SO-LI-DA-RI-TE !

Nadou a écrit:

Lili-Rose a écrit:
Ca me fait penser à ce que vous dites si bien, que j'ai été viré comme enseignant.
Actuellement 5 emplois dans la filière sont à pourvoir dont 2 en CDI, et pour les autres, je ne sais pas.
L'école publique à l'exclusivité sur la formation sur le secteur, et les jeunes ne sont pas à la hauteur.
J'ai envoyé un e.mail à mon ancienne proviseure pour lui faire part des postes vacants, même pas de réponse.
J'imagine qu'elle est "hors classe" également.
(Au passage elle s'est fait moucher il y quelques mois par un directeur qui lui disait ce qu'il a besoin et que ce serait comme ça, où qu'il ne prendrait plus d'apprentis à l'avenir).
Quel décalage entre le rêve de l'administration et la réalité.
Mais quand on apprend que les hoirs classe font des concours de pets, on comprend mieux.

Je suis partie "hors classe" et sans concours de pets ! 

Lili-Rose a écrit:

Nadou a écrit:

Je suis partie "hors classe" et sans concours de pets ! 

Je crois que tous les enseignants titulaires finissent " hors classe".

Diviciac a écrit:

Lili-Rose a écrit:
Je crois que tous les enseignants titulaires finissent " hors classe".

 

Et même vous qui avez été mis hors de la classe.  

Lili-Rose a écrit:

Diviciac a écrit:
 

Et même vous qui avez été mis hors de la classe.  

Oui je sais que ça vous plaît de le dire.
Je ne vais pas  rentrer dans un débat, mais le cadavre n'était pas encore froid que le nom du remplaçant était connu.
Bizarre non?
Vous savez très bien que les contractuels sont des bouches trous, non?
Curieusement il y avait une autre contractuelle qui s'était fait descendre en première inspection, puis comme il n'y avait personne pour son poste, tout était parfais lors de la seconde. Là où on peut se poser des question, c'est qu'elle a été inspecté dans une autre matière que la sienne, une matière où elle intervenait pour "dépanner". C'était en anglais, et paraît même qu'elle avait un bon accent. Maintenant j'aimerais savoir ce qu'est un bon accent anglais.

jumper a écrit:Pour en revenir aux bouche-trous, la précarisation dans les fonctions publiques est en marche ... comme elle l'est dans le privé depuis des décennies ...il serait temps de se mettre à l'heure !

Diviciac a écrit:

Lili-Rose a écrit:


Oui je sais que ça vous plaît de le dire.
Je ne vais pas  rentrer dans un débat, mais le cadavre n'était pas encore froid que le nom du remplaçant était connu.
Bizarre non?
Vous savez très bien que les contractuels sont des bouches trous, non?
Curieusement il y avait une autre contractuelle qui s'était fait descendre en première inspection, puis comme il n'y avait personne pour son poste, tout était parfais lors de la seconde. Là où on peut se poser des question, c'est qu'elle a été inspecté dans une autre matière que la sienne, une matière où elle intervenait pour "dépanner". C'était en anglais, et paraît même qu'elle avait un bon accent. Maintenant j'aimerais savoir ce qu'est un bon accent anglais.

 
De mon temps, le "bon" accent anglais c'était celui d'Oxford, celui qu'on entend dans les pièces de Shakespeare à la BBC … ça a dû changer aussi.  

Pour en revenir aux bouche-trous, la précarisation dans les fonctions publiques est en marche, la loi  de transformation de la fonction publique du 6 août 2019 ouvrant de plus en plus de postes, y compris de direction,  aux vacataires non fonctionnaires.
Je vous taquine un peu avec votre expérience de prof car vous chantiez à tous vents qu'à l'EN on acceptait n'importe qui … ça vous a prouvé qu'il n'en est rien.

Lili-Rose a écrit:

Diviciac a écrit:
 
De mon temps, le "bon" accent anglais c'était celui d'Oxford, celui qu'on entend dans les pièces de Shakespeare à la BBC … ça a dû changer aussi.  

Pour en revenir aux bouche-trous, la précarisation dans les fonctions publiques est en marche, la loi  de transformation de la fonction publique du 6 août 2019 ouvrant de plus en plus de postes, y compris de direction,  aux vacataires non fonctionnaires.
Je vous taquine un peu avec votre expérience de prof car vous chantiez à tous vents qu'à l'EN on acceptait n'importe qui … ça vous a prouvé qu'il n'en est rien.

Je maintiens qu'on accepte pas mal de n'importe quoi dans l'EN.
Lorsqu'un instit ou un prof passe 6 mois de l'année en dépression, on ne peut pas dire que le recrutement ait été des meilleurs.
Finalement, je vous laisse penser ce que vous voulez de mon passage dans le public.
Je me permets simplement de dire que pour ma dernière année en tant que formateur dans le privé le taux de réussite à l'exam a été de 100% pour les deux groupes.
* au fait, le seconde inspection jugée défavorable, a été faite sur un cours monté à l'aide de titulaires de longues dates. Ayant été apprécié par mes anciens collègues, ils m'avaient filé un coup de pouce. Tous leurs conseils ont été battu en brèche. Faut-il en conclure que des titulaires devraient également être remerciés?

Lili-Rose a écrit:

Diviciac a écrit:
 
De mon temps, le "bon" accent anglais c'était celui d'Oxford, celui qu'on entend dans les pièces de Shakespeare à la BBC … ça a dû changer aussi.  

Pour en revenir aux bouche-trous, la précarisation dans les fonctions publiques est en marche, la loi  de transformation de la fonction publique du 6 août 2019 ouvrant de plus en plus de postes, y compris de direction,  aux vacataires non fonctionnaires.
Je vous taquine un peu avec votre expérience de prof car vous chantiez à tous vents qu'à l'EN on acceptait n'importe qui … ça vous a prouvé qu'il n'en est rien.

Je maintiens qu'on accepte pas mal de n'importe quoi dans l'EN.
Lorsqu'un instit ou un prof passe 6 mois de l'année en dépression, on ne peut pas dire que le recrutement ait été des meilleurs.
Finalement, je vous laisse penser ce que vous voulez de mon passage dans le public.
Je me permets simplement de dire que pour ma dernière année en tant que formateur dans le privé le taux de réussite à l'exam a été de 100% pour les deux groupes.
* au fait, le seconde inspection jugée défavorable, a été faite sur un cours monté à l'aide de titulaires de longues dates. Ayant été apprécié par mes anciens collègues, ils m'avaient filé un coup de pouce. Tous leurs conseils ont été battu en brèche. Faut-il en conclure que des titulaires devraient également être remerciés?

ledevois a écrit:

Lili-Rose a écrit:
Je maintiens qu'on accepte pas mal de n'importe quoi dans l'EN.
Lorsqu'un instit ou un prof passe 6 mois de l'année en dépression, on ne peut pas dire que le recrutement ait été des meilleurs.
Finalement, je vous laisse penser ce que vous voulez de mon passage dans le public.
Je me permets simplement de dire que pour ma dernière année en tant que formateur dans le privé le taux de réussite à l'exam a été de 100% pour les deux groupes.
* au fait, le seconde inspection jugée défavorable, a été faite sur un cours monté à l'aide de titulaires de longues dates. Ayant été apprécié par mes anciens collègues, ils m'avaient filé un coup de pouce. Tous leurs conseils ont été battu en brèche. Faut-il en conclure que des titulaires devraient également être remerciés?

 Vu le poste que tu occupe , je suppose que tu as aucun regret -- ça te fait une expérience des conflits --

Diviciac a écrit:

ledevois a écrit:

 Vu le poste que tu occupe , je suppose que tu as aucun regret -- ça te fait une expérience des conflits --

Lily a au moins fait évoluer le projet de Manu : il a rempli une mission sans être fonctionnaire , ça fait un poste de moins sur les 150 000 promis.  

ledevois a écrit:

Lili-Rose a écrit:
Je maintiens qu'on accepte pas mal de n'importe quoi dans l'EN.
Lorsqu'un instit ou un prof passe 6 mois de l'année en dépression, on ne peut pas dire que le recrutement ait été des meilleurs.
Finalement, je vous laisse penser ce que vous voulez de mon passage dans le public.
Je me permets simplement de dire que pour ma dernière année en tant que formateur dans le privé le taux de réussite à l'exam a été de 100% pour les deux groupes.
* au fait, le seconde inspection jugée défavorable, a été faite sur un cours monté à l'aide de titulaires de longues dates. Ayant été apprécié par mes anciens collègues, ils m'avaient filé un coup de pouce. Tous leurs conseils ont été battu en brèche. Faut-il en conclure que des titulaires devraient également être remerciés?

