Forum + +
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €

Minouche vire très à gauche

Page 1 sur 2 1, 2  Suivant

Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Minouche vire très à gauche

Message par Lili-Rose Sam 16 Juin - 23:24

Elle rêvait de Sarko, Macron le fait Laughing 


https://blogs.mediapart.fr/bertrand-rouzies/blog/160618/privatisation-des-b…
Privatisation des barrages français: un acte de haute trahison
·        16 JUIN 2018
 
·        PAR BERTRAND ROUZIES
 
·        BLOG : LE BLOG DE BERTRAND ROUZIES
Le gouvernement Philippe, naufrageur de l’intérêt général, a capitulé sans combattre devant une vieille exigence de la Commission européenne. La France sera le seul pays européen à affaiblir un secteur vital en pleine phase de transition vers un nouveau modèle énergétique. Un crime irrémissible contre l’avenir.
Il fallait s’y attendre. Confier la clef des communs à un transfuge de la banque Rothschild et à un ancien directeur des affaires publiques (autrement dit lobbyiste) d’Areva pour contrer une idéologie d’extrême droite dont on voit bien qu’elle infuse bien au-delà du parti qui l’incarne et s’accommode volontiers du régime néolibéral, sinon l’étaye, c’est comme affecter Renard le goupil et Grimbert le blaireau à la garde de la bergerie pour décourager les entreprises d’Ysengrin le loup : la tentation est trop forte de se payer sur l’agneau, en bonne entente avec les autres prédateurs.
Histoire d’une forfaiture politique
Le 7 février dernier, le gouvernement Philippe, après avoir fait savoir en automne 2017 qu’il ne trouvait rien à redire au principe, a donc acté la privatisation du secteur hydroélectrique français. D’ici 2022, 150 des plus grands barrages (plus de 20 mètres de haut) devraient être vendus, pour une puissance totale de 4,3 GW équivalant à celle de trois réacteurs nucléaires de nouvelle génération. Le reliquat du parc public, sauf effondrement global, sera mis à l’encan avant 2050. EDF, société détenue à 83,5 % par l’État, gère 85 % des 433 concessions du pays (une concession représente un ou plusieurs barrages raccordés à une même centrale électrique). Engie et des structures régionales comme la Compagnie nationale du Rhône ou la Société hydroélectrique du Midi se partagent les 15 % restants.
Cela faisait dix ans que la Commission européenne réclamait cette privatisation, avec un acharnement spécial et suspect de la part de la commissaire à la concurrence Margrethe Vestager depuis sa nomination en 2014. Macron et Philippe l’ont signée, sans l’ombre d’une hésitation. Il s’agit de mettre fin à l’abus de « position dominante » d’EDF. Non sans quelques incohérences flagrantes. Le secteur nucléaire, réputé stratégique mais en faillite, on n’y touche pas ; en revanche, le secteur hydroélectrique, très profitable mais réputé non stratégique par notre tandem, on peut le vendre à la découpe. Sous la mandature présidentielle précédente, certains avaient au moins fait mine de résister. Les ministres socialistes Delphine Batho et Ségolène Royal, par exemple, avaient tenté de trouver un moyen terme en proposant de créer des sociétés d’économie mixte pour opérer les petits barrages : la puissance publique y aurait conservé une minorité de blocage de 34 % pour encadrer les éventuels repreneurs privés. Le 16 mai 2014, un décret, le no 2014-479, avait même étendu à de nouveaux secteurs de l’énergie, de l’eau, des transports, des télécommunications et de la santé publique les pouvoirs du décret no 2005-1739, qui portent sur la possibilité donnée au gouvernement de mettre un veto sur des investissements étrangers qui portent atteintes aux intérêts stratégiques. Vains atermoiements. En juin 2015, la Commission européenne, pas dupe de ces manœuvres, a estimé qu’elles contrevenaient à son credo de la concurrence « libre et non faussée » et a sommé Paris « d’accélérer l’ouverture à la concurrence des concessions hydroélectriques ». Notons au passage que, dans la phraséologie néolibérale, la concurrence « libre et non faussée » ne s’applique qu’au secteur économique – avec les nombreuses exceptions que l’on sait – et pas à la compétition électorale, où les rabais arrangeants sont tolérés.
Le gouvernement Philippe avait une arme pour s’opposer à la Commission, ce décret n° 2014-479. Il n’en a pas usé et a même appuyé sur l’accélérateur. Le scandale n’est pas tant que la France soit le seul pays d’Europe auquel on ait demandé de privatiser ses barrages (en Allemagne, les concessions sont déléguées aux Länder, en Norvège, qui tire 99 % de son électricité des barrages, les licences hydroélectriques ne sont accordées qu’à des opérateurs publics et la Slovénie a constitutionnalisé un « grand service public de l’eau »), mais qu’un gouvernement français ait accédé à cette demande le plus servilement du monde, comme si le secteur hydroélectrique n’était pas lui aussi stratégique, ne fût-ce que pour honorer les engagements de la COP21.
Poule aux œufs d’or et indispensable force d’appoint 
Minouche vire très à gauche Clip_image001Conduite forcée du barrage du Pouget (Aveyron, vallée du Tarn)
Il fallait s’y attendre. Confier la clef des communs à un transfuge de la banque Rothschild et à un ancien directeur des affaires publiques (autrement dit lobbyiste) d’Areva pour contrer une idéologie d’extrême droite dont on voit bien qu’elle infuse bien au-delà du parti qui l’incarne et s’accommode volontiers du régime néolibéral, sinon l’étaye, c’est comme affecter Renard le goupil et Grimbert le blaireau à la garde de la bergerie pour décourager les entreprises d’Ysengrin le loup : la tentation est trop forte de se payer sur l’agneau, en bonne entente avec les autres prédateurs.
Histoire d’une forfaiture politique
Le 7 février dernier, le gouvernement Philippe, après avoir fait savoir en automne 2017 qu’il ne trouvait rien à redire au principe, a donc acté la privatisation du secteur hydroélectrique français. D’ici 2022, 150 des plus grands barrages (plus de 20 mètres de haut) devraient être vendus, pour une puissance totale de 4,3 GW équivalant à celle de trois réacteurs nucléaires de nouvelle génération. Le reliquat du parc public, sauf effondrement global, sera mis à l’encan avant 2050. EDF, société détenue à 83,5 % par l’État, gère 85 % des 433 concessions du pays (une concession représente un ou plusieurs barrages raccordés à une même centrale électrique). Engie et des structures régionales comme la Compagnie nationale du Rhône ou la Société hydroélectrique du Midi se partagent les 15 % restants.
Minouche vire très à gauche Clip_image003Centrales hydrauliques en France © EDF
Cela faisait dix ans que la Commission européenne réclamait cette privatisation, avec un acharnement spécial et suspect de la part de la commissaire à la concurrence Margrethe Vestager depuis sa nomination en 2014. Macron et Philippe l’ont signée, sans l’ombre d’une hésitation. Il s’agit de mettre fin à l’abus de « position dominante » d’EDF. Non sans quelques incohérences flagrantes. Le secteur nucléaire, réputé stratégique mais en faillite, on n’y touche pas ; en revanche, le secteur hydroélectrique, très profitable mais réputé non stratégique par notre tandem, on peut le vendre à la découpe. Sous la mandature présidentielle précédente, certains avaient au moins fait mine de résister. Les ministres socialistes Delphine Batho et Ségolène Royal, par exemple, avaient tenté de trouver un moyen terme en proposant de créer des sociétés d’économie mixte pour opérer les petits barrages : la puissance publique y aurait conservé une minorité de blocage de 34 % pour encadrer les éventuels repreneurs privés. Le 16 mai 2014, un décret, le no 2014-479, avait même étendu à de nouveaux secteurs de l’énergie, de l’eau, des transports, des télécommunications et de la santé publique les pouvoirs du décret no 2005-1739, qui portent sur la possibilité donnée au gouvernement de mettre un veto sur des investissements étrangers qui portent atteintes aux intérêts stratégiques. Vains atermoiements. En juin 2015, la Commission européenne, pas dupe de ces manœuvres, a estimé qu’elles contrevenaient à son credo de la concurrence « libre et non faussée » et a sommé Paris « d’accélérer l’ouverture à la concurrence des concessions hydroélectriques ». Notons au passage que, dans la phraséologie néolibérale, la concurrence « libre et non faussée » ne s’applique qu’au secteur économique – avec les nombreuses exceptions que l’on sait – et pas à la compétition électorale, où les rabais arrangeants sont tolérés.
Le gouvernement Philippe avait une arme pour s’opposer à la Commission, ce décret n° 2014-479. Il n’en a pas usé et a même appuyé sur l’accélérateur. Le scandale n’est pas tant que la France soit le seul pays d’Europe auquel on ait demandé de privatiser ses barrages (en Allemagne, les concessions sont déléguées aux Länder, en Norvège, qui tire 99 % de son électricité des barrages, les licences hydroélectriques ne sont accordées qu’à des opérateurs publics et la Slovénie a constitutionnalisé un « grand service public de l’eau »), mais qu’un gouvernement français ait accédé à cette demande le plus servilement du monde, comme si le secteur hydroélectrique n’était pas lui aussi stratégique, ne fût-ce que pour honorer les engagements de la COP21.
Poule aux œufs d’or et indispensable force d’appoint 
