Démission du président
Page 1 sur 1 • Partagez
Démission du président
Pas mal en rêve, et on les comprend
Mais avant de mettre dehors un président de la République, il faudrait sans doute prévoir un remplaçant
Et là qui a quelqu'un à proposer?
Je cherche, et pour ma part je suis sceptique
Et vous?
Mais avant de mettre dehors un président de la République, il faudrait sans doute prévoir un remplaçant
Et là qui a quelqu'un à proposer?
Je cherche, et pour ma part je suis sceptique
Et vous?
philosophe- Messages : 504
Date d'inscription : 22/11/2018
Age : 84
Localisation : Var
Re: Démission du président
C'est la représentation du peuple à l'assemblée qui importe !
Sapeur Lipopète- Messages : 3867
Date d'inscription : 27/12/2017
Re: Démission du président
D'accord, mais le peuple a besoin d'un chef qu'il choisira
perso je suis pour Nicolas Dupont Aignan
lu maire durant 17 ans dans la ville multiculturelle de HIères et qui a bin géré
Donc de l'expérience en politique
perso je suis pour Nicolas Dupont Aignan
lu maire durant 17 ans dans la ville multiculturelle de HIères et qui a bin géré
Donc de l'expérience en politique
philosophe- Messages : 504
Date d'inscription : 22/11/2018
Age : 84
Localisation : Var
Re: Démission du président
Sapeur Lipopète a écrit:C'est la représentation du peuple à l'assemblée qui importe !
Les législatives ont déjà eu lieu.
Il y en a eu une dimanche, ça passionne ton "peuple" parce que "le peuple" c'est aussi moi et j'ai déjà voté.
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Démission du président
Il s'en fout le peuple de l'Assemblée, nous l'avons bien vu encore hier.Sapeur Lipopète a écrit:C'est la représentation du peuple à l'assemblée qui importe !
Je ne peux pas tout, je ne réussis pas tout mais je refuse de m'y résoudre. Emmanuel Macron.
Fontsestian- Messages : 11123
Date d'inscription : 11/06/2018
Age : 78
Localisation : Provence
Re: Démission du président
philosophe a écrit:Pas mal en rêve, et on les comprend
Mais avant de mettre dehors un président de la République, il faudrait sans doute prévoir un remplaçant
Et là qui a quelqu'un à proposer?
Je cherche, et pour ma part je suis sceptique
Et vous?
Je ne vois personne dans le personnel politique de tous bords pour remplacer Macron. De l'hystérique Mélenchon à l'incompétente Le Pen en passant par Wauqiez, Hamon ou NDA.
Je ne peux pas tout, je ne réussis pas tout mais je refuse de m'y résoudre. Emmanuel Macron.
Fontsestian- Messages : 11123
Date d'inscription : 11/06/2018
Age : 78
Localisation : Provence
Re: Démission du président
Micron fera comme tous ses prédécesseurs, même dans la pire tempête, il s'accrochera au pouvoir, et c'est son droit vu qu'il a été élu....
Invité- Invité
Re: Démission du président
Ah si, j'en connais un qui ferait bien l'affaire en tant que président
philosophe- Messages : 504
Date d'inscription : 22/11/2018
Age : 84
Localisation : Var
Re: Démission du président
philosophe a écrit:Ah si, j'en connais un qui ferait bien l'affaire en tant que président
Il y a des politiques de qualité en France --Xavier Bertrand en fait parti --
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
Age : 84
Localisation : Cévennes France--Tarragone catalogne
Re: Démission du président
Oui, heureusement il y en a des vrais patriotes, mais où sont-ils donc
philosophe- Messages : 504
Date d'inscription : 22/11/2018
Age : 84
Localisation : Var
Re: Démission du président
ledevois a écrit:philosophe a écrit:Ah si, j'en connais un qui ferait bien l'affaire en tant que président
Il y a des politiques de qualité en France --Xavier Bertrand en fait parti --
Le BILAN
Un préalable : nous ne parlerons pas ici du volet Santé des attributions de Xavier Bertrand, si ce n'est pour dire que cette configuration n'a pas facilité sa tâche, les urgences sanitaires et la gestion du dossier du Médiator ainsi que la faiblesse de la Secrétaire d'Etat en charge de la santé, et les soupçons de conflits d'intérêt pesant sur Nora Berra, n'ayant pas permis au Ministre de bénéficier d'un appui efficace (voir Va-t-on retrouver un Ministre de l’Emploi ? Vers un plan d’urgence ?). Le Travail et l'Emploi auraient mérité un Ministre à plein temps ce qui n'a jamais été le cas durant ce quinquennat, caractérisé par l'instabilté de l'organisation des responsabilités ministérielles.
Quant on analyse l'action de Xavier Bertrand durant les 18 mois où il a exercé cette responsabilité, il revient une constance, la négation de la réalité de la dégration de la situation de l'emploi (voir, audelà des commentaires mensules qui tenaient parfois plus de la partie de bonneteau que de l'analyse, entre autres Selon Xavier Bertrand, ce n’est qu’une crise conjoncturelle que nous avons dépassée.). Le Ministre, comme l'avait fait son prédécesseur, s'est refusé à regarder en face cette dure réalité, et s'est accroché de façon totalement déraisonnable à la plus infinitésimale variation pas totalement négative des chiffres du chômage, tellement il voulait croire à une amélioration tant espérée, tant anticipée, tant annoncée, y compris par le Président de la République, devant les Français à la télévision en janvier 2010 (voir Le chômage va baisser dans les prochaines semaines)
Ce faisant, il condamnait son action à l'inefficacité en acceptant, voire même en revendicant, la baisse du budget de l'Etat consacré à l'action en faveur de l'emploi au moment précis où le chômage repartait à la hausse, et aurait nécessité tout au contraire une réaction forte et l'affectation de moyens. Ce faisant, en ne régissant pas, il contribuait objectivement à réduire les chances de réélection d'un Président de la République victime d'un décalale abyssal entre les fortes promesses de 2007 en matière de baisse du chômage et une réalité que la crise ne pouvait, à elle seule, expliquer.
Cela l'a conduit à laisser Christian Charpy piloter le bateau ivre qu'était devenu Pôle emploi, vicitime d'une incapacité du politique à conduire une stratégie au delà de l'incantation (voir Pôle emploi : l’échec de la conduite étatique de la fusion) et d'adopter vis à vis de celui-ci une attitude contradictoire, en l'affaiblissant en annonçant prématurément, dès avril 2011 son départ (voir De l’art d’affaiblir un dirigeant), tout en le laissant aller au terme de son mandat, en décembre 2011 malgré un comportement bien peu conforme aux principes qui doivent guider l'action d'un haut-fonctionnaire (voir Christian Charpy s’asseoit sur le devoir de réserve)
Nous mentionnerons, parce que c'est pour ce blog symbolique, l'acceptation par Xavier Bertrand de laisser mettre en place une nouvelle tranche de Contrats d'Autonomie, dont il est relaté ici la chronique minutieuse (voir l'ensemble des articles), opération concue avant lui, dont il reconnaissait pourtant le mauvais rapport qualité prix mais dont il n'a pas eu le courage d'imposer la non reconduction. Nous mentionnerons également une irrésolution par rapport aux Maisons de l'Emploi dont il a continué à organiser le déclin des financements, tout en manifestant parfois un réel soutien avant de sombrer dans le clientélisme le plus étroit (voir Un nouveau critère pour le financement des Maisons de l’Emploi : avoir le soutien d’un candidat UMP aux législatives)
Disposant des outils d'étude et de prévision, multipliant les demandes de rapports dont aucun n'a marqué une véritable inflexion dans les politiques conduites (voir Une multiplication de rapports : à quoi bon si les décideurs n’en tiennent aucun compte ?) il n'a pas été l'acteur déterminant du retour du Président de la République, aiguillé par la perspective de redevenir prochainement candidat , à une lucidité beaucoup trop tardive fin 2011, début 2012 (voir Sommet de crise : dommage que le lucide diagnostic présidentiel arrive si tard) pour produire des effets perceptibles dans la contrainte du calendrier électoral (voir Le retard à reconnaître la persistance de la crise va rendre les mesures pour l’emploi non opératoires
Au fond, on en arrive à se demander si depuis sa prise de fonction Xavier Bertrand n'était pas, au fond de lui même, profondément convaincu que la situation était irrémédiablement compromise. C'est ce que laisserait entendre l'un de ces trop nombreux ouvrages rapidement publiés dès le lendemain du deuxième tour des présidentielles, celui de Benjamin Sportouch et Jérôme Chapuis, journalistes à L'Express et à RTL," Le Naufragé, histoire secrète d'une descente aux enfers " puisqu'une des premières scènes commence sur sa confidence en octobre 2011 : " A moins de circonstances exceptionnelles, le combat sera très difficile. Oui, parfois, on se dit que ça relèverait du miracle. Mais rien n'est impossible ! "
Le miracle n'a pas lieu : Xavier Bertrand en a une part de responsabilté par son incapacité à assumer, en temps opportun, un diagnostic lucide de la situation de l'emploi, et à mettre le candidat qu'il soutenait en situation d'anticipation sur un dossier qui a joué un rôle déterminant dans le choix des électeurs.
