11 voix sur 533: Plus personne n'en veut
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11 voix sur 533: Plus personne n'en veut
Élections sénatoriales : sévère défaite de Ségolène Royal
Elle a déploré "la stratégie de la division" du PS, qui avait refusé de lui accorder son investiture.
C'est un retour en politique avorté pour Ségolène Royal. L'ancienne candidate à l'élection présidentielle a été sévèrement battue, dimanche 26 septembre à l'élection des sénateurs représentant les Français de l'étranger, dans un scrutin marqué par l'élection d'une nouvelle candidate écologiste, selon les résultats communiqués par les candidats à l'issue du scrutin.
Ségolène Royal, à qui le PS avait refusé l'investiture, a fait part de sa "déception", mais a dit ne pas regretter d'avoir pris part à "une campagne importante" qui lui a permis de "prendre la mesure de la dégradation de l'image de la France à l'international".
Elle a recueilli 11 voix sur 533, soit 2% des suffrages exprimés.
"Quand la gauche est divisée, elle perd, a réagi la candidate sur BFMTV. Le Parti socialiste avait décidé de mettre un candidat contre moi, il y avait une autre candidate, ça faisait quatre listes de gauche. Voilà, les électeurs sanctionnent la division." Elle par ailleurs annoncé qu'elle allait transformer en parti politique son association "Désirs de France".
De son côté, EELV a salué dans un communiqué l'arrivée au Sénat de Mélanie Vogel, "une jeune femme expérimentée, membre de la direction du parti vert européen et engagée sur les questions féministes, antiracistes et LGBTI".
Six des douze sièges des sénateurs représentant les Français établis hors de France étaient remis en jeu, avec un an de retard, à cause de la crise sanitaire. Ils auraient dû l'être en septembre dernier, lors du renouvellement par moitié du Sénat.
Dix listes étaient en lice. Deux des trois sortants qui se représentaient ont été réélus : Christophe-André Frassa (Les Républicains - liste "Ensemble, la Droite et les Indépendants pour les Français de l'étranger") et Olivier Cadic (centriste, liste "Libres et Indépendants").
L'ancien sénateur LR Jean-Pierre Bansard (liste "La voix des Français de l'étranger"), dont l'élection en 2017 avait été annulée par le Conseil constitutionnel, a également été réélu. Au total la droite perd un siège. Jacky Deromedi (LR), en seconde position sur la liste de M. Frassa, n'a pas été réélue, tandis que Robert del Picchia (LR) ne se représentait pas.
À gauche, le groupe socialiste conserve son siège, malgré la division, avec l'élection du candidat investi par le parti Yves Chantrel ("Rassemblement de la gauche écologiste sociale et solidaire"). La cheffe de file d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV) Mélanie Vogel ("Ecologie-Solidarité-Proximité"). Elle viendra consolider le groupe écologiste, le plus petit du Sénat avec actuellement 11 membres, depuis l'exclusion d'Esther Benbassa.
Enfin, la liste du parti de la majorité présidentielle ("Français de l'étranger, notre avenir s'écrit ensemble"), conduite par la députée LREM Samantha Cazebonne, obtient elle aussi un siège.
Les six sénateurs élus dimanche entreront en fonction le vendredi 1er octobre 2021. Leur mandat, expirant le 30 septembre 2026, est donc exceptionnellement réduit à cinq ans.
Elle a déploré "la stratégie de la division" du PS, qui avait refusé de lui accorder son investiture.
C'est un retour en politique avorté pour Ségolène Royal. L'ancienne candidate à l'élection présidentielle a été sévèrement battue, dimanche 26 septembre à l'élection des sénateurs représentant les Français de l'étranger, dans un scrutin marqué par l'élection d'une nouvelle candidate écologiste, selon les résultats communiqués par les candidats à l'issue du scrutin.
Ségolène Royal, à qui le PS avait refusé l'investiture, a fait part de sa "déception", mais a dit ne pas regretter d'avoir pris part à "une campagne importante" qui lui a permis de "prendre la mesure de la dégradation de l'image de la France à l'international".
Elle a recueilli 11 voix sur 533, soit 2% des suffrages exprimés.
"Quand la gauche est divisée, elle perd, a réagi la candidate sur BFMTV. Le Parti socialiste avait décidé de mettre un candidat contre moi, il y avait une autre candidate, ça faisait quatre listes de gauche. Voilà, les électeurs sanctionnent la division." Elle par ailleurs annoncé qu'elle allait transformer en parti politique son association "Désirs de France".
De son côté, EELV a salué dans un communiqué l'arrivée au Sénat de Mélanie Vogel, "une jeune femme expérimentée, membre de la direction du parti vert européen et engagée sur les questions féministes, antiracistes et LGBTI".
Six des douze sièges des sénateurs représentant les Français établis hors de France étaient remis en jeu, avec un an de retard, à cause de la crise sanitaire. Ils auraient dû l'être en septembre dernier, lors du renouvellement par moitié du Sénat.
Dix listes étaient en lice. Deux des trois sortants qui se représentaient ont été réélus : Christophe-André Frassa (Les Républicains - liste "Ensemble, la Droite et les Indépendants pour les Français de l'étranger") et Olivier Cadic (centriste, liste "Libres et Indépendants").
L'ancien sénateur LR Jean-Pierre Bansard (liste "La voix des Français de l'étranger"), dont l'élection en 2017 avait été annulée par le Conseil constitutionnel, a également été réélu. Au total la droite perd un siège. Jacky Deromedi (LR), en seconde position sur la liste de M. Frassa, n'a pas été réélue, tandis que Robert del Picchia (LR) ne se représentait pas.
À gauche, le groupe socialiste conserve son siège, malgré la division, avec l'élection du candidat investi par le parti Yves Chantrel ("Rassemblement de la gauche écologiste sociale et solidaire"). La cheffe de file d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV) Mélanie Vogel ("Ecologie-Solidarité-Proximité"). Elle viendra consolider le groupe écologiste, le plus petit du Sénat avec actuellement 11 membres, depuis l'exclusion d'Esther Benbassa.
Enfin, la liste du parti de la majorité présidentielle ("Français de l'étranger, notre avenir s'écrit ensemble"), conduite par la députée LREM Samantha Cazebonne, obtient elle aussi un siège.
Les six sénateurs élus dimanche entreront en fonction le vendredi 1er octobre 2021. Leur mandat, expirant le 30 septembre 2026, est donc exceptionnellement réduit à cinq ans.
Invité- Invité
Re: 11 voix sur 533: Plus personne n'en veut
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: 11 voix sur 533: Plus personne n'en veut
Elle ne comprend pas qu'avec tout les râteaux qu'elle a déjà ramassés qu'elle prenne sa retraite.
Arrivée au "sommet" en 2007, mais battue par Sarkozy, ensuite la dégringolade, battue par Aubry Martine en 2008, puis à nouveau battue à la primaire socialiste de 2011 et aux élections législatives de 2012, pendant trois ans 2014 et 2017, elle exerce la fonction de ministre de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer, puis négociatrice internationale pour les pôles arctique et antarctique (pour les phoques et morses), mais là "Ils" (phoques et morses)n'en veulent même pas donc "virée" en 2020 et là en 2021. re. 11 voix sur 533.
Arrivée au "sommet" en 2007, mais battue par Sarkozy, ensuite la dégringolade, battue par Aubry Martine en 2008, puis à nouveau battue à la primaire socialiste de 2011 et aux élections législatives de 2012, pendant trois ans 2014 et 2017, elle exerce la fonction de ministre de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer, puis négociatrice internationale pour les pôles arctique et antarctique (pour les phoques et morses), mais là "Ils" (phoques et morses)n'en veulent même pas donc "virée" en 2020 et là en 2021. re. 11 voix sur 533.
Snub 36- Messages : 3938
Date d'inscription : 09/03/2021
Age : 64
Localisation : Strasbourg Alsace
Re: 11 voix sur 533: Plus personne n'en veut
Seul point qu'on ne peut lui reprocher c'est sa ténacitude ...c'est une qualité, ..si siSnub 36 a écrit:Elle ne comprend pas qu'avec tout les râteaux qu'elle a déjà ramassés qu'elle prenne sa retraite.
Arrivée au "sommet" en 2007, mais battue par Sarkozy, ensuite la dégringolade, battue par Aubry Martine en 2008, puis à nouveau battue à la primaire socialiste de 2011 et aux élections législatives de 2012, pendant trois ans 2014 et 2017, elle exerce la fonction de ministre de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer, puis négociatrice internationale pour les pôles arctique et antarctique (pour les phoques et morses), mais là "Ils" (phoques et morses)n'en veulent même pas donc "virée" en 2020 et là en 2021. re. 11 voix sur 533.
Peut être même qu'elle va se présenter en candidate libre à la présidentielle.
Invité- Invité
Re: 11 voix sur 533: Plus personne n'en veut
comme pour son ex mari...
humiliation politique pour royal
humiliation politique pour royal
Antichrist- Messages : 4012
Date d'inscription : 28/05/2019
Re: 11 voix sur 533: Plus personne n'en veut
Antichrist a écrit:comme pour son ex mari...
humiliation politique pour royal
Ah non, n'a jamais été marier, mère célibataire, 4 gosses, t'a idée de combien elle a ramassée en alloc par rapport à une "mariée"
sont comme ça les bobo-socialo
Snub 36- Messages : 3938
Date d'inscription : 09/03/2021
Age : 64
Localisation : Strasbourg Alsace
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