Il faut dire que pour la concurrence si chère à Margrethe Vestager, les barrages français, avec leur excédent brut de 2,5 milliards d’euros par an, dont la moitié revient aux collectivités locales, leur masse salariale faible (21 000 salariés) et leurs installations amorties depuis des lustres, sont une proie de choix. La bête, de surcroît, a été techniquement affaiblie dès avant que la Commission ne revînt à la charge, par un certain… Emmanuel Macron : une de ses premières grandes décisions et son premier grand acte de trahison comme ministre de l’économie aura été d’autoriser l’investissement de l’Américain General Electric dans Alstom. General Electric est à présent actionnaire à 50 % de la branche énergie d’Alstom, qui ravitaille en pièces essentielles les centrales nucléaires (turbines Arabelle de Belfort) et les barrages… Dans l’usine GE-hydro de Grenoble, un plan social de 345 postes (sur 800) assombrit l’avenir du site. Depuis plus d’un siècle, forte d’un savoir-faire unique et mondialement reconnu, cette usine fabriquait sur mesure les turbines des grands barrages français et en assurait la maintenance. En plus d’avoir fourni 25 % de la puissance hydraulique installée dans le monde (dont le barrage des Trois gorges en Chine, qui n’est sans doute pas son meilleur motif de gloire) et permis l’essor industriel des Alpes françaises, ses carnets de commandes sont pleins. Oui, pleins ! La décision de GE et le silence du gouvernement sur ce dossier, Nicolas Hulot inclus (les couleuvres, à force, lui sortent par la bouche), sont incompréhensibles, à moins d’y voir une volonté délibérée, d’abord subreptice, désormais frontale, de saborder un secteur vital, de la manufacture aux usages.
Car le secteur hydroélectrique est vital, comme le rappelait Martine Orange en novembre 2015. Il représente 12,5 % de la production d’électricité française, 70 % des énergies renouvelables. C’est l’électricité la moins onéreuse : de 20 à 30 euros le MWh. Les centrales hydroélectriques fournissent 66 % de la capacité d’appoint rapide lors des pics de consommation (le reste est assuré par les centrales thermiques). Les barrages, par leurs réserves d’eau, compensent l’intermittence des autres énergies renouvelables et, inversement, en cas de surplus de production de ces dernières, reconstituent leurs stocks par pompage. Par ailleurs, certaines installations complexes, avec conduite forcée et vastes lacs de retenue, nécessitent des compétences particulières et un sens avisé de la coordination avec les collectivités locales bénéficiaires, et ne supportent pas l’amateurisme. Enfin, la bonne gestion du niveau des fleuves et rivières est essentielle pour le refroidissement des centrales nucléaires, implantées majoritairement sur des cours d’eau jalonnés de barrages. On ne peut « arrêter le nucléaire » comme on mouche une chandelle. On peut (on doit) geler la construction de nouvelles centrales, on peut (on doit) les faire démanteler par les nucléocrates, qui seraient malvenus de nous accuser de les envoyer à une mort certaine sans se récuser, mais on a l’obligation vis-à-vis des générations futures d’entretenir et de surveiller sur une échelle de temps inédite les sites de production et de stockage. Nous sommes condamnés à accompagner l’interminable agonie de l’industrie nucléaire et le secteur hydroélectrique est partie prenante de cette veillée cauchemardesque. Les deux secteurs sont donc liés stratégiquement et, en l’occurrence, puisqu’il y va de la sécurité collective et même globale, puisque les pollutions nucléaires ignorent les frontières, affaiblir le secteur des barrages est un crime contre l’avenir et contre les nations.
Minouche vire très à gauche Clip_image005Répartition des parts de production d'énergie en France © EDF
Planification d’un désastre
Philippe comme Macron ne peuvent ignorer les méfaits et les dangers mortels de l’immixtion de la concurrence dans les secteurs vitaux. Nous ne citerons que l’inquiétant précédent de la grève de la maintenance organisée par General Electric, justement, dans les centrales nucléaires françaises. C’était en février 2016. General Electric, par le moyen d’une grève « prenant en otage » (salauds de patrons !) toute une industrie sensible, sans que BFMTV ait daigné faire un micro-trottoir auprès des usagers et éventuels riverains que nous sommes, a cherché à obtenir et a obtenu d’EDF, après plusieurs centaines d’incidents, des conditions plus avantageuses (en termes de responsabilité financière en cas… d’incident). La course à la défausse était lancée. La « libre » concurrence libère en premier lieu ses adeptes du scrupule.  
On imagine fort bien à quels types de chantage les nouveaux propriétaires de barrages pourraient se livrer pour augmenter leurs gains au détriment des communs et de la sécurité : rétention jusqu’au seuil de la pénurie pendant les pics de consommation pour faire monter les prix (rien ne l’empêche juridiquement), fin des lâchers d’eau gratuits en fonction des besoins des vallées (loisirs, agriculture), entre autres exemples. Un opérateur privé va-t-il anticiper les sécheresses en réfléchissant à des plans de stockage sur le long terme ? Et quid de la maintenance ? EDF investit 400 millions d’euros par an dans l’entretien et le renforcement de ses barrages, dont certains ne sont plus tout jeunes et risqueraient, en cas d’économies de bouts de chandelle, de provoquer des catastrophes. Jean-Bernard Lévy, PDG d’EDF, a déjà prévenu que certains investissements étaient obérés par l’incertitude pesant sur le destin des barrages français. Hors de question pour l’entreprise de lancer des travaux qui profiteraient à de futurs acquéreurs privés. Sauf que certains travaux sont, pour le dire sèchement, urgents. Voilà le genre de petit jeu malsain qu’alimente la concurrence « libre et non faussée »Le témoignage de Jean-Louis Chauz, président du Conseil économique, social et environnemental d’Occitanie, illustre bien l’appréhension qui gagne peu à peu les collectivités : « En 2035, le déficit de stockage d’eau pour la nouvelle démographie de la région et les besoins de l’agriculture, des écosystèmes, de la préservation de la biodiversité, sera de 1 milliard de m3. EDF et Engie ont provisionné les budgets nécessaires pour engager les travaux pour le stockage d’eau. À l’heure où l’Occitanie est confrontée à un problème majeur de ressources en eau dans les années à venir, à même de compromettre son développement, voire sa sécurité sanitaire, il est incompréhensible et dangereux de chercher à complexifier une organisation de la gestion de l’eau… »
Et s’il ne fallait retenir de cette privatisation que le gain pour les caisses de l’État, là encore les comptables qui nous gouvernent seraient bien en peine de lui trouver quelque avantage. La Cour des comptes a calculé que si l’État en retirait 520 millions d’euros par an de redevances, ce serait Byzance. 520 millions d’euros, ce n’est jamais que cinq fois moins que l’excédent brut actuel…
Instruire le procès en haute trahison
Dans l’article 68 (révisé en 2007) de la Constitution, il est dit que « le président de la République ne peut être destitué qu’en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ». Pour un président de la République, la haute trahison, au sens de l’article 68 avant révision, se définit comme l’action volontaire d’aller contre les principes que la Constitution le charge de défendre ès qualités. Parmi ces principes, l’article 5 par exemple : « Le président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’État. Il est le garant de l’indépendance nationale et de l’intégrité du territoire. » Il me semble que cet article 5 englobe la question de l’approvisionnement énergétique. Le président Macron est donc coupable, sur ce dossier, de « manquement », conjointement avec le premier ministre. Le 6 décembre 2017, des députés et élus territoriaux de La France insoumise publiaient une tribune de protestation sur le site Reporterre. Il fallait aller plus loin, frapper plus fort, car un tel « manquement » déchire notre horizon et foule ostensiblement aux pieds la Constitution.   
La privatisation des barrages apporte une énième fois la preuve que nous sommes dirigés soit par des aliénés en plein délire paranoïde[*], soit par des naufrageurs embarqués qui, après avoir ôté les derniers rivets de la carène, sabotent les pompes de secours. Eu égard à la Constitution et à ma conception de l’intérêt général, de même que le renoncement politique sur le glyphosate et plus globalement sur l’addiction française aux produits phytosanitaires, cette décision m’apparaît comme un crime contre les intérêts vitaux de la France et des pays voisins, et contre les générations futures, en tant qu’elle fait obstacle à la transition vers une économie décarbonnée, ajoutant une complexité inutile à une complexité déjà mortifère. Tout crime contre l’avenir relève de la haute trahison. Si un certain monde doit disparaître à l’issue des bouleversements climatiques et énergétiques qui ont commencé, il me semble essentiel d’identifier dès maintenant les saccageurs de ce qu’il reste des sociétés humaines, afin que la colère civique ne se déchaîne pas tous azimuts, qu’elle aille frapper au cœur de l’hydre, plutôt que d’en trancher sottement les têtes sans cesse renaissantes.
Lili-Rose
Lili-Rose

