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Claude Izner

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Claude Izner Empty Claude Izner

Message par Invité Lun 5 Avr - 18:59

Claude Izner est le nom de plume commun de Liliane Korb (née à Paris le 6 janvier 1940) et de sa sœur Laurence Korb (née à Paris le 10 avril 1951, également connue sous le nom de Laurence Lefèvre), romancières françaises, pour signer, depuis 2003, les Enquêtes de Victor Legris, romans policiers historiques situés à Paris la fin du xixe siècle. Cette série est publiée dans la collection « Grands détectives » aux éditions 10/18.
Avant d'adopter ce pseudonyme, les sœurs Korb avaient déjà signé en commun plusieurs œuvres, allant du roman d'aventures pour les enfants au roman de suspense pour les adultes, en passant par la science-fiction.

L'aînée des deux sœurs, Liliane Korb, est chef monteuse de cinéma, avant de devenir bouquiniste sur la rive droite de la Seine à Paris.
La cadette, Laurence Korb, étudie l'archéologie jusqu'à l'obtention d'une licence, puis publie deux romans à la fin des années 1970, avant de devenir à son tour bouquiniste sur les bords de Seine.
Le besoin d'écrire, et de préférence en commun, les prendra (ou reprendra) à partir de la fin des années 1980, leur carrière d'écrivains étant menée de front avec leur activité de bouquinistes et de cinéastes.
Amorcée en 2003, la série des Enquêtes de Victor Legris a pour héros un libraire d'une trentaine d'années, propriétaire de la librairie L'Elzévir, sise au 18 rue des Saints-Pères, dans le Paris des années 1890-1900. Passionné de photographie et d'ouvrages anciens, il se trouve mêlé à des affaires criminelles qui défraient souvent la chronique. Parmi les autres personnages qu'il côtoie, citons Kenji Mori, père adoptif de Legris et son associé, Iris, fille de Mori, Tasha, peintre et épouse de Legris, Joseph, commis de librairie et friand de comptes rendus d'affaires criminelles dans les journaux, et époux d'Iris. La série est en outre l'occasion de croiser des personnages historiques réels, parmi lesquels, au premier rang, Henri de Toulouse-Lautrec, mais aussi Alphonse Bertillon, La Goulue, Ravachol, Paul Verlaine et d'autres célébrités de l'époque.

Les Enquêtes de Victor Legris

[list="margin-top: 0.3em; margin-right: 0px; margin-left: 3.2em; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-image: none; color: rgb(32, 33, 34); font-family: sans-serif; font-size: 14px; background-color: rgb(255, 255, 255);"]
[*]Mystère rue des Saints-Pères, éditions 10/18, « Grands Détectives » no 3505, 2003,
prix Michel-Lebrun 2003.

[*]La Disparue du Père-Lachaise, éditions 10/18, « Grands Détectives » no 3506, 2003

[*]Le Carrefour des Écrasés, éditions 10/18, « Grands Détectives » no 3580, 2003

[*]Le Secret des Enfants-Rouges, éditions 10/18, « Grands Détectives » no 3682, 2004

[*]Le Léopard des Batignolles, éditions 10/18, « Grands Détectives » no 3808, 2005

[*]Le Talisman de la Villette, éditions 10/18, « Grands Détectives » no 3941, 2006

[*]Rendez-vous Passage d'Enfer, éditions 10/18, « Grands Détectives » no 4100, 2008

[*]La Momie de la Butte-Aux-Cailles, éditions 10/18, « Grands Détectives » no 4186, 2009

[*]Le Petit Homme de l'Opéra, éditions 10/18, « Grands Détectives » no 4345, 2010

[*]Les Souliers bruns du quai Voltaire, éditions 10/18, « Grands Détectives » no 4449, 2011

[*]Minuit, impasse du Cadran, éditions 10/18, « Grands Détectives » no 4582, 2012

[*]Le Dragon du Trocadéro, éditions 10/18, « Grands Détectives » no 4782, 2014

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Les aventures de Jeremy Nelson[modifier | modifier le code]

