Macron me rassure.

Fontsestian a écrit:Je le trouvais fébrile et maladroit ces dernières semaines mais sa gestion du remaniement montre qu'il ne laisse pas influencer par les pressions conjuguées des médias et de l'opposition.


Quoi qu'en disent un Jacob, une Le Pen ou la 15 il prend le temps de la réflexion dans le choix, concerté avec Philippe, du futur gouvernement qui devra réussir la réforme des retraites, affronter le probable échec des européennes, gérer le prélèvement à la source, négocier avec l'Europe,

maintenir la présence de la France, réduire ses déficits etc.

Fontsestian a écrit:Je le trouvais fébrile et maladroit ces dernières semaines mais sa gestion du remaniement montre qu'il ne laisse pas influencer par les pressions conjuguées des médias et de l'opposition.


Quoi qu'en disent un Jacob, une Le Pen ou la 15 il prend le temps de la réflexion dans le choix, concerté avec Philippe, du futur gouvernement qui devra réussir la réforme des retraites, affronter le probable échec des européennes, gérer le prélèvement à la source, négocier avec l'Europe,

maintenir la présence de la France, réduire ses déficits etc.

Tiote valisse a écrit:

Fontsestian a écrit:Je le trouvais fébrile et maladroit ces dernières semaines mais sa gestion du remaniement montre qu'il ne laisse pas influencer par les pressions conjuguées des médias et de l'opposition.


Quoi qu'en disent un Jacob, une Le Pen ou la 15 il prend le temps de la réflexion dans le choix, concerté avec Philippe, du futur gouvernement qui devra réussir la réforme des retraites, affronter le probable échec des européennes, gérer le prélèvement à la source, négocier avec l'Europe,

maintenir la présence de la France, réduire ses déficits etc.

Des médias toujours plus voraces

L’arithmétique du pouvoir

Nadou a écrit:Vu de Suisse : https://www.letemps.ch/opinions/france-un-remaniement-ministeriel-mediatique


En France, un remaniement ministériel ou médiatique?




OPINION. Machine présidentielle déréglée ou emballement journalistique incontrôlé? Depuis le départ de Gérard Collomb du Ministère de l’intérieur, le fossé s’est encore un peu plus creusé entre l’exécutif et les médias français. Au risque d’une déconnexion généralisée avec les électeurs…

Commençons par un mea-culpa. Mardi ensoleillé à Paris. Le «large» remaniement de l’équipe Macron est, depuis l’aube, présenté comme «garanti» par la plupart des éditorialistes. Durant le week-end, Le Journal du Dimanche a même franchi le pas en lâchant, déjà, quelques noms présumés de ministres censés incarner la «Saison 2» du quinquennat. L’auteur de ces lignes défend donc, au téléphone, l’idée d’un papier conséquent sur l’arrivée de nouvelles têtes ministérielles françaises. Un éditorial est même envisagé. Puisque tout le monde en parle. Puisque le calendrier semble arrêté. Puisque le président français a cruellement besoin d’un second souffle… Bref, Le Temps embraye sur ses confrères hexagonaux. Suivisme. Manque de recul. Jusqu’à l’annulation, vers 17 heures, du hasardeux dispositif…
Cette anecdote dit le vide qui, chaque jour un peu plus, se creuse en France sous les pieds du correspondant supposé raconter le pays, ses réussites et ses tourments. Est-il encore possible de croire, sur le front de la politique nationale, les analyses de commentateurs dont la crédibilité des sources, à l’évidence, laisse à désirer sur la réalité des intentions de «Jupiter-Macron»? Quelles autres sources privilégier, dès lors, pour se faire une idée juste du malaise politique actuel et de l’apparente panne du pouvoir exécutif? Plus grave: pourquoi personne ou presque, dans les médias français de premier plan, ne questionne cet emballement médiatique généralisé, dont les quatre chaînes télévisées d’information continue (LCI, BFM TV, CNews, France Info) font leur miel quotidien, avec force images rediffusées en boucle?