Messages : 14775
Date d'inscription : 21/01/2018

Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par dugenou Sam 16 Juin - 23:56

?????? j'ai beau chercher, je ne comprends pas votre titre. 

Par contre, vendre nos barrages ! voilà une idée excellente, après la sidérurgie, les aéroports, les manufactures de textiles, etc. il va rester quoi ?  Evil or Very Mad


PS vous noterez mon smiley hein


"Ce qui est certain c'est que ce Macron, personnage mineur de l'histoire romaine, mettra fin à ses jours et à ceux de sa femme sous la pression de Caligula"
dugenou
dugenou

Messages : 4957
Date d'inscription : 02/07/2017

Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Invité Dim 17 Juin - 7:40

dugenou a écrit:?????? j'ai beau chercher, je ne comprends pas votre titre. 

Par contre, vendre nos barrages ! voilà une idée excellente, après la sidérurgie, les aéroports, les manufactures de textiles, etc. il va rester quoi Evil or Very Mad


PS vous noterez mon smiley hein
Des millions de fonctionnaires mais ça pourrait se Malpasset

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Lili-Rose Dim 17 Juin - 11:16

dugenou a écrit:?????? j'ai beau chercher, je ne comprends pas votre titre. 

Par contre, vendre nos barrages ! voilà une idée excellente, après la sidérurgie, les aéroports, les manufactures de textiles, etc. il va rester quoi ?  Evil or Very Mad


PS vous noterez mon smiley hein



Tout le monde ici ne peut pas comprendre, forcement car il fait connaître la bestiole.
"Minouche" diminutif de "Minouchette" ou alias "Maréaction", était un sarkozyste jusqu'au trou d'balle. Une bonne vieille baderne conservatrice, surtout de ses privilèges.
La voir s'offusquer des pratiques de droite voire ultra libérales de Macron me fait bien rigoler.
Je ne suis pas pour toute forme de privatisation en effet et je donne mon avis à ce sujet:
Certains investissements n'intéressent pas le privé, car il faut plusieurs décennies pour commencer à voir le premier centime en rentabilité.
Donc l'état s'en charge n'étant pas soumis aux même règles.
Une fois l'amortissement financier obtenu, ils est dégueulasse de revendre le bébé au privé, de plus souvent à vil prix, c'est voler le contribuable.
Prenons un exemple:
La distribution du gaz ou de l'élec:
Pourquoi en effet un entreprise privé ne pourrait pas le faire? Mais alors qu'elle ouvre chaque route de France pour y mettre son propre matos à ses frais et par son investissement propre.
Lili-Rose
Lili-Rose

Messages : 14775
Date d'inscription : 21/01/2018

Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Fontsestian Dim 17 Juin - 11:27

magicfly a écrit:
dugenou a écrit:?????? j'ai beau chercher, je ne comprends pas votre titre. 

Par contre, vendre nos barrages ! voilà une idée excellente, après la sidérurgie, les aéroports, les manufactures de textiles, etc. il va rester quoi Evil or Very Mad


PS vous noterez mon smiley hein
Des millions de fonctionnaires mais ça pourrait se Malpasset
 Ouais, en forme le Magic!!! Very Happy


Je ne peux pas tout, je ne réussis pas tout mais je refuse de m'y résoudre. Emmanuel Macron.
Fontsestian
Fontsestian

Messages : 11123
Date d'inscription : 11/06/2018
Age : 78
Localisation : Provence

Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Nadou Dim 17 Juin - 11:46

Privatisation des barrages : les inquiétudes des élus

Environnement





Le gouvernement annonce la privatisation des 150 plus grands barrages de France d'ici 2022. Une décision imposée par l'union européenne (la France est le seul pays concerné) qui risque d'impacter la bonne gestion du réseau électrique, la facture du consommateur et la sécurité du territoire.


Le maire du Vintrou, Gérard Cauquil s'est inquiété lors de la visite cantonnale de Florence estrabaud et de Daniel Vialelle du canton Mazamet 2/vallée du Thoré de la privatisation du barrage des Saints Peyres et son usine hydroélectrique qui font partie de la commune.

Les motifs de la colère du maire du Vintrou


«Sans que nous soyons informés, consultés, il semblerait que l'état ait décidé de, comme pour les autoroutes, se séparer par la vente, des concessions hydroélectriques. Permettez-moi de vous dire que ce projet me semble dangereux car il s'attaque à un bien commun, l'eau, et sa gestion qui à mon sens ne peut être livrée à une gestion privée. Les questions sont nombreuses, incidence sur les tarifs, sûreté du réseau, maintenance, devenir des personnels, etc.».
2 300 barrages en France sont de propriété publique gérés par EDF (85 %) dans 433 concessions et le reste est géré par Engie et des structures régionales. Les 150 plus grands barrages (+ de 20 m de haut) vont être privatisés d'ici 2022 soit 4,3 GW (l'équivalent de trois réacteurs nouvelle génération) et l'ensemble (20 GW) d'ici 2050.
Les barrages fournissent 12,5 % de l'électricité (70 % des énergies renouvelables) et ils retiennent l'eau pour les cultures, les activités de loisirs et alimentent les villes.
C'est l'électricité la moins chère à produire et sa consommation peut être lisser en fonction de la demande.
«EDF a investi 20 millions d'euros en 2008 pour remettre en état les installations. Les investisseurs vont-ils investir de l'argent pour l'entretenir ?».
Les appels d'offres vont être lancés d'ici fin 2018 et des firmes de six pays sont intéressées mais la priorité devrait être donnée aux repreneurs francais (Total et Engie).


Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Nadou
Nadou
Admin

Messages : 32472
Date d'inscription : 02/07/2017

http://forum-plusplus.forumactif.com

Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Invité Dim 17 Juin - 11:47

Je suis contre la privatisation de notre énergie, pas envie de voir des chinois ou des amerloques décidés de notre politique énergétique....

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Diviciac Dim 17 Juin - 11:52

Nadou a écrit:Privatisation des barrages : les inquiétudes des élus

Environnement







Le gouvernement annonce la privatisation des 150 plus grands barrages de France d'ici 2022. Une décision imposée par l'union européenne (la France est le seul pays concerné) qui risque d'impacter la bonne gestion du réseau électrique, la facture du consommateur et la sécurité du territoire.


Le maire du Vintrou, Gérard Cauquil s'est inquiété lors de la visite cantonnale de Florence estrabaud et de Daniel Vialelle du canton Mazamet 2/vallée du Thoré de la privatisation du barrage des Saints Peyres et son usine hydroélectrique qui font partie de la commune.

Les motifs de la colère du maire du Vintrou




«Sans que nous soyons informés, consultés, il semblerait que l'état ait décidé de, comme pour les autoroutes, se séparer par la vente, des concessions hydroélectriques. Permettez-moi de vous dire que ce projet me semble dangereux car il s'attaque à un bien commun, l'eau, et sa gestion qui à mon sens ne peut être livrée à une gestion privée. Les questions sont nombreuses, incidence sur les tarifs, sûreté du réseau, maintenance, devenir des personnels, etc.».
2 300 barrages en France sont de propriété publique gérés par EDF (85 %) dans 433 concessions et le reste est géré par Engie et des structures régionales. Les 150 plus grands barrages (+ de 20 m de haut) vont être privatisés d'ici 2022 soit 4,3 GW (l'équivalent de trois réacteurs nouvelle génération) et l'ensemble (20 GW) d'ici 2050.
Les barrages fournissent 12,5 % de l'électricité (70 % des énergies renouvelables) et ils retiennent l'eau pour les cultures, les activités de loisirs et alimentent les villes.
C'est l'électricité la moins chère à produire et sa consommation peut être lisser en fonction de la demande.
«EDF a investi 20 millions d'euros en 2008 pour remettre en état les installations. Les investisseurs vont-ils investir de l'argent pour l'entretenir ?».
Les appels d'offres vont être lancés d'ici fin 2018 et des firmes de six pays sont intéressées mais la priorité devrait être donnée aux repreneurs francais (Total et Engie).

Et toi,  tu trouves ça bien de brader les barrages payés par le contribuable français au capitalisme international ?
Diviciac
Diviciac

Messages : 43162
Date d'inscription : 02/07/2017
Localisation : IdF et Morvan

Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Nadou Dim 17 Juin - 11:58

Diviciac a écrit:
Nadou a écrit:Privatisation des barrages : les inquiétudes des élus

Environnement









Le gouvernement annonce la privatisation des 150 plus grands barrages de France d'ici 2022. Une décision imposée par l'union européenne (la France est le seul pays concerné) qui risque d'impacter la bonne gestion du réseau électrique, la facture du consommateur et la sécurité du territoire.


Le maire du Vintrou, Gérard Cauquil s'est inquiété lors de la visite cantonnale de Florence estrabaud et de Daniel Vialelle du canton Mazamet 2/vallée du Thoré de la privatisation du barrage des Saints Peyres et son usine hydroélectrique qui font partie de la commune.

Les motifs de la colère du maire du Vintrou






«Sans que nous soyons informés, consultés, il semblerait que l'état ait décidé de, comme pour les autoroutes, se séparer par la vente, des concessions hydroélectriques. Permettez-moi de vous dire que ce projet me semble dangereux car il s'attaque à un bien commun, l'eau, et sa gestion qui à mon sens ne peut être livrée à une gestion privée. Les questions sont nombreuses, incidence sur les tarifs, sûreté du réseau, maintenance, devenir des personnels, etc.».
2 300 barrages en France sont de propriété publique gérés par EDF (85 %) dans 433 concessions et le reste est géré par Engie et des structures régionales. Les 150 plus grands barrages (+ de 20 m de haut) vont être privatisés d'ici 2022 soit 4,3 GW (l'équivalent de trois réacteurs nouvelle génération) et l'ensemble (20 GW) d'ici 2050.
Les barrages fournissent 12,5 % de l'électricité (70 % des énergies renouvelables) et ils retiennent l'eau pour les cultures, les activités de loisirs et alimentent les villes.
C'est l'électricité la moins chère à produire et sa consommation peut être lisser en fonction de la demande.
«EDF a investi 20 millions d'euros en 2008 pour remettre en état les installations. Les investisseurs vont-ils investir de l'argent pour l'entretenir ?».
Les appels d'offres vont être lancés d'ici fin 2018 et des firmes de six pays sont intéressées mais la priorité devrait être donnée aux repreneurs francais (Total et Engie).

