Je vous mets ça pour vous dire que je suis tjrs vivant

magicfly a écrit:

Grève des cheminots, grève des enseignants, grève des fonctionnaires, grève du métro : les usagers-contribuables crient leur ras le bol !   Ras le bol d’être pris en otage par les syndicats !   Dès que les syndicats entendent le mot « réforme », ils dégainent la grève. C’est insupportable ! Qu'ils arrêtent d'emmerder les Français ! Car il faut quand même le dire : cette soi-disant réforme d’Emmanuel Macron n’est en réalité qu’une réformette, et encore… Concernant la SNCF, il n’est même pas question de s’attaquer aux effectifs, ni aux billets gratuits, ni aux conditions de retraites, et aux autres privilèges parfois indécents d’un secteur public trop habitué à défendre son pré-carré aux frais du contribuable et des usagers ! À l’heure où l’augmentation de la CSG impacte dramatiquement les retraités, à qui l’on demande de manger leur chapeau au nom de la solidarité, nos bons fonctionnaires ont la SÉCURITÉ DE L’EMPLOI A VIE, avec un régime spécial de retraites financé majoritairement par nos propres cotisations retraites et nos impôts. La solidarité, c’est pour les autres. C’est un comble.   [size] Les grévistes se gavent à nos frais, et c’est insupportable !   [/size] C’est proprement scandaleux de prendre en otage les usagers lorsque l’on est détenteur d’une mission de service public. C’est un chantage d’une violence inouïe. D’ailleurs, ces actions dégradent l’image de la SNCF et des agents publics en général qui ne font pas grève, car tous ne la font pas. La SNCF est à reformer, c’est une réalité. Et bien au-delà de la réformette du statut.

Sapeur Lipopète a écrit:Magic, j'avais téléphoné à ta veuve pour avoir des nouvelles. Je suis rassuré !

Koi! tu voulais piquer ma femme! Non, non,non, non, saint Magic n'est pas mort (bis) Car il bande encore (bis).

magicfly a écrit:

Sapeur Lipopète a écrit:Magic, j'avais téléphoné à ta veuve pour avoir des nouvelles. Je suis rassuré !

Koi! tu voulais piquer ma femme! Non, non,non, non, saint Magic n'est pas mort (bis) Car il bande encore (bis).

Zerbinette a écrit:100% d'accord avec Nadou..........Le personnel de santé est traité,et payé,de façon indigne...........

Horiel a écrit:

Zerbinette a écrit:100% d'accord avec Nadou..........Le personnel de santé est traité,et payé,de façon indigne...........

Heu...
Pas tout le personnel de santé.
Quand un chirurgien en province vous fait payer 800 euros supplémentaires -en sus du coût de l'hospitalisation et de l'opération- qui vont directement dans sa poche, ma foi, on peut considérer qu'il est payé de manière plus que décente.

La pratique n'est pas nouvelle; il y a 30 ans, j'accompagnais une amie chez un gynécologue, elle souhaitait avorter. Aucun problème, à condition d'allonger 2500 FF.

Pour en revenir aux grèves, ils pourraient bien faire les derviches tourneurs à poil sur un air de samba, ça me touche une couette sans faire bouger l'autre: le cheminot lésé et en souffrance, brimé, bousculé et qui "fait ça pour tout le monde" (ben tiens...), la chanson me fatigue, je ne l'écoute plus.

Zerbinette a écrit:Les moins privilégiés servent d'escabeau aux plus nantis,pour en vouloir encore plus........
J'espère qu'une partie fera suer l'autre........
Certains fonctios n'auront pas de trains pour les vacances de Pâques,et certains autres qui avaient prévu de prendre 17 jours avec trois RTT,de fin avril à mi-mai,qu'ils découvrent la randonnée...........

ledevois a écrit:

Zerbinette a écrit:Les moins privilégiés servent d'escabeau aux plus nantis,pour en vouloir encore plus........
J'espère qu'une partie fera suer l'autre........
Certains fonctios n'auront pas de trains pour les vacances de Pâques,et certains autres qui avaient prévu de prendre 17 jours avec trois RTT,de fin avril à mi-mai,qu'ils découvrent la randonnée...........

 Je prends l'avion début Mai --- espérons que d'ici là tout va s'arranger -

Sapeur Lipopète a écrit:Magic, j'avais téléphoné à ta veuve pour avoir des nouvelles. Je suis rassuré !