 Vu le poste que tu occupe , je suppose que tu as aucun regret -- ça te fait une expérience des conflits --

Diviciac a écrit:

ledevois a écrit:

 Vu le poste que tu occupe , je suppose que tu as aucun regret -- ça te fait une expérience des conflits --

Lily a au moins fait évoluer le projet de Manu : il a rempli une mission sans être fonctionnaire , ça fait un poste de moins sur les 150 000 promis.  

Lili-Rose a écrit:

Diviciac a écrit:


Lily a au moins fait évoluer le projet de Manu : il a rempli une mission sans être fonctionnaire , ça fait un poste de moins sur les 150 000 promis.  

Je n'ai jamais souhaité être fonctionnaire, je m'en bats les couilles.
Le statut de contractuel d'état une belle merde. Pour commencer contrairement au privé, il n'y a pas de primer de précarité.
Dans l'enseignement, on peut passer en CDI à la fin de la 6 ème année.
Que dire de mes inspecteurs? Je ne suis pas allé à leurs formations. J'ai fais la première, mais 2 jours à entendre dire des "moi je, moi je" m'a suffit.
Je ne sais pas si l'agricole marche comme l'EN. pouir moi, voilà ce qui s'est passé.
En 2nd CDD 12 mois, on prend une à deux inspection. Si on a de la chance, on peut être favorable à la première, mais c'est rare. En principe on se prend plutôt une banane afin de se faire inspecter une seconde fois.
Curieusement au moment de la seconde inspection, il y a les postes vacants qui sont publiés, mais les titulaires sont informés avant les contractuels.
Je n'étais qu'à temps partiel, ce qui n'est pas un poste de titulaire. La seule façon de virer un temps partiel est du coup de lui filer 2 inspection défavorable. 
Je n'étais même pas informé officiellement que ma seconde inspection était défavorable que mon remplaçant était déjà connu. Curieux non?

Diviciac a écrit:

Lili-Rose a écrit:


Je n'ai jamais souhaité être fonctionnaire, je m'en bats les couilles.
Le statut de contractuel d'état une belle merde. Pour commencer contrairement au privé, il n'y a pas de primer de précarité.
Dans l'enseignement, on peut passer en CDI à la fin de la 6 ème année.
Que dire de mes inspecteurs? Je ne suis pas allé à leurs formations. J'ai fais la première, mais 2 jours à entendre dire des "moi je, moi je" m'a suffit.
Je ne sais pas si l'agricole marche comme l'EN. pouir moi, voilà ce qui s'est passé.
En 2nd CDD 12 mois, on prend une à deux inspection. Si on a de la chance, on peut être favorable à la première, mais c'est rare. En principe on se prend plutôt une banane afin de se faire inspecter une seconde fois.
Curieusement au moment de la seconde inspection, il y a les postes vacants qui sont publiés, mais les titulaires sont informés avant les contractuels.
Je n'étais qu'à temps partiel, ce qui n'est pas un poste de titulaire. La seule façon de virer un temps partiel est du coup de lui filer 2 inspection défavorable. 
Je n'étais même pas informé officiellement que ma seconde inspection était défavorable que mon remplaçant était déjà connu. Curieux non?

C'est très, arbitraire, une inspection. Les inspecteurs , ces "princes qui nous gouvernent, vous peindront la vérité en autant de couleurs qu'il existe en eux de passions" comme disait Montaigne.
J'ai jadis fait lire les rapports à des potes pour les faire marrer. L'un deux, dithyrambique, me félicitait longuement sur mon "ordre" alors que ma femme et mes amis savent que je suis l'un des plus bordéliques qu'ils connaissent. En fait, l'inspecteur, ex-prof d'histoire, avait été   bombardé en maternelle alors qu'il n'y connaissait que dalle.
Du coup, l'entretien  "pédagogique" s'est limité aux commentaires d'un bouquin de philo que nous lisions chacun de notre côté et il m'a mis un max de points. D'autres m'ont sacqué parce que j'avais osé remarquer publiquement qu'elles racontaient des conneries en maths. Un autre,  petit bonhomme pete sec et pétochard, carricature d'un fonctionnaire de Courteline, s'était protégé avec sa sacoche en me croisant dans un couloir , il avait peur que je lui mette un pain alors que je ne lui avais même pas adressé la parole.
C'est aléatoire et parfois affectivement connoté, une inspection.   Deux de mes inspectrices avaient un certain charme alors, sans vouloir les tringler  (on n'est pas des bestiaux),  j'avais un peu envie de leur plaire, donc, je faisais quelques efforts.  

Lili-Rose a écrit:

Diviciac a écrit:


C'est très, arbitraire, une inspection. Les inspecteurs , ces "princes qui nous gouvernent, vous peindront la vérité en autant de couleurs qu'il existe en eux de passions" comme disait Montaigne.
J'ai jadis fait lire les rapports à des potes pour les faire marrer. L'un deux, dithyrambique, me félicitait longuement sur mon "ordre" alors que ma femme et mes amis savent que je suis l'un des plus bordéliques qu'ils connaissent. En fait, l'inspecteur, ex-prof d'histoire, avait été   bombardé en maternelle alors qu'il n'y connaissait que dalle.
Du coup, l'entretien  "pédagogique" s'est limité aux commentaires d'un bouquin de philo que nous lisions chacun de notre côté et il m'a mis un max de points. D'autres m'ont sacqué parce que j'avais osé remarquer publiquement qu'elles racontaient des conneries en maths. Un autre,  petit bonhomme pete sec et pétochard, carricature d'un fonctionnaire de Courteline, s'était protégé avec sa sacoche en me croisant dans un couloir , il avait peur que je lui mette un pain alors que je ne lui avais même pas adressé la parole.
C'est aléatoire et parfois affectivement connoté, une inspection.   Deux de mes inspectrices avaient un certain charme alors, sans vouloir les tringler  (on n'est pas des bestiaux),  j'avais un peu envie de leur plaire, donc, je faisais quelques efforts.  

En ce qui me concerne, je n'avais envie de  tringler ni l'un ni l'autre ( fallait sortir de 30 ans de taule sinon ).
Lors de la seconde inspection, la saloperie voulait me faire dire un truc, et à 3 reprises je lui ai dit que je n'étais pas d'accord, avec exemples à l'appuis. Je finis par admettre sa position, et elle me mit en 'off" qu'elle était d'accord avec moi.

Vous voyez bien que c'est arbitraire, si ça avait été une bombe à faire sauter les boutons de braguette, vous vous seriez montré plus conciliant .  
Au passage quand même, le CFA rattaché au lycée voulait me prendre comme prof en technique mais juste pour un an, le temps d'un remplacement, alors que je venais de faire le guignol durant deux ans, suite à une dépression si j'ai bien compris.
La proviseure voulait me garder, et grâce à des cadres supérieurs de l'enseignement, elle s'est retrouvé en septembre sans plus aucun prof issu du monde pro ( on était 2).
NB: la première inspection comporte 10 * plus de propos fallacieux que de propos sur la pédagogie.

Diviciac a écrit:

Lili-Rose a écrit:


En ce qui me concerne, je n'avais envie de  tringler ni l'un ni l'autre ( fallait sortir de 30 ans de taule sinon ).
Lors de la seconde inspection, la saloperie voulait me faire dire un truc, et à 3 reprises je lui ai dit que je n'étais pas d'accord, avec exemples à l'appuis. Je finis par admettre sa position, et elle me mit en 'off" qu'elle était d'accord avec moi.

Vous voyez bien que c'est arbitraire, si ça avait été une bombe à faire sauter les boutons de braguette, vous vous seriez montré plus conciliant .  
Au passage quand même, le CFA rattaché au lycée voulait me prendre comme prof en technique mais juste pour un an, le temps d'un remplacement, alors que je venais de faire le guignol durant deux ans, suite à une dépression si j'ai bien compris.
La proviseure voulait me garder, et grâce à des cadres supérieurs de l'enseignement, elle s'est retrouvé en septembre sans plus aucun prof issu du monde pro ( on était 2).
NB: la première inspection comporte 10 * plus de propos fallacieux que de propos sur la pédagogie.

Lili-Rose a écrit:

Diviciac a écrit:

En effet c'est arbitraire.
Faisons abstraction des potentiels plans culs.
Dans l'agricole, c'est du national. Il y a 2 inspecteurs par matière si j'ai bien compris.
Le premier avait le dessus sur la seconde (inspectrice).
Elle était à deux doigt de me filer un avis favorable, mais m'a dit devoir réfléchir.
Comme mon poste était demandé durant la même période, je pense que vous pouvez deviner la motivation principale de la décision.
Le temps de réfléchir correspondait curieusement au temps de consulter la liste des demandes sur les postes vacants.
Ce que j'ai vraiment aimé, c'est le fait qu'elle a en permanence contredit des conseils pédagogiques de profs titulaires.
La réalité est que le poste n'était plus libre et qu'il fallait passer un coup de gomme. 
Etant le plus vulnérable dans l'organisation.....
Si le poste n'avait pas été demandé, ça aurait terminé par un avis favorable à condition de m'engager à aller à la formation (histoire de garder la tête haute).
C'est tout aussi simple que ça.

Lili-Rose a écrit:

Diviciac a écrit:

En effet c'est arbitraire.
Faisons abstraction des potentiels plans culs.
Dans l'agricole, c'est du national. Il y a 2 inspecteurs par matière si j'ai bien compris.
Le premier avait le dessus sur la seconde (inspectrice).
Elle était à deux doigt de me filer un avis favorable, mais m'a dit devoir réfléchir.
Comme mon poste était demandé durant la même période, je pense que vous pouvez deviner la motivation principale de la décision.
Le temps de réfléchir correspondait curieusement au temps de consulter la liste des demandes sur les postes vacants.
Ce que j'ai vraiment aimé, c'est le fait qu'elle a en permanence contredit des conseils pédagogiques de profs titulaires.
La réalité est que le poste n'était plus libre et qu'il fallait passer un coup de gomme. 
Etant le plus vulnérable dans l'organisation.....
Si le poste n'avait pas été demandé, ça aurait terminé par un avis favorable à condition de m'engager à aller à la formation (histoire de garder la tête haute).
C'est tout aussi simple que ça.

Diviciac a écrit:

Lili-Rose a écrit:

En effet c'est arbitraire.
Faisons abstraction des potentiels plans culs.
Dans l'agricole, c'est du national. Il y a 2 inspecteurs par matière si j'ai bien compris.
Le premier avait le dessus sur la seconde (inspectrice).
Elle était à deux doigt de me filer un avis favorable, mais m'a dit devoir réfléchir.
Comme mon poste était demandé durant la même période, je pense que vous pouvez deviner la motivation principale de la décision.
Le temps de réfléchir correspondait curieusement au temps de consulter la liste des demandes sur les postes vacants.
Ce que j'ai vraiment aimé, c'est le fait qu'elle a en permanence contredit des conseils pédagogiques de profs titulaires.
La réalité est que le poste n'était plus libre et qu'il fallait passer un coup de gomme. 
Etant le plus vulnérable dans l'organisation.....
Si le poste n'avait pas été demandé, ça aurait terminé par un avis favorable à condition de m'engager à aller à la formation (histoire de garder la tête haute).
C'est tout aussi simple que ça.

