Dame Nadou, où êtes-vous ? Votre silence est assourdissant...
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Dame Nadou, où êtes-vous ? Votre silence est assourdissant...
Publié le 23/08/2018
ARABIE SAOUDITE. Cinq militants des droits de l'homme, dont une femme, condamnés à mort.
Israa al-Ghomgham condamnée à mort pour avoir critiqué le pouvoir saoudien.
Cinq personnes, dont une femme, ont été condamnées à mort en Arabie Saoudite pour avoir milité pour les droits de l'homme. Leurs exécutions n'ont pas encore été confirmées.
Cinq militants des droits de l'homme, accusés d'avoir incité la minorité chiite à la contestation dans l'est de l'Arabie Saoudite, ont été condamnés à mort, après la réquisition de cette peine par le procureur public saoudien.
Israa al-Ghomgham, qui fait partie des cinq condamnés, pourrait être la première femme, militante des droits de l'homme, exécutée en Arabie Saoudite.
Une condamnation à la peine capitale à laquelle l'ONG Amnesty International a réagi sans équivoque. "Israa al-Ghomgham et quatre autres personnes font aujourd’hui face à la pire peine possible, simplement pour leur engagement dans des manifestations antigouvernementales", se désole notamment l'organisation. "Condamner Israa al-Ghomgham à la peine de mort enverrait un message horrible que tous les militants peuvent être ciblés de la même manière pour leur manifestation pacifique et leur activisme en faveur des droits de l’homme", poursuit Amnesty International.
Les militants déjà exécutés ?
Depuis la condamnation, et en raison de l'opacité de la justice Saoudienne, de nombreuses rumeurs circulent, indiquant notamment que les cinq militants auraient déjà été exécutés. Mais aucune confirmation officielle de cette information n'a pour l'instant été donnée.
Des sources saoudiennes non officielles indiquent notamment qu'Israa al-Ghomgham aurait été exécutée dimanche, et que ses derniers mots auraient été "On me tue alors que je suis innocente. Je demanderai justice à Dieu".
Cela ne se passe pas en Russie...mais en Arabie Saoudite, grand pays démocratique avec un régime, monarchique et théocratique, grand ami de la France...
Zigomar est très surpris...toutes ses recherches, sur ce sujet, dans ce forum, étant restées vaines...Pourtant, dame Nadou, grande pourfendeuse des injustices et autres tyrannies d'Etat, très virulente à propos du cinéaste ukrainien Oleg Sentsov, en grève de la faim mais qui, pourtant, n'a pas été condamné à mort par la justice du tsar Vladimir...se fait d'une discrétion de violette concernant ces cinq militants, dont une femme, condamnés à mort, et peut-être exécutés, au paradis saoudien d'Allah...
Ce n'est qu'une simple constatation...
ARABIE SAOUDITE. Cinq militants des droits de l'homme, dont une femme, condamnés à mort.
Israa al-Ghomgham condamnée à mort pour avoir critiqué le pouvoir saoudien.
Cinq personnes, dont une femme, ont été condamnées à mort en Arabie Saoudite pour avoir milité pour les droits de l'homme. Leurs exécutions n'ont pas encore été confirmées.
Cinq militants des droits de l'homme, accusés d'avoir incité la minorité chiite à la contestation dans l'est de l'Arabie Saoudite, ont été condamnés à mort, après la réquisition de cette peine par le procureur public saoudien.
Israa al-Ghomgham, qui fait partie des cinq condamnés, pourrait être la première femme, militante des droits de l'homme, exécutée en Arabie Saoudite.
Une condamnation à la peine capitale à laquelle l'ONG Amnesty International a réagi sans équivoque. "Israa al-Ghomgham et quatre autres personnes font aujourd’hui face à la pire peine possible, simplement pour leur engagement dans des manifestations antigouvernementales", se désole notamment l'organisation. "Condamner Israa al-Ghomgham à la peine de mort enverrait un message horrible que tous les militants peuvent être ciblés de la même manière pour leur manifestation pacifique et leur activisme en faveur des droits de l’homme", poursuit Amnesty International.
Les militants déjà exécutés ?
Depuis la condamnation, et en raison de l'opacité de la justice Saoudienne, de nombreuses rumeurs circulent, indiquant notamment que les cinq militants auraient déjà été exécutés. Mais aucune confirmation officielle de cette information n'a pour l'instant été donnée.
Des sources saoudiennes non officielles indiquent notamment qu'Israa al-Ghomgham aurait été exécutée dimanche, et que ses derniers mots auraient été "On me tue alors que je suis innocente. Je demanderai justice à Dieu".