[list="margin-top: 0.3em; margin-right: 0px; margin-left: 3.2em; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-image: none; color: rgb(32, 33, 34); font-family: sans-serif; font-size: 14px; background-color: rgb(255, 255, 255);"]
[*]Le Pas du renard, éditions 10/18, coll. « Grands Détectives », no 5213, 2016

[*]La Femme au serpent, éditions 10/18, coll. « Grands Détectives », no 5371, 2017

[*]La Poule aux œufs d'or,éditions 10/18, coll. « Grands Détectives », no 5516, 2019

[*]Les Nids de l'hirondelle,éditions 10/18, coll. « Grands Détectives », 2021

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Autres romans[modifier | modifier le code]


  • Juillet 1942 - Les enfants aussi, Le Livre de Poche Jeunesse no 1627, 2012
    Il s'agit de la réédition du livre Les Enfants aussi sorti en 1995 sous les noms de Laurence Lefèvre et Liliane Korb. Prix de la Société des Gens de Lettres en 1995, prix des Incorruptibles en 1996, prix de la ville de Pithiviers en 1999.

  • Sang dessus dessous, éditions 10/18, « Grands Détectives » no 4637, 2013
    Réédition d'un roman paru en 1999 sous la double signature Liliane Korb et Laurence Lefèvre. (Voir ci-dessous).


Romans signés Liliane Korb et Laurence Lefèvre[modifier | modifier le code]

Les notices bibliographiques de la Bibliothèque nationale de France placent tantôt Liliane, tantôt Laurence, comme premier auteur.

  • Mon père le poisson rouge, ill. de Gismonde Curiace. Paris : Flammarion, coll. « Castor-Poche » no 386. 250 p., 1992
    Prix Versele 1994.

  • L'Élixir de tante Ermolina, ill. de Solvej Crévelier. Paris : Flammarion, coll. « Castor-Poche - Junior » no 419. 273 p., 1993

  • Bout d'ficelle ou Le secret du Chemin-Vert, ill. de Solvej Crévelier. Paris : Flammarion, coll. « Castor-Poche - Junior » no 450. 228 p., 1994

  • Ciné Magic, ill. de Solvej Crévelier. Paris : Flammarion, coll. « Castor-Poche - Junior » no 500. 228 p., 1995
    Bourse de la création Thyde Monnier en 1995.

  • Les Embûches de Noël, ill. de Solvej Crévelier. Paris : Flammarion, coll. « Castor-Poche - Junior » no 527. 119 p., 1995

  • Les Enfants aussi ou les Enfants aussi : juillet 1942, ill. de Bruno Mallart. Paris : Hachette, coll. « Le Livre de poche - Jeunesse » no 528. 125 p., 1995

  • Silence, on tourne ! : l'enfance du cinéma, schémas de Brigitte Perdreau. Paris : Flammarion, coll. « Castor-Poche - Connaissances - Senior » no 10. 214 p., 1995

  • L'Étrange Affaire Plumet. Paris : Flammarion, coll. « Castor-Poche - Senior » no 552. 175 p., 1996

  • Jasper et les ombres électriques, ill. de Françoise Moreau. Paris : Hachette, coll. « Le Livre de poche - Jeunesse » no 585. 189 p., 1996

  • Viviane dans le placard, ill. de Dupuy-Berberian. Paris : Syros, coll. « Souris noire » no 44. 42 p., 1996

  • Le Pont-neuf à travers les siècles. Paris : Flammarion, coll. « Castor doc - Junior » n° « D7 ». 189 p., 1997

  • Les Portes d'Arthim, ill. de Léo Beker. Paris : Flammarion, coll. « Castor-Poche - Junior - Science-fiction » no 624. 117 p., 1997

  • 9 récits de Paris, ill. de Raïssa Lanéelle. Paris : Flammarion, coll. « Castor-Poche - Junior » no 666. 126 p., 1998

  • Les Voyageurs de l'infini, ill. de Gess. Paris : Flammarion, coll. « Castor-Poche - Junior - Science-fiction » no 645. 110 p., 1998

