Refrains d´hier
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La madone aux fleurs
La madone aux fleurs
- 1 -
Un soir dans Florence la belle
Nita son enfant dans ses bras
Sous l'ogive d'une chapelle
Offrait sa gerbe de lilas
Sans voir la pauvrette jolie
Les gens passaient, alors Nita
La brune fille d'Italie
Leva ses beaux yeux et chanta:
Refrain
On m'a surnommée la Madone
Parce qu'un jour sur un vitrail
Un peintre dont le nom rayonne
De mes yeux a fixé tout l'émail
Oui tout l'émail
Il a fallu qu'il m'abandonne
Et depuis, malgré ma douleur
Chacun dit: voici la Madone
Nita, l'humble madone aux fleurs.
....................................
Vaysse-Vaissade-Latorre
Interprète: Rina Ketty (1936)
Invité- Invité
La petite Tonkinoise
- 1 -
Pour que j'finisse mon service
Au Tonkin je suis parti
Ah! quel beau pays, mesdames
C'est l'paradis des p'tites femmes
Elles sont belles et fidèles
Et je suis dev'nu l'chéri
D'une petite femme du pays
Qui s'appelle Mélaoli.
Refrain
Je suis gobé d'une petite
C'est une Anna (bis) une Annamite
Elle est vive, elle est charmante
C'est comme un z'oiseau qui chante
Je l'appelle ma p'tite bourgeoise
Ma Tonki-ki, ma Tonki-ki, ma Tonkinoise
D'autres me font les doux yeux
Mais c'est elle que j'aime le mieux.
- 2 -
L'soir on cause d'un tas d'choses
Avant de se mettre au pieu
J'apprends la géographie
D'la Chine et d'la Mandchourie
Les frontières, les rivières
Le fleuve Jaune et le fleuve Bleu
Y'a même l'Amour, c'est curieux,
Qu'arrose l'Empire du Milieu.
Refrain
C'est moi qui suis sa petite
Son Anna-na, son Anna-na, son Annamite
Je suis vive, je suis charmante
Comme un p'tit z'oiseau qui chante
Il m'appelle sa p'tite bourgeoise
Sa Tonki-ki, sa Tonki-ki, sa Tonkinoise
D'autres lui font les doux yeux
Mais c'est moi qu'il aime le mieux.
- 3 -
Très gentille c'est la fille
D'un mandarin très fameux
C'est pour ça qu'sur sa poitrine
Elle a deux p'tites mandarines
Peu gourmande, elle ne d'mande
Quand nous mangeons tous les deux
Qu'une babane c'est peu coûteux
Moi j'y en donne autant qu'elle veut.
- 4 -
Mais tout passe et tout casse
En France je dus rentrer
J'avais l'coeur plein de tristesse
De quitter ma chère maîtresse
L'âme en peine, ma p'tite reine
Était v'nue m'accompagner
Mais avant d'nous séparer
Je lui dis dans un baiser:
Dernier refrain:
Ne pleure pas si je te quitte
Petite Anna (bis) p'tite Annamite
Tu m'as donné ta jeunesse
Ton amour et tes caresses
Tu étais ma p'tite bourgeoise
Ma Tonki-ki, ma Tonki-ki, ma Tonkinoise
Dans mon coeur j'gard'rai toujours
Le souv'nir de nos amours.
Paroles: Villard et Christiné
Musique: Vincent Scotto
Interprète: Maurice Chevalier
Invité- Invité
La tendresse
La tendresse
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y'en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas.
- 2 -
On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien
Être inconnu dans l'histoire
Et s'en trouver bien
Mais vivre sans tendresse
Il n'en est pas question
Non, non, non, non
Il n'en est pas question.
Quelle douce faiblesse
Quel joli sentiment
Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant
Vraiment, vraiment, vraiment.
..................................
Noël Roux, Hubert Giraud (1963)
Interprète: Bourvil
Invité- Invité
La Paimpolaise
La Paimpolaise
Quittant ses genêts et sa lande
Quand le Breton se fait marin
En allant aux pêches d'Islande
Voici quel est le doux refrain
Que le pauvre gars
Fredonne tout bas:
J'aime Paimpol et sa falaise
Son église et son grand pardon
J'aime surtout la Paimpolaise
Qui m'attend au pays breton.
