L'Argentine noire et blanche

Avoir toutes les cartes en main et donc tous les bilans comptables pour pouvoir parler d'une politique nationale.

Une partie argentine au noir car une situation économique nationale qui n'arrive pas encore à faire autrement. Néanmoins, une politique tout en haut de l'état qui a sa propre logique en partant du principe que tout est connu. Y a-t-il en Argentine une grosse bulle homo-bourgeoise qui se la joue "américaine" après bien des faveurs aussi en Espagne et à Paris par exemple ? Javier Milei avec sa politique qui a peut-être non pas des faiblesses ou des fuites mais des bulles richement garnies malodorantes encore et toujours séparées des réalités financières nationales. L'effort collectif sous une politique clairement affichée, et des manoeuvres peut-être moins connues et moins nationales rappelant les pas de danse frelatée avec Carlos Menem.

L'Argentine rigoureuse autour de Javier Milei, avec quelle autre Argentine moins partageuse et nettement moins connue qui ne monte pas volontiers à l'étage supérieur pour rejoindre une situation plus en rapport avec une jouissance éventuellement aussi internationale basée sur une vérité totale même à Mendoza ?