Et toi,  tu trouves ça bien de brader les barrages payés par le contribuable français au capitalisme international ?

Non je suis contre bien sûr.

 Une décision imposée par l'union européenne (la France est le seul pays concerné) 




J'espère que ça restera Français.


Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Nadou
Nadou
Admin

Messages : 32472
Date d'inscription : 02/07/2017

http://forum-plusplus.forumactif.com

Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Lili-Rose Dim 17 Juin - 12:17

Et voilà que le fameux rebouteux "conquirose" devient un fervent défenseur du service public.  cheers

Bon faut dire que le modèle autrichien lui sied assez bien.
Lili-Rose
Lili-Rose

Messages : 14775
Date d'inscription : 21/01/2018

Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Invité Dim 17 Juin - 13:38

Lili-Rose a écrit:
dugenou a écrit:?????? j'ai beau chercher, je ne comprends pas votre titre. 

Par contre, vendre nos barrages ! voilà une idée excellente, après la sidérurgie, les aéroports, les manufactures de textiles, etc. il va rester quoi ?  Evil or Very Mad


PS vous noterez mon smiley hein



Tout le monde ici ne peut pas comprendre, forcement car il fait connaître la bestiole.
"Minouche" diminutif de "Minouchette" ou alias "Maréaction", était un sarkozyste jusqu'au trou d'balle. Une bonne vieille baderne conservatrice, surtout de ses privilèges.
La voir s'offusquer des pratiques de droite voire ultra libérales de Macron me fait bien rigoler.
Je ne suis pas pour toute forme de privatisation en effet et je donne mon avis à ce sujet:
Certains investissements n'intéressent pas le privé, car il faut plusieurs décennies pour commencer à voir le premier centime en rentabilité.
Donc l'état s'en charge n'étant pas soumis aux même règles.
Une fois l'amortissement financier obtenu, ils est dégueulasse de revendre le bébé au privé, de plus souvent à vil prix, c'est voler le contribuable.
Prenons un exemple:
La distribution du gaz ou de l'élec:
Pourquoi en effet un entreprise privé ne pourrait pas le faire? Mais alors qu'elle ouvre chaque route de France pour y mettre son propre matos à ses frais et par son investissement propre.
Voilà pourquoi je suis pour nationaliser les réseaux et les louer au bon prix aux entreprises privées qui s'en servent.

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Invité Dim 17 Juin - 13:40

Fontsestian a écrit:
magicfly a écrit:
Des millions de fonctionnaires mais ça pourrait se Malpasset
 Ouais, en forme le Magic!!! Very Happy
éh éh Very Happy

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Invité Dim 17 Juin - 13:48

Nadou a écrit:
Diviciac a écrit:

Et toi,  tu trouves ça bien de brader les barrages payés par le contribuable français au capitalisme international ?

Non je suis contre bien sûr.

 Une décision imposée par l'union européenne (la France est le seul pays concerné) 




J'espère que ça restera Français.
Comme pour les centrales nucléaire je ne suis pas chaud pour la privatisation, malgré que les sites de production ne fassent pas partie des réseaux.

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Lili-Rose Dim 17 Juin - 14:42

magicfly a écrit:
Lili-Rose a écrit:



Tout le monde ici ne peut pas comprendre, forcement car il fait connaître la bestiole.
"Minouche" diminutif de "Minouchette" ou alias "Maréaction", était un sarkozyste jusqu'au trou d'balle. Une bonne vieille baderne conservatrice, surtout de ses privilèges.
La voir s'offusquer des pratiques de droite voire ultra libérales de Macron me fait bien rigoler.
Je ne suis pas pour toute forme de privatisation en effet et je donne mon avis à ce sujet:
Certains investissements n'intéressent pas le privé, car il faut plusieurs décennies pour commencer à voir le premier centime en rentabilité.
Donc l'état s'en charge n'étant pas soumis aux même règles.
Une fois l'amortissement financier obtenu, ils est dégueulasse de revendre le bébé au privé, de plus souvent à vil prix, c'est voler le contribuable.
Prenons un exemple:
La distribution du gaz ou de l'élec:
Pourquoi en effet un entreprise privé ne pourrait pas le faire? Mais alors qu'elle ouvre chaque route de France pour y mettre son propre matos à ses frais et par son investissement propre.
Voilà pourquoi je suis pour nationaliser les réseaux et les louer au bon prix aux entreprises privées qui s'en servent.
Ben pas moi, trop facile.
Le contribuable paye l'infrastructure, puis on se retrouve sur un marché en oligopole.
Que l'entreprise privée fasse l'investissement sur 40 à 50 ans en partant de 0, oui pourquoi pas.
A ton avis les 5 milliards annuels de bénéfice d'Enedis et de suez viennent d'où?
Ils viennent des mêmes qui on payé l'infrastructure durant des décennies.
C'est tout simplement de la spoliation. 

Tiens, qu'une entreprise privé investisse dans une ligne de train de Lille à Marseille et l'exploite. Ca ne va pas intéresser beaucoup de monde.
Lili-Rose
Lili-Rose

Messages : 14775
Date d'inscription : 21/01/2018

Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Lili-Rose Dim 17 Juin - 14:44

magicfly a écrit:
Nadou a écrit:

Non je suis contre bien sûr.

 Une décision imposée par l'union européenne (la France est le seul pays concerné) 




J'espère que ça restera Français.
Comme pour les centrales nucléaire je ne suis pas chaud pour la privatisation, malgré que les sites de production ne fassent pas partie des réseaux.


En effet, il y a quand même une différence entre production et distribution. Very Happy
Lili-Rose
Lili-Rose

Messages : 14775
Date d'inscription : 21/01/2018

Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Invité Dim 17 Juin - 17:03

Lili-Rose a écrit:
magicfly a écrit:
Voilà pourquoi je suis pour nationaliser les réseaux et les louer au bon prix aux entreprises privées qui s'en servent.
Ben pas moi, trop facile.
Le contribuable paye l'infrastructure, puis on se retrouve sur un marché en oligopole.
Que l'entreprise privée fasse l'investissement sur 40 à 50 ans en partant de 0, oui pourquoi pas.
A ton avis les 5 milliards annuels de bénéfice d'Enedis et de suez viennent d'où?
Ils viennent des mêmes qui on payé l'infrastructure durant des décennies.
C'est tout simplement de la spoliation. 

Tiens, qu'une entreprise privé investisse dans une ligne de train de Lille à Marseille et l'exploite. Ca ne va pas intéresser beaucoup de monde.
Absolument pas, les entreprises concurrentes paient un loyer au gestionnaire de réseau qui est l'Etat. C'est ce dernier qui entretient son réseau, le développe et fixe un prix en fonction du poids d'utilisation de chaque entreprise. Ce loyer devant tjrs faire en sorte que le gestionnaire propriétaire ne soit jamais en déficit. Ce système évite d'avoir des réseaux doublon, d'ailleurs, c'est déjà le cas; par ex les fournisseurs d'électricité privé utilisent les ligne de ERDF, idem pour RFF, le réseau filaire de France télécom est utilisé par toutes les boites de téléphonie et FAI. Le tout c'est de faire payer le bon prix.

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Lili-Rose Dim 17 Juin - 17:26

magicfly a écrit:
Lili-Rose a écrit:
Ben pas moi, trop facile.
Le contribuable paye l'infrastructure, puis on se retrouve sur un marché en oligopole.
Que l'entreprise privée fasse l'investissement sur 40 à 50 ans en partant de 0, oui pourquoi pas.
A ton avis les 5 milliards annuels de bénéfice d'Enedis et de suez viennent d'où?
Ils viennent des mêmes qui on payé l'infrastructure durant des décennies.
C'est tout simplement de la spoliation. 

Tiens, qu'une entreprise privé investisse dans une ligne de train de Lille à Marseille et l'exploite. Ca ne va pas intéresser beaucoup de monde.
Absolument pas, les entreprises concurrentes paient un loyer au gestionnaire de réseau qui est l'Etat. C'est ce dernier qui entretient son réseau, le développe et fixe un prix en fonction du poids d'utilisation de chaque entreprise. Ce loyer devant tjrs faire en sorte que le gestionnaire propriétaire ne soit jamais en déficit. Ce système évite d'avoir des réseaux doublon, d'ailleurs, c'est déjà le cas; par ex les fournisseurs d'électricité privé utilisent les ligne de ERDF, idem pour RFF, le réseau filaire de France télécom est utilisé par toutes les boites de téléphonie et FAI. Le tout c'est de faire payer le bon prix.


Visiblement on paye un peu plus que le "bon prix" vu que chaque distributeur empoche 5 milliards de profit par an. (je parle pour le gaz et l'elec bien sur).
Est-il bien utile dans ces cas là d'avoir deux intermédiaires à nourrir aussi grassement?
Finalement ce ne sont que des intermédiaires vu qu'ils ne produisent rien et n'entretiennent rien, et que les prix sont fixés par un fantôme que personne ne connait. (l'autorité de régulation ou un truc comme ça).
Ces profits filent tout droit dans des logiques boursières alors qu'il pourrait faire parti du budget du pays voire permettre du pouvoir d'achat aux ménages et entreprises d'ailleurs.
Lili-Rose
Lili-Rose

Messages : 14775
Date d'inscription : 21/01/2018

Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Invité Dim 17 Juin - 19:40

Lili-Rose a écrit:
magicfly a écrit:
Absolument pas, les entreprises concurrentes paient un loyer au gestionnaire de réseau qui est l'Etat. C'est ce dernier qui entretient son réseau, le développe et fixe un prix en fonction du poids d'utilisation de chaque entreprise. Ce loyer devant tjrs faire en sorte que le gestionnaire propriétaire ne soit jamais en déficit. Ce système évite d'avoir des réseaux doublon, d'ailleurs, c'est déjà le cas; par ex les fournisseurs d'électricité privé utilisent les ligne de ERDF, idem pour RFF, le réseau filaire de France télécom est utilisé par toutes les boites de téléphonie et FAI. Le tout c'est de faire payer le bon prix.


Visiblement on paye un peu plus que le "bon prix" vu que chaque distributeur empoche 5 milliards de profit par an. (je parle pour le gaz et l'elec bien sur).
Est-il bien utile dans ces cas là d'avoir deux intermédiaires à nourrir aussi grassement?
Finalement ce ne sont que des intermédiaires vu qu'ils ne produisent rien et n'entretiennent rien, et que les prix sont fixés par un fantôme que personne ne connait. (l'autorité de régulation ou un truc comme ça).
Ces profits filent tout droit dans des logiques boursières alors qu'il pourrait faire parti du budget du pays voire permettre du pouvoir d'achat aux ménages et entreprises d'ailleurs.
Je crois que tu comprends que dalle; pourquoi tu me parles d'aujourd'hui alors que que le système actuel fonctionne mal et l'Etat gestionnaire du réseau est mauvais, il est coincé parce qu'il devrait augmenté la location à EDF qui est à 80% à l'Etat. De plus, c'est normal que les entreprises fassent du bénéf., sinon à quoi bon d'avoir des entreprises.

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Lili-Rose Dim 17 Juin - 22:26

magicfly a écrit:
Lili-Rose a écrit:


Visiblement on paye un peu plus que le "bon prix" vu que chaque distributeur empoche 5 milliards de profit par an. (je parle pour le gaz et l'elec bien sur).
Est-il bien utile dans ces cas là d'avoir deux intermédiaires à nourrir aussi grassement?
Finalement ce ne sont que des intermédiaires vu qu'ils ne produisent rien et n'entretiennent rien, et que les prix sont fixés par un fantôme que personne ne connait. (l'autorité de régulation ou un truc comme ça).
Ces profits filent tout droit dans des logiques boursières alors qu'il pourrait faire parti du budget du pays voire permettre du pouvoir d'achat aux ménages et entreprises d'ailleurs.
Je crois que tu comprends que dalle; pourquoi tu me parles d'aujourd'hui alors que que le système actuel fonctionne mal et l'Etat gestionnaire du réseau est mauvais, il est coincé parce qu'il devrait augmenté la location à EDF qui est à 80% à l'Etat. De plus, c'est normal que les entreprises fassent du bénéf., sinon à quoi bon d'avoir des entreprises.


C'est marrant parce que tu me donnes exactement la même impression.
Edf était une entreprise plus que prospère, des investissements longues durées grâce au contribuable qui n'intéressaient pas le privé, une entreprise publique en monopole qui gagnait raisonnablement du pognon, et pour laquelle le recyclage futur des centrales était provisionné dans le KWH. 
La production est bien restée sous le contrôle de l'état.
La distribution a été confié au privé.
Le distributeur principal est aujourd'hui une entreprise qui répond aux normes du droit privé et pour laquelle l'état est en effet l'actionnaire très majoritaire mais avec un fonctionnement de type privé bien sur.
Face au règles du marché et de la bourse cette entreprise s'est complètement viandée notamment en Angleterre ou avec AREVA dont le cher et tendre de l'ex patronne avait acheté des mines n'ayant jamais sorti le moindre gramme d'uranium.
Le payeur est donc tout désigné, c'est le client du distributeur d'EDF, donc tous les ménages français.
Un fleuron a accouché d'une ruine.
Lili-Rose
Lili-Rose

Messages : 14775
Date d'inscription : 21/01/2018

Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Invité Dim 17 Juin - 22:51

Lili-Rose a écrit:
magicfly a écrit:
Je crois que tu comprends que dalle; pourquoi tu me parles d'aujourd'hui alors que que le système actuel fonctionne mal et l'Etat gestionnaire du réseau est mauvais, il est coincé parce qu'il devrait augmenté la location à EDF qui est à 80% à l'Etat. De plus, c'est normal que les entreprises fassent du bénéf., sinon à quoi bon d'avoir des entreprises.


C'est marrant parce que tu me donnes exactement la même impression.
Edf était une entreprise plus que prospère, des investissements longues durées grâce au contribuable qui n'intéressaient pas le privé, une entreprise publique en monopole qui gagnait raisonnablement du pognon, et pour laquelle le recyclage futur des centrales était provisionné dans le KWH. 
La production est bien restée sous le contrôle de l'état.
La distribution a été confié au privé.
Le distributeur principal est aujourd'hui une entreprise qui répond aux normes du droit privé et pour laquelle l'état est en effet l'actionnaire très majoritaire mais avec un fonctionnement de type privé bien sur.
Face au règles du marché et de la bourse cette entreprise s'est complètement viandée notamment en Angleterre ou avec AREVA dont le cher et tendre de l'ex patronne avait acheté des mines n'ayant jamais sorti le moindre gramme d'uranium.
Le payeur est donc tout désigné, c'est le client du distributeur d'EDF, donc tous les ménages français.
Un fleuron a accouché d'une ruine.
Mais tu racontes des conneries plus grosses que toi:
EDF est une société anonyme de droit privé côtée à la bourse de Paris, et non plus un Etablissement Public à caractère Industriel et Commercial (EPIC) comme à sa création. ... ERDF est de son côté une filiale à 100% d'EDF, et est donc du même fait une société à capitaux majoritairement publics.


Et puis lis ça:

 EDF, UN CONTE FANTASTIQUE

La Cour des Comptes vient de jeter tout tranquillement un pavé dans la mare à l'occasion de son rapport annuel paru le mardi 12 février. C'est la totale. L’EDF est théoriquement privée et cotée en bourse. Dans les faits, elle est jalousement gérée par l'État, lequel est rempli de camarades des dirigeants. Or le rapport est très critique sur les pratiques de ces dirigeants. Les salariés bénéficient de salaires et d'avantages très généreux sans lien évident avec la performance de l'entreprise. De ce fait et contrairement aux salariés du secteur privé, ils n'ont pas subi de ralentissement de la progression de leur rémunération globale depuis 2008 en dépit des résultats contrastés EDF. Parmi les heureux bénéficiaires de ce généreux mouvement, il est évident que le groupe des hauts dirigeants est amplement gâté. Il se trouve aussi que de proche en proche tout le personnel se trouve favorisé. Parmi les avantages divers se trouvent de fastueuses retraites. Parmi les coûts, ne pas oublier les niches confortables offertes à des camarades en panne dans leur carrière.
La Cour pousse son analyse dans le détail. Elle pointe de nombreux avantages pour les salariés comme des tarifs avantageux ou des abonnements gratuits. Espérons modestement que cette possibilité pour une dépense essentielle ne conduit pas certains agents particulièrement serviables et peu scrupuleux à faire bénéficier leurs gentils voisins de cette aubaine ! .....
Cette ingérence permet de classer les copains d'abord et d'entretenir des rapports avec la C.G.T. Cela nous coûte très cher sur nos factures EDG,car il faut payer les salariés,les retraités et le fameux comité social.
Cette technique s'apparente à une forme d'impôts qui ne dit pas son nom.


CE n'est pas en passant de droit privé qu'EDF c'est endetté, elle l'était bien avant et surtout elle a oublié d’approvisionner pour le démantèlement des centrales alors que ça lui était imposé et ça c'est des dizaines de milliards. l'Etat est actionnaire à 80%, c'est lui le patron, donc l'endettement d'EDF c'est bien l'Etat qui est responsable! Ça prouve que l'Etat est un très mauvais gestionnaire et qu'il s'occupe choses qui ne le regarde pas: l'Etat ça doit être d'abord le régalien; le marchand ne le concerne pas!
Tu dévies le sujet qui n'a rien à voir avec ton ex à la con!

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Lili-Rose Lun 18 Juin - 22:54

magicfly a écrit:
Lili-Rose a écrit:


C'est marrant parce que tu me donnes exactement la même impression.
Edf était une entreprise plus que prospère, des investissements longues durées grâce au contribuable qui n'intéressaient pas le privé, une entreprise publique en monopole qui gagnait raisonnablement du pognon, et pour laquelle le recyclage futur des centrales était provisionné dans le KWH. 
La production est bien restée sous le contrôle de l'état.
La distribution a été confié au privé.
Le distributeur principal est aujourd'hui une entreprise qui répond aux normes du droit privé et pour laquelle l'état est en effet l'actionnaire très majoritaire mais avec un fonctionnement de type privé bien sur.
Face au règles du marché et de la bourse cette entreprise s'est complètement viandée notamment en Angleterre ou avec AREVA dont le cher et tendre de l'ex patronne avait acheté des mines n'ayant jamais sorti le moindre gramme d'uranium.
Le payeur est donc tout désigné, c'est le client du distributeur d'EDF, donc tous les ménages français.
Un fleuron a accouché d'une ruine.
Mais tu racontes des conneries plus grosses que toi:
EDF est une société anonyme de droit privé côtée à la bourse de Paris, et non plus un Etablissement Public à caractère Industriel et Commercial (EPIC) comme à sa création. ... ERDF est de son côté une filiale à 100% d'EDF, et est donc du même fait une société à capitaux majoritairement publics.


Et puis lis ça:

 EDF, UN CONTE FANTASTIQUE



La Cour des Comptes vient de jeter tout tranquillement un pavé dans la mare à l'occasion de son rapport annuel paru le mardi 12 février. C'est la totale. L’EDF est théoriquement privée et cotée en bourse. Dans les faits, elle est jalousement gérée par l'État, lequel est rempli de camarades des dirigeants. Or le rapport est très critique sur les pratiques de ces dirigeants. Les salariés bénéficient de salaires et d'avantages très généreux sans lien évident avec la performance de l'entreprise. De ce fait et contrairement aux salariés du secteur privé, ils n'ont pas subi de ralentissement de la progression de leur rémunération globale depuis 2008 en dépit des résultats contrastés EDF. Parmi les heureux bénéficiaires de ce généreux mouvement, il est évident que le groupe des hauts dirigeants est amplement gâté. Il se trouve aussi que de proche en proche tout le personnel se trouve favorisé. Parmi les avantages divers se trouvent de fastueuses retraites. Parmi les coûts, ne pas oublier les niches confortables offertes à des camarades en panne dans leur carrière.
La Cour pousse son analyse dans le détail. Elle pointe de nombreux avantages pour les salariés comme des tarifs avantageux ou des abonnements gratuits. Espérons modestement que cette possibilité pour une dépense essentielle ne conduit pas certains agents particulièrement serviables et peu scrupuleux à faire bénéficier leurs gentils voisins de cette aubaine ! .....
Cette ingérence permet de classer les copains d'abord et d'entretenir des rapports avec la C.G.T. Cela nous coûte très cher sur nos factures EDG,car il faut payer les salariés,les retraités et le fameux comité social.
Cette technique s'apparente à une forme d'impôts qui ne dit pas son nom.


