L'Afrique avec ses "différences" ...

L'Afrique sans la France comme une sorte de vide à remplir quand même par quelque chose pour certains dignitaires subméditerranéens qui devront tout de même présenter un bilan acceptable pour espérer garder un lien en direction de l'hexagone pour y défendre leurs ressortissantes et ressortissants.

La Russie de V. Poutine si bienvenue semble-t-il dans certaines parties d'Afrique va-t-elle faire avancer "les choses" ?

Des exigences aussi en provenance de l'Afrique et aussi du Sénégal en direction de la France qui doit donc prendre position sur certains dossiers.
Néanmoins un premier socle un peu trouble parfois avec ces espèces de coups de sang qui effacent subitement une perception démocratique par exemple de Dakar. Tout en constatant que l'Afrique ou l'Union africaine ne sont pas encore au niveau de l'UE pour avoir des garanties sur un avenir porteur.

Les éléments présentables à la France depuis le Sénégal sont-ils un peu difficilement identifiables actuellement ?

La France qui a donc aussi une priorité nationale avant un engagement africain.

Quelles sont les zones purement africaines qui ont connu la paix autrefois ou qui la connaissent aujourd'hui ? Des zones irréprochables sur le plan de la paix uniquement grâce à des qualités africaines ?
L'Algérie - par exemple - peut-elle mettre en avant une zone nationale de paix uniquement garantie par elle-même ?
Ou la RDC ?

Aussi longtemps que les nations africaines ne pourront pas garantir par elles-mêmes un contexte pacifique pour leur économie, les efforts occidentaux et donc français en direction de l'Afrique ont-ils un sens ?

Quand l'Algérie a-t-elle été en paix toute seule avec elle-même avant la Guerre d'Algérie ?

Tous les joueurs avec la même force et la même honnêteté dans le "club Afrique" ?   

Une déclaration avec quel contenu pour l'Algérie officielle depuis Moscou ?

Une symbiose pleine de promesses enrichissantes même à titre individuel pour l'avenir ou alors subitement la surprise de voir par exemple l'Ukraine sortir du trou dans lequel Alger pense l'y trouver ?

L'Afrique algérienne chez "Poutine" pour avoir ensuite une plus grande "influence dans le monde" peut-être. Mais aussi en France les Algériennes et Algériens qui sont dans un pays en guerre contre cette Russie adoubée par Tebboune. 
Puis donc la suite "des relations franco-algériennes" qui sont toujours tributaires d'un passé odieux français suite à une colonisation inique ou quelque chose comme ça. Néanmoins l'urgence et donc cette guerre bâtarde en Ukraine voulue par une Russie qui contamine donc l'Algérie ou une "Algérie". Poutine avec un front aussi dans son pays dans le fond avec des confrontations entre Russes et Alger avec également une sorte de scission nationale avec des personnes en prisons pour des espèces d'outrages à grand bourgeois.
L'avenir plaisant du côté de Moscou alliée à Alger, mais pour qui encore ainsi en Afrique ou ailleurs dans le monde ?

Une Afrique qui n'arrive donc pas à considérer la France sans une espèce d'association assez douteuse avec des gens qui sont déjà condamnés. Y a-t-il des nations africaines en désaccord complet avec cette Algérie pas totalement unie déjà chez elle dans le fond et donc avec la Russie du même tonneau ?

"L'initiative" africaine en échec même auprès d'un allié peu recommandable à Moscou.

Certaines forces africaines pour avoir une "désescalade" en Ukraine mais pas en Afrique d'abord semble-t-il ...!
Des grosses pointures africaines qui ont de la peine à s'exporter même en Russie actuelle mais qui exportent volontiers leurs problèmes africains ailleurs.
Le monde est-il pollué par certains actes africains qui empêchent une harmonie française avec d'autres pays ?

Les nations africaines incapables de se couper proprement de la Russie de Vladimir Poutine perdent-elles leur crédibilité en devant donc ensuite représenter leur histoire honnête devant le monde entier ?

Quels sont les ennemis du président Tebboune et quels sont les ennemis d'Ihsane el-Kadi ?

Les ennemis du président Tebboune sont-ils quand même de meilleure qualité que les ennemis d'Ihsane el-Kadi ?
Le groupe des ennemis du président Tebboune est-il bien plus garni que celui des ennemis d'Ihsane el-Kadi ?

L'Afrique actuelle est-elle dans un état qui implique une séparation claire des états africains actuels ? L'Algérie d'aujourd'hui peut-elle agir ainsi en se "fondant" "dans l'Afrique" et en se protégeant avec tout ce paquet africain qui doit avoir enfin une autre visibilité ? 

Y a-t-il des pays africains même "maghrébins" qui engageraient volontiers ce journaliste de RADIO-M pour avoir un média de plus dans leur territoire ?
Tous les gouvernements africains avec une même condamnation contre ce journaliste ?

Le président Tebboune désormais définitivement collé à des faits aussi portés personnellement à Moscou et ailleurs. Une qualité individuelle pour ce président qui pollue peut-être aussi bien des relations, y compris avec la France.

Y a-t-il une Algérie autre que celle du président Tebboune de manière à pouvoir constater autre chose à Alger depuis la France ?

Qui pollue qui ou qui déstabilise qui aujourd'hui en Afrique ? "Wagner" avec quelle situation africaine ? L'Afrique avec quelle situation "africaine" ?

Où se trouve l'Afrique clairement joignable pour la France et donc l'UE pour un avenir commun intéressant ? Avec ou sans "Wagner" ? Avec quel passé africano-russe déplaisant et donc repoussant ?

L'Algérie comme Rolls Royce de l'Afrique qui peut dorénavant se permettre "autre chose" que les autres. La Chine comme "partenaire" haut de gamme pour Alger et sa classe dirigeante qui a son propre style.

Qu'est-ce que "l'état" actuellement en Algérie ?
Qu'est-ce que "l'état" actuellement en Chine ?
Et qui pollue qui dans ces rapprochements censés permettre à Vladimir Poutine et sa Russie de se réjouir d'un développement des "BRICS" ?

Des nouveaux pas algériens dans le grand monde, mais avec bien des difficultés ensuite pour revenir en arrière.




Bientôt un carton rouge pour cette Algérie faussement conquérante et de la part de qui aussi pour commencer en Afrique ?

L'Algérie de Tebboune cherche-t-elle uniquement des alliés d'un niveau d'abord flatteur pour le "président" ?
Les Algériennes et les Algériens établis en France parfois depuis fort longtemps sont-ils toujours intégrés dans les plans d'Alger ?

Le ventre d'abord. Avec cette Russie qui a son importance en Afrique.

Des "céréales" mais pas grand-chose d'autre dans le fond pour faire rêver l'Afrique depuis Saint-Pétersbourg et donc depuis la tanière kremlinesque moscovite.

Une situation actuelle africaine basée sur un passé qui a donc permis ce rendez-vous censé porter un avenir aussi pour "l'Afrique" plus proche pourtant de la Méditerranée aussi française que de la mer Noire.

Une Afrique très peu entreprenante dans le fond et qui a plutôt une position attentiste en attendant justement des espèces de déclarations flatteuses en provenance d'ailleurs. Peut-être aussi autre chose que des "céréales" en provenance de France et d'UE pour cette Afrique si intéressée par Vladimir Poutine pas si populaire chez lui pourtant.

Quelle nation africaine complétement coupée de ce "sommet" russe et donc dans une dynamique autre que celle voulue par exemple par Johannesbourg ?

Les "grands enjeux internationaux" ailleurs, avec les réalités quotidiennes africaines ... en Afrique d'abord.

Des pays africains qui se montrent sur cette scène internationale installée par Moscou et son grand leader kremlinesque pour des "négociations" qui couvrent peut-être une fois de plus les urgences locales.
Combien de nations africaines en phase avec elle-même et donc avec leur propre peuple avant de se profiler pour du "plus grand" made in BRICS ? L'arrière-pays et donc l'arrière rideau national est-il toujours transporté avec la présidence qui s'expose par exemple à Saint-Pétersbourg ?

Le besoin aussi de se fondre continuellement dans "l'Afrique" de façon à diluer peut-être les responsabilités nationales encore une fois mises sous pression à certains endroits. Des pays africains différents les uns des autres pour une visibilité continuellement post-coloniale et "collective" qui permet une dilution des responsabilités personnelles et politiques.

L'enjeu national ?
Un sujet véritablement intéressant pour certains grands leaders africains ?