Recueil de belles histoires
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Un achat impossible
Un achat impossible
Un jeune couple entra dans le plus beau magasin de la ville.
L’homme et la femme regardaient les nombreux jouets colorés, alignés sur les étagères, suspendus au plafond ou présentés en un gai désordre sur les rayonnages.
Il y avait des poupées qui pleuraient, d’autres qui riaient.
Il y avait des jouets électriques, des cuisines miniatures où l’on pouvait confectionner des gâteaux ou des pizzas.
Ils n’arrivaient pas à se décider, quand une gracieuse vendeuse s’approcha d’eux.
« Voyez », explique la jeune femme, « nous avons une petite fille, toute jeune encore, mais nous sommes absents toute la journée et souvent le soir. »
« C’est une petite fille qui ne sourit pas beaucoup », ajouta l’homme.
« Nous voudrions quelque chose qui la rende heureuse, reprit la femme, même quand nous ne sommes pas là. Quelque chose qui la rende heureuse aussi quand elle est seule. »
« Je regrette », dit la vendeuse avec un gentil sourire, « mais nous ne vendons pas de parents. »
Un jeune couple entra dans le plus beau magasin de la ville.
L’homme et la femme regardaient les nombreux jouets colorés, alignés sur les étagères, suspendus au plafond ou présentés en un gai désordre sur les rayonnages.
Il y avait des poupées qui pleuraient, d’autres qui riaient.
Il y avait des jouets électriques, des cuisines miniatures où l’on pouvait confectionner des gâteaux ou des pizzas.
Ils n’arrivaient pas à se décider, quand une gracieuse vendeuse s’approcha d’eux.
« Voyez », explique la jeune femme, « nous avons une petite fille, toute jeune encore, mais nous sommes absents toute la journée et souvent le soir. »
« C’est une petite fille qui ne sourit pas beaucoup », ajouta l’homme.
« Nous voudrions quelque chose qui la rende heureuse, reprit la femme, même quand nous ne sommes pas là. Quelque chose qui la rende heureuse aussi quand elle est seule. »
« Je regrette », dit la vendeuse avec un gentil sourire, « mais nous ne vendons pas de parents. »
Invité- Invité
Le but ultime de l'eau est d'aller à la mer
Le but ultime de l'eau est d'aller à la mer
L'eau doit retourner à la mer, c'est bien son but, sa mission.
Elle peut y aller directement, tel un fleuve qui se dirige sans détour et se joue de tous les obstacles.
Souvent cependant, l'eau rencontre des obstacles.
L'eau met au point différentes stratégies. Parfois, elle attend : elle s'accumule lentement devant l'obstacle jusqu'au moment où elle arrive à passer au-dessus. Souvent l'eau choisit de prendre un chemin détourné. Elle serpente alors en petits ruisseaux, en plus grandes rivières, elle contourne les obstacles, même quand cela implique de s'éloigner quelque temps de la mer.
Mais la mer reste son seul objectif. Et elle y parvient à la mer.
Devons-nous toujours être le fleuve ?
Ne devons-nous pas parfois, souvent, être le ruisseau qui choisit un chemin différent et plus à notre portée ?
Qu'importe le chemin suivi, si nous arrivons à nos objectifs ? Si nous arrivons à accomplir notre mission ?
Xavier Guyaux, librement inspiré de « Le Guerrier de la Lumière » de P. Coelho
L'eau doit retourner à la mer, c'est bien son but, sa mission.
Elle peut y aller directement, tel un fleuve qui se dirige sans détour et se joue de tous les obstacles.
Souvent cependant, l'eau rencontre des obstacles.
L'eau met au point différentes stratégies. Parfois, elle attend : elle s'accumule lentement devant l'obstacle jusqu'au moment où elle arrive à passer au-dessus. Souvent l'eau choisit de prendre un chemin détourné. Elle serpente alors en petits ruisseaux, en plus grandes rivières, elle contourne les obstacles, même quand cela implique de s'éloigner quelque temps de la mer.
Mais la mer reste son seul objectif. Et elle y parvient à la mer.
Devons-nous toujours être le fleuve ?
Ne devons-nous pas parfois, souvent, être le ruisseau qui choisit un chemin différent et plus à notre portée ?
Qu'importe le chemin suivi, si nous arrivons à nos objectifs ? Si nous arrivons à accomplir notre mission ?
