Médecins alarmistes
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Médecins alarmistes
Patrick Pelloux s'emporte contre les médecins alarmistes et dénonce un "coup de com'" ICI
Alarmistes", "coup de com'". Si elles ont fait réagir ces derniers jours, les tribunes alarmistes des médecins, comme celle des directeurs de crise des hôpitaux publics de Paris dans le JDD ce dimanche 28 mars, et qui prévenaient qu'ils allaient bientôt devoir trier les patients à leur arrivée à l'hôpital, en ont aussi crispées certains. C'est le cas de l'urgentiste Patrick Pelloux, qui n'a pas manqué de réagir dans le Parisien ce lundi soir. Jamais avare d'un coup de gueule, il se lâche. "On est sur un plateau haut, notre activité est constante avec une petite augmentation mais, en gros, on y arrive", tentant de dédramatiser les propos de ses collègues.
D'autant que pour l'urgentiste, les chiffres ne disent pas exactement la même chose lorsqu'on les analyse froidement. Si l'on considère qu'il y a ces jours-ci environ 5000 personnes en réanimation en France, "seules 25 % sont en réanimation avec intubation et respirateurs. Tous les autres sont dans des unités de soin continu, qui dépendent des réanimateurs, mais ce ne sont pas des réanimations" martèle Patrick Peloux. Il ne nie pas pour autant la charge de travail imposée aux personnels soignants. Mais selon lui c'est clair, il s'agit d'un "coup de com'" : "Il y aura toujours un médecin au pied du malade, il n'y aura pas d'abandon." Une vision partagée par d'autres spécialistes, qui s'inquiètent aussi de l'effet psychologique sur la population de ce genre de tribunes, destinées à provoquer un électrochoc.
Alarmistes", "coup de com'". Si elles ont fait réagir ces derniers jours, les tribunes alarmistes des médecins, comme celle des directeurs de crise des hôpitaux publics de Paris dans le JDD ce dimanche 28 mars, et qui prévenaient qu'ils allaient bientôt devoir trier les patients à leur arrivée à l'hôpital, en ont aussi crispées certains. C'est le cas de l'urgentiste Patrick Pelloux, qui n'a pas manqué de réagir dans le Parisien ce lundi soir. Jamais avare d'un coup de gueule, il se lâche. "On est sur un plateau haut, notre activité est constante avec une petite augmentation mais, en gros, on y arrive", tentant de dédramatiser les propos de ses collègues.
D'autant que pour l'urgentiste, les chiffres ne disent pas exactement la même chose lorsqu'on les analyse froidement. Si l'on considère qu'il y a ces jours-ci environ 5000 personnes en réanimation en France, "seules 25 % sont en réanimation avec intubation et respirateurs. Tous les autres sont dans des unités de soin continu, qui dépendent des réanimateurs, mais ce ne sont pas des réanimations" martèle Patrick Peloux. Il ne nie pas pour autant la charge de travail imposée aux personnels soignants. Mais selon lui c'est clair, il s'agit d'un "coup de com'" : "Il y aura toujours un médecin au pied du malade, il n'y aura pas d'abandon." Une vision partagée par d'autres spécialistes, qui s'inquiètent aussi de l'effet psychologique sur la population de ce genre de tribunes, destinées à provoquer un électrochoc.

Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Médecins alarmistes
Une intervenante, chroniqueuse politique, précisait que la plupart des grands pontes des hôpitaux ont des fonctions dans des partis politiques, maires ou autres. Il serait temps qu'ils montrent la couleur et pensent moins aux Régionales ! 


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