Guidé par la petite étoile
Le vieux patron d'un air très fin
Dit souvent que sa blanche voile
Semble l'aile d'un séraphin
Et le pauvre gars
Fredonne tout bas:
Ta voilure mon vieux Jean-Blaise
Est moins blanche au mât d'artimon
Que la coiffe à la Paimpolaise
Qui m'attend au pays breton.
Mais souvent l'océan qu'il dompte
Se réveille lâche et cruel
Et lorsque le soir on se compte
Bien des noms manquent à l'appel
Et le pauvre gars
Fredonne tout bas:
Pour aider la marine anglaise
Comme il faut plus d'un moussaillon
J'en f'rons deux à ma Paimpolaise
En rentrant au pays breton.
Puis quand la vague le désigne
L'appelant de sa grosse voix
Le brave Islandais se résigne
En faisant un signe de croix
Et le pauvre gars
Quand vient le trépas.
Serrant la médaille qu'il baise
Glisse dans l'océan sans fond
En songeant à la Paimpolaise
Qui l'attend au pays breton.
Paroles: Théodore Botrel
Musique: E. Feautier
Interprète: Jean Lumière (1946)
Invité- Invité
la petite diligence
la petite diligence
- 1 -
Mon arrière-grand-mère m'a conté
L'histoire de son mariage
C'est un beau roman du temps passé
Qui débuta au cours d'un voyage
En ce temps-là pour aller loin
On connaissait à peine le train
Et l'on trouvait déjà bien beau
La voiture et les chevaux.
Refrain
La petite diligence
Sur les beaux chemins de France
S'en allait en cahotant
Voyageurs toujours contents
Il y avait un vieux notaire
Un curé et son bréviaire
Une fille à marier
Un monsieur très distingué.
Le notaire dormait
Le curé priait
La belle rougissait en silence
Le monsieur parlait
Et lui récitait
Des rondeaux et des sonnets.
La petite diligence
Sur les beaux chemins de France
S'en allait en cahotant
Par la pluie et le beau temps.
-2-
Lorsque les chevaux péniblement
Avaient fait trente kilomètres
À l'hostellerie du Cheval Blanc
On passait la nuit pour s'en remettre
Pour aller de Paris à Tours
Il fallait bien au moins huit jours
Évidemment ça donnait l' temps
De se connaître amplement.
Refrain
Interprète: André Claveau
Invité- Invité
Luis Mariano - Quand on est deux amis (Bourvil)
Quand on est deux amis
Quand on est deux amis
Et que toujours unis
Sur le même chemin
On va main dans la main
On arrive à bon port
Et l'on est bien plus fort
Pour lutter contre les coups du sort.
Dans les plus mauvais jours
Comme dans les beaux jours
L'amitié vaut bien mieux que l'amour
On est toujours d'accord
À la vie à la mort
Quand on est quand on est deux amis.
Nous sommes nés dans le même village
Le même jour, dans la même maison,
Nous avons fait depuis notre jeune âge
Les mêmes pas vers le même horizon
Quand nous étions écoliers
- J'étais premier - J'étais dernier
Et plus tard au régiment
- J'étais troufion - J'étais sergent
Même en amour c'est la même chanson
- On me dit oui - On me dit non
Mais nous ne pourrions pas vivre, je crois,
- Ni toi sans moi - Ni toi sans moi.
Quand on est deux amis
Et que toujours unis
Sur le même chemin
On va main dans la main
On arrive à bon port
Et l'on est bien plus fort
Pour lutter contre les coups du sort.
(musique)
Dans les plus mauvais jours
Comme dans les beaux jours
L'amitié vaut bien mieux que l'amour
On est toujours d'accord
À la vie à la mort
Quand on est quand on est deux amis.
R. Vincy / F. Lopez (1951)
Interprète: Luis Mariano
De l'opérette: Le chanteur de Mexico
Invité- Invité
Nini peau d'chien
Nini peau d'chien
Quand elle était p'tite
Le soir elle allait
À Saint'-Marguerite
Où qu'a s'dessalait:
Maint'nant qu'elle est grande
Elle marche le soir
Avec ceux d'la bande
Du Richard-Lenoir
À la Bastille
On aime bien
Nini-Peau-d'chien:
Elle est si bonne et si gentille!
