Pour les obtus,ou ceux qui font exprès.........
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Pour les obtus,ou ceux qui font exprès.........
Des retraites meilleures que la moyenne des salariés du privé, des taux de remplacement plus élevés, un départ plus tôt, un déficit de leurs régimes qui représente la moitié du total affiché par nos systèmes de retraite : voilà ce que veulent défendre ce jeudi les grévistes de la SNCF, RATP ou autres services publics. Sans même savoir de quoi la future loi sera faite, écrit Agnès Verdier-Molinié
Alors qu'on serine à l'envi qu'il faut sauver la planète en prenant les transports en commun, le train et le métro ou le bus électrique, ces derniers seront dans quelques heures bloqués en France sous prétexte de… Sous prétexte de quoi, d'ailleurs ? Ah oui, sous prétexte de lutter contre une loi dont on ne connaît pas la première ligne et qui sera a priori effective en 2025, voire en 2030…
Bref, bloquer pour intimider au cas où le gouvernement aurait le courage de toucher à un poil sacré des régimes spéciaux. Fameux droits acquis ou plutôt déficits acquis, puisque, rien que pour la SNCF, ce sont plus de 3 milliards d'euros que les Français doivent verser chaque année pour payer leurs généreuses pensions. Pour la RATP, 700 millions. Pour les fonctionnaires de l'État, on ne connaît pas le montant exact, mais c'est autour de 8 milliards d'euros.
Le Conseil d'orientation des retraites a bien affiché dans son dernier rapport que la moitié des 17 milliards de déficit annuel qui vont manquer sur nos pensions en 2025 ont comme source les régimes publics, alors que les salariés du public ne représentent même pas 20 % des actifs. Clairement, les fourmis du privé financent les cigales avec leurs impôts pour leur offrir de meilleures pensions et leur permettre de partir plus tôt à la retraite : 56 ans ou 57 ans en moyenne.
Malgré ces faits incontestables, il semble que comparer les régimes soit toujours aussi mal vu. Les chiffres parlent, pourtant, d'eux-mêmes : la retraite moyenne des nouveaux retraités à la SNCF ? 2.300 euros. A la RATP ? 2.800 euros. Des fonctionnaires d'Etat, 2.100 euros. Et celle des salariés du privé ? Seulement 1.500 euros (selon l'Agirc-Arrco). Et, quand on parle de carrière complète, l'iniquité persiste : 2.600 euros à la SNCF et 3.700 euros à la RATP versus 1.800 euros dans le privé.
Cela est rendu possible grâce à des taux de remplacement records et qui s'établissent en moyenne, selon la Cour des comptes, à 88 % à la RATP en cas de carrière complète, 73 % à la SNCF, alors qu'il est d'environ 60 % en moyenne entre les cadres et les non-cadres dans le privé
Pourquoi les Français accepteraient-ils plus longtemps de payer plus d'impôts pour des services publics plus chers et pour des agents largement avantagés qui, en plus, prennent en otages leurs concitoyens ?
Nos chers agents des services publics de transport ont-ils conscience que, dans les pays voisins de la France, on ne peut pas bloquer les services publics du pays quand on bénéficie d'un emploi garanti à vie ? C'est même, en Allemagne, la contrepartie pour bénéficier de l'emploi à vie pour garantir les services publics.
Même en France, les militaires, la police, les magistrats, le personnel pénitentiaire ne peuvent pas faire grève. Les personnels des hôpitaux sont soumis à des astreintes. A quand les mêmes obligations pour les transports ?
Et parce que nos agents des transports publics ne veulent pas bouger d'un iota ni sur l'âge, ni sur le calcul de leur pension, il faudrait supporter, sans broncher, une France paralysée à la veille de Noël ? La seule chose qu'on leur demande : de travailler plus longtemps (comme tout le monde) et d'aligner leurs pensions sur les modes de calcul sur le régime général (comme tous les salariés). Ce n'est ni injuste ni provocateur. C'est normal.
Il est temps que le gouvernement explique à toute la France de manière claire : soit on baisse les pensions des retraités et ils perdent des milliards de pouvoir d'achat, soit on augmente les cotisations des actifs et ils perdent des milliards de pouvoir d'achat… Soit on repousse l'âge de départ à la retraite, on aligne les modes de calcul et tout est résolu pour de nombreuses années.
