L’argent comme moyen de posséder le public

L’argent public.


En France.

La présidence élyséenne maitresse de l’argent prélevé en France. Une redistribution ensuite. Mais aussi la possibilité élyséenne de créer « des besoins ». Des espèces d’obligations basées sur des « morales » ou des « urgences ».
Des « thèmes » repris même et aussi « par la gauche » ou « l’extrême droite » pour occuper tout un espace qui reste ainsi inoffensif pour le président toujours bien installé à Paris, lieu du regroupement du gros fric français. Les grosses banques françaises aussi, bien soutenues par celle « de France », qui amassent toutes les cotisations, ponctions et autres cotations voulues par Macron Emmanuel si bien surveillé par la gauche et la droite française du même niveau que le patronat français aussi qui négocie avec les syndicats de façon à ce que le Medef porte les mêmes chemises blanches que la CGT. Le président de l’Elysée au-dessus avec ses apparitions médiatiques.

La possibilité pour le président français d’entrer n’importe où dans la zone de l’argent. Donc un pouvoir incontesté sur les développements liés aux services financiers.
La France avec la présidence élyséenne qui doit maintenir son contrôle de l’argent de façon à ce qu’un groupe très parisien dans le fond puisse continuer à se garnir avec pourtant bien peu de compétences.

Un président quoi doit apparaitre seul avec ses sourires de façon à ce que l’argent reste un mystère pour le peuple. Des espèces de « politiques » ou de « projets futurs » comme moyens de bloquer la curiosité nationale et populaire qui pourrait approcher les murs présidentiels et élyséens qui cachent bien des tas.
La France laborieuse avec son nez dans ses difficultés quotidiennes et matérielles ; la France élyséenne avec une allure décontractée habillée à Paris.
La possession de l’argent comme unique objectif lorsque le pouvoir élyséen si français commence à se déliter sérieusement.