N'oublions pas Mireille Knoll
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Re: N'oublions pas Mireille Knoll
ledevois a écrit:frenchy35F a écrit:Bref les tueurs de cette espèce barbare sont bien une vermine à éliminer...
Et les droitiers comme l'explique sapeur --
Où ça ?
Sapeur Lipopète- Messages : 3867
Date d'inscription : 27/12/2017
Re: N'oublions pas Mireille Knoll
je peux rajouter, ce genre dévénements réjouit les biens pensants droitiers..Sapeur Lipopète a écrit:ledevois a écrit:
Et les droitiers comme l'explique sapeur --
Où ça ?
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
Age : 84
Localisation : Cévennes France--Tarragone catalogne
Re: N'oublions pas Mireille Knoll
ledevois a écrit:je peux rajouter, ce genre dévénements réjouit les biens pensants droitiers..Sapeur Lipopète a écrit:
Où ça ?
C'est pas un ÉVÈNEMENT ! Horiel, gronde-le !
Sapeur Lipopète- Messages : 3867
Date d'inscription : 27/12/2017
Re: N'oublions pas Mireille Knoll
Diviciac a écrit:Nadou a écrit:Geneviève de Gaulle-Anthonioz, Cécile Rol-Tanguy, Colette Lacroix ou encore Jacqueline Fleury.
Et pourquoi pas Germaine Tillon qui a donné héroïquement sa vie en 2008, à 101 ans .
Je l'avais oubliée. On peut être un héros vivant.
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: N'oublions pas Mireille Knoll
La répression, elle, n'a que faire du genre. Arrêtées, torturées, déportées vers les camps, les femmes résistantes sont aussi réprimées que leurs compagnons d'armes masculins. Ainsi, Geneviève de Gaulle-Anthonioz, nièce du Général de Gaulle, tout comme Germaine Tillion, ethnologue spécialiste de l'Algérie, sont toutes deux déportées vers le camp de Ravensbrück.
Elles en sortiront vivantes, lorsque l'Armée Rouge les libère en avril 1945, porteuses d'une mission : témoigner. "On est rentrées pour dire ce qu'il s'est passé", souligne Jacqueline Fleury, elle aussi détenue dans le camp. "On porte en nous quelque chose d'essentiel : la vérité."
Elles en sortiront vivantes, lorsque l'Armée Rouge les libère en avril 1945, porteuses d'une mission : témoigner. "On est rentrées pour dire ce qu'il s'est passé", souligne Jacqueline Fleury, elle aussi détenue dans le camp. "On porte en nous quelque chose d'essentiel : la vérité."
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