Xavier Guyaux, librement inspiré de « Le Guerrier de la Lumière » de P. Coelho
Invité- Invité
La sagesse ...????????????
La sagesse ...
A MÉDITER……….
{1} D’un commun accord, tous les villageois ont décidé de prier pour avoir de la pluie. Le jour de la prière, tous les gens se sont réunis ... Peu de temps après il tombait des cordes, mais ... seul un petit garçon avait un parapluie.
C'est ça la FOI.
{2} Quand vous lancez un bébé en l'air, il rit parce qu'il sait que vous l’attraperez.
C'est ça la CONFIANCE.
{3} Tous les soirs nous allons au lit, sans aucune assurance d'être en vie le lendemain matin, mais nous réglons les réveils pour nous réveiller.
C'est ça L'ESPÉRANCE.
{4} Nous prévoyons de grandes choses pour l'avenir sans vraiment connaître
ce que sera cet avenir.
C'est ça L'ESPOIR.
{5} Nous voyons le monde divorçant, souffrant, injuste, un peu partout, mais nous nous marions .
C'est ça L’AMOUR.
{6} Sur une vieille chemise de retraité une phrase est écrite :
"Je ne suis pas un ancien de 70 ans ...
Je suis un jeune de 16 ans, avec 54 années d'expérience "
C'est ça le POSITIVISME.
Je vous souhaite des jours heureux.
Vivez votre vie comme l’expriment les six petits textes !
A MÉDITER……….
{1} D’un commun accord, tous les villageois ont décidé de prier pour avoir de la pluie. Le jour de la prière, tous les gens se sont réunis ... Peu de temps après il tombait des cordes, mais ... seul un petit garçon avait un parapluie.
C'est ça la FOI.
{2} Quand vous lancez un bébé en l'air, il rit parce qu'il sait que vous l’attraperez.
C'est ça la CONFIANCE.
{3} Tous les soirs nous allons au lit, sans aucune assurance d'être en vie le lendemain matin, mais nous réglons les réveils pour nous réveiller.
C'est ça L'ESPÉRANCE.
{4} Nous prévoyons de grandes choses pour l'avenir sans vraiment connaître
ce que sera cet avenir.
C'est ça L'ESPOIR.
{5} Nous voyons le monde divorçant, souffrant, injuste, un peu partout, mais nous nous marions .
C'est ça L’AMOUR.
{6} Sur une vieille chemise de retraité une phrase est écrite :
"Je ne suis pas un ancien de 70 ans ...
Je suis un jeune de 16 ans, avec 54 années d'expérience "
C'est ça le POSITIVISME.
Je vous souhaite des jours heureux.
Vivez votre vie comme l’expriment les six petits textes !

«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
elaine- Messages : 2126
Date d'inscription : 19/01/2021
Localisation : chez moi
Je me choisis
Je me choisis
Je ne veux plus me nier, nier mes sentiments , mes besoins , mes attentes
Je veux être respectée, écoutée , entendue
J'ai le droit de respirer , de me dire ...
J'ai le droit de dénoncer , de penser , de crier, j'ai le droit d'exister
Je veux vivre debout .. être en paix avec moi même
Je veux grandir, changer ,m'aimer
Je veux rêver , rire , m'épanouir
J'ai besoin d'air , j'ai besoin de m'écouter
J'ai besoin de décider pour moi , avec moi en fonction de mes besoins à moi
De ce que je veux faire de ma vie.
J'en ai marre de vivre en fonction des autres , pour être aimée
J'en ai marre de faire des courbettes pour acheter la paix ou ne pas être seule
Je choisis de VIVRE de vivre MA VIE
Je choisis de vivre mes sentiments , mes émotions , mes rêves , mes espoirs
Je veux vivre jusqu'au bout telle que je suis
Je me réserve le droit d'essayer encore , et de réussir
De me tromper et recommencer
Pendant la transition j'accepte ma souffrance , ma déception
J'accepte mon insécurité , mon désespoir
J'accepte ma colère contre les autres
J'accepte ma colère contre moi...
De m'être si longtemps niée et oubliée
Je suis en sevrage car je sais qu'avec le temps
Ces sentiments vont s'attenuer et disparaître , remplacés par le pardon
Je sais qu'avec le temps mon coeur va guérir d'avoir mal aimé
Et peut-être qu'avec le temps
J'accepterais d'Oser à nouveau..
