On doit tous quelque chose à un professeur

elaine a écrit:On doit tous quelque chose à un professeur

L'Ecole, c'est le lieu où nous acquérons de nombreuses connaissances et compétences. C'est là où nous avons appris à nous construire, à devenir des citoyens.

Et ce que nous sommes devenus aujourd'hui, nous le devons à nos professeurs. Sans eux, sans la passion qui les anime, leur volonté de transmettre leur savoir, nous n'aurions sans doute pas eu le même avenir.

Les professeurs sont bien souvent des découvreurs de talent. Ils savent voir la part d'excellence qui est en chacun de nous et nous orienter sur les chemins de la réussite.

Si un instituteur n'avait pas convaincu la grand-mère d'Albert Camus de s'inscrire au collège, il n'est pas certain que cet écrivain aurait eu les moyens de s'exprimer comme il l'a fait.

On doit donc tous quelque chose à un professeur !

C'est pourquoi, il est important de rendre hommage à tous ces enseignants qui nous ont aidés à trouver notre voie. Il est important que notre société leur adresse un message fort de reconnaissance et les remercie pour le travail essentiel qu´ils accomplissent chaque jour.

Sapeur Lipopète a écrit:En effet je dois, comme mes camarades, des coups de règles sur les doigts au moindre écart (bras tendu et par lot de dix) par une saloperie de prof postillonnant nommé Poulaillon que je m'étais promis de retrouver plus tard.
Malheureusement, ça ne s'est pas fait... .
On entrait en classe, la peur au ventre. Ça se passait à St Nicolas (Igny) au milieu des années 50.

Je dois mon goût pour la littérature à un facho sectaire de l'Action Française qui m'a vite fait comprendre que je devais compenser mon handicap social dans un lycée de bourges par une bonne culture générale qui me permet de briller aujourd'hui dans les jeux d'Elaine . Finalement , ça m'a bien servi .  

Diviciac a écrit:Quel beau métier, professeur ! 

Moi je n'ai pas eu la chance comme Camus d'avoir eu un prof de français qui m'ait encouragé à ne pas faire de fôtes d'aurtogaffe

Sapeur Lipopète a écrit:En effet je dois, comme mes camarades, des coups de règles sur les doigts au moindre écart (bras tendu et par lot de dix) par une saloperie de prof postillonnant nommé Poulaillon que je m'étais promis de retrouver plus tard.
Malheureusement, ça ne s'est pas fait... .
On entrait en classe, la peur au ventre. Ça se passait à St Nicolas (Igny) au milieu des années 50.

N'Magicfly a écrit:

Diviciac a écrit:Quel beau métier, professeur ! 

Bon, après cette gentillesse d'elaine dont tu te prévaux, j'espère tu arrêteras de l'en..quiquiner.


Moi je n'ai pas eu la chance comme Camus d'avoir eu un prof de français qui m'ait encouragé à ne pas faire de fôtes d'aurtogaffe

Diviciac a écrit:

N'Magicfly a écrit:
Bon, après cette gentillesse d'elaine dont tu te prévaux, j'espère tu arrêteras de l'en..quiquiner.


Moi je n'ai pas eu la chance comme Camus d'avoir eu un prof de français qui m'ait encouragé à ne pas faire de fôtes d'aurtogaffe

Bon ben si personne ne relève les fines contrepèteries,  je fais finir par arrêter d'en citer et  ce sera bien fait pour vous.   

Ah putaing de boule! je l'ai pas vu  

N'Magicfly a écrit:

Diviciac a écrit:



Bon ben si personne ne relève les fines contrepèteries,  je fais finir par arrêter d'en citer et  ce sera bien fait pour vous.   

Ah putaing de boule! je l'ai pas vu  

N'Magicfly a écrit:

Diviciac a écrit:Bon ben si personne ne relève les fines contrepèteries,  je fais finir par arrêter d'en citer et  ce sera bien fait pour vous.   

Ah putaing de boule! je l'ai pas vu  

elaine a écrit:

N'Magicfly a écrit:
Ah putaing de boule! je l'ai pas vu  

Ben moi, je ne l´ai pas vu

elaine a écrit:

N'Magicfly a écrit:
Ah putaing de boule! je l'ai pas vu  

Ben moi, je ne l´ai pas vu

Forcheville a écrit:

elaine a écrit:
Ben moi, je ne l´ai pas vu

Quel beau fessier prometteur sauf votre respect. Mais pas si simple . Il faut se méfier quand Diviciac sort des banalités ou des sentences roboratives.

Horiel a écrit:

Forcheville a écrit:
Quel beau fessier prometteur sauf votre respect. Mais pas si simple . Il faut se méfier quand Diviciac sort des banalités ou des sentences roboratives.

Bien vu (concernant Diviciac).
Quand ce n'est pas méchant ou fielleux, je cherche la vanne.

Forcheville a écrit:

elaine a écrit:
Ben moi, je ne l´ai pas vu

Quel beau fessier prometteur sauf votre respect. Mais pas si simple . Il faut se méfier quand Diviciac sort des banalités ou des sentences roboratives.

elaine a écrit:

Forcheville a écrit:
Quel beau fessier prometteur sauf votre respect. Mais pas si simple . Il faut se méfier quand Diviciac sort des banalités ou des sentences roboratives.

Décidemment, non seulement je ne vois rien mais j´comprends rien .

elaine a écrit:

Quel beau fessier prometteur sauf votre respect. Mais pas si simple . Il faut se méfier quand Diviciac sort des banalités ou des sentences roboratives.

Décidemment, non seulement je ne vois rien mais j´comprends rien .

Forcheville a écrit:

elaine a écrit:
Décidemment, non seulement je ne vois rien mais j´comprends rien .

Pour faire simple, le but est généralement de remplacer une phrase anodine par une autre de signification plus pimentée qui met en jeu des attributs se situant au-dessous de la ceinture: dans le cas présent la syllabe « fesse » de « professeur » aurait dû attirer votre attention . Diviciac lui, y est particulièrement exercé, ayant l’esprit mal placé. 

elaine a écrit:

Forcheville a écrit:
Quel beau fessier prometteur sauf votre respect. Mais pas si simple . Il faut se méfier quand Diviciac sort des banalités ou des sentences roboratives.

Décidemment, non seulement je ne vois rien mais j´comprends rien .

Forcheville a écrit:

elaine a écrit:
Décidemment, non seulement je ne vois rien mais j´comprends rien .

Pour faire simple, le but est généralement de remplacer une phrase anodine par une autre de signification plus pimentée qui met en jeu des attributs se situant au-dessous de la ceinture: dans le cas présent la syllabe « fesse » de « professeur » aurait dû attirer votre attention . Diviciac lui, y est particulièrement exercé, ayant l’esprit mal placé. 

(Une syllabe caractéristique devrait attirer l'attention d'Elaine   ) .