Une salle de shoot puis plus rien ... !

Drogues : à Lille, Paris et Marseille, les projets de « salles de consommation » dans l’impasse


 
Par contre "les centres de vaccinations" en France avec leurs résultats actuels sur la population française aussi !
D'un côté COVID19 gouvernemental et de l'autre ... les toxs françaises aussi.
Avec deux politiques sanitaires et leurs moyens.

En Suisse aussi ces deux aspects d'une vie nationale aussi. Des structures un peu semblables mais pas encore complétement associables.

Drogues : à Lille, Paris et Marseille, les projets de « salles de consommation » dans l’impasse (lemonde.fr)
Pragmatique, la Suisse considère les toxicomanes comme des « usagers » (lemonde.fr)

L'environnement le plus important pour cette situation sanitaire est-il d'abord l'environnement salarial ? C'est à dire un espace d'accueil pour pouvoir garder une sorte de revenu suite à une descente importante mais quand même pas définitive.
Réintégrer ces toxicomanes dans l'univers du travail doit peut-être être la première démarche à entreprendre pour espérer voir une baisse de cette "pandémie" toxicomane à certains endroits en France voire ailleurs.

Les centres de vaccinations quasiment obligatoires en France sont-ils annonciateurs d'un mieux ou alors pas grand-chose à attendre de la part du gouvernement dès leurs disparitions ? Ou mieux ?
Macron Emmanuel est-il capable d'enrayer une autre épidémie, celle de la destructuration définitive de la société globale française qui part en toxs diverses de plus en plus ... gravement ?

1 tué sur 5 sur la route est un toxicomane, 20% (pub/info gouvernementale sur chaine média) on ne parle pas du nombre de blessés handicapés et autres.
Que l'on déduise des revenus salariales et patronales pour la santé solidaire, ok.
Tout a fait d'accord pour "soigner", les centres de détoxications existent, mais de là, à faire la promotion de "Venez vous faire shooter gratos le bourgeois raque", raz le bol des "zumanistes" 

Ou alors par solidarité, le nombre de tué du à l'alcool doit être identique, de fait, des "Salles de beurrage" (vin et bière, pas d'alcool fort) 
Je vous "choque"    ben non c'est identique, un poivrot ou toxico, ne se valent t'il pas ?, n'ont il pas la même "valeur" pour les zumanistes

A Paris, le préfet de police renonce à déplacer le « marché au crack » dans le 12e arrondissement (lemonde.fr)


Mais, au-delà du problème de court terme sur la localisation de cette « scène ouverte » de consommation de drogue, rien n’est réglé. Les projets pour mettre en place un parcours de soins visant à permettre aux toxicomanes de sortir de la dépendance semblent plus que jamais au point mort.

Donc le Préfet dans l'action et au contact ...!

Avec les politiques autour ... pour "des indignations" mais pas plus ... !
Si le Préfet faisait la grève, qui irait régler le problème sur place ?

Une administration impliquée mais aussi en course "pour l'Elysée" avec aussi des responsabilités évidentes quant à cette situation parisienne de plus en plus visible et discutée.
Un crack ou une cracke pour ce futur Elysée de 2022 mais qui a déjà un bilan sur cette situation de campement de consommateurs et consommatrices ...!

Les "grands projets parisiens" qui permettent à une belle petite clique bourrée aux as de continuer à se garnir sont-ils responsables de cette dégradation sanitaire en France avec des injections et surtout des inhalations pas comprises dans le programme "médical de grande envergure nationale COVID 19" ... ?

 Le "crack", sur quel terrain ?

L'Afrique de l'Ouest mais pas forcément le square Forceval pour le ministère qui pourrait pourtant y aller à pied à peu de frais.

Le crack comme problème national français à résoudre tout de même pour continuer à parler de manière républicaine. Certes, de "l'important" prioritaire comme ces "jeux" ou une future "coupe" mais volontiers aussi un ballon d'oxygène à Paris.

Y a-t-il d'autres bulles "crack" en France, c'est à dire des problèmes portés par des humaines et des humains en rupture avec le gouvernement et son président élyséen ? M6 deviendra-t-elle une bulle "crack" "si ça continue" ...? Ou l'hôpital de Corbeil-Essonnes qui refusent de payer la rançon demandée par des hackeurs ...?

Le tissu national français est-il mité par des zones un peu du même type que ce campement de consommateurs à Paris ?
La famille d'abord.

Quelle force politique française est crédible face à cette situation parisienne aussi à la porte de la Villette ? Cette force doit-elle être majoritaire en France au vu de l'urgence et de la pénibilité du crack ?

Par-delà les tentes …



Un palais élyséen et donc français qui veille à la santé nationale et mondiale en collaboration avec l’OMS qui sait de quoi elle parle à Wuhan. La rigueur d’abord et la science qui va avec, sans parler des budgets et des interventions sur le « terrain ». La souche première du Covid-19 bien identifiée semble-t-il en Chine dans un marché couvert. Paris tout de même.

Un territoire national français connu en tout avec ce « combat contre la maladie » grâce aussi aux vaccins largement diffusés dans l’hexagone par « les spécialistes » de façon à ne plus tourner en rond autour des gens qui résistent à la « pandémie » même en dormant dehors de temps en temps.

La certitude française au plus haut de l’état et donc partout ailleurs dans le pays. Pourtant des espèces de zones assez peu pénétrées par le pouvoir public français pour que Macron Emmanuel puisse prétendre « connaitre tout le territoire ». Certes « l’étranger » mystérieux pour ce Covid-19 mais aussi la France et ces espaces qui échappent au bilan populaire. Mais « de toute façon la Chine ».

Les campements du crack parisien peut-être sous-observés par le gouvernement français actuel tout comme d’autres zones très cloisonnées, comme par exemple Clairefontaine de la FFF avec ses regroupements et ses films et aussi les retrouvailles d’après conseils des ministres dans Paris intramuros. L’OMS toujours sûre des qualités sanitaires et médicales françaises grâce au président Macron Emmanuel validé dans son hygiène de vie personnelle par la plus haute instance internationale de veille anti-Covid.

Avec de plus en plus de renards et de rats au Père Lachaise semble-t-il …

Deux intelligences face à face malgré tout ...!
Celle de la police et de ses supérieur(e)s mais aussi celles des gens du crack.

La mesure ostentatoire pour montrer une "force" mais sans trop de réflexion pour quelque chose d'utile ensuite. Une sorte de suspense plutôt qu'un répit. Puis le suspense quasi quotidien du "foot français" et des futurs jeux olympiques aussi à Paris.

Du médiatique sur tout cela qui attend aussi "quelque chose" ...!
Les médias mainstream sont-ils aussi responsables de cette bulle qui reste fumeuse ?

Trente ans après la fermeture du Platzspitz et du Letten, scènes ouvertes de l’héroïne zurichoises, l’usage de drogues dures en pleine rue revient. «On observe ces scènes dans les grandes villes suisses, mais aussi à Vevey, Bienne, Soleure, Brugg ou encore Coire», observe Frank Zobel, directeur adjoint d’Addiction Suisse.

Le succès du crack en Suisse serait en partie lié à la précarité. «La Suisse se trouve à un point culminant d’une détérioration des conditions sociales et économiques», estime Hervé Durgnat, membre d’une commission cantonale d’experts en matière d’addiction pour le Canton de Vaud. 


La consommation avec ses différents aspects … !
Des « politiques » pour tout cela … !

Etre capable de consommer dans une société aussi riche parfois, puis une rupture de moyens avec le reste de cette première société qui ne prend jamais en compte une zone douteuse et spoliatrice. « Consommer » encore mais plutôt un concentré de ce qui était consommé avant. La perte d’une première situation comme vérité à porter au milieu de gens indifférents et parfois malhonnêtes. Rester présent d’une manière ou d’une autre dans cette première société même en l’occupant à l’extérieur des habitations et des commerces. L’incapacité à renoncer à cette première situation garantie pourtant par des « autorités » bien souvent tricheuses. Perdre une première situation pourtant assurée par des lois, mais pas la volonté de se sentir encore correct face à un système aussi économique. La destruction d’un pays par le lobby homo-bourgeois qui surveille « tout ça » depuis Berne et des salons bien protégés et mal aérés quand même. Le plaisir du voyeurisme depuis le Conseil fédéral homo-bourgeois. Paris au loin pour des envols du même type et des destinations pour des cracks du voyage ailleurs. Air France … « autre chose » … !