Tenter l'expérience d'aimer et d'être aimée .
Nicole Charest (Petites douceurs pour le cœur)

Je ne veux plus me nier, nier mes sentiments , mes besoins , mes attentes
Je veux être respectée, écoutée , entendue
J'ai le droit de respirer , de me dire ...
J'ai le droit de dénoncer , de penser , de crier, j'ai le droit d'exister
Je veux vivre debout .. être en paix avec moi même
Je veux grandir, changer ,m'aimer
Je veux rêver , rire , m'épanouir
J'ai besoin d'air , j'ai besoin de m'écouter
J'ai besoin de décider pour moi , avec moi en fonction de mes besoins à moi
De ce que je veux faire de ma vie.
J'en ai marre de vivre en fonction des autres , pour être aimée
J'en ai marre de faire des courbettes pour acheter la paix ou ne pas être seule
Je choisis de VIVRE de vivre MA VIE
Je choisis de vivre mes sentiments , mes émotions , mes rêves , mes espoirs
Je veux vivre jusqu'au bout telle que je suis
Je me réserve le droit d'essayer encore , et de réussir
De me tromper et recommencer
Pendant la transition j'accepte ma souffrance , ma déception
J'accepte mon insécurité , mon désespoir
J'accepte ma colère contre les autres
J'accepte ma colère contre moi...
De m'être si longtemps niée et oubliée
Je suis en sevrage car je sais qu'avec le temps
Ces sentiments vont s'attenuer et disparaître , remplacés par le pardon
Je sais qu'avec le temps mon coeur va guérir d'avoir mal aimé
Et peut-être qu'avec le temps
J'accepterais d'Oser à nouveau..
Tenter l'expérience d'aimer et d'être aimée .
Nicole Charest (Petites douceurs pour le cœur)


«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
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elaine- Messages : 2126
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Localisation : chez moi
Un amour réciproque
Un amour réciproque
Il était une fois un homme très pauvre qui vivait avec son épouse.
Un jour, son épouse, qui avait de longs cheveux, lui demanda de lui
acheter un peigne pour parvenir à se coiffer.
L'homme, très désolé, lui dit qu'il n'avait même pas assez d'argent
pour réparer le bracelet de sa montre qu'il venait de casser.
Emue elle aussi, elle n'insista pas pour sa demande.
L'homme alla à son travail en passant chez l'horloger.
Il lui revendit sa montre abîmée à bas prix
et s'en alla acheter un peigne pour son épouse.
Le soir, il revint à la maison, le peigne dans la main, prêt à l'offrir.
Quelle fut sa surprise lorsqu'il vit que son épouse
s'était coupée les cheveux très courts,
les avait vendus et tenait en main un nouveau bracelet de montre.
Des larmes coulèrent simultanément de leurs yeux,
non pas pour l'inutilité de leur acte,
mais pour la réciprocité de leur amour.
Auteur inconnu

Il était une fois un homme très pauvre qui vivait avec son épouse.
Un jour, son épouse, qui avait de longs cheveux, lui demanda de lui
acheter un peigne pour parvenir à se coiffer.
L'homme, très désolé, lui dit qu'il n'avait même pas assez d'argent
pour réparer le bracelet de sa montre qu'il venait de casser.
Emue elle aussi, elle n'insista pas pour sa demande.
L'homme alla à son travail en passant chez l'horloger.
Il lui revendit sa montre abîmée à bas prix
et s'en alla acheter un peigne pour son épouse.
Le soir, il revint à la maison, le peigne dans la main, prêt à l'offrir.
Quelle fut sa surprise lorsqu'il vit que son épouse
s'était coupée les cheveux très courts,
les avait vendus et tenait en main un nouveau bracelet de montre.
Des larmes coulèrent simultanément de leurs yeux,
non pas pour l'inutilité de leur acte,
mais pour la réciprocité de leur amour.
Auteur inconnu


«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
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elaine- Messages : 2126
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Localisation : chez moi
Le malade et la fenêtre
Le malade et la fenêtre
Deux hommes, tous deux gravement malades, occupaient la même chambre d’hôpital. L’un d’eux était autorisé à s’asseoir chaque après-midi, pour aider à drainer le liquide de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre.
L’autre, devait passer ses journées, couché sur le dos.