Agnès Verdier-Molinié, chroniqueuse aux « Echos »
Alors qu'on serine à l'envi qu'il faut sauver la planète en prenant les transports en commun, le train et le métro ou le bus électrique, ces derniers seront dans quelques heures bloqués en France sous prétexte de… Sous prétexte de quoi, d'ailleurs ? Ah oui, sous prétexte de lutter contre une loi dont on ne connaît pas la première ligne et qui sera a priori effective en 2025, voire en 2030…
Bref, bloquer pour intimider au cas où le gouvernement aurait le courage de toucher à un poil sacré des régimes spéciaux. Fameux droits acquis ou plutôt déficits acquis, puisque, rien que pour la SNCF, ce sont plus de 3 milliards d'euros que les Français doivent verser chaque année pour payer leurs généreuses pensions. Pour la RATP, 700 millions. Pour les fonctionnaires de l'État, on ne connaît pas le montant exact, mais c'est autour de 8 milliards d'euros.
Le Conseil d'orientation des retraites a bien affiché dans son dernier rapport que la moitié des 17 milliards de déficit annuel qui vont manquer sur nos pensions en 2025 ont comme source les régimes publics, alors que les salariés du public ne représentent même pas 20 % des actifs. Clairement, les fourmis du privé financent les cigales avec leurs impôts pour leur offrir de meilleures pensions et leur permettre de partir plus tôt à la retraite : 56 ans ou 57 ans en moyenne.
Malgré ces faits incontestables, il semble que comparer les régimes soit toujours aussi mal vu. Les chiffres parlent, pourtant, d'eux-mêmes : la retraite moyenne des nouveaux retraités à la SNCF ? 2.300 euros. A la RATP ? 2.800 euros. Des fonctionnaires d'Etat, 2.100 euros. Et celle des salariés du privé ? Seulement 1.500 euros (selon l'Agirc-Arrco). Et, quand on parle de carrière complète, l'iniquité persiste : 2.600 euros à la SNCF et 3.700 euros à la RATP versus 1.800 euros dans le privé.
Cela est rendu possible grâce à des taux de remplacement records et qui s'établissent en moyenne, selon la Cour des comptes, à 88 % à la RATP en cas de carrière complète, 73 % à la SNCF, alors qu'il est d'environ 60 % en moyenne entre les cadres et les non-cadres dans le privé
Pourquoi les Français accepteraient-ils plus longtemps de payer plus d'impôts pour des services publics plus chers et pour des agents largement avantagés qui, en plus, prennent en otages leurs concitoyens ?
Nos chers agents des services publics de transport ont-ils conscience que, dans les pays voisins de la France, on ne peut pas bloquer les services publics du pays quand on bénéficie d'un emploi garanti à vie ? C'est même, en Allemagne, la contrepartie pour bénéficier de l'emploi à vie pour garantir les services publics.
Même en France, les militaires, la police, les magistrats, le personnel pénitentiaire ne peuvent pas faire grève. Les personnels des hôpitaux sont soumis à des astreintes. A quand les mêmes obligations pour les transports ?
Et parce que nos agents des transports publics ne veulent pas bouger d'un iota ni sur l'âge, ni sur le calcul de leur pension, il faudrait supporter, sans broncher, une France paralysée à la veille de Noël ? La seule chose qu'on leur demande : de travailler plus longtemps (comme tout le monde) et d'aligner leurs pensions sur les modes de calcul sur le régime général (comme tous les salariés). Ce n'est ni injuste ni provocateur. C'est normal.
Il est temps que le gouvernement explique à toute la France de manière claire : soit on baisse les pensions des retraités et ils perdent des milliards de pouvoir d'achat, soit on augmente les cotisations des actifs et ils perdent des milliards de pouvoir d'achat… Soit on repousse l'âge de départ à la retraite, on aligne les modes de calcul et tout est résolu pour de nombreuses années.
Agnès Verdier-Molinié, chroniqueuse aux « Echos »
Invité- Invité
Re: Pour les obtus,ou ceux qui font exprès.........