Il faut à sa décharge mentionner qu'il n'a pas été du tout aidé par sa Ministre déléguée en charge de la formation professionnelle et de l'apprentissage, Nadine Morano, qui n'a pas voulu comprendre qu'être Ministre de la République supposait de travailler ses dossiers et surtout de se positionner dans une démarche d'intérêt général, nécessitant de prendre une certaine distance avec les comportements de représentante d'un clan ou d'un camp.
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Démission du président
Nadou a écrit:ledevois a écrit:
Il y a des politiques de qualité en France --Xavier Bertrand en fait parti --
Le BILAN
Un préalable : nous ne parlerons pas ici du volet Santé des attributions de Xavier Bertrand, si ce n'est pour dire que cette configuration n'a pas facilité sa tâche, les urgences sanitaires et la gestion du dossier du Médiator ainsi que la faiblesse de la Secrétaire d'Etat en charge de la santé, et les soupçons de conflits d'intérêt pesant sur Nora Berra, n'ayant pas permis au Ministre de bénéficier d'un appui efficace (voir Va-t-on retrouver un Ministre de l’Emploi ? Vers un plan d’urgence ?). Le Travail et l'Emploi auraient mérité un Ministre à plein temps ce qui n'a jamais été le cas durant ce quinquennat, caractérisé par l'instabilté de l'organisation des responsabilités ministérielles.
Quant on analyse l'action de Xavier Bertrand durant les 18 mois où il a exercé cette responsabilité, il revient une constance, la négation de la réalité de la dégration de la situation de l'emploi (voir, audelà des commentaires mensules qui tenaient parfois plus de la partie de bonneteau que de l'analyse, entre autres Selon Xavier Bertrand, ce n’est qu’une crise conjoncturelle que nous avons dépassée.). Le Ministre, comme l'avait fait son prédécesseur, s'est refusé à regarder en face cette dure réalité, et s'est accroché de façon totalement déraisonnable à la plus infinitésimale variation pas totalement négative des chiffres du chômage, tellement il voulait croire à une amélioration tant espérée, tant anticipée, tant annoncée, y compris par le Président de la République, devant les Français à la télévision en janvier 2010 (voir Le chômage va baisser dans les prochaines semaines)
Ce faisant, il condamnait son action à l'inefficacité en acceptant, voire même en revendicant, la baisse du budget de l'Etat consacré à l'action en faveur de l'emploi au moment précis où le chômage repartait à la hausse, et aurait nécessité tout au contraire une réaction forte et l'affectation de moyens. Ce faisant, en ne régissant pas, il contribuait objectivement à réduire les chances de réélection d'un Président de la République victime d'un décalale abyssal entre les fortes promesses de 2007 en matière de baisse du chômage et une réalité que la crise ne pouvait, à elle seule, expliquer.
Cela l'a conduit à laisser Christian Charpy piloter le bateau ivre qu'était devenu Pôle emploi, vicitime d'une incapacité du politique à conduire une stratégie au delà de l'incantation (voir Pôle emploi : l’échec de la conduite étatique de la fusion) et d'adopter vis à vis de celui-ci une attitude contradictoire, en l'affaiblissant en annonçant prématurément, dès avril 2011 son départ (voir De l’art d’affaiblir un dirigeant), tout en le laissant aller au terme de son mandat, en décembre 2011 malgré un comportement bien peu conforme aux principes qui doivent guider l'action d'un haut-fonctionnaire (voir Christian Charpy s’asseoit sur le devoir de réserve)
Nous mentionnerons, parce que c'est pour ce blog symbolique, l'acceptation par Xavier Bertrand de laisser mettre en place une nouvelle tranche de Contrats d'Autonomie, dont il est relaté ici la chronique minutieuse (voir l'ensemble des articles), opération concue avant lui, dont il reconnaissait pourtant le mauvais rapport qualité prix mais dont il n'a pas eu le courage d'imposer la non reconduction. Nous mentionnerons également une irrésolution par rapport aux Maisons de l'Emploi dont il a continué à organiser le déclin des financements, tout en manifestant parfois un réel soutien avant de sombrer dans le clientélisme le plus étroit (voir Un nouveau critère pour le financement des Maisons de l’Emploi : avoir le soutien d’un candidat UMP aux législatives)
Disposant des outils d'étude et de prévision, multipliant les demandes de rapports dont aucun n'a marqué une véritable inflexion dans les politiques conduites (voir Une multiplication de rapports : à quoi bon si les décideurs n’en tiennent aucun compte ?) il n'a pas été l'acteur déterminant du retour du Président de la République, aiguillé par la perspective de redevenir prochainement candidat , à une lucidité beaucoup trop tardive fin 2011, début 2012 (voir Sommet de crise : dommage que le lucide diagnostic présidentiel arrive si tard) pour produire des effets perceptibles dans la contrainte du calendrier électoral (voir Le retard à reconnaître la persistance de la crise va rendre les mesures pour l’emploi non opératoires
Au fond, on en arrive à se demander si depuis sa prise de fonction Xavier Bertrand n'était pas, au fond de lui même, profondément convaincu que la situation était irrémédiablement compromise. C'est ce que laisserait entendre l'un de ces trop nombreux ouvrages rapidement publiés dès le lendemain du deuxième tour des présidentielles, celui de Benjamin Sportouch et Jérôme Chapuis, journalistes à L'Express et à RTL," Le Naufragé, histoire secrète d'une descente aux enfers " puisqu'une des premières scènes commence sur sa confidence en octobre 2011 : " A moins de circonstances exceptionnelles, le combat sera très difficile. Oui, parfois, on se dit que ça relèverait du miracle. Mais rien n'est impossible ! "
Le miracle n'a pas lieu : Xavier Bertrand en a une part de responsabilté par son incapacité à assumer, en temps opportun, un diagnostic lucide de la situation de l'emploi, et à mettre le candidat qu'il soutenait en situation d'anticipation sur un dossier qui a joué un rôle déterminant dans le choix des électeurs.
Il faut à sa décharge mentionner qu'il n'a pas été du tout aidé par sa Ministre déléguée en charge de la formation professionnelle et de l'apprentissage, Nadine Morano, qui n'a pas voulu comprendre qu'être Ministre de la République supposait de travailler ses dossiers et surtout de se positionner dans une démarche d'intérêt général, nécessitant de prendre une certaine distance avec les comportements de représentante d'un clan ou d'un camp.
Je le vois comme un politique stable avec une énorme expérience --
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
Age : 84
Localisation : Cévennes France--Tarragone catalogne
Re: Démission du président
Merci Philo je me suis bien marréphilosophe a écrit:Ah si, j'en connais un qui ferait bien l'affaire en tant que président
Invité- Invité
Re: Démission du président
Hier ?Fontsestian a écrit:Il s'en fout le peuple de l'Assemblée, nous l'avons bien vu encore hier.Sapeur Lipopète a écrit:C'est la représentation du peuple à l'assemblée qui importe !
Diviciac- Messages : 43162
Date d'inscription : 02/07/2017
Localisation : IdF et Morvan
Re: Démission du président
lu ci dessus :
"""C'est la représentation du peuple à l'assemblée qui importe !"""
Le Peuple c' est NOUS ( VOUS et MOI )...
LE PEUPLE A VOTE EN MAI 2017...ET IL Y A UN PRESIDENT SORTI DES URNES ( les abstentionnistes ne peuvent qu" en tant que citoyens de La REPUBLIQUE ...qu' accepter ou se taire...ils ont choisi...alors qu' ils attendent maintenant 2022 au minimun....)
"""C'est la représentation du peuple à l'assemblée qui importe !"""
Le Peuple c' est NOUS ( VOUS et MOI )...
LE PEUPLE A VOTE EN MAI 2017...ET IL Y A UN PRESIDENT SORTI DES URNES ( les abstentionnistes ne peuvent qu" en tant que citoyens de La REPUBLIQUE ...qu' accepter ou se taire...ils ont choisi...alors qu' ils attendent maintenant 2022 au minimun....)
Ne faites pas attention à la critique. Elle vient généralement de personnes qui n' ont jamais rien fait d' autre et qui se réjouissent des problèmes de l' Autre...pas d' efforts positifs = arriérés négatifs
frenchy35F- Messages : 4485
Date d'inscription : 25/11/2017
Sujets similaires
» Macron démission!
» ..........................................
» Démission d'Edouard Philippe --
» Démission de trois ministres
» Grève à Air France: le PDG annonce sa démission.
» ..........................................
» Démission d'Edouard Philippe --
» Démission de trois ministres
» Grève à Air France: le PDG annonce sa démission.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum