Où s'arrête la surveillance ...?

Y a-t-il déjà aujourd'hui une barrière claire et nette et légalement infranchissable entre Thomas Bach et son CIO lausannois bien planqué en Suisse et la France des futurs JO 2024 parisiens entre autres ?

Bien sûr, les données filmées et autres en France pour la France, mais aussi tout un passé de collaborations diverses entre une France pro-CIO et Lausanne.
Un bilan peut-être et d'abord de l'état des relations légalement tenables entre le CIO et la France parfois policière ou militaire. Des engagements français en Ukraine ou ailleurs dans le monde tout comme en France avec ce CIO tout-puissant et pas si neutre que cela en Suisse. Un CIO à contrôler peut-être dans sa tanière quasi kremlinesque lausannoise qui peut jouer un rôle d'informateur et d'intermédiaire en toute quiétude tout en continuant à se garnir grassement tous les quatre ans voire bien moins. Des amies à protéger et à gâter de par le monde et pour commencer en Suisse.

Une histoire olympique avec des installations de systèmes "olympiques" dans les villes et les anciens pays organisateurs qui continuent "bien évidemment d'avoir des liens privilégiés" avec l'innocence immaculée du "sport de haut niveau".   

Paris ?
Un mur entre la malhonnêteté "olympique" lausannoise et sa population aussi étrangère déjà maintenant ?