  • Sang dessus dessous. Roman policier, Paris : Viviane Hamy, coll. « Chemins nocturnes ». 222 p., 1999

  • Un prince en baskets. Paris : Flammarion, coll. « Castor-Poche - Senior » no 734. 142 p., 2000

  • Flash sur l'assassin. Paris : Flammarion, « Castor-Poche - Suspense - Senior » no 843. 114 p., 2001


Romans signés Liliane Korb[modifier | modifier le code]


  • La Marion du Faouët, 1971 (en collaboration avec Agnès Van Parys)

  • Temps sans frontières, ill. de Yves Beaujard. Paris : Flammarion, coll. « Castor-Poche - Junior » no 273. 246 p., 1989
    Grand prix de la Science Fiction jeunesse en 1991.

  • La Créature d'un autre monde, ill. de Solvej Crévelier. Paris : Père Castor-Flammarion, coll. « Les Trois loups. Faim de loup ». 55 p., 1997


Textes signés Laurence Korb[modifier | modifier le code]


  • « Lady Victoria », nouvelle publiée dans l'anthologie fantastique de Bernard Blanc : Que sont les fantômes devenus ?, Nouvelles Éditions Oswald, coll. « Fantastique / Science-fiction / Aventures », no 12, 1980.

  • Paris-Lézarde, roman, Paris : Calmann-Lévy. 214 p., 1977 [Prix de la société des gens de lettres 1980].

  • Les Passants du dimanche, roman, Paris : Calmann-Lévy. 222 p., 1979.

  • « Le Génie de la liberté », nouvelle parue dans la revue "Autrement" (numéro consacré à Paris), 1983.


Romans signés Laurence Lefèvre


  • Passage de la Main-d'Or, Paris : Flammarion, Castor poche no 338, 232 p., 1991

  • Arrêtez-le, ill. de Marcelino Truong. Paris : Père Castor-Flammarion, coll. « Les Trois loups. ». 57 p., 1997

  • Week-end infernal, Paris : Hachette. 156 p., 1997


Filmographie

Liliane Korb, monteuse pour le cinéma


  • 1960 : L'amour existe, court métrage réalisé par Maurice Pialat

  • 1961 : Les Cinq-cents Balles, court métrage réalisé par Melvin Van Peebles

  • 1961 : Cuba si, moyen métrage réalisé par Chris Marker

  • 1962 : Un cœur gros comme ça, long métrage réalisé par François Reichenbach

  • 1963 : Les Impressionnistes, réalisé par Jean-Claude Sée

  • 1963 : Sa Majesté des mouches (Lord of the Flies), long métrage réalisé par Peter Brook, d'après le roman de William Golding

  • 1964 : La Prima donna, réalisé par Philippe Lifchitz

  • 1966 : Massacre pour une orgie, réalisé par Jean-Pierre Bastid

  • 1966 : Jaguar, réalisé par Jean Rouch

  • 1966 : La Permission (The Story of a Three-Day Pass), long métrage réalisé par Melvin Van Peebles

  • 1967 : Salut les copines, réalisé par Jean-Pierre Bastid

  • 1968 : Le 17e Parallèle, long métrage réalisé par Joris Ivens

  • 1971 : L'Apocalypse, long métrage réalisé par Jean-Claude Sée.


Liliane Korb et Laurence Korb, réalisatrices


  • 1969 : Histoire d'un crime, (court métrage sur les expulsions et la spéculation immobilière à Belleville, Paris), en collaboration avec Laurence Korb, Marie-Geneviève Ripeau, Lionel Legros

  • 1970 : Un village au Nord Vietnam, (court métrage produit par la télévision scolaire), réalisé par Liliane Korb

  • 1970 : We Shall Remain Indians, (court métrage sur l'occupation de l'île d'Alcatraz), en collaboration avec Laurence Korb, Marie-Geneviève Ripeau, André Weinsfeld. Produit par Stanley Forman (Grande Bretagne)

  • 1975 : Les Esclops (Les Sabots), en collaboration avec Laurence Korb, Bernard Lefèvre, Claudine et Fabien Lesage, produit par Patrick Cazals, producteur de l'Animation du Haut Quercy.

  • 1976 : Cants d'Amor et d'Esper (Les Troubadours), en collaboration avec Laurence Korb, Bernard Lefèvre, Henri Gougaud, Maurice Chevit, Michel Legrand, Francis Lemarque, produit par Patrick Cazals.

  • 1981 : Participation à l'écriture du synopsis du film L'Amour nu, de Yannick Bellon, avec Marlène Jobert et Jean-Michel Folo
    Wikipedia

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Message par Invité Lun 5 Avr - 19:03

Mystère rue des Saints-pères (terresdecrivains.com)



Mystère rue des Saints-pères


Balade dans le Paris de l’exposition universelle de 1889

Le dimanche 17 décembre 2006.
Avec les aventures de Victor Legris, nous ne pénétrons pas dans les couloirs du pouvoir de la IIIe République, mais dans les allées de l’exposition universelle de 1889, dans les bureaux de la presse quotidienne (cinq ans avant l’affaire Dreyfus) et dans les milieux de l’art, aux premiers temps de l’impressionnisme.
Mystère rue des Saints-pères est le premier opus de la série des Mystères parisiens, et Victor est libraire dans cette rue.

Claude Izner 18stperes18 rue des Saints-pères

Le mystère auquel il s’attaque est double : de mystérieuses morts se succèdent dans la capitale en mai et juin 1889, apparemment causées par des piqûres d’abeilles.
D’autre part, le comportement de son associé et père adoptif Kenji Mori est des plus étranges. Il a en effet croisé plusieurs fois le chemin des victimes… tout comme la belle Tasha Kherson, illustratrice pour le Passe-partout, journal à sensations auquel Victor commence à collaborer. Les victimes - sauf la première - ainsi que Kenji et Tasha possèdent en outre le point commun d’avoir retiré le 22 juin à la tour Eiffel une édition spéciale du Figaro imprimée à l’occasion de l’exposition universelle.
Intrigué par les comportements étranges de ses proches, Victor se lance sur la piste.
Parcourons donc la capitale en sa compagnie et découvrons les charmes de la ville en 1889.
Claude Izner Puce  Le 22 juin 1889, Eugénie Patinot, demeurant 35 avenue des Peupliers à Auteuil, décède brutalement au 1er étage de la tour Eiffel. Apparemment d’une piqûre d’abeille ! Victor récupère plus tard un indice auprès de ses neveux : une aiguille de tatouage semblable à celles que possède son ami Kenji.
Claude Izner Puce  C’est au 1er étage de la tour Eiffel que nous faisons connaissance le 22 juin 1889 avec Victor Legris. En compagnie de son associé libraire Kenji Mori, il y rencontre son ami Marius Bonnet qui vient de fonder un nouveau journal, le Passe-partout… qui se lance aussitôt dans l’enquête sur cette mort mystérieuse.
L’enquête se clôt le 1er juillet 1889 au même endroit, en présence de Gustave Eiffel en personne. Il y a mort d’homme, mais c’est la dernière, et c’est celle du meurtrier. Il faudra tout de même sa confession posthume, publiée par le Passe-partout, pour comprendre ses mobiles.
Claude Izner Puce  Lorsque Victor doit faire reposer son cerveau bouillonnant pour avancer dans son enquête, il aime déambuler dans le jardin des Tuileries.
Claude Izner Puce  Le 12 mai 1889, Jean Méring, un chiffonnier décède d’une piqûre semblable à celle d’une abeille, encore une fois. Il assistait à l’entrée de la troupe de Buffalo Bill dans la gare des Batignolles (aujourd’hui la gare de Pont-Cardinet).
Claude Izner Puce Jean Méring habitait rue de la Parcheminerie, dans un bâtiment qui communique avec la rue de la Harpe. Un autre meurtre y sera commis le 28 juin et, le lendemain, Victor, que son enquête amènera ici, y échappera de peu à la mort.
Claude Izner Puce  Le Passe-partout a ses bureaux galerie Véro-Dodat, non loin de la rue Croix-des-Petits-Champs.

Claude Izner VerododatdefLe passage Véro-Dodat.

Claude Izner Puce  La librairie Elzévir de Legris et Mori se trouve 18 rue des Saints-pères. Victor en a hérité de son oncle Émile, utopiste admirateur de Fourier. Chacun des deux libraires y possède un appartement au-dessus. Mori, adepte du jiu-jitsu, a élevé Victor, qui a perdu son père - un être froid et distant - à huit ans. Victor s’est installé au sous-sol un laboratoire pour assouvir sa passion : la photographie. Dans l’enquête sur les morts subites du roman Mystère rue des Saints-pères, Kenji joue un rôle tantôt de suspect, tantôt de limier.
Claude Izner Puce  Le roman permet bien sûr au lecteur de visiter l’exposition universelle de 1889, du palais du Trocadéro au champ de Mars. Le long du quai d’Orsay se tient aussi une exposition sur l’habitat à travers les siècles, et l’esplanade des Invalides accueille les productions de la France coloniale.
Claude Izner Puce  Tasha Kherson, illustratrice pour le Passe-partout, vit au 6e étage du 60 rue Notre-Dame-de-Lorette. Séduisante, elle l’est sans aucun doute, et Victor ne peut lui résister. Mais tout porte à croire qu’elle est mêlée aux morts suspectes. D’ailleurs son voisin serbe Danilo, chanteur d’opéra à ses heures, ne semble pas très clair non plus. Pourtant, Danilo finira comme les autres victimes.
Claude Izner Puce  Kenji se rend mystérieusement chez un autre libraire, rue Auber. Victor, intrigué, l’a suivi. Kenji se rend ensuite au Café de la Paix, boulevard des Capucines, et remet un paquet à inconnu qui se révèlera être un collectionneur d’art, bientôt victime d’une mort prématurée. Il devait également déjeuner au restaurant du Grand hôtel avec John Cavendish, décédé lui aussi prématurément. Kenji termine son parcours énigmatique par des emplettes dans une boutique de cadeaux pour femmes rue de la Chaussée-d’Antin.
Claude Izner Puce  Victor se rend à la librairie Hachette, 77 boulevard Saint-Germain, pour consulter les récits de voyage de l’explorateur américain Cavendish, décédé brutalement le 24 juin 1889 à l’exposition coloniale… piqué par une abeille, bien sûr.
Claude Izner Puce  Tasha emmène Victor à la brasserie des Martyrs, 5-7 rue des Martyrs. Il ne sait pas très bien s’il peut lui faire confiance ou pas.
Claude Izner Puce  Juste après l’avoir quittée, il la suit jusqu’à un hôtel particulier, au style hindou, planté dans la plaine Monceau en face de l’adresse qu’occupe Guy de Maupassant (10 rue Jacques Bingen) entre avril 1884 et décembre 1889, non loin de la demeure de Dumas Fils, 98 avenue de Villiers.
Cet hôtel appartient à Ostrovski, un collectionneur d’art… que Victor reconnaît comme étant l’inconnu rencontré par Kenji au Café de la Paix, et qui va bientôt être assassiné, lui aussi.
Claude Izner Puce  Il retrouve Tasha à La Chapelle de Thélème, en haut de la rue Lepic, guidé par le père Tanguy, marchand de couleur au 14 rue Clauzel. Ce sont ses deux premiers pas dans la découverte de la peinture impressionniste.
Claude Izner Puce  Alors que la liste des morts suspectes par piqûres d’abeilles continue de s’allonger, Kenji Mori s’absente de la rue des Saints-pères pour une raison inconnue. Il prétend aller à Londres mais loue une chambre à l’Hôtel du Chemin de fer du Nord, boulevard de Denain.
Claude Izner Puce  Il rend visite à un ami antiquaire, qui tient boutique rue de Tournon, à quelques mètres du restaurant Foyot, au n°33 de la rue. On y apprend alors que Kenji connaissait Ostrovski, encore une autre victime mystérieusement décédée.

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