Zerbinette a écrit:Des retraites meilleures que la moyenne des salariés du privé, des taux de remplacement plus élevés, un départ plus tôt, un déficit de leurs régimes qui représente la moitié du total affiché par nos systèmes de retraite : voilà ce que veulent défendre ce jeudi les grévistes de la SNCF, RATP ou autres services publics. Sans même savoir de quoi la future loi sera faite, écrit Agnès Verdier-Molinié
Alors qu'on serine à l'envi qu'il faut sauver la planète en prenant les transports en commun, le train et le métro ou le bus électrique, ces derniers seront dans quelques heures bloqués en France sous prétexte de… Sous prétexte de quoi, d'ailleurs ? Ah oui, sous prétexte de lutter contre une loi dont on ne connaît pas la première ligne et qui sera a priori effective en 2025, voire en 2030…
Bref, bloquer pour intimider au cas où le gouvernement aurait le courage de toucher à un poil sacré des régimes spéciaux. Fameux droits acquis ou plutôt déficits acquis, puisque, rien que pour la SNCF, ce sont plus de 3 milliards d'euros que les Français doivent verser chaque année pour payer leurs généreuses pensions. Pour la RATP, 700 millions. Pour les fonctionnaires de l'État, on ne connaît pas le montant exact, mais c'est autour de 8 milliards d'euros.
Le Conseil d'orientation des retraites a bien affiché dans son dernier rapport que la moitié des 17 milliards de déficit annuel qui vont manquer sur nos pensions en 2025 ont comme source les régimes publics, alors que les salariés du public ne représentent même pas 20 % des actifs. Clairement, les fourmis du privé financent les cigales avec leurs impôts pour leur offrir de meilleures pensions et leur permettre de partir plus tôt à la retraite : 56 ans ou 57 ans en moyenne.
Malgré ces faits incontestables, il semble que comparer les régimes soit toujours aussi mal vu. Les chiffres parlent, pourtant, d'eux-mêmes : la retraite moyenne des nouveaux retraités à la SNCF ? 2.300 euros. A la RATP ? 2.800 euros. Des fonctionnaires d'Etat, 2.100 euros. Et celle des salariés du privé ? Seulement 1.500 euros (selon l'Agirc-Arrco). Et, quand on parle de carrière complète, l'iniquité persiste : 2.600 euros à la SNCF et 3.700 euros à la RATP versus 1.800 euros dans le privé.
Cela est rendu possible grâce à des taux de remplacement records et qui s'établissent en moyenne, selon la Cour des comptes, à 88 % à la RATP en cas de carrière complète, 73 % à la SNCF, alors qu'il est d'environ 60 % en moyenne entre les cadres et les non-cadres dans le privé
Pourquoi les Français accepteraient-ils plus longtemps de payer plus d'impôts pour des services publics plus chers et pour des agents largement avantagés qui, en plus, prennent en otages leurs concitoyens ?
Nos chers agents des services publics de transport ont-ils conscience que, dans les pays voisins de la France, on ne peut pas bloquer les services publics du pays quand on bénéficie d'un emploi garanti à vie ? C'est même, en Allemagne, la contrepartie pour bénéficier de l'emploi à vie pour garantir les services publics.
Même en France, les militaires, la police, les magistrats, le personnel pénitentiaire ne peuvent pas faire grève. Les personnels des hôpitaux sont soumis à des astreintes. A quand les mêmes obligations pour les transports ?
Et parce que nos agents des transports publics ne veulent pas bouger d'un iota ni sur l'âge, ni sur le calcul de leur pension, il faudrait supporter, sans broncher, une France paralysée à la veille de Noël ? La seule chose qu'on leur demande : de travailler plus longtemps (comme tout le monde) et d'aligner leurs pensions sur les modes de calcul sur le régime général (comme tous les salariés). Ce n'est ni injuste ni provocateur. C'est normal.
Il est temps que le gouvernement explique à toute la France de manière claire : soit on baisse les pensions des retraités et ils perdent des milliards de pouvoir d'achat, soit on augmente les cotisations des actifs et ils perdent des milliards de pouvoir d'achat… Soit on repousse l'âge de départ à la retraite, on aligne les modes de calcul et tout est résolu pour de nombreuses années.
Agnès Verdier-Molinié, chroniqueuse aux « Echos »
Propagande qui ne veut rien dire de concret --
Même dans les pays les plus pourris il existe un système de retraite -- la France est un pays ou l'on cotise beaucoup dans le privé que ce soit le patron et l'ouvrier pour un résultat minable --
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
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Re: Pour les obtus,ou ceux qui font exprès.........
A la RATP 2.800 euros, un résultat minableledevois a écrit: Propagande qui ne veut rien dire de concret --
Même dans les pays les plus pourris il existe un système de retraite -- la France est un pays ou l'on cotise beaucoup dans le privé que ce soit le patron et l'ouvrier pour un résultat minable --
Invité- Invité
Re: Pour les obtus,ou ceux qui font exprès.........
elaine a écrit:A la RATP 2.800 euros, un résultat minableledevois a écrit: Propagande qui ne veut rien dire de concret --
Même dans les pays les plus pourris il existe un système de retraite -- la France est un pays ou l'on cotise beaucoup dans le privé que ce soit le patron et l'ouvrier pour un résultat minable --
Je parles pour le privé --
2.800 euros c'est quand même pas le Pérou --
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
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Re: Pour les obtus,ou ceux qui font exprès.........
A deux ca fait quand même 5600 €. J´aimerais bien les avoir moi des 5600 € par mois.ledevois a écrit:Je parles pour le privé --elaine a écrit:A la RATP 2.800 euros, un résultat minable
2.800 euros c'est quand même pas le Pérou --
Invité- Invité
Re: Pour les obtus,ou ceux qui font exprès.........
elaine a écrit:A deux ca fait quand même 5600 €. J´aimerais bien les avoir moi des 5600 € par mois.ledevois a écrit:
Je parles pour le privé --
2.800 euros c'est quand même pas le Pérou --
Celui qui part à la retraite n'est pas deux --
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
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Re: Pour les obtus,ou ceux qui font exprès.........
S´il n´est pas célibataire, il a un conjoint qui bosse encore. C’est kif-kif bourricot.ledevois a écrit:elaine a écrit:
A deux ca fait quand même 5600 €. J´aimerais bien les avoir moi des 5600 € par mois.
Celui qui part à la retraite n'est pas deux --
Invité- Invité
Re: Pour les obtus,ou ceux qui font exprès.........
elaine a écrit:S´il n´est pas célibataire, il a un conjoint qui bosse encore. C’est kif-kif bourricot.ledevois a écrit:
Celui qui part à la retraite n'est pas deux --
Qui n'est pas sensé avoir 2.800 euros ou qu'il peut en avoir plus --
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
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Re: Pour les obtus,ou ceux qui font exprès.........
Et après vous allez pleurer que la France est en faillite. Pauvre de vous.ledevois a écrit:elaine a écrit:S´il n´est pas célibataire, il a un conjoint qui bosse encore. C’est kif-kif bourricot.
Qui n'est pas sensé avoir 2.800 euros ou qu'il peut en avoir plus --
Invité- Invité
Re: Pour les obtus,ou ceux qui font exprès.........
La pension mensuelle moyenne s'établit fin 2017 à 1496 € bruts pour les retraités résidant en France, soit 1399 € nets, en prenant en compte les prélèvements sociaux.
En incluant ceux qui vivent hors de nos frontières, dont les pensions sont généralement bien moins élevées, cette moyenne tombe à 1422 € bruts et 1331 € nets. Hausse du montant brut sur un an : 2,1 %. Corrigée de l'inflation, l'augmentation est de 0,9 %. Elle s'explique d'abord par l'"effet noria" - le fait que les nouveaux retraités ont eu des carrières plus favorables que les anciens et donc disposent de meilleures pensions.