Lili-Rose a écrit:Faut quand même dire que Macron n'est pas très fin sur le coup de la SNCF.
On embauche les nouveaux sur CDD à répétition, puis on les passe en contrat de droit commun.
Entre temps, ça fera toujours des vieux briscards qui prendront la retraite, et ce qui affaiblira donc la revendication, grâce au turn over, surtout qu'ils peuvent la prendre à 50 et 55 ans.
Surtout que ceux qui profitent du statut privilégié se fichent complètement des autres, tout cela n'est qu'hypocrisie.

magicfly a écrit:

Lili-Rose a écrit:Faut quand même dire que Macron n'est pas très fin sur le coup de la SNCF.
On embauche les nouveaux sur CDD à répétition, puis on les passe en contrat de droit commun.
Entre temps, ça fera toujours des vieux briscards qui prendront la retraite, et ce qui affaiblira donc la revendication, grâce au turn over, surtout qu'ils peuvent la prendre à 50 et 55 ans.
Surtout que ceux qui profitent du statut privilégié se fichent complètement des autres, tout cela n'est qu'hypocrisie.

Et que faire d'autre? Tu es pour continué comme avant? Nous avons perdu 23 ans; si Chirac n'avait pas abandonné Juppé en ras-campagne en 95, nous n'en serions pas là aujourd'hui!
Notre dette astronomique est due en grande partie au service public surdimensionné; à cause d'elle l'Etat se prive de 50 mds d'€ chaque année qui pourraient être utilisés à des investissements dans nos manques et faiblesses.
Pour infos voilà les résultats des grèves d'hier:

Grève du 22 mars: ce qu'il faut retenir de la mobilisation

Selon les chiffres du ministère de l'Intérieur, la mobilisation des fonctionnaires et des cheminots ce 22 mars a réuni près de 323.000 manifestants. sur fond de violences dans plusieurs villes. Du côté des transports, la situation a été moins chaotique qu'annoncée.●  323.000 manifestants en France selon le ministère de l'Intérieur
Le ministère de l'Intérieur a comptabilisé 323.000 manifestants dans toute la France pour cette journée de mobilisation des fonctionnaires et des cheminots.
Lors des manifestations des fonctionnaires d'octobre 2017, le ministère de l'Intérieur avait comptabilisé 209.000 manifestants à travers la France. En septembre dernier, la mobilisation contre l'assouplissement du Code du travail par ordonnances avait rassemblé 223.000 personnes selon le ministère de l'Intérieur. A titre de comparaison, la plus grosse mobilisation contre la loi El Khomri avait mobilisé 390.000 personnes selon la police, tandis que les grandes mobilisations contre les retraites avaient dépassé le million de manifestants en 2010.
Selon la méthode de comptage du cabinet Occurrence, inauguré pour la première fois ce jeudi, quelque 47.800 manifestants ont défilé ce jeudi à Paris, dont 34.700 pour les fonctionnaires et 13.100 pour les cheminots. Un chiffre plus proche de celui de la préfecture de police, qui a comptabilisé 49.000 manifestants dans la capitale que celui de la CGT, qui avance un total d'environ 65.000 manifestants dont 40.000 pour les fonctionnaires et plus de 25.000 pour les cheminots. 
● Des heurts dans plusieurs villes de France
À Paris, des affrontements ont éclaté entre des groupuscules et les forces de l'ordre, en tête du cortège des cheminots, près de la place de la Bastille, ralentissant l'avancé des manifestants. Les forces de l'ordre ont repoussé les groupuscules avec des canons à eau.
Des violences ont également eu lieu à Nantes où un groupe d'individus cagoulés a lancé des projectiles sur les policiers, les forces de l'ordre ont réagi par des tirs de gaz lacrymogènes et des lances à eau. Au moins sept personnes ont été interpellées au terme de la manifestation.
À Bordeaux, la préfecture a signalé quelques dégradations, tandis qu'à Rennes, plusieurs centaines de manifestants ont tenté de forcer le barrage policier avant d'être repoussé.
● Des perturbations dans les transports mais pas de pagaille en Ile-de-France
Le chaos attendu n'a pas lieu ce jeudi. Pourtant 35,4% des cheminots étaient en grève selon la direction. Avant même la grève de deux jours sur cinq lancée le 3 avril pour trois mois, la journée a été marquée pas de fortes perturbations, notamment avec deux TGV sur cinq, un Transilien sur trois.
Mais en région parisienne, le trafic minimum a été mis en place et les Franciliens ont pu rejoindre leur travail, dans des trains très souvent bondés. «Il n'y a pas eu d'incidents majeurs, maintenant, il faudra voir ce qu'il va se passer au redémarrage demain, la grève se poursuit jusqu'à vendredi 8 heures», indique la SNCF. Il semble que de nombreux salariés aient pris leur disposition, optant pour le télétravail ou posant une journée de RTT. D'autres ont eu recours à des solutions alternatives comme le covoiturage
La grève des contrôleurs aériens a aussi entraîné des perturbations avec des vols annulés, à la veille d'une grève à Air France pour les salaires. La compagnie française prévoit d'assurer «75%» des vols vendredi. L'entreprise anticipe le maintien de 70% des vols long-courriers et moyen-courriers et 80% des court-courriers, le taux de grévistes étant plus important chez les pilotes (35%) que chez les hôtesses et stewards (31%) et les personnels au sol (29%), selon les chiffres communiqués.
● Des perturbations dans les écoles
Dans les écoles, un enseignant sur quatre devait être en grève en moyenne, d'après le SNUipp-FSU (1er syndicat). Selon le ministère de l'Éducation nationale, 14,54% des enseignants étaient en grève. Des écoles sont restées fermées et une poignée de lycées et d'universités ont été bloqués, dont une dizaine à Paris.
● Fonctionnaires: une grève moins importante que lors de la dernière mobilisation
Selon les estimations disponibles à 18h00 (affinées dans les prochaines heures), les taux de participation des agents publics se sont élevés à 12,80 % dans la fonction publique d'État, à 8,11% dans la fonction publique territoriale et à 10,9% dans la fonction publique hospitalière.
À titre de comparaison, lors de la dernière journée nationale d'action de la fonction publique, les taux de grève étaient supérieurs, soit 13,95% dans la fonction publique d'État et 9,5% dans la fonction territoriale. Ils étaient très légèrement inférieurs pour la fonction publique hospitalière (10,4%).