Cela ne se passe pas en Russie...mais en Arabie Saoudite, grand pays démocratique avec un régime, monarchique et théocratique, grand ami de la France...
Zigomar est très surpris...toutes ses recherches, sur ce sujet, dans ce forum, étant restées vaines...Pourtant, dame Nadou, grande pourfendeuse des injustices et autres tyrannies d'Etat, très virulente à propos du cinéaste ukrainien Oleg Sentsov, en grève de la faim mais qui, pourtant, n'a pas été condamné à mort par la justice du tsar Vladimir...se fait d'une discrétion de violette concernant ces cinq militants, dont une femme, condamnés à mort, et peut-être exécutés, au paradis saoudien d'Allah...
Ce n'est qu'une simple constatation...
Invité- Invité
Re: Dame Nadou, où êtes-vous ? Votre silence est assourdissant...
L'un n'empêche pas l'autre.
Ce n'est pas parce que j'apporte mon soutien à toutes les femmes enfermées et condamnées en Iran et dans toutes les dictatures islamiques que je vais défendre leurs dirigeants.
Cohérence.
Donc soutenir l'opposition russe enfermée ( Oleg, femen ou autres ) et réduite au silence, impose aussi, à mon petit niveau de condamner leurs dirigeants,
La condamnation d'une oppression dans un pays, n'empêche pas d'être sensible à l'oppression dans le pays voisin.
Ce n'est pas parce que j'apporte mon soutien à toutes les femmes enfermées et condamnées en Iran et dans toutes les dictatures islamiques que je vais défendre leurs dirigeants.
Cohérence.
Donc soutenir l'opposition russe enfermée ( Oleg, femen ou autres ) et réduite au silence, impose aussi, à mon petit niveau de condamner leurs dirigeants,
La condamnation d'une oppression dans un pays, n'empêche pas d'être sensible à l'oppression dans le pays voisin.
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Dame Nadou, où êtes-vous ? Votre silence est assourdissant...
Et en Iran, une femme condamnée à 4 ans de prison et 80 coups de fouet pour avoir dansé ...
Bien sûr que c'est important !
Bien sûr que c'est important !
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Dame Nadou, où êtes-vous ? Votre silence est assourdissant...
Zigomar17 a écrit:Publié le 23/08/2018
ARABIE SAOUDITE. Cinq militants des droits de l'homme, dont une femme, condamnés à mort.
Israa al-Ghomgham condamnée à mort pour avoir critiqué le pouvoir saoudien.
Cinq personnes, dont une femme, ont été condamnées à mort en Arabie Saoudite pour avoir milité pour les droits de l'homme. Leurs exécutions n'ont pas encore été confirmées.
Cinq militants des droits de l'homme, accusés d'avoir incité la minorité chiite à la contestation dans l'est de l'Arabie Saoudite, ont été condamnés à mort, après la réquisition de cette peine par le procureur public saoudien.
Israa al-Ghomgham, qui fait partie des cinq condamnés, pourrait être la première femme, militante des droits de l'homme, exécutée en Arabie Saoudite.
Une condamnation à la peine capitale à laquelle l'ONG Amnesty International a réagi sans équivoque. "Israa al-Ghomgham et quatre autres personnes font aujourd’hui face à la pire peine possible, simplement pour leur engagement dans des manifestations antigouvernementales", se désole notamment l'organisation. "Condamner Israa al-Ghomgham à la peine de mort enverrait un message horrible que tous les militants peuvent être ciblés de la même manière pour leur manifestation pacifique et leur activisme en faveur des droits de l’homme", poursuit Amnesty International.
Les militants déjà exécutés ?
Depuis la condamnation, et en raison de l'opacité de la justice Saoudienne, de nombreuses rumeurs circulent, indiquant notamment que les cinq militants auraient déjà été exécutés. Mais aucune confirmation officielle de cette information n'a pour l'instant été donnée.
Des sources saoudiennes non officielles indiquent notamment qu'Israa al-Ghomgham aurait été exécutée dimanche, et que ses derniers mots auraient été "On me tue alors que je suis innocente. Je demanderai justice à Dieu".
Cela ne se passe pas en Russie...mais en Arabie Saoudite, grand pays démocratique avec un régime, monarchique et théocratique, grand ami de la France...
Zigomar est très surpris...toutes ses recherches, sur ce sujet, dans ce forum, étant restées vaines...Pourtant, dame Nadou, grande pourfendeuse des injustices et autres tyrannies d'Etat, très virulente à propos du cinéaste ukrainien Oleg Sentsov, en grève de la faim mais qui, pourtant, n'a pas été condamné à mort par la justice du tsar Vladimir...se fait d'une discrétion de violette concernant ces cinq militants, dont une femme, condamnés à mort, et peut-être exécutés, au paradis saoudien d'Allah...
Ce n'est qu'une simple constatation...
https://www.youtube.com/watch?v=J9j_bI-YrhY
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
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Age : 84
Localisation : Cévennes France--Tarragone catalogne
Re: Dame Nadou, où êtes-vous ? Votre silence est assourdissant...
Torture, famine, viols... Amnesty dévoile l'enfer des prisons syriennes
https://www.nouvelobs.com/monde/guerre-en-syrie/20160818.OBS6497/torture-famine-viols-amnesty-devoile-l-enfer-des-prisons-syriennes.html
Ce qui les attend une fois arrivés dans les prisons est encore pire : là, de macabres "fêtes de bienvenue" ont lieu. Le prisonnier, jeté par terre, est roué de coups à l'aide de barres de fer ou de plastique, ou de câbles électriques. Ce passage obligé marque le début d'un calvaire pour les détenus, comme en témoignent les rescapés qui ont accepté de répondre à Amnesty International.
"Ils nous traitaient comme des animaux. Ils voulaient nous faire perdre tout caractère humain. […] Quand nous sommes entrés dans les cellules, nous avons demandé aux autres si cela leur était arrivé et ils ont dit que c'était une routine… Je n’aurais jamais imaginé que l’humanité pouvait descendre aussi bas […] J'ai vu, quand ils ont commencé à taper nos têtes, que nous tuer ne leur aurait posé aucun problème", confie ainsi Samer, un avocat.
S'ensuivent ensuite des "contrôles de sécurité" qui constituent de nouvelles occasions d'humilier les prisonniers. Les femmes, en particulier, sont souvent abusées sexuellement à cette occasion. Au moins la moitié des femmes interrogées ont ainsi déclaré avoir subi des contrôles de sécurité abusifs, toujours effectués par des hommes, qu'ils soient des gardes ou membres des forces de sécurité.
Du Falaqa, technique qui consiste à tabasser la plante des pieds du prisonnier, au Dulab, où l'interrogé est coincé dans un pneu, en passant par le Shabeh (le prisonnier est suspendu par les poignets) ou le "tapis volant", écrasant le prisonnier entre deux planches de bois ou de métal, les tortures ne manquent pas. S'y rajoutent les passages à tabac, les chocs électriques, les jets d'eau bouillante, ou encore les viols (sur les femmes comme sur les hommes) et autres humiliations. Said, un activiste arrêté en 2011 à Alep, se souvient:
“J'avais un bandeau sur les yeux pendant toute la séance. […] Pendant que j'étais dans la position Shabeh, ils ont utilisé un bâton à électrochoc sur mon pénis. Puis ils l'ont introduit dans mon anus et l'ont allumé. C'était ma première expérience du viol. Ensuite, l'un des gardes a demandé à ce qu'on m'enlève mon bandeau, et j'ai vu mon père. Il avait tout vu."
https://www.nouvelobs.com/monde/guerre-en-syrie/20160818.OBS6497/torture-famine-viols-amnesty-devoile-l-enfer-des-prisons-syriennes.html
Un rapport d'Amnesty International révèle les effroyables conditions de détention dans les prisons des forces gouvernementales syriennes. Plus de 300 personnes y meurent chaque mois.
La macabre "fête de bienvenue"
Pour les civils qui sont capturés par les forces gouvernementales, le cauchemar commence dès l'arrestation et le transfert vers un centre de détention. Dans les véhicules les transportant, ils sont déjà humiliés et battus, certaines femmes sont même violées. Tous sont considérés comme coupables de trahison.Ce qui les attend une fois arrivés dans les prisons est encore pire : là, de macabres "fêtes de bienvenue" ont lieu. Le prisonnier, jeté par terre, est roué de coups à l'aide de barres de fer ou de plastique, ou de câbles électriques. Ce passage obligé marque le début d'un calvaire pour les détenus, comme en témoignent les rescapés qui ont accepté de répondre à Amnesty International.
"Ils nous traitaient comme des animaux. Ils voulaient nous faire perdre tout caractère humain. […] Quand nous sommes entrés dans les cellules, nous avons demandé aux autres si cela leur était arrivé et ils ont dit que c'était une routine… Je n’aurais jamais imaginé que l’humanité pouvait descendre aussi bas […] J'ai vu, quand ils ont commencé à taper nos têtes, que nous tuer ne leur aurait posé aucun problème", confie ainsi Samer, un avocat.
S'ensuivent ensuite des "contrôles de sécurité" qui constituent de nouvelles occasions d'humilier les prisonniers. Les femmes, en particulier, sont souvent abusées sexuellement à cette occasion. Au moins la moitié des femmes interrogées ont ainsi déclaré avoir subi des contrôles de sécurité abusifs, toujours effectués par des hommes, qu'ils soient des gardes ou membres des forces de sécurité.
"La torture est la seule manière d'enquêter"
Ce n'est qu'après qu'arrivent les interrogatoires, qui consistent souvent en une simple séance de torture, sans même passer par des questions préalables. De quoi faire dire à Ahmad H., un ingénieur civil ayant passé trois ans en prison, qu'"en Syrie, ils n'ont pas d'autres façons d'enquêter que la torture. C'est la manière basique, la seule manière." Et les forces gouvernementales rivalisent d'ingéniosité en la matière.Du Falaqa, technique qui consiste à tabasser la plante des pieds du prisonnier, au Dulab, où l'interrogé est coincé dans un pneu, en passant par le Shabeh (le prisonnier est suspendu par les poignets) ou le "tapis volant", écrasant le prisonnier entre deux planches de bois ou de métal, les tortures ne manquent pas. S'y rajoutent les passages à tabac, les chocs électriques, les jets d'eau bouillante, ou encore les viols (sur les femmes comme sur les hommes) et autres humiliations. Said, un activiste arrêté en 2011 à Alep, se souvient:
“J'avais un bandeau sur les yeux pendant toute la séance. […] Pendant que j'étais dans la position Shabeh, ils ont utilisé un bâton à électrochoc sur mon pénis. Puis ils l'ont introduit dans mon anus et l'ont allumé. C'était ma première expérience du viol. Ensuite, l'un des gardes a demandé à ce qu'on m'enlève mon bandeau, et j'ai vu mon père. Il avait tout vu."
L'enfer de Saydnaya
A ces tortures se rajoutent des conditions de détention déplorables. Après des mois, voire des années d'emprisonnement, les détenus sont parfois jugés à la va-vite par des tribunaux militaires, avant, pour les moins chanceux d'entre eux, d'être expédiés vers la prison militaire de Saydnaya, au nord de Damas. Cette prison est l'une des plus sinistrement connues de Syrie. Amnesty International et Forensic Architecture l'ont reconstituée en 3D sur un site internet, à partir des témoignages qu'ils ont pu recueillir.Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Dame Nadou, où êtes-vous ? Votre silence est assourdissant...
Syrie ( suite )
Des cellules exiguës, toujours surpeuplées, parfois localisées dans les sous-sols, sans accès à la lumière et à l'air libre... A Saydnaya, les morts sont quotidiennes, les séances de torture régulières et détachées d'un quelconque interrogatoire. La plupart du temps, les prisonniers n'ont pas le droit de voir leur famille, et encore moins un avocat. Protester ne peut qu'aggraver encore leur état, entraînant des "disparitions forcées".
Salam, un avocat ayant passé deux ans dans la prison, se souvient de "l'odeur de la torture" qui régnait à Saydnaya, ce mélange "d'humidité, de sang et de sueur". La nourriture y est rare, les moyens de se laver encore plus, malgré les nombreuses blessures infligées par les gardiens, tant et si bien que les détenus meurent autant de maladie et de faim que de la torture.
Les règles à observer dans la prison de Saydnaya sont, elles, dignes d'un camp de concentration : ne pas regarder les gardes dans les yeux, maintenir un silence absolu, se tenir dans une certaine position à l'approche des gardes... Dans chaque cellule collective, de douze personnes chacune, un responsable est désigné pour dire aux gardes, chaque matin, le nombre de cadavres dans la pièce. Omar S., un activiste pro-kurde, raconte l'un de ces échanges :
"Un jour, le chef de la cellule suivante a dit : 'Il y a 12 cadavres ici.' […] Le garde s'énerva. [...] Il demanda au responsable de passer sa tête dans la fenêtre coulissante [de la porte]. Il ferma puis ouvrit ce volet en métal contre sa tête, en le tapant avec des barres de métal. L'homme est mort pendant ce passage à tabac, et son corps a été ramassé le lendemain."
Des cellules exiguës, toujours surpeuplées, parfois localisées dans les sous-sols, sans accès à la lumière et à l'air libre... A Saydnaya, les morts sont quotidiennes, les séances de torture régulières et détachées d'un quelconque interrogatoire. La plupart du temps, les prisonniers n'ont pas le droit de voir leur famille, et encore moins un avocat. Protester ne peut qu'aggraver encore leur état, entraînant des "disparitions forcées".