En incluant les réversions, la moyenne s'élève pour les retraités en France à 1649 € bruts et 1547 € nets.
https://votreargent.lexpress.fr/retraite/dix-chiffres-pour-mieux-connaitre-nos-retraites_2082833.html
En incluant ceux qui vivent hors de nos frontières, dont les pensions sont généralement bien moins élevées, cette moyenne tombe à 1422 € bruts et 1331 € nets. Hausse du montant brut sur un an : 2,1 %. Corrigée de l'inflation, l'augmentation est de 0,9 %. Elle s'explique d'abord par l'"effet noria" - le fait que les nouveaux retraités ont eu des carrières plus favorables que les anciens et donc disposent de meilleures pensions.
En incluant les réversions, la moyenne s'élève pour les retraités en France à 1649 € bruts et 1547 € nets.
• 40 % de moins pour les femmes
Les femmes résidant en France touchent 1123 € de pension brute en moyenne. C'est 41,9 % de moins que les hommes qui perçoivent 1933 €. Cet écart n'a quasiment pas évolué en un an; il était de 42,3 % en 2016. Il tombe en revanche à 29 % (29,2 % en 2016) si l'on inclut les réversions, les femmes percevant alors en moyenne 1388 € bruts et les hommes 1955 €.https://votreargent.lexpress.fr/retraite/dix-chiffres-pour-mieux-connaitre-nos-retraites_2082833.html
"Ce qui est certain c'est que ce Macron, personnage mineur de l'histoire romaine, mettra fin à ses jours et à ceux de sa femme sous la pression de Caligula"
dugenou- Messages : 4957
Date d'inscription : 02/07/2017
Re: Pour les obtus,ou ceux qui font exprès.........
Et en quoi ces chiffres justifient les régimes spéciaux,leurs avantages,et le fait que ce sont ceux qui n'en ont aucun qui les financent?
Invité- Invité
Re: Pour les obtus,ou ceux qui font exprès.........
Zerbinette a écrit:Et en quoi ces chiffres justifient les régimes spéciaux,leurs avantages,et le fait que ce sont ceux qui n'en ont aucun qui les financent?
Je n'ai absolument rien contre les régimes spéciaux s'ils se démerdent --
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
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Localisation : Cévennes France--Tarragone catalogne
Re: Pour les obtus,ou ceux qui font exprès.........
ledevois a écrit:elaine a écrit:A la RATP 2.800 euros, un résultat minableledevois a écrit: Propagande qui ne veut rien dire de concret --
Même dans les pays les plus pourris il existe un système de retraite -- la France est un pays ou l'on cotise beaucoup dans le privé que ce soit le patron et l'ouvrier pour un résultat minable --
Je parles pour le privé --
2.800 euros c'est quand même pas le Pérou --
J'ai terminé mon service actif aux environs de 2400€ par mois.
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Pour les obtus,ou ceux qui font exprès.........
ledevois a écrit:Zerbinette a écrit:Et en quoi ces chiffres justifient les régimes spéciaux,leurs avantages,et le fait que ce sont ceux qui n'en ont aucun qui les financent?
Je n'ai absolument rien contre les régimes spéciaux s'ils se démerdent --
Vous refusez qu'on demande aux cheminots d'appliquer cette réforme. Vous ne savez plus où vous habitez ...
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Pour les obtus,ou ceux qui font exprès.........
Mais enfin,ce potentat qui ne vit qu'a travers son fric,et méprise totalement ceux qui ont moins,en jalousant ceux qui ont plus,qui déblatère sans se rappeler pour qui on contre quoi,le plus qu'on puisse faire,c'est un hochement de tête,quelqu'en soit le sens!
Invité- Invité
Re: Pour les obtus,ou ceux qui font exprès.........
Nadou a écrit:ledevois a écrit:
Je n'ai absolument rien contre les régimes spéciaux s'ils se démerdent --
Vous refusez qu'on demande aux cheminots d'appliquer cette réforme. Vous ne savez plus où vous habitez ...
Je le redis une fois de plus que ce soit les enseignants ou la R A T P ,ou la S N C F , ou autres , que la réforme d'acquis ne m'intéresse pas à condition qu'il cotisent pour --
Ce qui faut changer ce n'est pas les retraites mais la façon de les traiter -- ce n'est pas au contribuable , ni au privé de payer les avantages des fonctionnaires --
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
Age : 84
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