Quel que soit le scénario, on ne peut faire l'hypothèse d'un retour à la normale
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Quel que soit le scénario, on ne peut faire l'hypothèse d'un retour à la normale
Selon la Banque de France, les pertes d'activité les plus fortes concernent en mars la construction, le commerce, les transports, l'hébergement et la restauration. L'industrie résiste à peine mieux avec des usines qui ont tourné à un peu plus de la moitié de leur capacité.
on est mal --
.
[size=40]L'économie française en récession après un 1er trimestre catastrophique[/size]
[size=14]Par AFP le 08.04.2020 à 16h24
Le PIB français a chuté d'environ 6% au premier trimestre 2020, le pays entre en récession
AFP - LUDOVIC MARIN
Heurtée de plein fouet par l'épidémie de Covid-19, l'économie française s'est effondrée au premier trimestre, devenant la première grande économie à tomber dans une récession qui promet d'être inédite depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale.
Selon une estimation publiée mercredi par la Banque de France, le PIB a chuté d'environ 6% sur les trois premiers mois de l'année, soit la pire performance trimestrielle de l'économie française depuis 1945.
Le PIB s'étant déjà replié de 0,1% au quatrième trimestre, selon l'Insee, la France est donc techniquement en récession.
C'est le premier pays du G7 à officialiser cette entrée en récession, mais l'Italie et le Japon devraient suivre après être déjà tombés dans le rouge au dernier trimestre 2019.
Avec une économie qui a stagné fin 2019, l'Allemagne devrait y échapper de justesse dans l'immédiat, même si une contraction de son économie de 9,8% est attendue ce trimestre, selon des prévisions de ses principaux instituts économiques.
Il y a peine un mois pourtant, la Banque de France tablait encore sur une petite croissance de 0,1% pour le trimestre écoulé, mais c'était avant que l'épidémie de Covid-19 ne se propage massivement sur le territoire et que le confinement ne soit imposé le 17 mars.
Sur le seul mois de mars, l'activité a reculé de 17%, se révélant sur les quinze derniers jours inférieure d'environ un tiers (-32%) à la normale, selon la banque centrale française.
-"Effet de sidération"-
Depuis 1945, seul le deuxième trimestre de 1968, avec les événements du mois de mai, avait connu un effondrement "du même ordre de grandeur", note-t-elle. Le PIB avait alors chuté de 5,3%.
Patrick Martin, président délégué du Medef, a évoqué sur RFI "un effet de sidération". Selon lui, l'exécutif n'a pas "suffisamment souligné que, y compris au service de la sécurité sanitaire, il fallait maintenir une activité économique".
Sans s'avancer sur une prévision annuelle, la Banque de France considère que chaque quinzaine de confinement entraînera une perte de PIB de 1,5% sur un an.
Fin mars, l'Insee évoquait aussi une perte de 6 points de PIB cette année si le confinement durait deux mois. Un scénario de moins en moins improbable, puisque l'exécutif envisage de le prolonger au-delà du 15 avril.
Le mois d'avril sera "au moins aussi mauvais que la dernière quinzaine de mars", a déjà prévenu le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau sur RTL. "La croissance sera fortement négative en 2020", avant un "rebond" en 2021.
Lundi, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire avait déjà prévenu s'attendre à une contraction de l'économie "très au-delà" des -2,9% enregistrés en 2009 après la crise financière de 2008, la plus mauvaise performance de l'économie française depuis 1945.
Le gouvernement présentera "dans les prochains jours" un nouveau projet de budget rectifié, afin notamment de revoir la prévision actuellement retenue d'une récession de 1% cette année, devenue largement obsolète, a-t-il indiqué mercredi à la sortie du conseil des ministres.
M. Le Maire a comparé à plusieurs reprises "le choc" à la grande dépression ayant suivi le crash boursier de 1929, insistant sur l'enjeu: "éviter le naufrage".
- "Pas le moment de compter" -
Certains secteurs n'en sont déjà plus très loin, comme le transport aérien ou le tourisme, affectés dès la propagation de l'épidémie en Asie.
Selon la Banque de France, les pertes d'activité les plus fortes concernent en mars la construction, le commerce, les transports, l'hébergement et la restauration. L'industrie résiste à peine mieux avec des usines qui ont tourné à un peu plus de la moitié de leur capacité.
De quoi justifier les centaines de milliards d'euros que le gouvernement est prêt à mobiliser pour soutenir les entreprises et les salaires. "Nous les maintiendrons le temps que durera cette crise sanitaire et économique", a assuré M. Le Maire.
"Aujourd'hui, ce n'est pas le moment de compter", estime aussi François Villeroy de Galhau, ajoutant toutefois que "cela ne pourra pas durer éternellement" et espérant "une sortie progressive du confinement".
"Quel que soit le scénario, on ne peut faire l'hypothèse d'un retour à la normale (...) au cours de l'année 2020", a estimé Philippe Waechter, chef économiste chez Ostrum Asset Management dans une note publiée mercredi. Il anticipe un recul du PIB "au moins de 10% à 15% par rapport à 2019, avec une contraction jusqu'en juin, puis une stabilisation de l'activité.
https://espaceclient.challenges.fr/WebloggiaGCH/?redirect=https%3A%2F%2Fwww.challenges.fr%2Feconomie%2Fl-economie-francaise-en-recession-apres-un-1er-trimestre-catastrophique_705325%3Fxtor%3DRSS-15
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[size=14]Par AFP le 08.04.2020 à 16h24
Le PIB français a chuté d'environ 6% au premier trimestre 2020, le pays entre en récession
AFP - LUDOVIC MARIN
Heurtée de plein fouet par l'épidémie de Covid-19, l'économie française s'est effondrée au premier trimestre, devenant la première grande économie à tomber dans une récession qui promet d'être inédite depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale.
Selon une estimation publiée mercredi par la Banque de France, le PIB a chuté d'environ 6% sur les trois premiers mois de l'année, soit la pire performance trimestrielle de l'économie française depuis 1945.
Le PIB s'étant déjà replié de 0,1% au quatrième trimestre, selon l'Insee, la France est donc techniquement en récession.
C'est le premier pays du G7 à officialiser cette entrée en récession, mais l'Italie et le Japon devraient suivre après être déjà tombés dans le rouge au dernier trimestre 2019.
Avec une économie qui a stagné fin 2019, l'Allemagne devrait y échapper de justesse dans l'immédiat, même si une contraction de son économie de 9,8% est attendue ce trimestre, selon des prévisions de ses principaux instituts économiques.
Il y a peine un mois pourtant, la Banque de France tablait encore sur une petite croissance de 0,1% pour le trimestre écoulé, mais c'était avant que l'épidémie de Covid-19 ne se propage massivement sur le territoire et que le confinement ne soit imposé le 17 mars.
Sur le seul mois de mars, l'activité a reculé de 17%, se révélant sur les quinze derniers jours inférieure d'environ un tiers (-32%) à la normale, selon la banque centrale française.
-"Effet de sidération"-
Depuis 1945, seul le deuxième trimestre de 1968, avec les événements du mois de mai, avait connu un effondrement "du même ordre de grandeur", note-t-elle. Le PIB avait alors chuté de 5,3%.
Patrick Martin, président délégué du Medef, a évoqué sur RFI "un effet de sidération". Selon lui, l'exécutif n'a pas "suffisamment souligné que, y compris au service de la sécurité sanitaire, il fallait maintenir une activité économique".
Sans s'avancer sur une prévision annuelle, la Banque de France considère que chaque quinzaine de confinement entraînera une perte de PIB de 1,5% sur un an.
Fin mars, l'Insee évoquait aussi une perte de 6 points de PIB cette année si le confinement durait deux mois. Un scénario de moins en moins improbable, puisque l'exécutif envisage de le prolonger au-delà du 15 avril.
Le mois d'avril sera "au moins aussi mauvais que la dernière quinzaine de mars", a déjà prévenu le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau sur RTL. "La croissance sera fortement négative en 2020", avant un "rebond" en 2021.
Lundi, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire avait déjà prévenu s'attendre à une contraction de l'économie "très au-delà" des -2,9% enregistrés en 2009 après la crise financière de 2008, la plus mauvaise performance de l'économie française depuis 1945.
Le gouvernement présentera "dans les prochains jours" un nouveau projet de budget rectifié, afin notamment de revoir la prévision actuellement retenue d'une récession de 1% cette année, devenue largement obsolète, a-t-il indiqué mercredi à la sortie du conseil des ministres.
M. Le Maire a comparé à plusieurs reprises "le choc" à la grande dépression ayant suivi le crash boursier de 1929, insistant sur l'enjeu: "éviter le naufrage".
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Certains secteurs n'en sont déjà plus très loin, comme le transport aérien ou le tourisme, affectés dès la propagation de l'épidémie en Asie.
Selon la Banque de France, les pertes d'activité les plus fortes concernent en mars la construction, le commerce, les transports, l'hébergement et la restauration. L'industrie résiste à peine mieux avec des usines qui ont tourné à un peu plus de la moitié de leur capacité.
De quoi justifier les centaines de milliards d'euros que le gouvernement est prêt à mobiliser pour soutenir les entreprises et les salaires. "Nous les maintiendrons le temps que durera cette crise sanitaire et économique", a assuré M. Le Maire.
"Aujourd'hui, ce n'est pas le moment de compter", estime aussi François Villeroy de Galhau, ajoutant toutefois que "cela ne pourra pas durer éternellement" et espérant "une sortie progressive du confinement".
"Quel que soit le scénario, on ne peut faire l'hypothèse d'un retour à la normale (...) au cours de l'année 2020", a estimé Philippe Waechter, chef économiste chez Ostrum Asset Management dans une note publiée mercredi. Il anticipe un recul du PIB "au moins de 10% à 15% par rapport à 2019, avec une contraction jusqu'en juin, puis une stabilisation de l'activité.
https://espaceclient.challenges.fr/WebloggiaGCH/?redirect=https%3A%2F%2Fwww.challenges.fr%2Feconomie%2Fl-economie-francaise-en-recession-apres-un-1er-trimestre-catastrophique_705325%3Fxtor%3DRSS-15
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Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
Age : 84
Localisation : Cévennes France--Tarragone catalogne
Re: Quel que soit le scénario, on ne peut faire l'hypothèse d'un retour à la normale
ledevois a écrit:Selon la Banque de France, les pertes d'activité les plus fortes concernent en mars la construction, le commerce, les transports, l'hébergement et la restauration. L'industrie résiste à peine mieux avec des usines qui ont tourné à un peu plus de la moitié de leur capacité.
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Par AFP le [size=14]08.04.2020 à 16h24
Le PIB français a chuté d'environ 6% au premier trimestre 2020, le pays entre en récession
AFP - LUDOVIC MARIN
Heurtée de plein fouet par l'épidémie de Covid-19, l'économie française s'est effondrée au premier trimestre, devenant la première grande économie à tomber dans une récession qui promet d'être inédite depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale.
Selon une estimation publiée mercredi par la Banque de France, le PIB a chuté d'environ 6% sur les trois premiers mois de l'année, soit la pire performance trimestrielle de l'économie française depuis 1945.
Le PIB s'étant déjà replié de 0,1% au quatrième trimestre, selon l'Insee, la France est donc techniquement en récession.
C'est le premier pays du G7 à officialiser cette entrée en récession, mais l'Italie et le Japon devraient suivre après être déjà tombés dans le rouge au dernier trimestre 2019.
Avec une économie qui a stagné fin 2019, l'Allemagne devrait y échapper de justesse dans l'immédiat, même si une contraction de son économie de 9,8% est attendue ce trimestre, selon des prévisions de ses principaux instituts économiques.
Il y a peine un mois pourtant, la Banque de France tablait encore sur une petite croissance de 0,1% pour le trimestre écoulé, mais c'était avant que l'épidémie de Covid-19 ne se propage massivement sur le territoire et que le confinement ne soit imposé le 17 mars.
Sur le seul mois de mars, l'activité a reculé de 17%, se révélant sur les quinze derniers jours inférieure d'environ un tiers (-32%) à la normale, selon la banque centrale française.
-"Effet de sidération"-
Depuis 1945, seul le deuxième trimestre de 1968, avec les événements du mois de mai, avait connu un effondrement "du même ordre de grandeur", note-t-elle. Le PIB avait alors chuté de 5,3%.
Patrick Martin, président délégué du Medef, a évoqué sur RFI "un effet de sidération". Selon lui, l'exécutif n'a pas "suffisamment souligné que, y compris au service de la sécurité sanitaire, il fallait maintenir une activité économique".
Sans s'avancer sur une prévision annuelle, la Banque de France considère que chaque quinzaine de confinement entraînera une perte de PIB de 1,5% sur un an.
Fin mars, l'Insee évoquait aussi une perte de 6 points de PIB cette année si le confinement durait deux mois. Un scénario de moins en moins improbable, puisque l'exécutif envisage de le prolonger au-delà du 15 avril.
Le mois d'avril sera "au moins aussi mauvais que la dernière quinzaine de mars", a déjà prévenu le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau sur RTL. "La croissance sera fortement négative en 2020", avant un "rebond" en 2021.
Lundi, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire avait déjà prévenu s'attendre à une contraction de l'économie "très au-delà" des -2,9% enregistrés en 2009 après la crise financière de 2008, la plus mauvaise performance de l'économie française depuis 1945.
Le gouvernement présentera "dans les prochains jours" un nouveau projet de budget rectifié, afin notamment de revoir la prévision actuellement retenue d'une récession de 1% cette année, devenue largement obsolète, a-t-il indiqué mercredi à la sortie du conseil des ministres.
M. Le Maire a comparé à plusieurs reprises "le choc" à la grande dépression ayant suivi le crash boursier de 1929, insistant sur l'enjeu: "éviter le naufrage".
- "Pas le moment de compter" -
Certains secteurs n'en sont déjà plus très loin, comme le transport aérien ou le tourisme, affectés dès la propagation de l'épidémie en Asie.
Selon la Banque de France, les pertes d'activité les plus fortes concernent en mars la construction, le commerce, les transports, l'hébergement et la restauration. L'industrie résiste à peine mieux avec des usines qui ont tourné à un peu plus de la moitié de leur capacité.
De quoi justifier les centaines de milliards d'euros que le gouvernement est prêt à mobiliser pour soutenir les entreprises et les salaires. "Nous les maintiendrons le temps que durera cette crise sanitaire et économique", a assuré M. Le Maire.
"Aujourd'hui, ce n'est pas le moment de compter", estime aussi François Villeroy de Galhau, ajoutant toutefois que "cela ne pourra pas durer éternellement" et espérant "une sortie progressive du confinement".
"Quel que soit le scénario, on ne peut faire l'hypothèse d'un retour à la normale (...) au cours de l'année 2020", a estimé Philippe Waechter, chef économiste chez Ostrum Asset Management dans une note publiée mercredi. Il anticipe un recul du PIB "au moins de 10% à 15% par rapport à 2019, avec une contraction jusqu'en juin, puis une stabilisation de l'activité.
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C'est pas pour dire mais ça fait un moment que j'avais pronostiqué que Manu battrait le record national de déficit établi par Sakozy.
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En 2009, le déficit atteint 7,5 % du PIB, la dette ...
https://www.insee.fr/fr/statistiques/1561897En 2009, le déficit public notifié s’élève à 144,8 milliards d’euros, soit 7,5 % du PIB. Le déficit augmente de 80,1 milliards d’euros, sous l’effet de la forte baisse des recettes publiques
Le p'tit Manu avait prévu un déficit de 2,2% du PIB et un poids de de la dette de 96,6 % à la fin de l'année, je crois que ça ne va pas le faire
Diviciac- Messages : 43162
Date d'inscription : 02/07/2017
Localisation : IdF et Morvan
Re: Quel que soit le scénario, on ne peut faire l'hypothèse d'un retour à la normale
Vous n'écoutez rien!
Depuis le début je dis que cette crise sanitaire coûtera beaucoup plus chez que la crise financière de 2008!
La crise de 2008 affectait l'économie virtuelle.
La notre affecte l'économie réelle + la virtuelle.
La crise de 2008 était une rigolade face à l'actuelle qui est loin d'avoir montré tous ses angles. On va encore avoir des surprises.
Vous allez voir ce que l'économie réelle va engendrer en faillite, ne serait-ce que chez nous.
Mais à contrario, je suis convaincu que nous aurons une petite embellie économique suite la privation.
Un truc tout con, bien qu'un peu lugubre
Imaginez un peu le retard accumulé par les notaires en matières de successions.
Des secteurs vont en profiter, d'autres en pâtir.
Est-ce que vous vous souvenez que je disais que l'endettement la France va atteindre 3000 milliards? Je ne sais même pas si ça sera suffisant.
Depuis le début je dis que cette crise sanitaire coûtera beaucoup plus chez que la crise financière de 2008!
La crise de 2008 affectait l'économie virtuelle.
La notre affecte l'économie réelle + la virtuelle.
La crise de 2008 était une rigolade face à l'actuelle qui est loin d'avoir montré tous ses angles. On va encore avoir des surprises.
Vous allez voir ce que l'économie réelle va engendrer en faillite, ne serait-ce que chez nous.
Mais à contrario, je suis convaincu que nous aurons une petite embellie économique suite la privation.
Un truc tout con, bien qu'un peu lugubre
Imaginez un peu le retard accumulé par les notaires en matières de successions.
Des secteurs vont en profiter, d'autres en pâtir.
Est-ce que vous vous souvenez que je disais que l'endettement la France va atteindre 3000 milliards? Je ne sais même pas si ça sera suffisant.
Lili-Rose- Messages : 14777
Date d'inscription : 21/01/2018
Re: Quel que soit le scénario, on ne peut faire l'hypothèse d'un retour à la normale
Lili-Rose a écrit:Vous n'écoutez rien!
Depuis le début je dis que cette crise sanitaire coûtera beaucoup plus chez que la crise financière de 2008!
La crise de 2008 affectait l'économie virtuelle.
La notre affecte l'économie réelle + la virtuelle.
La crise de 2008 était une rigolade face à l'actuelle qui est loin d'avoir montré tous ses angles. On va encore avoir des surprises.
Vous allez voir ce que l'économie réelle va engendrer en faillite, ne serait-ce que chez nous.
Mais à contrario, je suis convaincu que nous aurons une petite embellie économique suite la privation.
Un truc tout con, bien qu'un peu lugubre
Imaginez un peu le retard accumulé par les notaires en matières de successions.
Des secteurs vont en profiter, d'autres en pâtir.
Est-ce que vous vous souvenez que je disais que l'endettement la France va atteindre 3000 milliards? Je ne sais même pas si ça sera suffisant.
Oui je m'en souviens , mais je le dis depuis l'élection de Manu qu'il va pulvériser les record de déficit de sarko. Même sans coronavirus, il l'aurait peut-être fait quand même.
Tiens ? D'après Attal , il paraît que les vacances à l'étranger des Français sont très comprises en juillet et aout ? Du coup, je me demande laquelle de mes baraques je vais louer à des Parisiens pour me faire des couilles en or. Faut être inventif dans le capitalisme .
Diviciac- Messages : 43162
Date d'inscription : 02/07/2017
Localisation : IdF et Morvan
Re: Quel que soit le scénario, on ne peut faire l'hypothèse d'un retour à la normale
Attendez un peu, même la grande migration entre régions n’est pas acquiseDiviciac a écrit:Lili-Rose a écrit:Vous n'écoutez rien!
Depuis le début je dis que cette crise sanitaire coûtera beaucoup plus chez que la crise financière de 2008!
La crise de 2008 affectait l'économie virtuelle.
La notre affecte l'économie réelle + la virtuelle.
La crise de 2008 était une rigolade face à l'actuelle qui est loin d'avoir montré tous ses angles. On va encore avoir des surprises.
Vous allez voir ce que l'économie réelle va engendrer en faillite, ne serait-ce que chez nous.
Mais à contrario, je suis convaincu que nous aurons une petite embellie économique suite la privation.
Un truc tout con, bien qu'un peu lugubre
Imaginez un peu le retard accumulé par les notaires en matières de successions.
Des secteurs vont en profiter, d'autres en pâtir.
Est-ce que vous vous souvenez que je disais que l'endettement la France va atteindre 3000 milliards? Je ne sais même pas si ça sera suffisant.
Oui je m'en souviens , mais je le dis depuis l'élection de Manu qu'il va pulvériser les record de déficit de sarko. Même sans coronavirus, il l'aurait peut-être fait quand même.
Tiens ? D'après Attal , il paraît que les vacances à l'étranger des Français sont très comprises en juillet et aout ? Du coup, je me demande laquelle de mes baraques je vais louer à des Parisiens pour me faire des couilles en or. Faut être inventif dans le capitalisme .
"Ce qui est certain c'est que ce Macron, personnage mineur de l'histoire romaine, mettra fin à ses jours et à ceux de sa femme sous la pression de Caligula"
dugenou- Messages : 4957
Date d'inscription : 02/07/2017
Re: Quel que soit le scénario, on ne peut faire l'hypothèse d'un retour à la normale
dugenou a écrit:Attendez un peu, même la grande migration entre régions n’est pas acquiseDiviciac a écrit:
Oui je m'en souviens , mais je le dis depuis l'élection de Manu qu'il va pulvériser les record de déficit de sarko. Même sans coronavirus, il l'aurait peut-être fait quand même.
Tiens ? D'après Attal , il paraît que les vacances à l'étranger des Français sont très comprises en juillet et aout ? Du coup, je me demande laquelle de mes baraques je vais louer à des Parisiens pour me faire des couilles en or. Faut être inventif dans le capitalisme .
on est dans la merde et pas mal de gens devront payer -- les vacances sont très compromises --
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
Age : 84
Localisation : Cévennes France--Tarragone catalogne
Re: Quel que soit le scénario, on ne peut faire l'hypothèse d'un retour à la normale
dugenou a écrit:Attendez un peu, même la grande migration entre régions n’est pas acquiseDiviciac a écrit:
Oui je m'en souviens , mais je le dis depuis l'élection de Manu qu'il va pulvériser les record de déficit de sarko. Même sans coronavirus, il l'aurait peut-être fait quand même.
Tiens ? D'après Attal , il paraît que les vacances à l'étranger des Français sont très comprises en juillet et aout ? Du coup, je me demande laquelle de mes baraques je vais louer à des Parisiens pour me faire des couilles en or. Faut être inventif dans le capitalisme .
Ma boule de cristal ne me dit pas la même chose!
Lili-Rose- Messages : 14777
Date d'inscription : 21/01/2018
Re: Quel que soit le scénario, on ne peut faire l'hypothèse d'un retour à la normale
Nous en sommes a à peine plus d'un mois (en France) avec cette histoire que personne n'a vu venir, et voilà que des nostra en puissance commencent à prédire à 3 mois.Diviciac a écrit:Lili-Rose a écrit:Vous n'écoutez rien!
Depuis le début je dis que cette crise sanitaire coûtera beaucoup plus chez que la crise financière de 2008!
La crise de 2008 affectait l'économie virtuelle.
La notre affecte l'économie réelle + la virtuelle.
La crise de 2008 était une rigolade face à l'actuelle qui est loin d'avoir montré tous ses angles. On va encore avoir des surprises.
Vous allez voir ce que l'économie réelle va engendrer en faillite, ne serait-ce que chez nous.
Mais à contrario, je suis convaincu que nous aurons une petite embellie économique suite la privation.
Un truc tout con, bien qu'un peu lugubre
Imaginez un peu le retard accumulé par les notaires en matières de successions.
Des secteurs vont en profiter, d'autres en pâtir.
Est-ce que vous vous souvenez que je disais que l'endettement la France va atteindre 3000 milliards? Je ne sais même pas si ça sera suffisant.
Oui je m'en souviens , mais je le dis depuis l'élection de Manu qu'il va pulvériser les record de déficit de sarko. Même sans coronavirus, il l'aurait peut-être fait quand même.
Tiens ? D'après Attal , il paraît que les vacances à l'étranger des Français sont très comprises en juillet et aout ? Du coup, je me demande laquelle de mes baraques je vais louer à des Parisiens pour me faire des couilles en or. Faut être inventif dans le capitalisme .
Lili-Rose- Messages : 14777
Date d'inscription : 21/01/2018
Re: Quel que soit le scénario, on ne peut faire l'hypothèse d'un retour à la normale
Lili-Rose a écrit:Nous en sommes a à peine plus d'un mois (en France) avec cette histoire que personne n'a vu venir, et voilà que des nostra en puissance commencent à prédire à 3 mois.Diviciac a écrit:
Oui je m'en souviens , mais je le dis depuis l'élection de Manu qu'il va pulvériser les record de déficit de sarko. Même sans coronavirus, il l'aurait peut-être fait quand même.
Tiens ? D'après Attal , il paraît que les vacances à l'étranger des Français sont très comprises en juillet et aout ? Du coup, je me demande laquelle de mes baraques je vais louer à des Parisiens pour me faire des couilles en or. Faut être inventif dans le capitalisme .
Des gens de Francie par fol mal guidés
Deviendront pouldre teste, vit et membres
Lors faicte sera infélice meslée
Le mal fuira aux ides de septembre
(J'aime bien inventer des prophéties de Nostradamus)
Diviciac- Messages : 43162
Date d'inscription : 02/07/2017
Localisation : IdF et Morvan
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