On aime bien
Nini-Peau-d'chien,
À la bastille
Elle a la peau douce,
Aux taches de son,
À l'odeur de rousse
Qui donne un frisson,
Et de sa prunelle,
Aux tons vert-de-gris,
L'amour étincelle
Dans ses yeux d'souris.
À la Bastille
On aime bien
Nini-Peau-d'chien:
Elle est si bonne et si gentille!
On aime bien
Nini-Peau-d'chien,
À la bastille
Quand le soleil brille
Dans ses…
Interprête: Aristide Bruant
Invité- Invité
C'est vrai
C'est vrai
Oui c'est moi me voila je m'ramène
J'ai vu London j'ai vu Turin
L'Autriche-Hongrie
Mais de Vienne il fallait que j'revienne
Car je n'peux pas moi je vous l'dis
M'passer de Paris
Ce Paris qui pourtant vous chine tant et tant
On dit que j'aime les aigrettes
Les plumes et les toilettes
C'est vrai
On dit que j'ai la voix qui traîne
En chantant mes rengaines
C'est vrai
Lorsque ça monte trop haut moi je m'arrête
Et d'ailleurs on n'est pas ici à l'Opéra
On dit que j'ai l'nez en trompette
Mais j'serais pas Mistinguett
Si j'étais pas comme ça
Que c'est bon quand on vient d'Amsterdam
Et qu'on a vu pendant des mois des tas d'pays
De retrouver le macadam de Paname
Ses autobus et son métro et ses taxis
Paris et ses boulevards avec tous ses bobards
On dit que j'ai de grandes quenottes
Que je n'ai que trois notes
C'est vrai
On dit que j'aime jouer les arpètes
Les marchandes de violettes
C'est vrai
Mais ne voulant pas chiper aux grandes coquettes
Leur dame aux camélias moi j'vends mes bégonias
On dit que j'ai de belles gambettes
Mais j'serais pas Mistinguett
Si j'étais pas comme ça
On dit quand je fais mes emplettes
Que j'paye pas c'que j'achète
C'est vrai
On dit partout et l'on répète
Que j'lâche pas mes pépettes
C'est vrai
Mais si elle faisait comme moi pour sa galette
Marianne n'aurait pas un budget aussi bas
Et si l'on mettait à la tête des finances Mistinguett
On en serait pas là!
Interprète: Mistinguette
Invité- Invité
La plus bath des javas
La plus bath des javas
Je vais vous raconter
Une histoire arrivée
A Nana et Julot-Gueul'-d'Acier
Pour vous raconter ça,
Il fallait un' java,
J'en ai fait un' bath, écoutez-là.
Mais j'vous préviens surtout,
J'suis pas poèt' du tout,
Mes couplets n'rim'nt pas bien,
Mais j'm'en fous !
Refrain :
L'grand Julot et Nana,
Sur un air de Java,
S'connur'nt au bal musett',
Sur un air de javette.
Ell' lui dit : "J'ai l'béguin "
Sur un air de javin,
Il répondit : " Tant mieux "
Sur un air déjà vieux.
Ah ! Ah ! Ah ! Ah !
Ecoutez ça si c'est chouette !
Ah ! Ah ! Ah ! Ah !
C'est la plus bath des javas.
.......................................
Interprète Georgius
Invité- Invité
Re: Refrains d´hier
Nestor a écrit:Toute ma jeunesse ... j'adoreeee !!
Tu rigoles, non. 1932 toute ta jeunesse
Invité- Invité
Re: Refrains d´hier
elaine a écrit:Nestor a écrit:Toute ma jeunesse ... j'adoreeee !!
Tu rigoles, non. 1932 toute ta jeunesse
Rireee ...oui elaine en effet !
En fait j'aime trop cette chanson
Invité- Invité
Re: Refrains d´hier
Je peux comprendre que ce ne soit pas votre gout à vous les jeunes mais je les ai tant de fois entendu par ma mère que je les connais presque toutes par coeur et puis j´aime aussi contrairement à ce qui ce chante actuellement. Les refrains d´hier c´étaient pratiquement des poèmes chantés ou des histoires sur la vie.Nestor a écrit:J'en ai écouté qqs unes de ton fil ..
Ecoute celle là j´aime tellement.
Les feuilles mortes - Poéme de Jacques Prévert
Chanté par Yves Montand.
Invité- Invité
Re: Refrains d´hier
Ne crois pas ça elaine .. perso j'aime beaucoup .