magicfly a écrit:

Lili-Rose a écrit:Faut quand même dire que Macron n'est pas très fin sur le coup de la SNCF.
On embauche les nouveaux sur CDD à répétition, puis on les passe en contrat de droit commun.
Entre temps, ça fera toujours des vieux briscards qui prendront la retraite, et ce qui affaiblira donc la revendication, grâce au turn over, surtout qu'ils peuvent la prendre à 50 et 55 ans.
Surtout que ceux qui profitent du statut privilégié se fichent complètement des autres, tout cela n'est qu'hypocrisie.

Et que faire d'autre? Tu es pour continué comme avant? Nous avons perdu 23 ans; si Chirac n'avait pas abandonné Juppé en ras-campagne en 95, nous n'en serions pas là aujourd'hui!
Notre dette astronomique est due en grande partie au service public surdimensionné; à cause d'elle l'Etat se prive de 50 mds d'€ chaque année qui pourraient être utilisés à des investissements dans nos manques et faiblesses.
Pour infos voilà les résultats des grèves d'hier:

Grève du 22 mars: ce qu'il faut retenir de la mobilisation

Selon les chiffres du ministère de l'Intérieur, la mobilisation des fonctionnaires et des cheminots ce 22 mars a réuni près de 323.000 manifestants. sur fond de violences dans plusieurs villes. Du côté des transports, la situation a été moins chaotique qu'annoncée.●  323.000 manifestants en France selon le ministère de l'Intérieur
Le ministère de l'Intérieur a comptabilisé 323.000 manifestants dans toute la France pour cette journée de mobilisation des fonctionnaires et des cheminots.
Lors des manifestations des fonctionnaires d'octobre 2017, le ministère de l'Intérieur avait comptabilisé 209.000 manifestants à travers la France. En septembre dernier, la mobilisation contre l'assouplissement du Code du travail par ordonnances avait rassemblé 223.000 personnes selon le ministère de l'Intérieur. A titre de comparaison, la plus grosse mobilisation contre la loi El Khomri avait mobilisé 390.000 personnes selon la police, tandis que les grandes mobilisations contre les retraites avaient dépassé le million de manifestants en 2010.
Selon la méthode de comptage du cabinet Occurrence, inauguré pour la première fois ce jeudi, quelque 47.800 manifestants ont défilé ce jeudi à Paris, dont 34.700 pour les fonctionnaires et 13.100 pour les cheminots. Un chiffre plus proche de celui de la préfecture de police, qui a comptabilisé 49.000 manifestants dans la capitale que celui de la CGT, qui avance un total d'environ 65.000 manifestants dont 40.000 pour les fonctionnaires et plus de 25.000 pour les cheminots. 
● Des heurts dans plusieurs villes de France
À Paris, des affrontements ont éclaté entre des groupuscules et les forces de l'ordre, en tête du cortège des cheminots, près de la place de la Bastille, ralentissant l'avancé des manifestants. Les forces de l'ordre ont repoussé les groupuscules avec des canons à eau.
Des violences ont également eu lieu à Nantes où un groupe d'individus cagoulés a lancé des projectiles sur les policiers, les forces de l'ordre ont réagi par des tirs de gaz lacrymogènes et des lances à eau. Au moins sept personnes ont été interpellées au terme de la manifestation.
À Bordeaux, la préfecture a signalé quelques dégradations, tandis qu'à Rennes, plusieurs centaines de manifestants ont tenté de forcer le barrage policier avant d'être repoussé.
● Des perturbations dans les transports mais pas de pagaille en Ile-de-France
Le chaos attendu n'a pas lieu ce jeudi. Pourtant 35,4% des cheminots étaient en grève selon la direction. Avant même la grève de deux jours sur cinq lancée le 3 avril pour trois mois, la journée a été marquée pas de fortes perturbations, notamment avec deux TGV sur cinq, un Transilien sur trois.
Mais en région parisienne, le trafic minimum a été mis en place et les Franciliens ont pu rejoindre leur travail, dans des trains très souvent bondés. «Il n'y a pas eu d'incidents majeurs, maintenant, il faudra voir ce qu'il va se passer au redémarrage demain, la grève se poursuit jusqu'à vendredi 8 heures», indique la SNCF. Il semble que de nombreux salariés aient pris leur disposition, optant pour le télétravail ou posant une journée de RTT. D'autres ont eu recours à des solutions alternatives comme le covoiturage
La grève des contrôleurs aériens a aussi entraîné des perturbations avec des vols annulés, à la veille d'une grève à Air France pour les salaires. La compagnie française prévoit d'assurer «75%» des vols vendredi. L'entreprise anticipe le maintien de 70% des vols long-courriers et moyen-courriers et 80% des court-courriers, le taux de grévistes étant plus important chez les pilotes (35%) que chez les hôtesses et stewards (31%) et les personnels au sol (29%), selon les chiffres communiqués.
● Des perturbations dans les écoles
Dans les écoles, un enseignant sur quatre devait être en grève en moyenne, d'après le SNUipp-FSU (1er syndicat). Selon le ministère de l'Éducation nationale, 14,54% des enseignants étaient en grève. Des écoles sont restées fermées et une poignée de lycées et d'universités ont été bloqués, dont une dizaine à Paris.
● Fonctionnaires: une grève moins importante que lors de la dernière mobilisation
Selon les estimations disponibles à 18h00 (affinées dans les prochaines heures), les taux de participation des agents publics se sont élevés à 12,80 % dans la fonction publique d'État, à 8,11% dans la fonction publique territoriale et à 10,9% dans la fonction publique hospitalière.
À titre de comparaison, lors de la dernière journée nationale d'action de la fonction publique, les taux de grève étaient supérieurs, soit 13,95% dans la fonction publique d'État et 9,5% dans la fonction territoriale. Ils étaient très légèrement inférieurs pour la fonction publique hospitalière (10,4%).

ledevois a écrit:


 Je viens d'amener les enfants au lycée ,et jamais je n'ai vu les rocades autant fluide --- 
  Les gens en ont rien à foutre de la dette et deviennent de moins en moins patriotes tant nous sommes gouvernés par des cons -

Lili-Rose a écrit:

Je crois surtout que la situation a changé, ce qui était imaginable à une période ne l'est plus aujourd'hui.
Etant à mon compte depuis 96, toujours immatriculé à ce jour, ayant connu de très bonnes années, et bien il faut s'adapter. Aujourd'hui, on sent très bien qu'il n'y a plus de blé, pour une très grande partie de la population.
La mutation du fonctionnement de la FP a déjà commencé, mais on n'en parle pas vraiment. C'est pour ça que je crois bien que macron n'a pas été trop habile avec la SNCF, car comme je l'écrivais hier soir, il suffirait de ne pas remplacer par un fonctionnaire, mais pas des contractuels ou des agents de droit commun.

Mais c'est exactement ce que le gouvernement veut faire! Il ne modifie pas le statut des cheminots d'aujourd'hui, mais des nouveaux embauchés. C'est pour cela que cette grève est d'autant plus dégueulasse.

Ayant connu avec le commerce, des années grasses, et des années très maigres, je pense que les fonctio ne savent même pas à quel point ils sont nantis. 

Bien sûr qu'ils le savent; c'est pourquoi qu'il n'y a moins de 12% de fonctios qui ont manifesté: ce sont les durs, les ultra gauche qui manifestent et font grève.

Comme tu le sais peut être, je me suis fait recr uter comme prof de lycée à mi temps pour 12 mois, donc jusqu'à fin août, et n'ai aucune idée si je vais être reconduit.
Eprouvant une très grande lassitude du commerce, subir des pressions pas possible, nourrir un tas de bouche inutiles et coûteuses, je regarde dès à présent si je pouvais trouver autre chose à partir de la rentrée, si je ne suis pas repris au lycée.
Quelque part, ça te laisse le feu, et évite la mauvaise gamberge. 
J'ai un peu rigolé hier en voyant les rares profs qui ont fait grève hier, ce sont toujours les mêmes, totalement inconscient des avantages de leur statut.
En gros, il y a un clivage entre ce qu'ils appellent le "vrai prof", celui qui n'est jamais sorti d'école, et le "faux prof" comme moi qui a vu autre chose, et qui d'ailleurs n'a pas de formation de prof.
Quand je vois ce que je ramasse comme niveau en seconde, je me demande ce que fiche le collège avec des "vrais profs", sinon rien.
A mon avis, les "vrais profs" devraient faire des stages obligatoires dans le privée.
Les pires étant les contractuels qui voudraient se faire titulariser, ils chialent tous les 2 jours sur la messagerie du lycée. J'ai récupéré une classe, avec le double des effectifs par rapport à N-1, qui était confiée à une incompétente notoire et incapable de tenir sa classe.
Ouaip Magic, y'a des choses à faire

Pour le reste tout à fait d'accord avec toi Alain (Lili j'aime pas )

magicfly a écrit:

ledevois a écrit:


 Je viens d'amener les enfants au lycée ,et jamais je n'ai vu les rocades autant fluide --- 
  Les gens en ont rien à foutre de la dette et deviennent de moins en moins patriotes tant nous sommes gouvernés par des cons -

Les gens ont pris leurs précautions tout simplement; ils ont appris  à gérer les grèves ...et c'est tant mieux; une sorte de contre pouvoir aux grévistes qui tend à limiter leur nuisance.
Ta seconde phrase n'a aucun sens; le patriotisme et le gouvernement n'a aucun rapport avec l'adaptation des citoyens face aux pb des grèves: un manque de réflexion chronique chez toi.

magicfly a écrit:

ledevois a écrit:

 Je prends l'avion début Mai --- espérons que d'ici là tout va s'arranger -

Pourquoi croyez-vous que ces privilégiés sont dans la rue? Uniquement pour préserver leurs privilèges! Parce qu'ils peuvent faire grève tant qu'ils veulent sans risquer de couler leur boîte; Ce sont nous les contribuables qui renflouons les caisses de l'Etat pour leur confort. Seuls les services publics peuvent se permettent de faire grève, ils ne risque rien et utilise leur pouvoir de nuisance sur les français.
Que dire des cheminots cette soi-disant réforme d’Emmanuel Macron n’est en réalité qu’une réformette, et encore… Concernant la SNCF, il n’est même pas question de s’attaquer aux effectifs, ni aux billets gratuits, ni aux conditions de retraites, et aux autres privilèges parfois indécents d’un secteur public trop habitué à défendre son pré-carré aux frais du contribuable et des usagers; non ça ne concernera que les nouveaux arrivants.
Nous avons une dette de plus de 2000 milliards d'€ que nos enfants, petits-enfants, arrières petits-enfants hériteront et paieront pour notre confort et surtout, on le voit aujourd'hui pour le confort d'un service public has been!