Des médias toujours plus voraces

On nous objectera que ce système médiatique n’a rien de surprenant. Que la déconnexion entre le rythme du pouvoir et celui des médias est d’abord alimentée par l’immédiateté d’internet et des réseaux sociaux. Et qu’elle affaiblit partout l’exercice de la démocratie. D’autres nous expliqueront que le jeu des pronostics ministériels est de longue date un sport républicain. Et que la surenchère actuelle est à la hauteur des promesses macroniennes. Soit.
Mais si on renversait, pour une fois, les termes du débat? Le suivi d’un tel remaniement gouvernemental, presque minute par minute, apporte-t-il une information essentielle au citoyen? On a de la peine à le croire. Plus sérieux: la conduite de l’Etat français est-elle mise en péril par le départ fâché d’un homme, fût-il ministre de l’Intérieur et ex-maire de Lyon? Vu la mobilisation permanente des forces de l’ordre dans un pays où l’état d’urgence, même levé, reste quasi en vigueur, l’argument ne tient guère. Bref: faut-il, aujourd’hui en France, satisfaire l’appétit de médias toujours plus voraces et à l’affût de la moindre petite phrase ou les tenir au contraire à distance des décisions dans l’espoir qu’ils cesseront, ainsi, de dicter l’agenda, comme semble le croire Emmanuel Macron? Et si la République française était devenue médiatiquement ingouvernable?

L’arithmétique du pouvoir

Poser la question ne signifie pas que l’on dispose de la réponse. Le manque chronique de suspense, à de rares exceptions près, des remaniements du Conseil fédéral ne peut certainement pas servir de référence. Mais la situation mérite qu’on s’y arrête dans une France où – le 60e anniversaire de la constitution de la Ve République, jeudi 2 octobre, est là pour le rappeler – tout procède, ou presque, du chef de l’Etat.
Emmanuel Macron a 40 ans. Son parti politique, La République en marche, reste une agrégation électorale. Sa volonté de «transformer» la France, par définition, bute sur les partis traditionnels et sur cet «ancien monde» qu’il a eu le grand tort de mépriser. Le brusque décrochage de sa cote de popularité (33% selon les derniers sondages) diminue, enfin, l’attrait d’un ministère à ses côtés. L’arithmétique du pouvoir est devenue plus compliquée. Faire croire qu’un changement de ministres est l’urbi et orbi d’un Acte 2 de la Macronie, capable de relancer la machine, est dès lors insensé. C’est sur le front européen, sur celui de la croissance économique, et auprès des classes moyennes et des retraités, que se jouera le sort de ce quinquennat malmené… En France, le plus indispensable des remaniements est peut-être… médiatique.


Et si la République française était devenue médiatiquement ingouvernable?

Ils sont devenus fous, les médias tournent en boucle et ont faim. Heureusement, quelques cyclones et inondations vont nourrir leur journée.
Mais Macron reste maître des horloges. Chapeau ! 

L'an II du quinquennat Macron est officiellement lancé. Un sondage Elabe pour BFMTV paru mercredi relève que 58% des Français trouvent que la politique de l'exécutif "dégrade leur situation personnelle" quand 54% estiment décevante l'action d'Emmanuel Macron. En cette fin août, les ministres sont envoyés sur le front des médias. Cette opération de communication est-elle efficace ? Comment Emmanuel Macron peut-il convaincre les Français vis-à-vis de ses réformes ? - L'édito de Christophe Barbier, du jeudi 23 août 2018, sur BFMTV.
Chaque matin, au cœur de Première Edition, Christophe Barbier révèle les coulisses du pouvoir dans sa chronique et donne ses bonnes et ses mauvaises notes aux acteurs de la vie politique.
BFMTV, 1ère chaîne d'information en continu de France, vous propose toute l'info en temps réel avec 18h d’antenne live par jour et plus de 1000 duplex par mois. Retrouvez BFMTV sur le canal 15 de la TNT et sur BFMTV.com.

Nadou a écrit:Vu de Suisse : https://www.letemps.ch/opinions/france-un-remaniement-ministeriel-mediatique


En France, un remaniement ministériel ou médiatique?




OPINION. Machine présidentielle déréglée ou emballement journalistique incontrôlé? Depuis le départ de Gérard Collomb du Ministère de l’intérieur, le fossé s’est encore un peu plus creusé entre l’exécutif et les médias français. Au risque d’une déconnexion généralisée avec les électeurs…

Commençons par un mea-culpa. Mardi ensoleillé à Paris. Le «large» remaniement de l’équipe Macron est, depuis l’aube, présenté comme «garanti» par la plupart des éditorialistes. Durant le week-end, Le Journal du Dimanche a même franchi le pas en lâchant, déjà, quelques noms présumés de ministres censés incarner la «Saison 2» du quinquennat. L’auteur de ces lignes défend donc, au téléphone, l’idée d’un papier conséquent sur l’arrivée de nouvelles têtes ministérielles françaises. Un éditorial est même envisagé. Puisque tout le monde en parle. Puisque le calendrier semble arrêté. Puisque le président français a cruellement besoin d’un second souffle… Bref, Le Temps embraye sur ses confrères hexagonaux. Suivisme. Manque de recul. Jusqu’à l’annulation, vers 17 heures, du hasardeux dispositif…
Cette anecdote dit le vide qui, chaque jour un peu plus, se creuse en France sous les pieds du correspondant supposé raconter le pays, ses réussites et ses tourments. Est-il encore possible de croire, sur le front de la politique nationale, les analyses de commentateurs dont la crédibilité des sources, à l’évidence, laisse à désirer sur la réalité des intentions de «Jupiter-Macron»? Quelles autres sources privilégier, dès lors, pour se faire une idée juste du malaise politique actuel et de l’apparente panne du pouvoir exécutif? Plus grave: pourquoi personne ou presque, dans les médias français de premier plan, ne questionne cet emballement médiatique généralisé, dont les quatre chaînes télévisées d’information continue (LCI, BFM TV, CNews, France Info) font leur miel quotidien, avec force images rediffusées en boucle?

Des médias toujours plus voraces

On nous objectera que ce système médiatique n’a rien de surprenant. Que la déconnexion entre le rythme du pouvoir et celui des médias est d’abord alimentée par l’immédiateté d’internet et des réseaux sociaux. Et qu’elle affaiblit partout l’exercice de la démocratie. D’autres nous expliqueront que le jeu des pronostics ministériels est de longue date un sport républicain. Et que la surenchère actuelle est à la hauteur des promesses macroniennes. Soit.
Mais si on renversait, pour une fois, les termes du débat? Le suivi d’un tel remaniement gouvernemental, presque minute par minute, apporte-t-il une information essentielle au citoyen? On a de la peine à le croire. Plus sérieux: la conduite de l’Etat français est-elle mise en péril par le départ fâché d’un homme, fût-il ministre de l’Intérieur et ex-maire de Lyon? Vu la mobilisation permanente des forces de l’ordre dans un pays où l’état d’urgence, même levé, reste quasi en vigueur, l’argument ne tient guère. Bref: faut-il, aujourd’hui en France, satisfaire l’appétit de médias toujours plus voraces et à l’affût de la moindre petite phrase ou les tenir au contraire à distance des décisions dans l’espoir qu’ils cesseront, ainsi, de dicter l’agenda, comme semble le croire Emmanuel Macron? Et si la République française était devenue médiatiquement ingouvernable?

L’arithmétique du pouvoir

Poser la question ne signifie pas que l’on dispose de la réponse. Le manque chronique de suspense, à de rares exceptions près, des remaniements du Conseil fédéral ne peut certainement pas servir de référence. Mais la situation mérite qu’on s’y arrête dans une France où – le 60e anniversaire de la constitution de la Ve République, jeudi 2 octobre, est là pour le rappeler – tout procède, ou presque, du chef de l’Etat.
Emmanuel Macron a 40 ans. Son parti politique, La République en marche, reste une agrégation électorale. Sa volonté de «transformer» la France, par définition, bute sur les partis traditionnels et sur cet «ancien monde» qu’il a eu le grand tort de mépriser. Le brusque décrochage de sa cote de popularité (33% selon les derniers sondages) diminue, enfin, l’attrait d’un ministère à ses côtés. L’arithmétique du pouvoir est devenue plus compliquée. Faire croire qu’un changement de ministres est l’urbi et orbi d’un Acte 2 de la Macronie, capable de relancer la machine, est dès lors insensé. C’est sur le front européen, sur celui de la croissance économique, et auprès des classes moyennes et des retraités, que se jouera le sort de ce quinquennat malmené… En France, le plus indispensable des remaniements est peut-être… médiatique.


Et si la République française était devenue médiatiquement ingouvernable?

Ils sont devenus fous, les médias tournent en boucle et ont faim. Heureusement, quelques cyclones et inondations vont nourrir leur journée.
Mais Macron reste maître des horloges. Chapeau ! 

ledevois a écrit:

Fontsestian a écrit:Je le trouvais fébrile et maladroit ces dernières semaines mais sa gestion du remaniement montre qu'il ne laisse pas influencer par les pressions conjuguées des médias et de l'opposition.


Quoi qu'en disent un Jacob, une Le Pen ou la 15 il prend le temps de la réflexion dans le choix, concerté avec Philippe, du futur gouvernement qui devra réussir la réforme des retraites, affronter le probable échec des européennes, gérer le prélèvement à la source, négocier avec l'Europe,

maintenir la présence de la France, réduire ses déficits etc.

 Je ne comprends pas pourquoi tu parles de cette façon ; puisque rien ne sort de ce que pense Macron ou Philippe ---- 
 Tout laisse supposer justement de la fébrilité à réformer , quand on sait que certaines réformes sont une bombe et qu'il laisse ses successeurs se démerder avec en 2050 --- tu ne dois pas suivre les événements à mon sens --- 
 Tout augmente en France et le grand problème c'est le pouvoir d'achat --- Bien sur toi ou moi ; et les autres du forum à la retraite nous n'avons pas trop à nous plaindre ;  vu les retraites que nous avons ; --- cependant faut penser aux autres --!

Fontsestian a écrit:

Nadou a écrit:Vu de Suisse : https://www.letemps.ch/opinions/france-un-remaniement-ministeriel-mediatique


En France, un remaniement ministériel ou médiatique?




OPINION. Machine présidentielle déréglée ou emballement journalistique incontrôlé? Depuis le départ de Gérard Collomb du Ministère de l’intérieur, le fossé s’est encore un peu plus creusé entre l’exécutif et les médias français. Au risque d’une déconnexion généralisée avec les électeurs…

Commençons par un mea-culpa. Mardi ensoleillé à Paris. Le «large» remaniement de l’équipe Macron est, depuis l’aube, présenté comme «garanti» par la plupart des éditorialistes. Durant le week-end, Le Journal du Dimanche a même franchi le pas en lâchant, déjà, quelques noms présumés de ministres censés incarner la «Saison 2» du quinquennat. L’auteur de ces lignes défend donc, au téléphone, l’idée d’un papier conséquent sur l’arrivée de nouvelles têtes ministérielles françaises. Un éditorial est même envisagé. Puisque tout le monde en parle. Puisque le calendrier semble arrêté. Puisque le président français a cruellement besoin d’un second souffle… Bref, Le Temps embraye sur ses confrères hexagonaux. Suivisme. Manque de recul. Jusqu’à l’annulation, vers 17 heures, du hasardeux dispositif…
Cette anecdote dit le vide qui, chaque jour un peu plus, se creuse en France sous les pieds du correspondant supposé raconter le pays, ses réussites et ses tourments. Est-il encore possible de croire, sur le front de la politique nationale, les analyses de commentateurs dont la crédibilité des sources, à l’évidence, laisse à désirer sur la réalité des intentions de «Jupiter-Macron»? Quelles autres sources privilégier, dès lors, pour se faire une idée juste du malaise politique actuel et de l’apparente panne du pouvoir exécutif? Plus grave: pourquoi personne ou presque, dans les médias français de premier plan, ne questionne cet emballement médiatique généralisé, dont les quatre chaînes télévisées d’information continue (LCI, BFM TV, CNews, France Info) font leur miel quotidien, avec force images rediffusées en boucle?

Des médias toujours plus voraces

On nous objectera que ce système médiatique n’a rien de surprenant. Que la déconnexion entre le rythme du pouvoir et celui des médias est d’abord alimentée par l’immédiateté d’internet et des réseaux sociaux. Et qu’elle affaiblit partout l’exercice de la démocratie. D’autres nous expliqueront que le jeu des pronostics ministériels est de longue date un sport républicain. Et que la surenchère actuelle est à la hauteur des promesses macroniennes. Soit.
Mais si on renversait, pour une fois, les termes du débat? Le suivi d’un tel remaniement gouvernemental, presque minute par minute, apporte-t-il une information essentielle au citoyen? On a de la peine à le croire. Plus sérieux: la conduite de l’Etat français est-elle mise en péril par le départ fâché d’un homme, fût-il ministre de l’Intérieur et ex-maire de Lyon? Vu la mobilisation permanente des forces de l’ordre dans un pays où l’état d’urgence, même levé, reste quasi en vigueur, l’argument ne tient guère. Bref: faut-il, aujourd’hui en France, satisfaire l’appétit de médias toujours plus voraces et à l’affût de la moindre petite phrase ou les tenir au contraire à distance des décisions dans l’espoir qu’ils cesseront, ainsi, de dicter l’agenda, comme semble le croire Emmanuel Macron? Et si la République française était devenue médiatiquement ingouvernable?

L’arithmétique du pouvoir

Poser la question ne signifie pas que l’on dispose de la réponse. Le manque chronique de suspense, à de rares exceptions près, des remaniements du Conseil fédéral ne peut certainement pas servir de référence. Mais la situation mérite qu’on s’y arrête dans une France où – le 60e anniversaire de la constitution de la Ve République, jeudi 2 octobre, est là pour le rappeler – tout procède, ou presque, du chef de l’Etat.
Emmanuel Macron a 40 ans. Son parti politique, La République en marche, reste une agrégation électorale. Sa volonté de «transformer» la France, par définition, bute sur les partis traditionnels et sur cet «ancien monde» qu’il a eu le grand tort de mépriser. Le brusque décrochage de sa cote de popularité (33% selon les derniers sondages) diminue, enfin, l’attrait d’un ministère à ses côtés. L’arithmétique du pouvoir est devenue plus compliquée. Faire croire qu’un changement de ministres est l’urbi et orbi d’un Acte 2 de la Macronie, capable de relancer la machine, est dès lors insensé. C’est sur le front européen, sur celui de la croissance économique, et auprès des classes moyennes et des retraités, que se jouera le sort de ce quinquennat malmené… En France, le plus indispensable des remaniements est peut-être… médiatique.


Et si la République française était devenue médiatiquement ingouvernable?

Ils sont devenus fous, les médias tournent en boucle et ont faim. Heureusement, quelques cyclones et inondations vont nourrir leur journée.
Mais Macron reste maître des horloges. Chapeau ! 

Les médias vendent un produit supposé être de l'information, beaucoup de français s'en gavent sans aucune réflexion en laissant un éditorialiste penser à leur place et internet a encore augmenté cette façon de se comporter en veau à l'engrais devant l'actualité, inquiétant.

Fontsestian a écrit:

ledevois a écrit:

Fontsestian a écrit:Je le trouvais fébrile et maladroit ces dernières semaines mais sa gestion du remaniement montre qu'il ne laisse pas influencer par les pressions conjuguées des médias et de l'opposition.


Quoi qu'en disent un Jacob, une Le Pen ou la 15 il prend le temps de la réflexion dans le choix, concerté avec Philippe, du futur gouvernement qui devra réussir la réforme des retraites, affronter le probable échec des européennes, gérer le prélèvement à la source, négocier avec l'Europe,

maintenir la présence de la France, réduire ses déficits etc.

 Je ne comprends pas pourquoi tu parles de cette façon ; puisque rien ne sort de ce que pense Macron ou Philippe ---- 
 Tout laisse supposer justement de la fébrilité à réformer , quand on sait que certaines réformes sont une bombe et qu'il laisse ses successeurs se démerder avec en 2050 --- tu ne dois pas suivre les événements à mon sens --- 
 Tout augmente en France et le grand problème c'est le pouvoir d'achat --- Bien sur toi ou moi ; et les autres du forum à la retraite nous n'avons pas trop à nous plaindre ;  vu les retraites que nous avons ; --- cependant faut penser aux autres --!

 Il y plein de choses que tu ne comprends pas Joseph, non que tu sois bête mais tu as cessé de réfléchir pour laisser des médias te guider par le bout du nez.

Nadou a écrit:

Fontsestian a écrit:
 Il y plein de choses que tu ne comprends pas Joseph, non que tu sois bête mais tu as cessé de réfléchir pour laisser des médias te guider par le bout du nez.

Et en ajoutant les médias russes, Joseph nous publie tout RT.

ledevois a écrit:

Nadou a écrit:

Fontsestian a écrit:
 Il y plein de choses que tu ne comprends pas Joseph, non que tu sois bête mais tu as cessé de réfléchir pour laisser des médias te guider par le bout du nez.

Et en ajoutant les médias russes, Joseph nous publie tout RT.

 R T , publie ce que les journaux Français publient __
 Les médias ne m'ont pas appris que le poisson que j'ai acheté coûte 30% de plus --

Votre poisson a augmenté de 30% parce que c'est Macron qui l'a pêché et qu'il a imposé ce prix à votre poissonnier ... 

Nadou a écrit:

ledevois a écrit:

 R T , publie ce que les journaux Français publient __
 Les médias ne m'ont pas appris que le poisson que j'ai acheté coûte 30% de plus --

Votre poisson a augmenté de 30% parce que c'est Macron qui l'a pêché et qu'il a imposé ce prix à votre poissonnier ... 

keltys a écrit:qui pensez vous convaincre avec votre discours pré maché par le gourou en chef, à part vous et quelques adeptes de moins en moins nombreux?


Maintenant s'il me met un Le Drian à l'intérieur ou qu'il le remette au poste auquel il devrait être , aux armées, je pourrai commencer à être convaincu...
Mais la difficulté de composer un gouvernement n'est jamais bon pour un pays

Nadou a écrit:

ledevois a écrit:

 R T , publie ce que les journaux Français publient __
 Les médias ne m'ont pas appris que le poisson que j'ai acheté coûte 30% de plus --

Votre poisson a augmenté de 30% parce que c'est Macron qui l'a pêché et qu'il a imposé ce prix à votre poissonnier ... 

Voilà ...

ledevois a écrit:

Nadou a écrit:

ledevois a écrit:

 R T , publie ce que les journaux Français publient __
 Les médias ne m'ont pas appris que le poisson que j'ai acheté coûte 30% de plus --

Votre poisson a augmenté de 30% parce que c'est Macron qui l'a pêché et qu'il a imposé ce prix à votre poissonnier ... 

 Macron ne tient pas compte de l'inflation qui plombe les pauvres ;et c'est pour cette raison que je suis plus de gauche que ce que vous pouvez le prétendre ---

Nadou a écrit:

ledevois a écrit:

 Macron ne tient pas compte de l'inflation qui plombe les pauvres ;et c'est pour cette raison que je suis plus de gauche que ce que vous pouvez le prétendre ---

Oui, vous voulez qu'on distribue de l'aide sociale.

ledevois a écrit:

Nadou a écrit:

ledevois a écrit:

 Macron ne tient pas compte de l'inflation qui plombe les pauvres ;et c'est pour cette raison que je suis plus de gauche que ce que vous pouvez le prétendre ---

Oui, vous voulez qu'on distribue de l'aide sociale.

 Personne ne vous parle d'aides sociales pour la taxe habitation puisque les pauvres ne payent pas --par contre ils payeront la dette nationale croyez moi --- 
 Vous n'avez toujours pas compris -

Nadou a écrit:

ledevois a écrit:

 Personne ne vous parle d'aides sociales pour la taxe habitation puisque les pauvres ne payent pas --par contre ils payeront la dette nationale croyez moi --- 
 Vous n'avez toujours pas compris -

Il n'y a aucune raison pour qu'un emprunt rembourse les augmentations de taux appliquées par quelques 5000 communes. Que les administrés se débrouillent en allant râler à la mairie.

Nadou a écrit:

keltys a écrit:qui pensez vous convaincre avec votre discours pré maché par le gourou en chef, à part vous et quelques adeptes de moins en moins nombreux?


Maintenant s'il me met un Le Drian à l'intérieur ou qu'il le remette au poste auquel il devrait être , aux armées, je pourrai commencer à être convaincu...
Mais la difficulté de composer un gouvernement n'est jamais bon pour un pays

Le Drian ne voulait déjà pas rempiler ( besoin du retour au pays, en famille )  en 2017, il l'a fait pour rendre service, il paraît qu'il se plaît beaucoup aux affaires étrangères, alors ça m'étonnerait.

ledevois a écrit:

Fontsestian a écrit:




Les médias vendent un produit supposé être de l'information, beaucoup de français s'en gavent sans aucune réflexion en laissant un éditorialiste penser à leur place et internet a encore augmenté cette façon de se comporter en veau à l'engrais devant l'actualité, inquiétant.

 Quand tu achètes du poisson 30 % plus cher ;nul besoin des médias pour avoir une réflexion --- allons le Panturle tu dois pas faire les courses -

ledevois a écrit:

Nadou a écrit:

Et en ajoutant les médias russes, Joseph nous publie tout RT.

 R T , publie ce que les journaux Français publient __
 Les médias ne m'ont pas appris que le poisson que j'ai acheté coûte 30% de plus --

Nadou a écrit:

ledevois a écrit:

 R T , publie ce que les journaux Français publient __
 Les médias ne m'ont pas appris que le poisson que j'ai acheté coûte 30% de plus --

Votre poisson a augmenté de 30% parce que c'est Macron qui l'a pêché et qu'il a imposé ce prix à votre poissonnier ...