Et les paroles avaient du sens ce qui n'est plus vraiment le cas aujourd'hui .
Et les paroles avaient du sens ce qui n'est plus vraiment le cas aujourd'hui .
Invité- Invité
Dans la vie faut pas s'en faire
" Dans la vie faut pas s'en faire " opérette filmée " Dédé " 1934
En sortant du trente et quarante
Je ne possédais plus un radis
De l'héritage de ma tante
Tout autre que moi se serait dit
Je vais me faire sauter la cervelle
Me suicider d'un coup de couteau
M'empoisonner me fiche à l'eau
Enfin des morts bien naturelles
Mais voulant finir en beauté
Je me suis tué à répéter :
Dans la vie faut pas s'en faire
Moi je ne m'en fais pas
Toutes ces petites misères
Seront passagères
Tout ça s'arrangera
Je n'ai pas un caractère
A me faire du tracas
Croyez-moi sur terre
Faut jamais s'en faire
Moi je ne m'en fais pas
Je rentre à Paris mais mon notaire
M'annonce : votre père plein d'attention
Vous colle un conseil judiciaire
Et vingt-cinq louis par mois de pension
Et comme je ne vois plus personne
Dont vous puissiez être héritier
Faut travailler prendre un métier
C'est le conseil que je vous donne
Je lui dis comment ?
Vous voudriez que je vole le pain d'un ouvrier
Dans la vie faut pas s'en faire
Moi je ne m'en fais pas
Ces petites misères
Seront passagères
Tout ça s'arrangera
Je n'ai pas un caractère
A me faire du tracas
Croyez-moi sur terre
Faut jamais s'en faire
Moi je ne m'en fais pas
Interprète: Albert Préjean
En sortant du trente et quarante
Je ne possédais plus un radis
De l'héritage de ma tante
Tout autre que moi se serait dit
Je vais me faire sauter la cervelle
Me suicider d'un coup de couteau
M'empoisonner me fiche à l'eau
Enfin des morts bien naturelles
Mais voulant finir en beauté
Je me suis tué à répéter :
Dans la vie faut pas s'en faire
Moi je ne m'en fais pas
Toutes ces petites misères
Seront passagères
Tout ça s'arrangera
Je n'ai pas un caractère
A me faire du tracas
Croyez-moi sur terre
Faut jamais s'en faire
Moi je ne m'en fais pas
Je rentre à Paris mais mon notaire
M'annonce : votre père plein d'attention
Vous colle un conseil judiciaire
Et vingt-cinq louis par mois de pension
Et comme je ne vois plus personne
Dont vous puissiez être héritier
Faut travailler prendre un métier
C'est le conseil que je vous donne
Je lui dis comment ?
Vous voudriez que je vole le pain d'un ouvrier
Dans la vie faut pas s'en faire
Moi je ne m'en fais pas
Ces petites misères
Seront passagères
Tout ça s'arrangera
Je n'ai pas un caractère
A me faire du tracas
Croyez-moi sur terre
Faut jamais s'en faire
Moi je ne m'en fais pas
Interprète: Albert Préjean
Invité- Invité
Ne rendez pas les hommes fous
Ne rendez pas les hommes fous
Leur pauvre cœur est un joujou
Qui dans vos mains de femme exquise
Tourne, chancelle et puis se brise
Belle prenez bien garde à vous
Les fous parfois se rient de tout
En un jour de folie
On peut briser sa vie
Dans la villa de la belle mondaine
Ce soir on danse, de la fête, elle est reine
Et se raillant de son amant jaloux
A tous les hommes elle fait les yeux doux
Dans le jardin rêvant parmi les roses
Un étranger s'approche et dit : oui j'ose
Vous dire Ninon que votre grande beauté
N'a jamais fait que souffrir et pleurer
Ecoutez bien par ce soir de printemps
Cette chanson que vous chante un passant
Ne rendez pas les hommes fous
Leur pauvre cœur est un joujou
Qui dans vos mains de femme exquise
Tourne, chancelle et puis se brise
Et je m'en vais bien loin de vous
Guérir mon pauvre cœur jaloux
Vers la rive fleurie
Où tout passe et s'oublie
…........
Interprète: Anny Flore
Invité- Invité
Pardonne-moi - Tango - 1939
Pardonne-moi
Si je n'ai pas su te comprendre
J'avais dans mon coeur tendre
Pourtant beaucoup d'amour pour toi
Pardonne-moi
D'avoir brisé notre beau rêve
Le mien pour qu'il s'achève
Plus merveilleux qu'autre fois
A jamais dévoilées toutes mes pensées
Dans les soirs solitaires
Porte ma prière
Pardonne moi
Mon coeur est triste et te supplie
Reprend le dans ta vie
Chéri pardonne moi
Je me riais de tes aveux, de tes soupires
Et sans comprendre je te faisais souffrir
L'amour qui vibrait dans ton coeur s'installe
Je l'ai lassé sans chercher à lui plaire
J'ai bien pleuré depuis le soir de l'abandon
Toutes mes larmes n'ont pas trouvé ton pardon
Mais laisse-moi dire encore "je t'aime"
Pardonne ma folie extrême
Refrain
A jamais dévoilées toutes mes pensées
Dans les soirs solitaires
Porte ma prière
Pardonne moi
Mon coeur est triste et te supplie
Reprend le dans ta vie
Chéri pardonne moi
Interprète Rina Ketty
Invité- Invité
Re: Refrains d´hier
Ben Elaine,tu m'aurais demandé de quelles chansons je me souvenais,je t'aurais dit Rossi,Plana,Lumière,et puis ensuite les Mariano ,Bourvil,Et Bécaud (qui a bousculé sacrément la variété française) Brel,Brassens.......et arrivent les yéyés..........et puis le disco!
Mais au fur et à mesure que tu poste,tout me revient,paroles et musique!
Viens...........de Bécaud
[size=undefined]Gilbert Bécaud[/size]
[size=undefined]VIENS[/size]
La pluie ne cesse de tomber
Allez viens plus près ma mie
Si l'orage te fais trembler
Allez viens plus près ma mie
Le vent qui chasse du ciel lourd
Les nuages gris
Ne peut rien contre mon amour
Et toute la nuit
Viens plus près, plus près de mon coeur
Là, tout contre moi
Et si l'orage te fais peur
Dors entre mes bras
Je t'embrasserai, te parlerai
T'apporterai le réconfort
Allez viens
Nous resterons là, seuls ici bas
Que toi et moi, corps contre corps
Allez viens
Quand le soleil se lèvera
Je le sais trop bien
Comme la pluie tu partiras
Quand on est si bien
Dans cette grange
Étendons-nous sur les blés murs
Le destin a des idées étranges
Quand les éclairs déchirent l'azur
Vois, tu frissonnes
Pourtant tu veux partir déjà
Mais nous ne sommes attendus de personne
Et le ciel nous dit de rester là
La pluie ne cesse de tomber
Allez viens plus près ma mie
Si l'orage te fais trembler
Allez viens plus près ma mie
Le vent qui chasse du ciel lourd
Les nuages gris
Ne peut rien contre mon amour
Et toute la nuit
Viens plus près, plus près de mon coeur
Là, tout contre moi
Et si l'orage te fais peur
Dors entre mes bras
Je t'embrasserai, te parlerai
T'apporterai le réconfort
Allez viens
Nous resterons là, seuls ici bas
Que toi et moi, corps contre corps
Allez viens
Quand le soleil se lèvera
Je le sais trop bien
Comme la pluie tu partiras
Quand on est si bien
Mais au fur et à mesure que tu poste,tout me revient,paroles et musique!