Chaque après-midi, quand l’homme, près de la fenêtre pouvait s’asseoir, il décrivait à son compagnon tout ce qu’il voyait dehors : un parc avec un beau lac, des canards et des cygnes jouaient sur l’eau tandis que des enfants faisaient naviguer leurs bateaux modèles.
Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous au milieu des fleurs de toutes les couleurs et une belle vue sur la ville s’affichait au loin.
Comme l’homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails exquis, son compagnon fermait les yeux et imaginait cette scène pittoresque. Un après-midi chaud, l’homme, près de la fenêtre, décrivit une parade qui passait.
Bien qu’il n’entendît pas l’orchestre, l’autre homme pouvait la voir en esprit tel qu’on la lui dépeignait.
Les jours, les semaines et les mois passèrent.
Un matin, l’infirmière trouva le corps sans vie de l’homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Elle était attristée, appela les préposés pour les funérailles.
Dès que cela lui sembla approprié, l’autre homme demanda s’il pouvait être déplacé près de la fenêtre. L’infirmière accepta, s’assura qu’il était confortablement installé et le laissa seul.
Lentement, péniblement, il se redressa sur un coude pour jeter son premier regard sur ce merveilleux monde extérieur. Il s’étira pour se tourner lentement vers la fenêtre, hors du lit. Il faisait face à un mur blanc !
L’homme demanda à l’infirmière pourquoi son compagnon lui avait décrit tant de choses merveilleuses. Il apprit alors que l’homme était aveugle….
« Il y a un énorme bonheur à rendre les autres heureux, " dit-elle," la peine partagée est la moitié de la peine, mais le bonheur, lorsqu’il est partagé, est doublé ».
Jean Baptiste Le coq
Deux hommes, tous deux gravement malades, occupaient la même chambre d’hôpital. L’un d’eux était autorisé à s’asseoir chaque après-midi, pour aider à drainer le liquide de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre.
L’autre, devait passer ses journées, couché sur le dos.
Chaque après-midi, quand l’homme, près de la fenêtre pouvait s’asseoir, il décrivait à son compagnon tout ce qu’il voyait dehors : un parc avec un beau lac, des canards et des cygnes jouaient sur l’eau tandis que des enfants faisaient naviguer leurs bateaux modèles.
Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous au milieu des fleurs de toutes les couleurs et une belle vue sur la ville s’affichait au loin.
Comme l’homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails exquis, son compagnon fermait les yeux et imaginait cette scène pittoresque. Un après-midi chaud, l’homme, près de la fenêtre, décrivit une parade qui passait.
Bien qu’il n’entendît pas l’orchestre, l’autre homme pouvait la voir en esprit tel qu’on la lui dépeignait.
Les jours, les semaines et les mois passèrent.
Un matin, l’infirmière trouva le corps sans vie de l’homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Elle était attristée, appela les préposés pour les funérailles.
Dès que cela lui sembla approprié, l’autre homme demanda s’il pouvait être déplacé près de la fenêtre. L’infirmière accepta, s’assura qu’il était confortablement installé et le laissa seul.
Lentement, péniblement, il se redressa sur un coude pour jeter son premier regard sur ce merveilleux monde extérieur. Il s’étira pour se tourner lentement vers la fenêtre, hors du lit. Il faisait face à un mur blanc !
L’homme demanda à l’infirmière pourquoi son compagnon lui avait décrit tant de choses merveilleuses. Il apprit alors que l’homme était aveugle….
« Il y a un énorme bonheur à rendre les autres heureux, " dit-elle," la peine partagée est la moitié de la peine, mais le bonheur, lorsqu’il est partagé, est doublé ».
Jean Baptiste Le coq

«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
elaine- Messages : 2126
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Localisation : chez moi
Un beau jardin
Un beau jardin
Il était une fois un grand jardin, le grand jardin de ma vie. Il avait jailli, un jour d’hiver, au détour d’une rencontre.
Le papa jardin et la maman jardin avaient fait ce qu’ils croyaient le mieux à faire pour ce petit jardin inattendu. Ils lui donnèrent de l’engrais, lui apportèrent leur présence, lui proposèrent leurs attentes et leurs demandes. Ils surveillaient jalousement les pousses. Si d’aventure quelque herbe folle poussait là, elle était aussitôt arrachée.
Il fallait que tout pousse droit. Sinon, que diraient "les autres" ?
Peu de mots étaient échangés. Pour ces parents là, il n’était pas nécessaire de parler, d’exprimer. Ils avaient la croyance que tout se vit en silence, à l’intérieur, à l’abri de "l’extérieur".
Et le petit jardin avait grandi, comme cela, sans poser de questions, en jardin obéissant, sans repères, sans mots pour se dire, sans être entendu.
Plus tard, devenu grand, le jardin rencontra un jardinier extraordinaire qui avait dans son sac de fabuleux outils. Ces outils s’appelaient :
- oser se dire,
- oser dire non,
- oser recevoir,
- oser demander,
- se relier à soi,
- se relier aux autres,
- se relier à son histoire,
- utiliser les symbolisations,
- ne pas vouloir agir sur l’autre,
- agir à son bout de la relation,
- et d’autres encore...
Enfin le jardin sentit la vie venir en lui, belle, possible.
Dans sa terre, il retrouva ses demandes jamais dites, ses désirs jamais dits, ses besoins. Il entendit, derrière les souffrances, les blessures encore ouvertes. C’était tout cela qui faisait mal, qui empêchait les racines d’aller plus loin, vers l’eau, vers la vie.
Les choses changèrent quand le jardin s’autorisa enfin à être "l’auteur" de sa vie...
Des fontaines jaillirent et arrosèrent la terre. Cette terre pouvait enfin laisser venir en elle un autre regard, d’autres possibles...
Avec, au plus profond du cœur de ce jardin, une infinie tendresse, claire comme l’eau de la fontaine au printemps, lumineuse comme le soleil d’été, chaude comme l’amour offert une nuit d’hiver, légère comme un vent d’automne quand le soir tombe, une douce tendresse pour le jardinier de la vie.
Auteur inconnu
Il était une fois un grand jardin, le grand jardin de ma vie. Il avait jailli, un jour d’hiver, au détour d’une rencontre.
Le papa jardin et la maman jardin avaient fait ce qu’ils croyaient le mieux à faire pour ce petit jardin inattendu. Ils lui donnèrent de l’engrais, lui apportèrent leur présence, lui proposèrent leurs attentes et leurs demandes. Ils surveillaient jalousement les pousses. Si d’aventure quelque herbe folle poussait là, elle était aussitôt arrachée.
Il fallait que tout pousse droit. Sinon, que diraient "les autres" ?
Peu de mots étaient échangés. Pour ces parents là, il n’était pas nécessaire de parler, d’exprimer. Ils avaient la croyance que tout se vit en silence, à l’intérieur, à l’abri de "l’extérieur".
Et le petit jardin avait grandi, comme cela, sans poser de questions, en jardin obéissant, sans repères, sans mots pour se dire, sans être entendu.
Plus tard, devenu grand, le jardin rencontra un jardinier extraordinaire qui avait dans son sac de fabuleux outils. Ces outils s’appelaient :
- oser se dire,
- oser dire non,
- oser recevoir,
- oser demander,
- se relier à soi,
- se relier aux autres,
- se relier à son histoire,
- utiliser les symbolisations,
- ne pas vouloir agir sur l’autre,
- agir à son bout de la relation,
- et d’autres encore...
Enfin le jardin sentit la vie venir en lui, belle, possible.
Dans sa terre, il retrouva ses demandes jamais dites, ses désirs jamais dits, ses besoins. Il entendit, derrière les souffrances, les blessures encore ouvertes. C’était tout cela qui faisait mal, qui empêchait les racines d’aller plus loin, vers l’eau, vers la vie.
Les choses changèrent quand le jardin s’autorisa enfin à être "l’auteur" de sa vie...
Des fontaines jaillirent et arrosèrent la terre. Cette terre pouvait enfin laisser venir en elle un autre regard, d’autres possibles...
Avec, au plus profond du cœur de ce jardin, une infinie tendresse, claire comme l’eau de la fontaine au printemps, lumineuse comme le soleil d’été, chaude comme l’amour offert une nuit d’hiver, légère comme un vent d’automne quand le soir tombe, une douce tendresse pour le jardinier de la vie.
Auteur inconnu

«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
elaine- Messages : 2126
Date d'inscription : 19/01/2021
Localisation : chez moi
Avant de juger...
Avant de juger...
