble; et sans taux de croissance d'au moins 3 % la dette ne sera jamais remboursée --
On parle d'un taux de dette publique de 2,9 % pour un 3 % réclamé par l'U E , --pour tout vous dire la gestion Française est sous sa responsabilité et ce n'est pas brillant -
Vers un rebond de la croissance et du pouvoir d'achat

L'Insee prévoit une accélération de l'activité au second semestre après le creux du premier, ce qui devrait porter la croissance à 1,6 % en 2018.

Pour l'Insee, le creux du début d'année était seulement un passage à vide. Au second semestre, la croissance devrait à nouveau accélérer pour rattraper le rythme moyen de la zone de 0,4 % par trimestre, voire le dépasser légèrement au troisième trimestre, avec + 0,5 %. D'abord grâce à un environnement international jugé un peu plus clément, même s'il reste incertain. « Le taux de change de l'euro face au dollar s'est stabilisé pendant l'été, tout comme le prix du pétrole », remarque l'Insee. La croissance française de juillet à décembre devrait aussi profiter de l'effet classique de sursaut après le creux du début d'année, notamment dans les transports.

Vers un rebond de la consommation des ménages

Après avoir freiné l'activité, la politique fiscale du gouvernement devrait jouer un rôle favorable. Même si les enquêtes d'opinion montrent que les ménages ne l'anticipent pas encore, ils devraient profiter de « gains significatifs » sur leur pouvoir d'achat, grâce au ralentissement de la hausse des prix, mais aussi grâce à la seconde tranche de baisse des cotisations pour les salariés et les indépendants ou à la diminution d'un tiers de la taxe d'habitation. Le pouvoir d'achat des ménages devrait ainsi accélérer de 1,7 % au quatrième semestre, après + 0,5 % au troisième. Vont-ils en profiter pour consommer ou vont-ils épargner ?

« Notre scénario repose en particulier sur le rebond de la consommation des ménages », souligne Julien Pouget, chef du département de la conjoncture de l'Insee. L'Institut table sur son augmentation de 0,7 % au troisième trimestre et 0,5 % sur les trois derniers mois de l'année. En août, les immatriculations de véhicules s'étaient en effet envolées de 40 %, un effet ponctuel lié à l'entrée d'une nouvelle norme européenne pour contrôler leurs émissions à partir du 1er septembre, relève l'Insee. Le niveau de consommation reste un des principaux aléas de sa prévision de croissance : celle-ci pourrait être plus importante ou plus basse en fonction de l'attitude des ménages.

La bonne nouvelle vient de la bonne tenue anticipée de l'investissement des entreprises, qui était déjà reparti au second trimestre, après un repli au premier. Il devrait progresser de 3,6 % en moyenne cette année, prévoit l'Insee, et atteindre un niveau « historiquement élevé ».

Le taux de chômage devrait baisser

Dans ce contexte, les créations d'emploi dans le secteur marchand devraient être divisées par plus de 2 par rapport à 2017, une année exceptionnelle en la matière. Elles passeraient de 335 000 à 136 000. Avec la baisse du nombre de contrats aidés, les créations nettes d'emplois totales tomberaient à 129 000 contre 342 000 l'année dernière. Compte tenu de l'évolution de la population active, cela serait suffisant pour faire reculer encore le taux de chômage, lequel devrait passer de 9,1 % au deuxième trimestre à 8,9 % à la fin de l'année. Ce qui voudrait dire que le taux de chômage aura reculé de plus d'un point en deux ans, de 10 % à 8,9 %.

Le gouvernement, qui a tablé sur 1,7 % de croissance pour tenir ses engagements budgétaires, peut-il encore espérer atteindre ce niveau de croissance ? « Ça ne paraît pas hors de portée », répond Julien Pouget. Mais la croissance pourrait aussi être moins élevée, à cause de la montée du protectionnisme, d'une augmentation des prix du pétrole (qui sont repartis à la hausse en septembre) ou encore de la dégradation de la situation dans les pays émergents. Un tel scénario compliquerait encore un peu plus l'équation budgétaire de 2019 en pesant sur le déficit.

Je voudrais bien vous êtes agréable vous qui ne voyez que par ce jeune ; cependant en gestionnaire averti 1,6 c'est queudalle quand la France ne produit rien du tout il va de soit que c'est encore de la dette orchestrée par de la dette extérieure de plusieurs milliards --
Comme je vous l'ai dit le minimun pour que la France s'en sorte devrait dépasser les 3 % ce qui me parait impossible avec la politique mené par Macron -- une politique restrictive --c'est à dire contre le pouvoir d'achat -
Quand au chômage il va de soit qu'en créant de la formation cela puisse baisser ce qui n'est pas nouveau pour les chômeurs ----
Et puis tout est indiqué au subjonctif , une action incertaine ----
Nous risquons un avenir délabré comme cela c'est passé en Espagne avec des retraites divisé par deux comme chez eux -ainsi que pour les fonctionnaires -- C'est ça la réalité--- et non je ne sais quelle année exceptionnelle comme toute promesse depuis 30 ans --
La décapitation vous la verrez venir --

par Diviciac Ven 5 Oct - 21:45

Nadou a écrit:
Diviciac a écrit:,

Ouais, enfin, quand Hulot est parti et que je t'ai demandé quel serait le prochain , tu n'avais pas mis un kopeck sur Gégé .
Tu aurais dû puisque c'était tellement prévisible que le gouvernement de branquignoles lui a immédiatement trouvé un remplaçant .... Non?

A moins d'un putsch militaire à Lyon, sa place, à Gégé, elle sera en danger aux prochaines municipales, en mars 2020.

Mais je ne sais pas comment ça sera remanié. Et dans tous les gouvernements, ça s'est pratiqué. On croirait que tu découvres le fonctionnement de la Ve.

Non, non, ça n'a rien de banal : autant de ministres d'Etat qui rendent leur tablier, ça ne s'est jamais vu dans la Cinquième République ... à moins que tu aies un autre exemple ?

par Diviciac Ven 5 Oct - 21:53

Nadou a écrit:
ledevois a écrit:

C'est quoi les prévisions bonne --?- la France emprunte toujours il semble; et sans taux de croissance d'au moins 3 % la dette ne sera jamais remboursée --
On parle d'un taux de dette publique de 2,9 % pour un 3 % réclamé par l'U E , --pour tout vous dire la gestion Française est sous sa responsabilité et ce n'est pas brillant -
Vers un rebond de la croissance et du pouvoir d'achat

L'Insee prévoit une accélération de l'activité au second semestre après le creux du premier, ce qui devrait porter la croissance à 1,6 % en 2018.

C'est super ! On prévoit 2% pour la zone euro ... champions du monde grâce aux bonnes mesures de Macron!

par ledevois Sam 6 Oct - 10:29

Diviciac a écrit:
Nadou a écrit:
Vers un rebond de la croissance et du pouvoir d'achat

L'Insee prévoit une accélération de l'activité au second semestre après le creux du premier, ce qui devrait porter la croissance à 1,6 % en 2018.

C'est super ! On prévoit 2% pour la zone euro ... champions du monde grâce aux bonnes mesures de Macron!

Tout est manipulé et je suis sur que l'on atteindra jamais 1, 6 % ---

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