Votre seul recours est la philosophie de mon bon maître: il ne faut pas grand chose pour que qualité devienne défaut et pour qu'une vertu devienne crime; il parlait du trajet d'une rivière , pour vous ce sont les caprices des circonstances et des inspecteurs.  Il disait aussi quelque part que votre seul juge,  c'est vous-même .
Quand j'étais dirlo j'avais affiché dans mon bureau une citation qui précisait que,  comme Montaigne, je n'avais pas l'échine assez souple pour suivre toutes les lubies éphémères des inspecteurs ou des ministres. Ils changent beaucoup plus vite que les dirlos et on doit bosser dans la durée.
   

ledevois a écrit:

Diviciac a écrit:

Votre seul recours est la philosophie de mon bon maître: il ne faut pas grand chose pour que qualité devienne défaut et pour qu'une vertu devienne crime; il parlait du trajet d'une rivière , pour vous ce sont les caprices des circonstances et des inspecteurs.  Il disait aussi quelque part que votre seul juge,  c'est vous-même .
Quand j'étais dirlo j'avais affiché dans mon bureau une citation qui précisait que,  comme Montaigne, je n'avais pas l'échine assez souple pour suivre toutes les lubies éphémères des inspecteurs ou des ministres. Ils changent beaucoup plus vite que les dirlos et on doit bosser dans la durée.
   

 Je trouve qu'il n'a rien perdu , le privé étant plus enrichissant -- 

Diviciac a écrit:

ledevois a écrit:

 Je trouve qu'il n'a rien perdu , le privé étant plus enrichissant -- 

Il  a aussi eu l'intelligence d'assurer ses arrières avec de l'immobilier. Sous ses airs balourds , c'est un garçon qui ne manque pas de ressources.  

compris qu'il fallait traver la rue --

Diviciac a écrit:

Lili-Rose a écrit:

En effet c'est arbitraire.
Faisons abstraction des potentiels plans culs.
Dans l'agricole, c'est du national. Il y a 2 inspecteurs par matière si j'ai bien compris.
Le premier avait le dessus sur la seconde (inspectrice).
Elle était à deux doigt de me filer un avis favorable, mais m'a dit devoir réfléchir.
Comme mon poste était demandé durant la même période, je pense que vous pouvez deviner la motivation principale de la décision.
Le temps de réfléchir correspondait curieusement au temps de consulter la liste des demandes sur les postes vacants.
Ce que j'ai vraiment aimé, c'est le fait qu'elle a en permanence contredit des conseils pédagogiques de profs titulaires.
La réalité est que le poste n'était plus libre et qu'il fallait passer un coup de gomme. 
Etant le plus vulnérable dans l'organisation.....
Si le poste n'avait pas été demandé, ça aurait terminé par un avis favorable à condition de m'engager à aller à la formation (histoire de garder la tête haute).
C'est tout aussi simple que ça.

Votre seul recours est la philosophie de mon bon maître: il ne faut pas grand chose pour que qualité devienne défaut et pour qu'une vertu devienne crime; il parlait du trajet d'une rivière , pour vous ce sont les caprices des circonstances et des inspecteurs.  Il disait aussi quelque part que votre seul juge,  c'est vous-même .
Quand j'étais dirlo j'avais affiché dans mon bureau une citation qui précisait que,  comme Montaigne, je n'avais pas l'échine assez souple pour suivre toutes les lubies éphémères des inspecteurs ou des ministres. Ils changent beaucoup plus vite que les dirlos et on doit bosser dans la durée.
   

ledevois a écrit:

Diviciac a écrit:

Votre seul recours est la philosophie de mon bon maître: il ne faut pas grand chose pour que qualité devienne défaut et pour qu'une vertu devienne crime; il parlait du trajet d'une rivière , pour vous ce sont les caprices des circonstances et des inspecteurs.  Il disait aussi quelque part que votre seul juge,  c'est vous-même .
Quand j'étais dirlo j'avais affiché dans mon bureau une citation qui précisait que,  comme Montaigne, je n'avais pas l'échine assez souple pour suivre toutes les lubies éphémères des inspecteurs ou des ministres. Ils changent beaucoup plus vite que les dirlos et on doit bosser dans la durée.
   

 Je trouve qu'il n'a rien perdu , le privé étant plus enrichissant -- 

Diviciac a écrit:

ledevois a écrit:

 Je trouve qu'il n'a rien perdu , le privé étant plus enrichissant -- 

Il  a aussi eu l'intelligence d'assurer ses arrières avec de l'immobilier. Sous ses airs balourds , c'est un garçon qui ne manque pas de ressources.