À moi démocratie,

Darogil a écrit:

À moi démocratie,

 

La société peut toujours voter

Ses vœux passent de vie à trépas,

Doucement, à huis clos, pas à pas.

Notre démocratie est en danger.

 

Le peuple a perdu la confiance

Dans ses élus, ses représentants

Dans les instances à tous les instants

Et ce n’est pas par manque de chance.

 

Tous nos porte-parole vénaux

Se perdent en chemins tortueux

Hélas ! les jeunes comme les vieux

Toutes et tous ont le même créneau.

 

Utiliser encor et toujours

Les fragilités des électeurs

Qui tremblent chroniquement de peur

Sans fin, un peu plus, de jour en jour.

 

L’atmosphère est lourde, très pesante,

Au lointain se lève la tempête

Pour certains, ce sera triste fête,

Adieu, énarques, têtes pensantes.

 

Demain, nous ferons vivre l’espoir

Pour nos familles, pour nos enfants

Nous n’oublierons pas ces étouffants

Qui dûment nous plonge dans le noir.

 

Quand l’heure des votes s’ensuivra

Nous devrons alors nous souvenir

Les élus n’ont fait que nous mentir

Du haut de leur chaire ex cathedra.

 

Le quarante-neuf trois, a servi,

Pour faire mourir les travailleurs

Sans expectative, sans ailleurs

En perdant même leur vieille vie.

 

Écrit Le 17.03.2023

Tous droits réservés :copyright:

N'Magicfly a écrit:Qu'ils sont mignons tout plein ces deux là; vous croyez qu'ils vont coucher ensemble et perpétuer l'espèce?

N'Magicfly a écrit:Qu'ils sont mignons tout plein ces deux là; vous croyez qu'ils vont coucher ensemble et perpétuer l'espèce?

Horiel a écrit:

N'Magicfly a écrit:Qu'ils sont mignons tout plein ces deux là; vous croyez qu'ils vont coucher ensemble et perpétuer l'espèce?

Ne parle pas de malheur...

Darogil a écrit:

Horiel a écrit:


Ne parle pas de malheur...

Vous pourriez être un peu plus explicite ?

Horiel a écrit:

Darogil a écrit:
Vous pourriez être un peu plus explicite ?

Ce ne serait pas très convivial.

Diviciac a écrit:

Horiel a écrit:


Ce ne serait pas très convivial.

Le premier pas est déjà fait: votre message n'a plus  qu'à être vivial . 

Diviciac a écrit:

N'Magicfly a écrit:Qu'ils sont mignons tout plein ces deux là; vous croyez qu'ils vont coucher ensemble et perpétuer l'espèce?

C'est au moins un risque que vous ne courrez pas avec Fontsestian . 
Il y a bien longtemps que le printemps n'a plus la moindre influence sur sa libido et ce n'est pas demain qu'on verra rejaillir le feu  d'un ancien volcan qu'on croyait trop vieux 

Fontsestian a écrit:Lorsqu'on est entré dans la paix de la chair, ni le printemps ni les autres saisons ne déforment plus la vision que l'on a des femmes. 
Si vous saviez comme elles deviennent intéressantes lorsqu'on les regarde pour ce qu'elles sont et non comme des morceaux de viande que pourtant votre âge et votre charisme de clé à molette rendent inatteignables.

Snub 36 a écrit:

Diviciac a écrit:

Le premier pas est déjà fait: votre message n'a plus  qu'à être vivial . 

Darogil a écrit:

À moi démocratie,

 

La société peut toujours voter

Ses vœux passent de vie à trépas,

Doucement, à huis clos, pas à pas.

Notre démocratie est en danger.

 

Le peuple a perdu la confiance

Dans ses élus, ses représentants

Dans les instances à tous les instants

Et ce n’est pas par manque de chance.

 

Tous nos porte-parole vénaux

Se perdent en chemins tortueux

Hélas ! les jeunes comme les vieux

Toutes et tous ont le même créneau.

 

Utiliser encor et toujours

Les fragilités des électeurs

Qui tremblent chroniquement de peur

Sans fin, un peu plus, de jour en jour.

 

L’atmosphère est lourde, très pesante,

Au lointain se lève la tempête

Pour certains, ce sera triste fête,

Adieu, énarques, têtes pensantes.

 

Demain, nous ferons vivre l’espoir

Pour nos familles, pour nos enfants

Nous n’oublierons pas ces étouffants

Qui dûment nous plonge dans le noir.

 

Quand l’heure des votes s’ensuivra

Nous devrons alors nous souvenir

Les élus n’ont fait que nous mentir

Du haut de leur chaire ex cathedra.

 

Le quarante-neuf trois, a servi,

Pour faire mourir les travailleurs

Sans expectative, sans ailleurs

En perdant même leur vieille vie.

 

Écrit Le 17.03.2023

Tous droits réservés :copyright:

Horiel a écrit:

Fontsestian a écrit:Lorsqu'on est entré dans la paix de la chair, ni le printemps ni les autres saisons ne déforment plus la vision que l'on a des femmes. 
Si vous saviez comme elles deviennent intéressantes lorsqu'on les regarde pour ce qu'elles sont et non comme des morceaux de viande que pourtant votre âge et votre charisme de clé à molette rendent inatteignables.

Clé à molette !
J'aurais rêvé de la trouver, celle-là ! 

Diviciac a écrit:

Horiel a écrit:


Clé à molette !
J'aurais rêvé de la trouver, celle-là ! 

La brosse à reluire n'est pas en grève .

Diviciac a écrit:

Horiel a écrit:


Clé à molette !
J'aurais rêvé de la trouver, celle-là ! 

La brosse à reluire n'est pas en grève .

Fontsestian a écrit:

Diviciac a écrit:



La brosse à reluire n'est pas en grève .

Chez vous c'est la brosse à cheveux qui débraie.

Fontsestian a écrit:

Darogil a écrit:

À moi démocratie,

 

La société peut toujours voter

Ses vœux passent de vie à trépas,

Doucement, à huis clos, pas à pas.

Notre démocratie est en danger.

 

Le peuple a perdu la confiance

Dans ses élus, ses représentants

Dans les instances à tous les instants

Et ce n’est pas par manque de chance.

 

Tous nos porte-parole vénaux

Se perdent en chemins tortueux

Hélas ! les jeunes comme les vieux

Toutes et tous ont le même créneau.

 

Utiliser encor et toujours

Les fragilités des électeurs

Qui tremblent chroniquement de peur

Sans fin, un peu plus, de jour en jour.

 

L’atmosphère est lourde, très pesante,

Au lointain se lève la tempête

Pour certains, ce sera triste fête,

Adieu, énarques, têtes pensantes.

 

Demain, nous ferons vivre l’espoir

Pour nos familles, pour nos enfants

Nous n’oublierons pas ces étouffants

Qui dûment nous plonge dans le noir.

 

Quand l’heure des votes s’ensuivra

Nous devrons alors nous souvenir

Les élus n’ont fait que nous mentir

Du haut de leur chaire ex cathedra.

 

Le quarante-neuf trois, a servi,

Pour faire mourir les travailleurs

Sans expectative, sans ailleurs

En perdant même leur vieille vie.

 

Écrit Le 17.03.2023

Tous droits réservés :copyright:

Lorsque Hugo écrit "Les pauvres gens" ça donne le frisson parce que c'était la réalité de son siècle. Là, dans une France assistée, ces vers de mirliton titillent les zygomatiques.

Fontsestian a écrit:

Snub 36 a écrit:

Ben dis donc, il semble que Snub ait compris! C'est une grande première!

Diviciac a écrit:

Fontsestian a écrit:
Lorsque Hugo écrit "Les pauvres gens" ça donne le frisson parce que c'était la réalité de son siècle. Là, dans une France assistée, ces vers de mirliton titillent les zygomatiques.

Horiel,  à la rigueur, on peut comprendre qu'elle critique puisqu'elle a déjà montré des capacités dans ce domaine mais vous qui n'avez jamais été foutu de nous pondre un quatrain qui tient debout, ça fait un peu comme si Gérard Larcher  trouvait que Mbappé ne court pas assez vite .

Darogil a écrit:

À moi démocratie,

 

La société peut toujours voter

Ses vœux passent de vie à trépas,

Doucement, à huis clos, pas à pas.

Notre démocratie est en danger.

 

Le peuple a perdu la confiance

Dans ses élus, ses représentants

Dans les instances à tous les instants

Et ce n’est pas par manque de chance.

 

Tous nos porte-parole vénaux

Se perdent en chemins tortueux

Hélas ! les jeunes comme les vieux

Toutes et tous ont le même créneau.

 

Utiliser encor et toujours

Les fragilités des électeurs

Qui tremblent chroniquement de peur

Sans fin, un peu plus, de jour en jour.

 

L’atmosphère est lourde, très pesante,

Au lointain se lève la tempête

Pour certains, ce sera triste fête,

Adieu, énarques, têtes pensantes.

 

Demain, nous ferons vivre l’espoir

Pour nos familles, pour nos enfants

Nous n’oublierons pas ces étouffants

Qui dûment nous plongent dans le noir.

 

Quand l’heure des votes s’ensuivra

Nous devrons alors nous souvenir

Les élus n’ont fait que nous mentir

Du haut de leur chaire ex cathedra.

 

Le quarante-neuf trois, a servi,

Pour faire mourir les travailleurs

Sans expectative, sans ailleurs

En perdant même leur vieille vie.

 

Écrit Le 17.03.2023

Tous droits réservés :copyright: