"Mon Gégé"

Le silence de la première dame

« Mon Gégé »

Diviciac a écrit:

Le silence de la première dame

Tout le monde… et d’abord l’hebdomadaire Le Point qui rapporte, dans son édition du 27 septembre, un « dîner de rupture » entre Emmanuel Macron et Gérard Collomb. L’entourage de Brigitte Macron, qui dînait ce soir-là avec son mari et le ministre de l’Intérieur, confirme qu’une partie de la conversation a tourné autour de l’affaire Benalla. « Brigitte Macron se serait étonnée des trous de mémoire du premier flic de France devant la commission d’enquête parlementaire », rapporte Le Point. Gérard Collomb avait en effet affirmé ne pas connaître Alexandre Benalla, qui était pourtant présent au siège de La République en marche durant toute la campagne d’Emmanuel Macron. Selon l'article du Point, ce dîner aurait acté la rupture entre le couple présidentiel et leur fidèle ministre.
Ce qui exaspère le président de la République, ce sont aussi les petites phrases de Gérard Collomb, distillées à la presse. Des critiques de moins en moins voilées à l’encontre du président de la République qui « nuisent à l’exécutif », rapporte Le Monde ce jeudi. Le 19 septembre, après ce dîner orageux, une cérémonie d’hommage aux victimes du terrorisme se tient à Paris. Le ministre de l’Intérieur, qui vient alors d’annoncer dans L’Express son intention de se représenter à la mairie de Lyon et de quitter le gouvernement, est présent. Selon Le Monde, Brigitte Macron ne lui adresse pas la parole.

« Mon Gégé »

Une brouille dont se défend Gérard Collomb. À Jean-Pierre Elkabbach sur CNEWS ce jeudi, il jurait que « contrairement à ce que j’ai lu dans la presse, Brigitte Macron et moi sommes extrêmement liés ». Le désormais ex-ministre de l’Intérieur explique que la première dame « sort souvent » et qu’ainsi, « elle entend ce que les gens lui disent » sur son époux. « Il faut qu’il fasse attention, qu’il écoute plus ».


Le dîner du 10 septembre « s’est bien passé », assure celui qui aspire à redevenir maire de Lyon. « Personne n’a été sévère. » « Cette crise vous éloigne ? » demande Jean-Pierre Elkabbach. « Pas du tout non, on s’appelle toujours Brigitte et Gérard. Elle m’appelle même, dans des accès de tendresse, mon Gégé » lance-t-il alors, amusé.

ledevois a écrit:

Diviciac a écrit:

Le silence de la première dame

Tout le monde… et d’abord l’hebdomadaire Le Point qui rapporte, dans son édition du 27 septembre, un « dîner de rupture » entre Emmanuel Macron et Gérard Collomb. L’entourage de Brigitte Macron, qui dînait ce soir-là avec son mari et le ministre de l’Intérieur, confirme qu’une partie de la conversation a tourné autour de l’affaire Benalla. « Brigitte Macron se serait étonnée des trous de mémoire du premier flic de France devant la commission d’enquête parlementaire », rapporte Le Point. Gérard Collomb avait en effet affirmé ne pas connaître Alexandre Benalla, qui était pourtant présent au siège de La République en marche durant toute la campagne d’Emmanuel Macron. Selon l'article du Point, ce dîner aurait acté la rupture entre le couple présidentiel et leur fidèle ministre.
Ce qui exaspère le président de la République, ce sont aussi les petites phrases de Gérard Collomb, distillées à la presse. Des critiques de moins en moins voilées à l’encontre du président de la République qui « nuisent à l’exécutif », rapporte Le Monde ce jeudi. Le 19 septembre, après ce dîner orageux, une cérémonie d’hommage aux victimes du terrorisme se tient à Paris. Le ministre de l’Intérieur, qui vient alors d’annoncer dans L’Express son intention de se représenter à la mairie de Lyon et de quitter le gouvernement, est présent. Selon Le Monde, Brigitte Macron ne lui adresse pas la parole.

« Mon Gégé »

Une brouille dont se défend Gérard Collomb. À Jean-Pierre Elkabbach sur CNEWS ce jeudi, il jurait que « contrairement à ce que j’ai lu dans la presse, Brigitte Macron et moi sommes extrêmement liés ». Le désormais ex-ministre de l’Intérieur explique que la première dame « sort souvent » et qu’ainsi, « elle entend ce que les gens lui disent » sur son époux. « Il faut qu’il fasse attention, qu’il écoute plus ».


Le dîner du 10 septembre « s’est bien passé », assure celui qui aspire à redevenir maire de Lyon. « Personne n’a été sévère. » « Cette crise vous éloigne ? » demande Jean-Pierre Elkabbach. « Pas du tout non, on s’appelle toujours Brigitte et Gérard. Elle m’appelle même, dans des accès de tendresse, mon Gégé » lance-t-il alors, amusé.

 C'est déplorable pour la France le niveau intellectuel des gens qui nous gouvernent --

Fontsestian a écrit:

ledevois a écrit:

 C'est déplorable pour la France le niveau intellectuel des gens qui nous gouvernent --

ledevois a écrit:

Diviciac a écrit:

Le silence de la première dame

Tout le monde… et d’abord l’hebdomadaire Le Point qui rapporte, dans son édition du 27 septembre, un « dîner de rupture » entre Emmanuel Macron et Gérard Collomb. L’entourage de Brigitte Macron, qui dînait ce soir-là avec son mari et le ministre de l’Intérieur, confirme qu’une partie de la conversation a tourné autour de l’affaire Benalla. « Brigitte Macron se serait étonnée des trous de mémoire du premier flic de France devant la commission d’enquête parlementaire », rapporte Le Point. Gérard Collomb avait en effet affirmé ne pas connaître Alexandre Benalla, qui était pourtant présent au siège de La République en marche durant toute la campagne d’Emmanuel Macron. Selon l'article du Point, ce dîner aurait acté la rupture entre le couple présidentiel et leur fidèle ministre.
Ce qui exaspère le président de la République, ce sont aussi les petites phrases de Gérard Collomb, distillées à la presse. Des critiques de moins en moins voilées à l’encontre du président de la République qui « nuisent à l’exécutif », rapporte Le Monde ce jeudi. Le 19 septembre, après ce dîner orageux, une cérémonie d’hommage aux victimes du terrorisme se tient à Paris. Le ministre de l’Intérieur, qui vient alors d’annoncer dans L’Express son intention de se représenter à la mairie de Lyon et de quitter le gouvernement, est présent. Selon Le Monde, Brigitte Macron ne lui adresse pas la parole.

« Mon Gégé »

Une brouille dont se défend Gérard Collomb. À Jean-Pierre Elkabbach sur CNEWS ce jeudi, il jurait que « contrairement à ce que j’ai lu dans la presse, Brigitte Macron et moi sommes extrêmement liés ». Le désormais ex-ministre de l’Intérieur explique que la première dame « sort souvent » et qu’ainsi, « elle entend ce que les gens lui disent » sur son époux. « Il faut qu’il fasse attention, qu’il écoute plus ».


Le dîner du 10 septembre « s’est bien passé », assure celui qui aspire à redevenir maire de Lyon. « Personne n’a été sévère. » « Cette crise vous éloigne ? » demande Jean-Pierre Elkabbach. « Pas du tout non, on s’appelle toujours Brigitte et Gérard. Elle m’appelle même, dans des accès de tendresse, mon Gégé » lance-t-il alors, amusé.

 C'est déplorable pour la France le niveau intellectuel des gens qui nous gouvernent --

Fontsestian a écrit:Tant mieux si Brigitte entend les gens commenter les bévues de communication de son époux en espérant qu'elle les lui fasse comprendre.


"Oui mon Manu,il y a des cons, des feignants et des ignares parmi les français mais il ne faut pas le leur dire. Il faut leur raconter que tu connais leurs souffrances et que tu te défonces pour y pallier, tout ça en évitant d'embrasser des d'jeuns trop voyants!"

Diviciac a écrit:

ledevois a écrit:

 C'est déplorable pour la France le niveau intellectuel des gens qui nous gouvernent --

Quand je pense que les transfuges de la gauche critiquaient sarko pour son côté people et ses familiarités intempestives avec n'importe qui et que Macron peut se pâmer dans les bras d'un délinquant torse nu, je me dis qu'il n'y a pas de justice ...