Salam, un avocat ayant passé deux ans dans la prison, se souvient de "l'odeur de la torture" qui régnait à Saydnaya, ce mélange "d'humidité, de sang et de sueur". La nourriture y est rare, les moyens de se laver encore plus, malgré les nombreuses blessures infligées par les gardiens, tant et si bien que les détenus meurent autant de maladie et de faim que de la torture.
Les règles à observer dans la prison de Saydnaya sont, elles, dignes d'un camp de concentration : ne pas regarder les gardes dans les yeux, maintenir un silence absolu, se tenir dans une certaine position à l'approche des gardes... Dans chaque cellule collective, de douze personnes chacune, un responsable est désigné pour dire aux gardes, chaque matin, le nombre de cadavres dans la pièce. Omar S., un activiste pro-kurde, raconte l'un de ces échanges :
"Un jour, le chef de la cellule suivante a dit : 'Il y a 12 cadavres ici.' […] Le garde s'énerva. [...] Il demanda au responsable de passer sa tête dans la fenêtre coulissante [de la porte]. Il ferma puis ouvrit ce volet en métal contre sa tête, en le tapant avec des barres de métal. L'homme est mort pendant ce passage à tabac, et son corps a été ramassé le lendemain."
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Dame Nadou, où êtes-vous ? Votre silence est assourdissant...
...Avec un tel scénario, et force détails dans l'atrocité des tortures pratiquées...un film à grand spectacle pourrait être envisagé...le succès n'est pas garanti pour autant...
L'épouvantable récit de dame Nadou...comme si nous étions sur place...fait redresser les tifs sur la tête, glace le sang et fait claquer des dents le si sensible et fragile Zigomar...
L'épouvantable récit de dame Nadou...comme si nous étions sur place...fait redresser les tifs sur la tête, glace le sang et fait claquer des dents le si sensible et fragile Zigomar...
Invité- Invité
Re: Dame Nadou, où êtes-vous ? Votre silence est assourdissant...
Ce cynisme ne te grandit pas. Je sais ... tu n'en as rien à foutre. Reste à savoir si ce n'est pas juste une façon de parader, de faire le malin 'anticonformiste' ... qui finira tout penaud et désemparé quand la faucheuse se montrera plus pressante. Amen !Zigomar17 a écrit:...Avec un tel scénario, et force détails dans l'atrocité des tortures pratiquées...un film à grand spectacle pourrait être envisagé...le succès n'est pas garanti pour autant...
L'épouvantable récit de dame Nadou...comme si nous étions sur place...fait redresser les tifs sur la tête, glace le sang et fait claquer des dents le si sensible et fragile Zigomar...
Tiote valisse- Messages : 4825
Date d'inscription : 20/02/2018
Age : 88
Localisation : Hauts de France
Re: Dame Nadou, où êtes-vous ? Votre silence est assourdissant...
1) Je ne savais pas encore que tu étais le porte-parole de Nadou...Tiote valisse a écrit:Ce cynisme ne te grandit pas. Je sais ... tu n'en as rien à foutre. Reste à savoir si ce n'est pas juste une façon de parader, de faire le malin 'anticonformiste' ... qui finira tout penaud et désemparé quand la faucheuse se montrera plus pressante. Amen !Zigomar17 a écrit:...Avec un tel scénario, et force détails dans l'atrocité des tortures pratiquées...un film à grand spectacle pourrait être envisagé...le succès n'est pas garanti pour autant...
L'épouvantable récit de dame Nadou...comme si nous étions sur place...fait redresser les tifs sur la tête, glace le sang et fait claquer des dents le si sensible et fragile Zigomar...
2) Tu as, enfin, tout compris...je n'ai strictement rien à foutre de ce que tu peux penser de moi...hier comme aujourd'hui...
3) Pour rester dans mon registre : Cynique, sardonique et même impudent...concernant cette terrifiante faucheuse...la normalité, si normalité il peut y avoir toutefois, voudrait que tu la rencontres avant moi...tu m'enverras un mail, alors, pour m'expliquer l'effet produit afin que je puisse adapter mon comportement en conséquence...
* Ne pique pas une nouvelle crise d'apoplexie en t'imaginant que je souhaite te voir allongé, raide comme un passe-lacet, dans la boîte à dominos...je ne suis pas ton héritier d'une part, et puis tu es si comique et grandiloquent dans tes accès de fureur moralisatrice...
Invité- Invité
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