"Personne n'y croyait !"

Marqué par huit ans d'austérité, le pays ne sera plus, ce lundi, sous programme d'assistance. La Grèce aura reçu en tout 289 milliards d'euros de prêts.

« Personne n'y croyait », expliquait en juin dernier au Point, Alexis Tsipras. Le Premier ministre grec et son pays voient le bout du tunnel. Le dernier des plans d'aide qui régissent la Grèce depuis 2010 s'achève lundi, avec un pays mieux portant mais marqué par huit ans d'austérité. 

Après le Portugal, l'Irlande, l'Espagne et Chypre, la Grèce était le dernier pays de la zone euro encore sous programme d'assistance depuis la crise.
En trois plans successifs (2010, 2012 et 2015), elle aura reçu 289 milliards d'euros de prêts. Mais les réformes exigées en contrepartie par le Fonds monétaire international (FMI) et les autorités européennes l'ont mise sur le flanc : un quart du PIB évaporé en huit ans – la croissance a repris en 2017 – et un chômage qui vient seulement de redescendre sous 20 % après un pic à 27,5 % en 2013.

Fontsestian a écrit:Il est intéressant de souligner que ce n'est que grâce au revirement de Tsipras qui a fini par accepter les solutions proposées par des gens compétents que le pays se redresse.


Il reste beaucoup à faire mais peut être les grecs auront ils compris qu'il faut se retrousser les manches et ne plus s'en remettre à l'état providence pour s'en sortir.


Idem pour les trois autres pays cités



Cependant ne leur jetons pas la pierre car nous aurions beaucoup à apprendre sur ces points là.

ledevois a écrit:

Fontsestian a écrit:Il est intéressant de souligner que ce n'est que grâce au revirement de Tsipras qui a fini par accepter les solutions proposées par des gens compétents que le pays se redresse.


Il reste beaucoup à faire mais peut être les grecs auront ils compris qu'il faut se retrousser les manches et ne plus s'en remettre à l'état providence pour s'en sortir.


Idem pour les trois autres pays cités



Cependant ne leur jetons pas la pierre car nous aurions beaucoup à apprendre sur ces points là.

 OUI --- faut y penser à toute allure --

  Les Britanniques ont une formule intéressante à cet égard: "wright or wrong this is my country"

Fontsestian a écrit:

ledevois a écrit:

 OUI --- faut y penser à toute allure --

  Les Britanniques ont une formule intéressante à cet égard: "wright or wrong this is my country"

 Tu vas nous la servir sur tous les fils ta pseudo formule british?