Portraits des clowns qui se présentent à la présidentielle !

Forcheville a écrit:la Martine, j'ai immédiatement pensé à Aubry, la dame des 35h.
Torche boulle, non mais, un peu de respect, si c'est pas trop vous demander

Plume a écrit:Plume elle cite la signature de Marc Aurèle 

Horiel a écrit:

Forcheville a écrit:la Martine, j'ai immédiatement pensé à Aubry, la dame des 35h.
Torche boulle, non mais, un peu de respect, si c'est pas trop vous demander

Je n'ai pas saisi non plus Torche Machin, mais au fond, n'est-il pas préférable de garder quelque mystère ?

marcaurele a écrit:oui mais mal
La citation exacte d' Alphonse de Lamartine  est " Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé, qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.”

marcaurele a écrit:

Plume a écrit:Plume elle cite la signature de Marc Aurèle 

oui mais mal
La citation exacte d' Alphonse de Lamartine  est " Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé, qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.”

sporthos a écrit:

marcaurele a écrit:
oui mais mal
La citation exacte d' Alphonse de Lamartine  est " Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé, qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.”

Et c'est si vrai. Vous avez de belles références littéraires. Lamartine, quel homme charmant !

Diviciac a écrit:

sporthos a écrit:

Et c'est si vrai. Vous avez de belles références littéraires. Lamartine, quel homme charmant !

Il a écrit des poèmes  très émouvants comme la Pensée des Morts partiellement mis en musique par Brassens : si vous ne réussissez pas à faire chialer tout le monde en récitant ça lors d'un enterrement c'est que vous l'avez mal dit . 
Il y a des paragraphes adaptés à tous les deuils: le père, la mère , l'ami , la fiancée, l'enfant  etc . Bon c'est un peu long il faut faire comme Brassens , en choisir une partie. 


Le père, le frère , la sœur : 

 :C’est l’ombre pâle d’un père
Qui mourut en nous nommant ;
C’est une soeur, c’est un frère,
Qui nous devance un moment ;
Sous notre heureuse demeure,
Avec celui qui les pleure,
Hélas ! ils dormaient hier !
Et notre coeur doute encore,
Que le ver déjà dévore
Cette chair de notre chair ; 


la mère 
C’est une mère ravie
A ses enfants dispersés,
Qui leur tend de l’autre vie
Ces bras qui les ont bercés ;
Des baisers sont sur sa bouche,
Sur ce sein qui fut leur couche
Son coeur les rappelle à soi ;
Des pleurs voilent son sourire,
Et son regard semble dire :
Vous aime-t-on comme moi ?



La fin, un peu bigote pour moi mais émouvante et un peu naïve par une sorte de chantage dans son rapport à la divinité : 


Ô Père de la nature,
Source, abîme de tout bien,
Rien à toi ne se mesure,
Ah ! ne te mesure à rien !
Mets, à divine clémence,
Mets ton poids dans la balance,
Si tu pèses le néant !
Triomphe, à vertu suprême !
En te contemplant toi-même,
Triomphe en nous pardonnant !

Fontsestian a écrit:

Diviciac a écrit:



Il a écrit des poèmes  très émouvants comme la Pensée des Morts partiellement mis en musique par Brassens : si vous ne réussissez pas à faire chialer tout le monde en récitant ça lors d'un enterrement c'est que vous l'avez mal dit . 
Il y a des paragraphes adaptés à tous les deuils: le père, la mère , l'ami , la fiancée, l'enfant  etc . Bon c'est un peu long il faut faire comme Brassens , en choisir une partie. 


Le père, le frère , la sœur : 

 :C’est l’ombre pâle d’un père
Qui mourut en nous nommant ;
C’est une soeur, c’est un frère,
Qui nous devance un moment ;
Sous notre heureuse demeure,
Avec celui qui les pleure,
Hélas ! ils dormaient hier !
Et notre coeur doute encore,
Que le ver déjà dévore
Cette chair de notre chair ; 


la mère 
C’est une mère ravie
A ses enfants dispersés,
Qui leur tend de l’autre vie
Ces bras qui les ont bercés ;
Des baisers sont sur sa bouche,
Sur ce sein qui fut leur couche
Son coeur les rappelle à soi ;
Des pleurs voilent son sourire,
Et son regard semble dire :
Vous aime-t-on comme moi ?



La fin, un peu bigote pour moi mais émouvante et un peu naïve par une sorte de chantage dans son rapport à la divinité : 


Ô Père de la nature,
Source, abîme de tout bien,
Rien à toi ne se mesure,
Ah ! ne te mesure à rien !
Mets, à divine clémence,
Mets ton poids dans la balance,
Si tu pèses le néant !
Triomphe, à vertu suprême !
En te contemplant toi-même,
Triomphe en nous pardonnant !

Moi je trouve ça pompier.

Forcheville a écrit:Y nous fout le bourdon avant d'aller se coucher, on va finir par regretter ses statistiques quotidiennes sur les morts du COVID à l'hôpital et en EPADH , comparées avec celles des autres pays et leur classement dans le top 10.

Rassurez-vous: l'un n'empêche pas l'autre.  

Diviciac a écrit:

sporthos a écrit:

Et c'est si vrai. Vous avez de belles références littéraires. Lamartine, quel homme charmant !

Il a écrit des poèmes  très émouvants comme la Pensée des Morts partiellement mis en musique par Brassens : si vous ne réussissez pas à faire chialer tout le monde en récitant ça lors d'un enterrement c'est que vous l'avez mal dit . 
Il y a des paragraphes adaptés à tous les deuils: le père, la mère , l'ami , la fiancée, l'enfant  etc . Bon c'est un peu long il faut faire comme Brassens , en choisir une partie. 


Le père, le frère , la sœur : 

 :[size=32]C’est l’ombre pâle d’un père[/size]
[size=32]Qui mourut en nous nommant ;[/size]
[size=32]C’est une soeur, c’est un frère,[/size]
[size=32]Qui nous devance un moment ;[/size]
[size=32]Sous notre heureuse demeure,[/size]
[size=32]Avec celui qui les pleure,[/size]
[size=32]Hélas ! ils dormaient hier ![/size]
[size=32]Et notre coeur doute encore,[/size]
[size=32]Que le ver déjà dévore[/size]
[size=32]Cette chair de notre chair[/size] ; 


la mère 
[size=32]C’est une mère ravie[/size]
[size=32]A ses enfants dispersés,[/size]
[size=32]Qui leur tend de l’autre vie[/size]
[size=32]Ces bras qui les ont bercés ;[/size]
[size=32]Des baisers sont sur sa bouche,[/size]
[size=32]Sur ce sein qui fut leur couche[/size]
[size=32]Son coeur les rappelle à soi ;[/size]
[size=32]Des pleurs voilent son sourire,[/size]
[size=32]Et son regard semble dire :[/size]
[size=32]Vous aime-t-on comme moi ?[/size]



La fin, un peu bigote pour moi mais émouvante et un peu naïve par une sorte de chantage dans son rapport à la divinité : 


[size=32]Ô Père de la nature,[/size]
[size=32]Source, abîme de tout bien,[/size]
[size=32]Rien à toi ne se mesure,[/size]
[size=32]Ah ! ne te mesure à rien ![/size]
[size=32]Mets, à divine clémence,[/size]
[size=32]Mets ton poids dans la balance,[/size]
[size=32]Si tu pèses le néant ![/size]
[size=32]Triomphe, à vertu suprême ![/size]
[size=32]En te contemplant toi-même,[/size]
[size=32]Triomphe en nous pardonnant ![/size]

sporthos a écrit:L' homme est un dieu déchu qui se souvient des cieux.
Lamartine.

Forcheville a écrit:Y nous fout le bourdon avant d'aller se coucher, on va finir par regretter ses statistiques quotidiennes sur les morts du COVID à l'hôpital et en EPADH , comparées avec celles des autres pays et leur classement dans le top 10.

Diviciac a écrit:

sporthos a écrit:L' homme est un dieu déchu qui se souvient des cieux.
Lamartine.

 …




 "Considérant que l'esclavage est un attentat contre la dignité humaine ; Qu'en détruisant le libre arbitre de l'homme, il supprime le principe naturel du droit et du devoir ; Qu'il est une violation flagrante du dogme républicain : Liberté, Egalité, Fraternité."


"Je suis de la couleur de ceux qu'on persécute 

sans aimer, sans haïr les drapeaux différents, 
partout où l'homme souffre il me voit dans ses rangs." 


Lamartine. 

Forcheville a écrit:Y nous fout le bourdon avant d'aller se coucher, on va finir par regretter ses statistiques quotidiennes sur les morts du COVID à l'hôpital et en EPADH , comparées avec celles des autres pays et leur classement dans le top 10.