Guerre en Ukraine, la petite histoire
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Re: Guerre en Ukraine, la petite histoire
Diviciac a écrit: Le plus horrible est que Zelinski se dit désormais prêt à négocier sur la reconnaissance de la Crimée russe et l'autonomie des provinces du Donbass conformément aux accords de Minsk.
Pourquoi a t-il fallu en arriver là pour ça ?
Si la Russie perd : la faute de Poutine, si la Russie gagne : celle de Zelinski.
Tu n'en démords pas ... Poutine bénéficierait de circonstances atténuantes ...
Re: Guerre en Ukraine, la petite histoire
. Poutine bénéficierait de circonstances atténuantes ...
Invité- Invité
Re: Guerre en Ukraine, la petite histoire
Les accords de Minsk prévoyaient ( entre autres) le retrait immédiat des troupes et mercenaires russes occupant les provinces ukrainiennes et le retour à la souveraineté de l'Ukraine sur sa frontière avec la Russie. Ces décisions n'ont pas été respectées, au contraire Poutine a accru la pression militaire en utilisant, déjà, des armes extrêmement destructrices. Que l'Ukraine n'ait pas, de son côté, respecté les accords peut se comprendre dans ces circonstances. Il ne faut pas oublier que les russes ont pénétré militairement dans le Donbass dès aout 2014 soit avant la signature des accords ce qui constitue une agression délibérée que rien ne peut justifier, pas même le soi-disant souhait d'autonomie d'une partie des populations concernées. En effet si négociations il devait y avoir concernant une éventuelle autonomie elles ne pouvaient se tenir qu'entre les représentants du Donbass et l'Ukraine, la Russie n'avait rien à y voir.Diviciac a écrit: Le plus horrible est que Zelinski se dit désormais prêt à négocier sur la reconnaissance de la Crimée russe et l'autonomie des provinces du Donbass conformément aux accords de Minsk.
Pourquoi a t-il fallu en arriver là pour ça ?
Si la Russie perd : la faute de Poutine, si la Russie gagne : celle de Zelinski.
Quelle que soit l'issue de la guerre la responsabilité en incombe à Poutine et à lui seul.
Je ne peux pas tout, je ne réussis pas tout mais je refuse de m'y résoudre. Emmanuel Macron.
Fontsestian- Messages : 11123
Date d'inscription : 11/06/2018
Age : 78
Localisation : Provence
Re: Guerre en Ukraine, la petite histoire
des armes extrêmement destructrices
des armes constructives ,c'est rare.......
des armes constructives ,c'est rare.......
Invité- Invité
Re: Guerre en Ukraine, la petite histoire
Depuis les media arabes, indiens et anglo-saxons.
Marioupol, Kiev, Mykolaiv, Irpin.
Marioupol, Kiev, Mykolaiv, Irpin.
Invité- Invité
Re: Guerre en Ukraine, la petite histoire
Sur ces photos aussi, on voit bien que c'est Macron qui préside l'UE.Horiel a écrit:Vous connaissez sans doute certaines de ces photos.
On va éviter le gore, si vous suivez des medias étrangers, vous savez qu'il y a des images pires que celles-ci.
Quand je les regarde, je pense à ceux qui palabrent avec beaucoup d'abstraction de la guerre. Pas avec beaucoup de sympathie, je dois dire.
Marioupol, Irpin, Tchouhouïv, Bucha, Kiev.
Diviciac- Messages : 43162
Date d'inscription : 02/07/2017
Localisation : IdF et Morvan
Re: Guerre en Ukraine, la petite histoire
Diviciac a écrit:Sur ces photos aussi, on voit bien que c'est Macron qui préside l'UE.
Je vous renvoie à ma réponse sur votre fil, à ce sujet.
Moi, ça ne me fait pas beaucoup rigoler et pourtant, chuis bon public.
Invité- Invité
Re: Guerre en Ukraine, la petite histoire
Une des meilleurs armes utilisée dans une guerre ,est la propagande.....Il y a la réalité bien sur .....et également le suréalisme subjectif.
Invité- Invité
Re: Guerre en Ukraine, la petite histoire
En effet mais en Ukraine Poutine utilise des armes comme le TOS -2 considéré par l'OTAN comme l'arme non nucléaire la plus destructrice. Il s'agit d'un lance-roquettes lourd monté sur camion et capable de tirer des munitions thermobariques.Francelibre a écrit:des armes extrêmement destructrices
des armes constructives ,c'est rare.......
Je ne peux pas tout, je ne réussis pas tout mais je refuse de m'y résoudre. Emmanuel Macron.
Fontsestian- Messages : 11123
Date d'inscription : 11/06/2018
Age : 78
Localisation : Provence
Re: Guerre en Ukraine, la petite histoire
Evidemment. Cependant ce que l'on peut vérifier chaque jour est la capacité de propagande poutinienne à travers ses nombreux relais occidentaux. Mélenchon et les mélenchonistes, Zemmour et le zémmouroïdes, Le Pen et les lepénistes se font les relais zélés des mensonges russes et ainsi participent activement à la guerre contre l'Ukraine et l'Occident.Francelibre a écrit:Une des meilleurs armes utilisée dans une guerre ,est la propagande.....Il y a la réalité bien sur .....et également le suréalisme subjectif.
Je ne peux pas tout, je ne réussis pas tout mais je refuse de m'y résoudre. Emmanuel Macron.
Fontsestian- Messages : 11123
Date d'inscription : 11/06/2018
Age : 78
Localisation : Provence
Re: Guerre en Ukraine, la petite histoire
bonjour fontsestianFontsestian a écrit:En effet mais en Ukraine Poutine utilise des armes comme le TOS -2 considéré par l'OTAN comme l'arme non nucléaire la plus destructrice. Il s'agit d'un lance-roquettes lourd monté sur camion et capable de tirer des munitions thermobariques.Francelibre a écrit:des armes extrêmement destructrices
des armes constructives ,c'est rare.......
oui...et ?
on investi de l'argent dans la recherche et la fabrication d'armes.
ne pas s'en servir quand on en a besoin...est une faute tactique
l'occident avait moins de pudeur d'utiliser les munitions à l'uranium appauvri lors de irak91 et contre la serbie
Antichrist- Messages : 4012
Date d'inscription : 28/05/2019
Re: Guerre en Ukraine, la petite histoire
Les Ukrainiens et leurs armes de pointe.
A priori, ils visent bien.
Les images suivantes sont extraites d'un slideshow Reuters et divers media anglo saxons.
A priori, ils visent bien.
Les images suivantes sont extraites d'un slideshow Reuters et divers media anglo saxons.
Invité- Invité
Re: Guerre en Ukraine, la petite histoire
Exact mais dans ma réponse je voulais montrer que si toutes les armes sont destructives elles n'ont pas toutes la même capacité.Antichrist a écrit:bonjour fontsestianFontsestian a écrit:
En effet mais en Ukraine Poutine utilise des armes comme le TOS -2 considéré par l'OTAN comme l'arme non nucléaire la plus destructrice. Il s'agit d'un lance-roquettes lourd monté sur camion et capable de tirer des munitions thermobariques.
oui...et ?
on investi de l'argent dans la recherche et la fabrication d'armes.
ne pas s'en servir quand on en a besoin...est une faute tactique
l'occident avait moins de pudeur d'utiliser les munitions à l'uranium appauvri lors de irak91 et contre la serbie
Je ne peux pas tout, je ne réussis pas tout mais je refuse de m'y résoudre. Emmanuel Macron.
Fontsestian- Messages : 11123
Date d'inscription : 11/06/2018
Age : 78
Localisation : Provence
Re: Guerre en Ukraine, la petite histoire
Fontsestian a écrit:Exact mais dans ma réponse je voulais montrer que si toutes les armes sont destructives elles n'ont pas toutes la même capacité.Antichrist a écrit:
bonjour fontsestian
oui...et ?
on investi de l'argent dans la recherche et la fabrication d'armes.
ne pas s'en servir quand on en a besoin...est une faute tactique
l'occident avait moins de pudeur d'utiliser les munitions à l'uranium appauvri lors de irak91 et contre la serbie
La mise au point s'imposait .
Voilà une judicieuse remarque qui éclairera ceux qui pouvaient confondre la sagaie du paléolithique et les missiles nucléaires .
Diviciac- Messages : 43162
Date d'inscription : 02/07/2017
Localisation : IdF et Morvan
Re: Guerre en Ukraine, la petite histoire
Alors "guerre", c'est verboten, "morts", y en a quasiment pas, mais ça commence quand même à fuiter, en Russie...
Invité- Invité
Re: Guerre en Ukraine, la petite histoire
Horiel a écrit:Alors "guerre", c'est verboten, "morts", y en a quasiment pas, mais ça commence quand même à fuiter, en Russie...
Ben mince alors !
Et dire que votre joli président avait obtenu des garanties de Poutine: à qui se fier ?
Macron révèle les « garanties » de Poutine (newsnet.fr)
Diviciac- Messages : 43162
Date d'inscription : 02/07/2017
Localisation : IdF et Morvan
Re: Guerre en Ukraine, la petite histoire
Diviciac a écrit:Horiel a écrit:Alors "guerre", c'est verboten, "morts", y en a quasiment pas, mais ça commence quand même à fuiter, en Russie...
Ben mince alors !
Et dire que votre joli président avait obtenu des garanties de Poutine: à qui se fier ?
Macron révèle les « garanties » de Poutine (newsnet.fr)
Et votre chouchou soviétique a démenti ?
Non, n'est-ce pas ?
Ah quand on a été biberonné au communisme, ça laisse des traces malsaines, hein !
Invité- Invité
Re: Guerre en Ukraine, la petite histoire
Pourquoi oublier les accords de 1994 ?
Guerre en Ukraine : qu’est-ce que le mémorandum de Budapest, censé garantir l’intégrité de l’Ukraine ?
Les faits
Signé en 1994, cet accord diplomatique engage les États-Unis, le Royaume-Uni et la Russie à respecter l’indépendance de l’Ukraine en échange du retrait de l’arme atomique du territoire de cette dernière.
Le mémorandum de Budapest a été signé le 5 décembre 1994 par l’Ukraine, la Fédération de Russie, les États-Unis et le Royaume-Uni. La France et la Chine le rejoignent plus tard. En échange de la dénucléarisation de l’Ukraine et de son adhésion au traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), cet accord prévoit que toutes les parties s’engagent à « respecter son indépendance, sa souveraineté et ses frontières existantes ».
Les trois nations réaffirment par la même occasion « leur obligation de s’abstenir de recourir à la menace ou à l’emploi de la force contre l’intégrité territoriale ou l’indépendance politique de l’Ukraine, et qu’aucune de leurs armes ne soit utilisée contre l’Ukraine, si ce n’est en légitime défense ». Deux accords identiques sont signés la même année avec la Biélorussie et le Kazakhstan.
→ À LIRE. Guerre en Ukraine : l’ordre de sécurité européen profondément déstabilisé par Moscou
Le mémorandum a mis du temps à voir le jour. Sous la pression de l’Ukraine, les négociations entamées en 1992 patinent longtemps. Kiev souhaite en effet retirer du démantèlement de son arsenal nucléaire des bénéfices économiques.
► Dans quel contexte est-il signé ?
Tout commence à la chute de l’URSS en 1991, lorsque les anciennes républiques soviétiques retrouvent leur indépendance. L’arsenal atomique soviétique se retrouve alors éparpillé dans quatre pays : la Russie, l’Ukraine, la Biélorussie et le Kazakhstan. Ne souhaitant pas voir se multiplier le nombre de pays dotés de l’arme nucléaire, les États-Unis exigent le retrait des armes atomiques du territoire des nations anciennement placées dans le giron de Moscou.
L’Ukraine, devenue à la chute de l’URSS la troisième puissance nucléaire mondiale après les Américains et les Russes, négocie une aide pour couvrir les coûts du démantèlement en échange du transfert de plus de 4 000 ogives nucléaires vers la Fédération de Russie. Une partie de l’uranium contenu dans les armes lui sera cependant restituée afin de servir de combustible dans ses centrales.
► Quelle est la portée de ce mémorandum ?
En violant l’intégrité territoriale ukrainienne, l’invasion russe enfreint donc bel et bien le [url=https://treaties.un.org/doc/Publication/UNTS/Volume 3007/Part/volume-3007-I-52241.pdf]mémorandum de Budapest[/url]. Cependant, contrairement à ce qu’affirme le président Zelensky, une intervention militaire des parties engagées dans le traité aux côtés de l’Ukraine n’est pas garantie par le texte.
En effet, l’accord passé ne semble pas contraindre la France, les États-Unis, le Royaume-Uni ou la Chine à se porter au militairement secours de l’agressée. Selon l’article 5 du mémorandum, les signataires « réaffirment leur engagement de demander au Conseil de sécurité (de l’ONU) d’intervenir immédiatement pour venir en aide à l’Ukraine, en tant qu’État non doté d’armes nucléaires (…), si celle-ci faisait l’objet d’une agression ou d’une menace d’agression faisant appel à l’arme nucléaire ». La Russie n’ayant pas recours à l’usage ni à la menace d’employer une bombe atomique en Ukraine, une intervention militaire n’est pas induite par le mémorandum.
Enfin, l’application des traités internationaux, et a fortiori des mémorandums, n’est garantie que par la bonne volonté de ses signataires. Aucune organisation internationale n’a autorité pour arbitrer la rupture d’un tel texte par l’une des parties.
Guerre en Ukraine : qu’est-ce que le mémorandum de Budapest, censé garantir l’intégrité de l’Ukraine ?
Les faits
Signé en 1994, cet accord diplomatique engage les États-Unis, le Royaume-Uni et la Russie à respecter l’indépendance de l’Ukraine en échange du retrait de l’arme atomique du territoire de cette dernière.
Le mémorandum de Budapest a été signé le 5 décembre 1994 par l’Ukraine, la Fédération de Russie, les États-Unis et le Royaume-Uni. La France et la Chine le rejoignent plus tard. En échange de la dénucléarisation de l’Ukraine et de son adhésion au traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), cet accord prévoit que toutes les parties s’engagent à « respecter son indépendance, sa souveraineté et ses frontières existantes ».
Les trois nations réaffirment par la même occasion « leur obligation de s’abstenir de recourir à la menace ou à l’emploi de la force contre l’intégrité territoriale ou l’indépendance politique de l’Ukraine, et qu’aucune de leurs armes ne soit utilisée contre l’Ukraine, si ce n’est en légitime défense ». Deux accords identiques sont signés la même année avec la Biélorussie et le Kazakhstan.
→ À LIRE. Guerre en Ukraine : l’ordre de sécurité européen profondément déstabilisé par Moscou
Le mémorandum a mis du temps à voir le jour. Sous la pression de l’Ukraine, les négociations entamées en 1992 patinent longtemps. Kiev souhaite en effet retirer du démantèlement de son arsenal nucléaire des bénéfices économiques.
► Dans quel contexte est-il signé ?
Tout commence à la chute de l’URSS en 1991, lorsque les anciennes républiques soviétiques retrouvent leur indépendance. L’arsenal atomique soviétique se retrouve alors éparpillé dans quatre pays : la Russie, l’Ukraine, la Biélorussie et le Kazakhstan. Ne souhaitant pas voir se multiplier le nombre de pays dotés de l’arme nucléaire, les États-Unis exigent le retrait des armes atomiques du territoire des nations anciennement placées dans le giron de Moscou.
L’Ukraine, devenue à la chute de l’URSS la troisième puissance nucléaire mondiale après les Américains et les Russes, négocie une aide pour couvrir les coûts du démantèlement en échange du transfert de plus de 4 000 ogives nucléaires vers la Fédération de Russie. Une partie de l’uranium contenu dans les armes lui sera cependant restituée afin de servir de combustible dans ses centrales.
► Quelle est la portée de ce mémorandum ?
En violant l’intégrité territoriale ukrainienne, l’invasion russe enfreint donc bel et bien le [url=https://treaties.un.org/doc/Publication/UNTS/Volume 3007/Part/volume-3007-I-52241.pdf]mémorandum de Budapest[/url]. Cependant, contrairement à ce qu’affirme le président Zelensky, une intervention militaire des parties engagées dans le traité aux côtés de l’Ukraine n’est pas garantie par le texte.
En effet, l’accord passé ne semble pas contraindre la France, les États-Unis, le Royaume-Uni ou la Chine à se porter au militairement secours de l’agressée. Selon l’article 5 du mémorandum, les signataires « réaffirment leur engagement de demander au Conseil de sécurité (de l’ONU) d’intervenir immédiatement pour venir en aide à l’Ukraine, en tant qu’État non doté d’armes nucléaires (…), si celle-ci faisait l’objet d’une agression ou d’une menace d’agression faisant appel à l’arme nucléaire ». La Russie n’ayant pas recours à l’usage ni à la menace d’employer une bombe atomique en Ukraine, une intervention militaire n’est pas induite par le mémorandum.
Enfin, l’application des traités internationaux, et a fortiori des mémorandums, n’est garantie que par la bonne volonté de ses signataires. Aucune organisation internationale n’a autorité pour arbitrer la rupture d’un tel texte par l’une des parties.
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Guerre en Ukraine, la petite histoire
A qui se fier? Certainement pas à votre ami Poutine, c'est un roublard de première force, il distance même Mélenchon.Diviciac a écrit:Horiel a écrit:Alors "guerre", c'est verboten, "morts", y en a quasiment pas, mais ça commence quand même à fuiter, en Russie...
Ben mince alors !
Et dire que votre joli président avait obtenu des garanties de Poutine: à qui se fier ?
Macron révèle les « garanties » de Poutine (newsnet.fr)
Je ne peux pas tout, je ne réussis pas tout mais je refuse de m'y résoudre. Emmanuel Macron.
Fontsestian- Messages : 11123
Date d'inscription : 11/06/2018
Age : 78
Localisation : Provence
Re: Guerre en Ukraine, la petite histoire
...des morts ? combien déja dans la photo monochrome en haut ? verboten ? non dead !
Invité- Invité
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