C'est tellement facile de trouver ce qui ne fonctionne pas
dans la vie des autres.
Nous nous disons souvent :
"Si j'étais à sa place,
je ferais telle chose, telle chose, telle chose !"
Mais avons-nous déjà pensé
que si nous étions réellement à la place de l'autre personne,
vraiment dans ses souliers,
nous serions alors aux prises avec ses émotions,
ses préjugés, ses réactions, ses inquiétudes,
ses ambitions, ses objectifs, ses inhibitions,
ses instincts, bref,
nous aurions son passé,
son présent et son avenir
et il est fort probable que nous agirions
exactement de la même façon qu'elle ?
Avant de condamner quelqu'un,
essayons non seulement de le comprendre,
mais de vibrer au même diapason que lui
et nous constaterons alors
que nos émotions ressemblent aux siennes.
Inconnu
C'est tellement facile de trouver ce qui ne fonctionne pas
dans la vie des autres.
Nous nous disons souvent :
"Si j'étais à sa place,
je ferais telle chose, telle chose, telle chose !"
Mais avons-nous déjà pensé
que si nous étions réellement à la place de l'autre personne,
vraiment dans ses souliers,
nous serions alors aux prises avec ses émotions,
ses préjugés, ses réactions, ses inquiétudes,
ses ambitions, ses objectifs, ses inhibitions,
ses instincts, bref,
nous aurions son passé,
son présent et son avenir
et il est fort probable que nous agirions
exactement de la même façon qu'elle ?
Avant de condamner quelqu'un,
essayons non seulement de le comprendre,
mais de vibrer au même diapason que lui
et nous constaterons alors
que nos émotions ressemblent aux siennes.
Inconnu

«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
mais par ceux qui les regardent sans rien faire.» (Albert Einstein)
elaine- Messages : 2126
Date d'inscription : 19/01/2021
Localisation : chez moi
Re: Recueil de belles histoires
elaine a écrit:Le malade et la fenêtre
Deux hommes, tous deux gravement malades, occupaient la même chambre d’hôpital. L’un d’eux était autorisé à s’asseoir chaque après-midi, pour aider à drainer le liquide de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre.
L’autre, devait passer ses journées, couché sur le dos.
Chaque après-midi, quand l’homme, près de la fenêtre pouvait s’asseoir, il décrivait à son compagnon tout ce qu’il voyait dehors : un parc avec un beau lac, des canards et des cygnes jouaient sur l’eau tandis que des enfants faisaient naviguer leurs bateaux modèles.
Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous au milieu des fleurs de toutes les couleurs et une belle vue sur la ville s’affichait au loin.
Comme l’homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails exquis, son compagnon fermait les yeux et imaginait cette scène pittoresque. Un après-midi chaud, l’homme, près de la fenêtre, décrivit une parade qui passait.
Bien qu’il n’entendît pas l’orchestre, l’autre homme pouvait la voir en esprit tel qu’on la lui dépeignait.
Les jours, les semaines et les mois passèrent.
Un matin, l’infirmière trouva le corps sans vie de l’homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Elle était attristée, appela les préposés pour les funérailles.
Dès que cela lui sembla approprié, l’autre homme demanda s’il pouvait être déplacé près de la fenêtre. L’infirmière accepta, s’assura qu’il était confortablement installé et le laissa seul.
Lentement, péniblement, il se redressa sur un coude pour jeter son premier regard sur ce merveilleux monde extérieur. Il s’étira pour se tourner lentement vers la fenêtre, hors du lit. Il faisait face à un mur blanc !
L’homme demanda à l’infirmière pourquoi son compagnon lui avait décrit tant de choses merveilleuses. Il apprit alors que l’homme était aveugle….
« Il y a un énorme bonheur à rendre les autres heureux, " dit-elle," la peine partagée est la moitié de la peine, mais le bonheur, lorsqu’il est partagé, est doublé ».
Jean Baptiste Le coq
Mamie- Messages : 241
Date d'inscription : 23/01/2021
Localisation : sud
Re: Recueil de belles histoires
le bonheur a les couleurs que notre esprit lui donne. Pas besoin d'être voyant pour percevoir le bonheur, il faut tout simplement le laisser entrer dans notre coeur.
Mamie- Messages : 241
Date d'inscription : 23/01/2021
Localisation : sud
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