CE n'est pas en passant de droit privé qu'EDF c'est endetté, elle l'était bien avant et surtout elle a oublié d’approvisionner pour le démantèlement des centrales alors que ça lui était imposé et ça c'est des dizaines de milliards. l'Etat est actionnaire à 80%, c'est lui le patron, donc l'endettement d'EDF c'est bien l'Etat qui est responsable! Ça prouve que l'Etat est un très mauvais gestionnaire et qu'il s'occupe choses qui ne le regarde pas: l'Etat ça doit être d'abord le régalien; le marchand ne le concerne pas!
Tu dévies le sujet qui n'a rien à voir avec ton ex à la con!


T'es pénible le nain.
Tu crois vraiment que la cour des comptes a écrit un tel texte?
Quand se mettront-il au verlan du coup?
Où aurais-je écrit que ERDF et EDF (qui a changé X fois de nom depuis, bleu ciel etc....) seraient les mêmes entités? affraid
Les endettement sont liés à des investissement hasardeux, du style un EPR pourri, quant au distributeur qui réalise depuis des années 5 milliards de profits annuel, c'est quand même un perte assez particulière.
Lili-Rose
Lili-Rose

Messages : 14775
Date d'inscription : 21/01/2018

Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Diviciac Mar 19 Juin - 0:10

Nadou a écrit:
Diviciac a écrit:

Et toi,  tu trouves ça bien de brader les barrages payés par le contribuable français au capitalisme international ?

Non je suis contre bien sûr.

 Une décision imposée par l'union européenne (la France est le seul pays concerné) 




J'espère que ça restera Français.


Français privé ou français public ?
Diviciac
Diviciac

Messages : 43162
Date d'inscription : 02/07/2017
Localisation : IdF et Morvan

Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Diviciac Mar 19 Juin - 0:21

Lili-Rose a écrit:
magicfly a écrit:
Mais tu racontes des conneries plus grosses que toi:
EDF est une société anonyme de droit privé côtée à la bourse de Paris, et non plus un Etablissement Public à caractère Industriel et Commercial (EPIC) comme à sa création. ... ERDF est de son côté une filiale à 100% d'EDF, et est donc du même fait une société à capitaux majoritairement publics.


Et puis lis ça:

 EDF, UN CONTE FANTASTIQUE







La Cour des Comptes vient de jeter tout tranquillement un pavé dans la mare à l'occasion de son rapport annuel paru le mardi 12 février. C'est la totale. L’EDF est théoriquement privée et cotée en bourse. Dans les faits, elle est jalousement gérée par l'État, lequel est rempli de camarades des dirigeants. Or le rapport est très critique sur les pratiques de ces dirigeants. Les salariés bénéficient de salaires et d'avantages très généreux sans lien évident avec la performance de l'entreprise. De ce fait et contrairement aux salariés du secteur privé, ils n'ont pas subi de ralentissement de la progression de leur rémunération globale depuis 2008 en dépit des résultats contrastés EDF. Parmi les heureux bénéficiaires de ce généreux mouvement, il est évident que le groupe des hauts dirigeants est amplement gâté. Il se trouve aussi que de proche en proche tout le personnel se trouve favorisé. Parmi les avantages divers se trouvent de fastueuses retraites. Parmi les coûts, ne pas oublier les niches confortables offertes à des camarades en panne dans leur carrière.
La Cour pousse son analyse dans le détail. Elle pointe de nombreux avantages pour les salariés comme des tarifs avantageux ou des abonnements gratuits. Espérons modestement que cette possibilité pour une dépense essentielle ne conduit pas certains agents particulièrement serviables et peu scrupuleux à faire bénéficier leurs gentils voisins de cette aubaine ! .....
Cette ingérence permet de classer les copains d'abord et d'entretenir des rapports avec la C.G.T. Cela nous coûte très cher sur nos factures EDG,car il faut payer les salariés,les retraités et le fameux comité social.
Cette technique s'apparente à une forme d'impôts qui ne dit pas son nom.


CE n'est pas en passant de droit privé qu'EDF c'est endetté, elle l'était bien avant et surtout elle a oublié d’approvisionner pour le démantèlement des centrales alors que ça lui était imposé et ça c'est des dizaines de milliards. l'Etat est actionnaire à 80%, c'est lui le patron, donc l'endettement d'EDF c'est bien l'Etat qui est responsable! Ça prouve que l'Etat est un très mauvais gestionnaire et qu'il s'occupe choses qui ne le regarde pas: l'Etat ça doit être d'abord le régalien; le marchand ne le concerne pas!
Tu dévies le sujet qui n'a rien à voir avec ton ex à la con!


T'es pénible le nain.
Tu crois vraiment que la cour des comptes a écrit un tel texte?
Quand se mettront-il au verlan du coup?
Où aurais-je écrit que ERDF et EDF (qui a changé X fois de nom depuis, bleu ciel etc....) seraient les mêmes entités? affraid
Les endettement sont liés à des investissement hasardeux, du style un EPR pourri, quant au distributeur qui réalise depuis des années 5 milliards de profits annuel, c'est quand même un perte assez particulière.


Absolument pas, en effet , c'est l'interprétation d'une merdouille ultralibérale qui s'appelle "Contrepoints",  des cinglés qui sont contre le salaire minimum et qui continuent à radoter les mêmes délires que Giscard et Barre sur le développement de l'Afrique. Very Happy
Ah !  il peut chambrer Joseph avec RT et Kristo avec l'Huma ,  le Magic !
Very Happy


«On est dans un régime autoritaire» avec «un pouvoir qui n'écoute pas, qui n'en fait qu'à sa tête, qui assiste à la souffrance des citoyens sans réagir». 
Ségolène Royal 
Diviciac
Diviciac

Messages : 43162
Date d'inscription : 02/07/2017
Localisation : IdF et Morvan

Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Invité Mar 19 Juin - 0:25

Nadou a écrit:
Diviciac a écrit:

Et toi,  tu trouves ça bien de brader les barrages payés par le contribuable français au capitalisme international ?

Non je suis contre bien sûr.

 Une décision imposée par l'union européenne (la France est le seul pays concerné)



FAUX, c'est Macron qui se couche comme un toutou. 

A l’échelle européenne, seule la France décide de perdre le contrôle de sa production hydro-électrique, l’ensemble des autres Etats membres ayant plus tendance à être protecteurs.




J'espère que ça restera Français.

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Diviciac Mar 19 Juin - 0:38

Kristobal a écrit:
Nadou a écrit:

Non je suis contre bien sûr.

 Une décision imposée par l'union européenne (la France est le seul pays concerné)



FAUX, c'est Macron qui se couche comme un toutou. 

A l’échelle européenne, seule la France décide de perdre le contrôle de sa production hydro-électrique, l’ensemble des autres Etats membres ayant plus tendance à être protecteurs.




J'espère que ça restera Français.
Minouche vire très à gauche Edf-ruisselle
Diviciac
Diviciac

Messages : 43162
Date d'inscription : 02/07/2017
Localisation : IdF et Morvan

Revenir en haut Aller en bas

Minouche vire très à gauche Empty Re: Minouche vire très à gauche

Message par Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Page 1 sur 2 1, 2  Suivant

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum