Notre armée française, notre marine

philosophe a écrit:Mon ex mari DCD depuis deux ans était pied noir, il résidait à Oran
Il a été parachutiste durant la guerre d'Algérie
Il a fait deux ans de service national, puis a fait partie de l'OAS
Comme tous les jeunes du pays qui voulaient garder l'Algérie française
J'ai eu la proposition en 1973 d'aller travailler à l'hôpital militaire Maillot à Alger pour former des infirmières, j'ai refusé le nom de mon ex époux était fiché par le FLN
Et j'ai bien fait car la collègue que je devais remplacer, qui revenait d'Alger m'a dit que là bas c'était infernal, que les Français étaient très mal vus, on lui avait mis le feu à la queue de son chien, il était impossible de sortir

philosophe a écrit:Oui, j'ai regardé le film d'Alexandre Arcady, sur la vie de la jeunesse pied noire avant l'indépendance, pendant l'indépendance et leur fuite en France
Film qui retrace bien les évènements de cette époque.

ledevois a écrit:

Fontsestian a écrit:
 J'ai effectué une courte partie de mon SN sur la BA114 au quartier Forbin (aujourd'hui résidence immobilière) avant d'être muté en Allemagne.

 Gonfleur d'hélices --

Zerbinette a écrit:???????????????????????????????

Fontsestian a écrit:Oui c'est lui
Oui c'est lui, salopard!


Ses médailles n'ont pas l'air d'être françaises.





https://www.huffingtonpost.fr/2019/01/18/un-combattant-du-donbass-dans-le-service-dordre-des-gilets-jaunes_a_23645055/

philosophe a écrit:Le service national avait été supprimé car il coûtait trop cher.
Je le sais car en tant qu'infirmière militaire, j'ai vu pas mal d'appelés qui étant des "objecteurs de conscience" faisaient tout pour subir des examens afin d'être jugés incapables pour le Service.
A Marseille, nous recevions des Corses, on ne comptait pas les dégradations dans une chambre, on s'arrangeait pour en mettre un au milieu de deux légionnaires, c'était amusant, les baskets qui puaient prenaient très vite le chemin de la fenêtre, et là calme plat.
A Bégin à Paris, en service d'endocrinologie, les appelés faisaient tout pour être réformés
Donc mettaient du sucre dans leurs urines, d'où obligation de leur faire des examens complémentaires, hyperglycémie provoquée etc........
Je me souviens d'un secrétaire rendant  la copie de réforme à un appelé, qui avec humour lui a dit:
Vous êtes une vraie betterave à sucre.

Pour l'albumine, depuis qu'on différenciait l'humaine de l'animale, le blanc d'œuf çà ne marchait plus.

Mais à la finale, ceci coûtait très cher, et en plus nourris logés.
Je suis pour un service volontaire

philosophe a écrit:Le service national avait été supprimé car il coûtait trop cher.
Je le sais car en tant qu'infirmière militaire, j'ai vu pas mal d'appelés qui étant des "objecteurs de conscience" faisaient tout pour subir des examens afin d'être jugés incapables pour le Service.
A Marseille, nous recevions des Corses, on ne comptait pas les dégradations dans une chambre, on s'arrangeait pour en mettre un au milieu de deux légionnaires, c'était amusant, les baskets qui puaient prenaient très vite le chemin de la fenêtre, et là calme plat.
A Bégin à Paris, en service d'endocrinologie, les appelés faisaient tout pour être réformés
Donc mettaient du sucre dans leurs urines, d'où obligation de leur faire des examens complémentaires, hyperglycémie provoquée etc........
Je me souviens d'un secrétaire rendant  la copie de réforme à un appelé, qui avec humour lui a dit:
Vous êtes une vraie betterave à sucre.

Pour l'albumine, depuis qu'on différenciait l'humaine de l'animale, le blanc d'œuf çà ne marchait plus.

Mais à la finale, ceci coûtait très cher, et en plus nourris logés.
Je suis pour un service volontaire