Viens...........de Bécaud
[size=undefined]Gilbert Bécaud[/size]
[size=undefined]VIENS[/size]
La pluie ne cesse de tomber
Allez viens plus près ma mie
Si l'orage te fais trembler
Allez viens plus près ma mie
Le vent qui chasse du ciel lourd
Les nuages gris
Ne peut rien contre mon amour
Et toute la nuit
Viens plus près, plus près de mon coeur
Là, tout contre moi
Et si l'orage te fais peur
Dors entre mes bras
Je t'embrasserai, te parlerai
T'apporterai le réconfort
Allez viens
Nous resterons là, seuls ici bas
Que toi et moi, corps contre corps
Allez viens
Quand le soleil se lèvera
Je le sais trop bien
Comme la pluie tu partiras
Quand on est si bien
Dans cette grange
Étendons-nous sur les blés murs
Le destin a des idées étranges
Quand les éclairs déchirent l'azur
Vois, tu frissonnes
Pourtant tu veux partir déjà
Mais nous ne sommes attendus de personne
Et le ciel nous dit de rester là
La pluie ne cesse de tomber
Allez viens plus près ma mie
Si l'orage te fais trembler
Allez viens plus près ma mie
Le vent qui chasse du ciel lourd
Les nuages gris
Ne peut rien contre mon amour
Et toute la nuit
Viens plus près, plus près de mon coeur
Là, tout contre moi
Et si l'orage te fais peur
Dors entre mes bras
Je t'embrasserai, te parlerai
T'apporterai le réconfort
Allez viens
Nous resterons là, seuls ici bas
Que toi et moi, corps contre corps
Allez viens
Quand le soleil se lèvera
Je le sais trop bien
Comme la pluie tu partiras
Quand on est si bien
Invité- Invité
Re: Refrains d´hier
Zerbinette a écrit:Ben Elaine,tu m'aurais demandé de quelles chansons je me souvenais,je t'aurais dit Rossi,Plana,Lumière,et puis ensuite les Mariano ,Bourvil,Et Bécaud (qui a bousculé sacrément la variété française) Brel,Brassens.......et arrivent les yéyés..........et puis le disco!
Mais au fur et à mesure que tu poste,tout me revient,paroles et musique!
Viens...........de Bécaud
Invité- Invité
Re: Refrains d´hier
Mais Zerbi, ce fil est ouvert à tous. Tu peux y poster toutes les chansons de ton enfance et surtout celles que chantait ta mère.
Invité- Invité
Trois petites notes de musique
Trois petites notes de musique
Trois petites notes de musique
Ont plié boutique
Au creux du souvenir
C'en est fini de leur tapage
Elles tournent la page
Et vont s'endormir
Mais un jour sans crier gare
Elles vous reviennent en mémoire
Toi, tu voulais oublier
Un p'tit air galvaudé
Dans les rues de l'été
Toi, tu n'oublieras jamais
Une rue, un été
Une fille qui fredonnait
La, la, la, la, je vous aime
Chantait la rengaine
La, la, mon amour
Des paroles sans rien de sublime
Pourvu que la rime
Amène toujours
......................................
Interprète: Yves Montand
Invité- Invité
derrière les volets
Derrière les volets
Dans la petite rue de ma petite ville,
De l'aurore à la nuit, les volets des maisons
Restent à demi clos et des vieilles tranquilles,
Derrière ces volets, depuis tant de saisons,
Ecoutent s'écouler des heures si pareilles
Que, tricotant leurs bas ou disant leur Avé,
Sans même se pencher, rien qu'en tendant l'oreille,
Elles savent les pas qui frappent le pavé.
Car depuis des années on entend la laitière,
Toujours à la même heure, arriver le matin
Et monsieur le curé, sortir du presbytère,
Tandis que dans la rue s'ouvrent les magasins.
Derrière les volets de ma petite ville,
Des vieilles en bonnet vivent tout doucement
Et, comme un chapelet entre leurs mains dociles,
Les mois et les saisons s'égrènent lentement.
Quand l'angélus du soir troublera l'air tranquille,
Elles se signeront et, sans faire de bruit,
Elles enfermeront le silence et la nuit
Derrière les volets de ma petite ville.
Et plus tard quand, lassé de gaspiller ma vie,
Je laisserai mon cœur écouter ma raison,
J’irai me reposer sans regret, sans envie,
Derrière les volets de ma vieille maison.
J’éviterai surtout d’être un vieillard morose,
J’aurai beaucoup appris, ayant les cheveux blancs.
Je me dirai : La vie dépend de tant de choses
Qu’aux fautes du prochain, il faut être indulgent.
Avec moi, les enfants pourront tout se permettre
Je serai faible et bon avec les amoureux
Et je leur sourirai, le soir, de ma fenêtre,
Songeant au bon vieux temps où je faisais comme eux.
Derrière les volets de ma petite ville,
Un jour, je m'en irai vieillir tout doucement,
Et je me souviendrai d'histoires puériles
Que je raconterai aux tout petits enfants.
Quand l'angélus du soir troublera l’air tranquille,
Je m'enfermerai seul avec mes souvenirs
Puis un jour, doucement, me laisserai mourir
Derrière les volets de ma petite ville.
Interprète: Guy Berry 1933
Invité- Invité
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